Saintélyon 2007

Salut Fimbur


Je te confirme que ce sont les descentes après avoir parcouru quelques kilomètres qui explosent les genoux fragiles : la longue descente après Ste Foy était un grand cortège de coureurs claudiquant sur la fin (que j'ai vu "from inside"). Les montées sont parfois raides mais pas très longues (sauf la spéciale NoNo : Ste Foy ).

A peluche
Coli, cool_c'est_rien_que_69Km...

Oui, 69 bornes c'est rien... en fait le plus dur c'est les 68 derniers.

Bonjour,

Si j'ai bien compris:
1) faut tenir jusqu'a St Catherine,
2) faut en avoir encore à St genoux,
3) faut en garder pour la cote de St Foy,
4) faut pouvoir remonter dans Lyon jusqu'a la DOUA

C'est l'enfer ce truc ???
j'ai ptêt fait une connerie de m'inscrire à cette course !!!!

A+, olivier.

j'ai ptêt fait une connerie de m'inscrire à cette course !!!!

Bah, dis toi que t'es pas le seul

Naaan, ce n'est pas l'enfer. C'est même très abordable.

1- échauffement jusqu'à Ste Catherine
2- dérouler gentiment jusqu'à St Genoux parceque la course ne commence que là
3- avaler la bosse de Ste Foy (et profiter du paysage si on y est de jour)
4- se faire photographier à Bellecour par Badgone et Martinev
5- arriver sous le regard incrédule des lyonnais matinaux qui se seront pris une tôle au sport où on court après une balle.

A peluche
Coli

Mais qu'allaient-ils faire dans cette galère...

Il faut tenir jusqu'à Ste catherine!!!!

C'est ma 1ère également, mais j'ai tendance à penser qu'il faut tenir jusqu'à St Genoux avant d'envisager d'imaginer de pouvoir peut être lacher un peu des
réserves que j'aurais éventuellement peut-être

je plussoie sur les propos de Fimbur : Saint Catherine ca n'est "que le début" et il faut essayer d'arriver à Soucieux avec les "jarrets" encore intacts

L'Blueb

C'est pas la panacée non plus ! mais pour l'avoir faite l'année dernière, il faut impérativement :
1- arriver à Sainte Catherine sans pépin.
2- La portion Sainte Catherine- Soucieux en Jarrest est - à mon goût - la plus destructrice car on est au coeur de la nuit, fatigué dans le bois d'Arfeuille avec une rude montée sur Saint Genoux.
Après Saint Genoux, ça monte un peu puis ça dégringole jusqu'à Soucieux, bonjour les genoux qui grincent ! ( évitez les sabots, j'ai pas du tout aimé cette portion )
3- Soucieux passé, on descend jusqu'au Garon puis on remonte lentement sur Chaponost avant de descendre sur Sainte Foy.
4- Prenez toutes les forces que vous pouvez dans le garage Opel de Beaunant, faites- vous masser, pensez à Biru en train de gambader dans ses forêts Lorraines ...
5- 50m plus loin, c'est la fameuse côte de Beaunant qui est très raide au départ pendant 500m et après tout s'éclaire ! la pente se fait petit à petit plus douce avant de redevenir plane mais attention ! pour ceux qui baissent les bras dès que ça remonte par la suite, 800m plus loin rue Deshay se trouve un faux plat montant sur 200m puis ter- mi- né ! descente sur Lyon et en avant Guingamp.
Je vais essayer d'être au jus vous concernant durant ce week- end ...
Bon courage à vous, depuis l'année dernière, je me sens plus fièrot en regardant Saint Etienne et Lyon sur une carte de France ...

pensez à Biru en train de gambader dans ses forêts Lorraines ...

Comment? Tu ne seras pas là au garage pour nous pompoculthéraper?? Biru m'enfin...

A peluche
Coli, c'est_quand_les_milmils?

Hélas non Coli ! 'faut que j'aille m'oxygèner sur ce coup là, mais c'est quand tu veux pour une prochaine fois !

Samedi 1 décembre 4° / 9° Le ciel sera couvert avec des bruines ou des pluies

Dimanche 2 décembre 7° / 11° Le ciel sera couvert avec des bruines ou des pluies




Poncho ? Kway ? Bottes ?...

Pôv' NoNo...

L'Castor Junior

putain, sous la pluie ça va être un vrai bonheur...

hin hin hin (rire jaune)

Salut,

Pour celles et ceux qui sont là des samedi midi, comment ca se passe ?

Point de rdv ?
Quelle heure ?

Cédric, jérome,etc... Vous arrivez a quelle heure ?

Nous on part vendredi soir... on devrait faire une bonne partie de la route donc on sera sur lyon pour le p'tit dej'

Bon je sais , vous allez me dire q'est ce que ça vient faire là !!!!
Mais , à bien y réfléchir , le but est de vous donner un moral d'acier pour cette balade de 69Km !
Bonne lecture , et doucement les réactions ! merci

5-4-3-2-1-0, et c’est parti ! 1ère erreur stratégique, nous partons dans les 300 derniers : résultat, nous sommes coincés, et ce sera pire dans le sentier du volcan. Comme prévu, je pars en trottinant jusqu’au chemin des cannes. Il ya beaucoup de monde pour nous encourager, l’ambiance est magique, je suis heureux ! A partir des cannes, je marche vite, je ne veux surtout pas me griller, le chemin est long. 1er ravitaillement, je peste, il n’y a plus rien, je ne m’arrête pas. J’arrive au kiosque qui marque le début du
sentier du volcan en 2h30, un peu en avance sur le temps de ma dernière reco, je suis content. En revanche, je le suis moins quand je vois l’état du
ravitaillement : je fais juste le plein d’eau, souffle 5 minutes et repars.
Le sentier n’est pas trop boueux et je me sens bien. En revanche, nous sommes dans le ventre mou de la course et je m’attends à de sérieux bouchons. Et effectivement, dès le premier « mur », il faut patienter un bon quart d’heure. Hormis cela, la montée se déroule bien, et je finis par sortir de la forêt au lever du jour. Je suis depuis un bon moment avec un groupe de coureurs canadiens qui s’émerveille des paysages. Je me retourne un instant et profite de la vue : je suis heureux. Je poursuis mon ascension vers Foc-Foc, il fait maintenant jour, il ne fait pas trop froid, mais surtout il ne pleut pas.
Avant d’arrivée à Foc-Foc, j’assiste en direct à l’évacuation d’un concurrent par l’hélicoptère de la Gendarmerie : impressionnant. Foc-foc est passé, le volcan est toujours aussi majestueux, et je poursuis vers le ravito. Je fais un break de 10 minutes, car je sais que j’ai perdu du temps dans les bouchons de la montée. J’arrive à la route du volcan à 8h42. J’ai au moins une demi-heure de retard sur mon planning, mais je me sens très bien. Je repars vers la Plaine des Sables, content d’arriver sur mes terres, mon terrain de jeu favori, et surtout de traverser cette région que j’aime tant. J’arrive à Mare à Boue à 12h46. La grosse demi-heure de retard n’est pas rattrapée. Tant pis, je m’accorde une bonne pause après ces cinquante premiers kilomètres, d’autant que Magali et mon fils aîné Gabriel sont là. Magali me fait un massage, je change de chaussettes et de T-shirt, mais oublie de remettre de la vaseline, je le paierai plus tard ! Je m’accorde une cigarette : je ne sais pas si elle fait du bien à mon corps, mais elle fait du bien à mon moral ! Je laisse quand même le paquet à Magali, pour ne pas être tenté.

En route vers Cilaos : je connais bien ce tronçon que j’ai reconnu plusieurs fois et que j’aime bien,enfin que j’aimais bien ! Car en effet, les conditions météo sont mauvaises, et la pluie a transformé le sentier en marécage, ce qui rend la progression difficile. Je dépasse les canadiens, qui ont du mal. Pour moi, tout va bien, pas de douleurs, ni d’ampoules, ni de maux de ventre, pourvu que ça dure ! Le chemin me semble beaucoup plus long que pendant mes entraînements, mais je finis par arriver au refuge de Kerveguen à 17h11. Je me réchauffe avec 2 bols de soupe et fais une pause de 5 minutes. Beaucoup ont le visage déconfit, d’autres dorment sur des lits picots : l’ascension du coteau kerveguen aura laissé des traces pour beaucoup.

Je continue vers le gîte de la caverne Dufour, partie reconnue deux fois, dont une fois avec l’un de mes meilleurs amis lorsqu’il était en vacances à la
Réunion. Nous avions parlé philosophie sur ce tronçon. Là, je ne philosophe plus beaucoup ! Je sais aussi qu’il y a des petits mouvements de terrain successifs derrière lesquels on espère voir le gîte à chaque fois. Je ne me fais pas avoir, c’est mauvais pour le moral, et j’avance sans regarder au loin. J’y arrive à la tombée de la nuit.

Maintenant, la descente du Bloc. La progression sur ce sentier est périlleuse de nuit : se blesser est synonyme d’abandon à Cilaos, je descends prudemment. En revanche, beaucoup chutent et certains se blessent, je croise au moins 3 raiders enveloppés dans des couvertures de survie et qui attendent les secours : entorses pour la plupart, j’ai mal pour eux. Nous sommes une quinzaine à marcher ensemble : une chenille humaine illuminée qui descend laborieusement vers la capitale des lentilles. Arrivée à 1km avant le Bloc, nous croisons un groupe de pompiers qui partent récupérer les blessés. Je leur souhaite bon courage : il leur en faudra pour tout remonter et descendre avec un brancard.

Arrivée au ravitaillement et fin de l’interminable descente. Je rejoins Cilaos où nous avons loué un gîte. Magali et Inès (notre petite dernière qui a 14 jours !) m’y attendent.
J’arrive au stade à 21h42. Dans la foulée, super massage d’une demi-heure qui me fait retrouver des jambes plus légères. Ensuite direction le gîte où m’attendent un carry et une douche chaude. Les pieds sont indemnes, en revanche les échauffements commencent, et ce n’est que le début ! Je n’ai pas le temps de dormir, je préfère me laisser une heure de battement avec l’horaire limite. Je sais aussi que la gestion du manque de sommeil va être problématique.

Entre temps, j’apprends que mes compagnons de Bourg-Murat ne repartent pas, trop malades ou blessés. Je repars tout seul à 00h07, ce n’est pas facile. Je retrouve en fait très rapidement deux amis dans le sentier de la cascade Bras-Rouge. Je ne me souvenais pas que ce tronçon était aussi long, nous dormons tous les trois debout et finalement nous nous arrêtons au pied du col du Taibit pour faire une pause de une heure trente. On déplie les couvertures de survie, mais il y a du vent et il fait trop froid pour trouver le sommeil : finalement je me repose près du feu. Départ à 4h30, la montée du Taibit passe bien, puis descente vers Marla où nous faisons un break. Entre temps, le soleil s’est levé une deuxième fois sur mon Grand Raid. Super ambiance à Marla. Je mange du pain de mie et 2 carrés de chocolat. Une bénévole me demande si j’en veux plus et me donne une demi tablette que j’avale : je le regretterai plus tard.

On repart vers Trois Roches.
Je n’ai pas reconnu ce tronçon dans Mafate, on m’a bien parlé du Bronchard, mais je ne me fais pas de soucis, j’aurai dû : mon calvaire commence.
Jusqu’à Trois Roches, tout va à peu près bien, si ce n’est qu’au ravitaillemnt, je commence à vomir, je paye cash le chocolat ! On souffle 10 minutes et on repart vers Roche Plate. Le soleil tape, j’ai mal au ventre, je suis crevé et je commence à avancer de moins en moins bien… Heureusement, Mickaël imprime le rythme pour que l’on soit dans les temps. A Roche Plate, je ne bois que du coca, puis on repart vers ce fameux Bronchard. Et là, arrivé en haut, je découvre l’ampleur du problème : la rivière des Galets au fond, et la remontée infernale vers la Nouvelle par ce petit sentier qui serpente à flanc de montagne. Il est 13h00, il ne reste que 2 heures pour rejoindre la Nouvelle : je décide de mettre mon cerveau sur off et de serrer les dents car je ne suis pas bien. La descente se passe bien, je traverse la rivière et attaque la montée. Un autre raider me dit qu’il met 1h30 à l’entrainement, ça tombe bien, c’est le temps qu’il nous reste. Un de mes compagnons d’infortune me demande si j’ai de l’eau car il n’en a plu. Je lui donne ma bouteille de coca et nous montons ensemble. Je le reverrai à la redoute.
La montée est interminable et je souffre, certainement un des pires moments du Grand Raid. Je doute même de pouvoir arriver dans les temps à la Nouvelle. Mais l’idée d’échouer me fait redoubler d’efforts. Un couple me dépasse. La femme pleure en marchant, hallucinant ! Je me dis que certains sont en plus mauvais état que moi.

J’arrive finalement à la Nouvelle à 14h56 pour 15h00 limite longue. Petit break, soupe comme d’habitude. J’en profite pour me faire masser. Je repars vers le col de Fourches en meilleure forme, les sensations reviennent. Arrivé au col, moment d’euphorie, je me sens en pleine forme et trottine dans la descente. J’arrive au départ du sentier scout à 17h57 pour 18h00. Je m’arrête pour remplir mon camel bak, mais une bénévole me dit qu’il ne me reste que 30 secondes pour pointer. Je l’incendie copieusement (mais j’y vais quand même en sprintant dans le doute…). Elle m’explique pour me calmer que tous les concurrents qui arriveront après 18h00 se verront enlever leur dossard (et ce fut malheureusement le cas). Elle me dit pour m’encourager qu’elle viendra me voir à la Redoute, et effectivement, dès la ligne d’arrivée franchie, elle est venue me féliciter. Merci à elle !

Je pointe donc et repars avec les serres files. La nuit tombe et je sais qu’il me sera impossible de rallier Aurère en 2 heures. D’après eux, les délais vont être rallongés, ouf ! Je ne reste pas longtemps avec les serres files qui accompagnent les plus lents. La nuit est tombée et je marche seul, avec ma petzl. La fatigue commence vraiment à se faire sentir (micro-endormissement et hallucinations). Je croise plusieurs personnes sur le côté qui ne peuvent plus avancer, les secours sont prévenus et elles m’encouragent pour continuer.

J’arrive finalement àIlet à Malheur (pensant être à Aurère, fait ch..er !). Dernière montée puis Aurère, arrivée à 21h40. Mais l’organisation à rallonger les délais, de même pour Deux Bras où le temps limite sera celui de l’arrivée des serres files. Ouf de soulagement, et pour la peine je me fais masser et fume une petite cigarette !

Départ vers Deux Bras avec les serres files et une quinzaine de concurrents. Deuxième moment difficile que cette descente interminable. Les genoux en feu, je dors debout, ambiancezombie ! Au passage, nous ramassons deux touristes perdus que nous emmenons au poste de 2 Bras. J’apprendrai leur mésaventure en lisant un article dans le JIR quelques jours plus tard.

à « 2 bras plage » à 00h53. Je décide de repartir à la limite longue soit 03h00.
Je me fais strapper les genoux qui me font souffrir en descente, ne mange rien car je recommence à vomir, et dors une demi heure, la seule du grand Raid, que du bonheur !

Puis la montée de Dos d’Ane, dernière grosse difficulté. Le jour se lève pour la 3ème fois sur le grand raid, maintenant je suis sûr d’arriver au bout ! J’arrive à l’église de Dos d’Ane vers 6h30, petit ravito puis je file vers le stade où je fais une pause plus longue, car j’ai plus d’une heure d’avance sur l’heure limite. Je repars avec Mathieu974, mais il est plus en forme que moi et nous ne restons pas longtemps ensemble. Et effectivement, je ne suis pas au mieux, surtout à cause de la fatigue . J’avance tranquillement, en faisant des pauses régulières. Au passage de la bifurcation colorado/ Roche Ecrite, je rattrape un raider (certainement encore plus fatigué que moi !) qui s’engage vers la Roche Ecrite !
Petite pause au kiosque d’Affouches, puis je repars avec un binôme breton. Nous discutons, ce qui fait passer plus facilement les derniers kilomètres. C’est un habitué des courses longues (100 km de Millau), mais il me dit que le GRR est vraiment beaucoup, beaucoup, plus dur. Je suis tout à fait d’accord avec lui !
Nous arrivons au Colorado à 14h12. Les bénévoles nous annoncent qu’il y aura un repêchage pour les raiders qui arriveront après 16h00. Néanmoins, j’accélère mon rythme (mélange de marche/trottinage, avec des échauffements, et en boitant avec un bâton !!) car je veux arriver avant 16h00. La descente passe bien, malgré une belle gamelle et le stade se rapproche, je suis dans les temps. Je ne sens plus la douleur, je sais que ma famille et mes amis m’attendent à la redoute, quel bonheur.


Enfin le pont, les barrières, j’aperçois ma femme en pleurs, mes enfants et mes parents qui m’ont soutenus pendant toute la préparation et la course. Je trottine pour le finish, il y a beaucoup de monde qui m’applaudit, c’est complètement irréel. Petite interview pour radio festival, je n’en reviens pas!

Je suis le plus heureux des hommes, j’ai réussi mon pari, je suis arrivé à 15h58, et j’ai bouclé mon Grand Raid en 63 heures et 58 minutes !

Merci à tous les bénévoles et aux organisateurs, pour cette course hors norme à tout point de vue, qui reste un défi fou dans une vie d’homme, et une « aventure intérieure » incroyable.

ça y est , vous êtes tous fachés contre badgone

Salut,

Pour celles et ceux qui sont là des samedi midi, comment ca se passe ?

Point de rdv ?
Quelle heure ?

Cédric, jérome,etc... Vous arrivez a quelle heure ?

Nous on part vendredi soir... on devrait faire une bonne partie de la route donc on sera sur lyon pour le p'tit dej'

salut Oli,

je devrais retrouver Nono vers midi à l'arrivée de la course vers l'UFRAPS. Cedric devrait arriver lui aussi à cette heure. Martinev et badgone on se retrouve aussi la bas? Je reserve le resto dans le vieux lyon, un bon petit resto typique lyonnais...

Jérome

-----8<-----
ça y est , vous êtes tous fachés contre badgone

Bein non, au contraire, même si on a l'impression qu'on va courir un 10 kms en comparaison... chouette récit !

pas de prob , juste (légère) précision : c'est bien dimanche midi (après la course) que tu réserves ?
A propos , s'il reste des "lyonnais" ou des "estrangers" (lol) qui veulent se joindre , dites vite...
Mais après leur photo prise a bellecour , et le récit du GRR que je viens de poster , ça m'étonnerait que beaucoup de monde...

eh ben je suis pas venus depuis hier matin, y'a de la lecture!!
je serais sur place le vendredi avec madame (qui se demande ce qu'elle va foutre au milieu de tous ces kikoureur), je suis à l'hotel "le carnot" y'a quelqu'un d'autre du fofo qui y va??
pour les pompe je me dirige vers mes chaussures de route, trop peur de foiré la course à cause d'une erreur de matériel!!
j'ai hate le stress monte de jour en jour....

Badgone,

Tu as bien fait de demander.

Nous on fait le repas avant AAB, soit le samedi midi.

Pour le dimanche on aura surement une table kikourou pour le petit dej ou dej sur le site d'arrivée... Puis on pourra peu etre aller manger quelque part type cafeteria peu ètre?

Je confirme donc nous sommes pour le repas du samedi midi:

- Cedric (L'castor)
- Nono (l'escargot)
- Madame Oly (Baroudeuse)
- Oly (olycos)
- Badgone (à confirmer pour samedi??)
- Martinev (à confirmer pour samedi??)
- Jerome (debizej)

Voila

Jérome

je devrais retrouver Nono vers midi à l'arrivée de la course vers l'UFRAPS. Cedric devrait arriver lui aussi à cette heure. Martinev et badgone on se retrouve aussi la bas? Je reserve le resto dans le vieux lyon, un bon petit resto typique lyonnais...

Jérome

Yes Jérôme, une fois sur place, je t'appelle. On aurait peut-etre pu manger
près de la gare de la PD, ça éviterait les détours... quoique, on va se trainer nos sacs ?
(j'ai 2 kg de casquettes dans le mien !!!)

NoNo_keskonfè ?

Bon , que feriez-vous sans nous ?
D'abord badgone et martinev ok pour repas du samedi midi.
Pour mémoire , ils seront photographes a bellecour ; le panneau "kikourou" est prêt ! Pensez a sourire !
Il ne vous restera plus que 5km par -11 , le long du rhône...
Ensuite , pour ceux qui seront arrivés vers 9H , (donc pas nono) , remise du chèque de 15K€ a dawa . Martinev y sera.
Enfin , nous habitons vers la part dieu city plage. Comme nous avons une grosse bagnole (206) , nous pourrons emmener soit des kikoureurs (enfin kikoureuses c'est pas mal non plus) soit des sacs et vous vous débrouillez (a peu près 6km....ça fera 75...pas si dur!)
Et il y a une cafèt "casino" pas chère a la gare.
Bon , si avec ça y a des questions , je retourne regarder arte...

Nous on aura la voiture avec 3 places...

[quote="martinev"]Pour mémoire , ils seront photographes a bellecour ; le panneau "kikourou" est prêt ! Pensez a sourire !
quote]

a partir de kel heure les photographes seront sur place??

Cyril_prépare_déja_son_sourire !

Nous on aura la voiture avec 3 places...

Ma voiture sera à la Doua, avec 4 places...

NoNo_dans_le_coffre_on_tient_à_3 !

Photographes en place dès 4H...
Les premiers relais seront là..
Nous y serons (peut-être) encore à 4H (de l'après-midi) ...(lol)

Merci Badgone pour ton récit.

Finalement, c'est facile une saintélyon...

Bravo Badgone pour ce récit

J'ai pas le niveau pour le GRR, pas encore
Au plaisir de te saluer dimanche matin à Bellecour

Fimbur

Ce récit , édifiant , est de sébastien (28ans).
Pour ceux que ça interesse , récits de martinev et badgone sur
http://passion-trail.skyrock.com/
A samedi ou dimanche selon les RV.
Bonne balade..

Salut Badgone et bravo pour ton récit, il est top....
Ca a l'air un gros morceau ce GRR..... pourtant il faudra bien le faire un jour ....
a dimanche matin sur la place Bellecour ... c'est moins exotique que le Réunion .... mais en s'en contentera ..

a+
pierre-supporter-lyonnais

je sais bien que la question a été posée des dizaines de fois mais quel type de chaussures pour la Saintelyon?? j'en appelle aux "experts" de cette course et de la région... J'hésite entre une paire de trail Salomon et une paire de route Mizuno...d'un côté les chemins glissants et boueux (environ 40kms je crois!!??), de l'autre des routes goudronnées (environ 30kms!!??)...ma petite préférence irait vers les chaussures "route" mais je doute!!!..le temps prévu cette nuit-là pourrait-il me faire basculer vers les chaussures "trail"???!!! Est-ce vraiment "casse-gueule" les chemins en version chaussures "route"?? Mais les longues routes de bitume ne vont-elles pas être "galère" avec des chaussures trail??!!...Vite aidez-moi!!!
MERCI à tous pour vos réponses éventuelles..et si pas de réponses alors bonne course à vous tous..!!!

Si tu prends tes routes, tu prends le risque de te "gaufrer" dans les descentes qui seront grasses et glissantes. Pas cool avec risque d'abandon.
Avec les trails tu risques de perdre 2 secondes au km ... peanuts ! cqfd: Prends les trails.

J'ai une proposition à faire pour ceux qui hésitent sur les chaussures.
Essayez avec une trail gauche et une route droite (l'inverse est possible). Vous nous direz à l'arrivée les sensations pour l'année prochaine!
Plus sérieusement j'opte (lorsque tu en possèdes) pour des chaussures mixtes car sur le final y'a pas mal de bitume et ça cogne

j j'en appelle aux "experts" de cette course et de la région... J'hésite entre une paire de trail Salomon et une paire de route Mizuno...

Salut,

Je crois qu'il n'y a pas de question plus "controversée" sur cette course que celle du type de chaussures...

Les coureurs rapides privilégient souvent une chaussure de route, voire mixte
Les coureurs qui appréhendent les passages techniques et glissants font quant à eux généralement le choix opposé
Entre les 2, il y a toutes les variantes

Fais un sondage auprès des "experts" et tu devrais avoir un résultat du genre 51%-49%

Si au final tu n'arrives pas à choisir, et bien prends les trail de chez Mizuno

A+
L'Blueb

j'ai un groupe du club finances qui est engagé sur un reais à 4 et sur un relais à 3
Sur le relais à 3 , because blessure, j'ai peut être une place à pourvoir en 2 ième relais (30 km et que du (bon)?) chemin pour trailer).
Si certains sont intéressés, me le faire savoir
Seule condition exigée: avoir le certificat médical ou la licence pour des problèmes de législation
par contre l'organisation ne prévoit pas de modifier en dernière minute l'identité des relayeurs
Faites moi signe si intéressé
et laissez moi un numéro phone en mp

J'ai vu la météo pour ce WE, o a intérêt à prévoir une paire de botte en plus! Ils attendent de fortes pluies!!!

J'ai vu la météo pour ce WE, o a intérêt à prévoir une paire de botte en plus!

oui mais des bottes de trail ou des bottes de route ?

L'Blueb

Prévision Météo Saint Etienne ce soir : Week end maussade en perspective. Nombreux passages pluvieux. 4-8°C mini. 7-11°C maxi. Vent secteur nord ouest assez sensible.