Nico,
je suis bouleversé par cette nouvelle. Je ne peux pas en écrire plus pour l'instant, je tiens juste à te dire que faire votre connaissance en septembre avait été un moment dont je garde le souvenir très précis.
Nous avions tous parcouru la colline, et tard le soir autour d'un génépi nous avions bien ri et discuté.
C'était je crois l'un de vos premiers contacts avec autant de kikous à la fois, Séverine nous avait parlé des Aiguilles Rouges, et toi tu buvais ses paroles.
Tu l'aimais à n'en point douter...
Je m'associe à ton chagrin, elle sera avec moi samedi, en Drôme. J'aurai tout le temps de penser à elle, à toi. C'est long un 100...
Aujourd'hui je pense à toi et à tous ses proches.
Bon courage Nico...