Récit de la course : La Course du Sanglier 2008, par L'Castor Junior

L'auteur : L'Castor Junior

La course : La Course du Sanglier

Date : 8/5/2008

Lieu : Cerny (Essonne)

Affichage : 4805 vues

Distance : 21.5km

Objectif : Balade

22 commentaires

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Drôle d'endroit pour une récup'

Mais que diable allait-il faire dans cette galère ?

Depuis mon retour de l'Annapurna Mandala Trail fin avril, entre la reprise immédiate du travail et l'envie de trier un peu les photos que j'avais prises au Népal, je n'étais allé courir que dimanche dernier 4 mai, avec le JDM. Une petite sortie toute simple de 21,5 km, à allure JDM, c'est-à-dire entrecoupée de nombreuses pauses des plus salutaire.

Visiblement, la machine fonctionnait bien, et, même si j'avais parfois du mal à suivre certaines fusées dans leurs accélérations soudaines, je tenais néanmoins l'allure générale, et prenais un réel plaisir à refaire tourner les jambes. C'est plutôt au niveau du chef que les choses semblaient tourner de manière erratique.

En effet, à la simple évocation de la course du Sanglier de Cerny, je me voyais, revenant sur les terres d'un de mes premiers trails, en 2005, gambader parmi sangliers et marcassins, et tirer partie à fond des globules rouges excédentaires ramenés de mon périple himalayen pour, non pas enrhumer les meilleurs, bien sûr, mais, pourquoi pas, renouer avec cette période où tout semblait si facile. Bon, le fait que cette course, en 2005, ait été la dernière avant trois mois d'arrêt pour fracture de fatigue me rebutait un peu, mais je me disais, en entendant tous les copains et copines déjà inscrits : "Et pourquoi pas moi ?"

De retour à la maison, je voyais également qu'un grand nombre de kikoureurs projetaient d'aller, eux aussi, trottiner un peu dans les bois et les champs autour de Cerny. Visiblement, le tapage (terme employé ici de façon positive pour décrire une incitation chaleureuse et enthousiaste à une saine débauche) orchestré par JLW avait porté ses fruits.

En discutant hier soir avec Olivier91, je lui indiquais que, si :

- le temps restait au beau fixe,
- il était encore possible de s'inscrire sur place,
- le circuit s'effectuait dans un sens différent de ma dernière belle échappée et
- je me réveillais sans problème en ce jour férié,

j'avais bien l'intention d'aller faire le zouave, à un rythme de balade tranquille.

Au réveil, parfaitement matinal, je pouvais constater que le temps était toujours aussi clément, et, comme un coup d'oeil rapide la veille m'avait confirmé la possibilité d'inscriptions tardives et que, le sens de la course changeant chaque année, je courrais bien dans le sens inverse de 2005, je n'avais plus le droit de reculer.

Et comme j'avais un petit colis à remettre au Bagnard, qui avait trouvé in extremis une kikoumobile pour se rendre sur place, ma décision était prise : en voiture Simone !

Même sous un soleil de plomb, ce n'est pas le bagne...

Arrivé sur place de bonne heure, je peux déjà constater une organisation tirée au cordeau, comme les places de parking aménagées dans un champ voisin du gymnase de départ. Les signaleurs sont efficaces et souriants : les centaines de personnes attendues apprécieront je pense elles aussi.

J'aperçois rapidement Le Bagnard, qui a déjà retiré son dossard, et je file chercher le mien, non sans croiser en route tout un tas de visages connus, depuis les locaux comme le Chacal et ses amis du COSE, jusqu'à de nombreux kikoureurs (jeanluc78, jdecool, JCDUSS, tess2002, Bikoon, nictomve, jilles et d'autres que j'oublie sans doute), en passant par angelo du KWAC et de courseapied.net et, comme prévu, une palanquée de potes de l'USBY-JDM.

Une fois le dossard épinglé, et le colis remis au Bagnard, nous nous dirigeons, boulet au pied pour lui, sur l'aire de départ et d'arrivée, pour assister au départ de la course du Marcassin. En route, nous croisons JLW et Coli, bénévoles du jour, qui feront tout, avec d'autres, pour que notre matinée se passe au mieux.

Le Bagnard et Colimaçon


nictomve, Bikoon et Le Bagnard

Le départ du Marcassin. Ca fuse au premier plan, et ça fume au second !

Je salue également Pascal, de Mondeville, mon speaker préféré, avant d'encourager les Dunes d'Espoir qui alignent deux Joëlettes au départ aujourd'hui, pour permettre à deux jeunes handicapés de profiter de façon originale de cette belle journée estivale. Ced c'est bien et Cours Forest sont parmi les gars en jaune au coeur d'or ce matin.


Départ des Dunes d'Espoir, avec Ced c'est bien et sa casquette rouge


La seconde Joëlette, avec Gilles à droite


Le Chacal, en “promenade” pré Morbihan

A 9h45, c'est à notre tour de nous élancer. Nous sommes près de 500, mais, comme j'avais préféré rester avec le Chacal et Yves, du JDM, je me retrouve aspiré par le peloton de tête, et, comme sur toutes ces courses courtes, ça part sacrément vite.


C'est parti vite, comme souvent, sur le Sanglier


Les visages ont été floutés pour protéger l'anonymat des coureurs...


Evelyne Poupet, du COSE, que j'ai souvent côtoyée dans les classements des courses vertes de l'Essonne

Après un premier kilomètre à près de 15 km/h, je dois être dans les 50 premiers. Ouch : même si j'ai passé deux semaines à fabriquer des globules rouges en quantité quasi industrielle, il ne s'agirait pas d'oublier que je suis là en récup', et que, après un an passé à ne courir qu'une fois par semaine, je n'ai plus les jambes de ma prime jeunesse (comprendre, en 2005 et surtout 2006).

J'aperçois angelo qui galope loin devant, en seconde position, et, plus "humains", à une coudée devant moi, Bikoon et Yves. Je me mets donc en tête de les rattraper (mais non, pas angelo voyons), mais constate rapidement que les deux compères, que j'avais, pour l'un, accompagné en partie sur son premier ultra et, pour l'autre, souvent devancé sur ces courses vertes, sont réellement hors d'atteinte pour moi aujourd'hui (et, au vu de mon entraînement désespérément léger, pour de nombreux mois à venir encore).


Entre champs de blé et de colza 


Au milieu des pommiers


Le serpentin s'étend au travers des champs de colza


Un sympathique coureur de Lozère


Les écarts se créent, même dans le ventre mou du peloton


Photo Altis IBM DPI

Je profite donc du premier ravitaillement, avant même le quatrième kilomètre, pour mettre le clignotant et basculer définitivement dans un mode plus rando que réellement course. Un verre d'eau, que je jetterai, vide, dans la poubelle (si seulement tous les coureurs faisaient de même...), et je repars tranquille à l'assaut des premières côtes.


Un peu de tension dans cette côte floue

Après un premier passage en forêt, puis une montée sous une ligne à haute tension, le parcours retourne en sous-bois, ce qui permet à tous les coureurs de se rafraîchir un peu en s'abritant du soleil de plomb qui berce cette belle journée, et nous fournit aussi l'occasion de la première rencontre du jour, en course, avec les Joëlettes de Dunes d'Espoir.


Première Joëlette dépassée


Les autres coureurs saluent les Dunes d'Espoir

Ced c'est bien, reconnaissable à sa casquette rouge Kikouroù, accompagne, sourire aux lèvres, la première Joëlette que je dépasse, tandis que Gilles, le "capitaine" des Dunes au Raid 28, kikoureur également, pilote les porteurs de la première. Les deux jeunes sont aux anges, mais les Dunes doivent redoubler d'attention dans ces monotraces encombrés pour éviter que leurs protégés heurtent le moindre élément du décor.


Cédric est en pleine forme !


Seconde Joëlette

Je les retrouve au ravitaillement qui suit presque immédiatement ce dépassement, et ne les reverrai plus avant l'arrivée. A ce ravitaillement, une fois de plus, je constate que beaucoup de coureurs jettent leur gobelet quelques dizaines voire centaines de mètres après les poubelles de format pourtant bien adapté. Quelle bêtise ! Certes, je ne doute pas un instant que les bénévoles dévoués qui tiennent les stands iront, sitôt la marée humaine passée, nettoyer la zone, mais tout de même ! Un coureur situé aux alentours de la centième place ne pourrait donc pas se permettre de perdre les deux secondes qui suffisent à faire place nette ? Fin de la (fort regrettable) parenthèse.


Aux abords du troisième ravitaillement


Les coureurs filent toujours...


... laissant parfois le sol jonché de gobelets...


... tandis que les Dunes d'Espoir ravitaillent leurs protégés, sous les saluts et encouragements des autres coureurs

Sitôt passé ce ravitaillement, le parcours retourne en forêt pour ce qui est, pour moi, la plus belle côte de la course. En effet, dans une pente raide, qui doit servir de lieu de récréation privilégié pour les vététistes du coin, sont disséminées plusieurs rampes de saut, que l'organisation, facétieuse, a pris soin de recouvrir de petits mots gentils, comme "Jump", "Jump... Oups..." ou 'Facile"... Personnellement, j'apprécie d'autant mieux ces clins d'oeil que cette petite montée me permet de casser un peu le rythme rapide suivi depuis le départ.


Nouvelle côte


Les organisateurs nous invitent à sauter...


Parcours de saut acrobatique


Qu'y a-t-il écrit sur cette pierre ?


Facile ? Tu parles... 


Voyez vous-même !

Le parcours continue à travers des sous-bois qui commencent à être traversés d'ornières boueuses que le beau temps chaud de ces derniers jours permet de contourner à sec. Les branches, en travers du chemin, parfaitement signalées par l'organisation, me permettent de vaincre mes vieux démons de saut en hauteur au lycée, où j'étais totalement incapable de dépasser le mètre vertical...


La course est une vraie course... d'obstacles

Je profite d'un nouveau passage à un double ravitaillement pour me restaurer de nouveau de pain d'épices et de banane, puis file vers la zone de la course où se trouvent les pires ornières du parcours. La traversée s'effectue sans difficulté véritable, même si je manque à maintes reprises de me tordre une cheville.


Les bénévoles, charmantes, du double ravitaillement


Côte 4, la troisième en fait dans ce sens du parcours


Retour en lisière de forêt et de champs


Petit passage ombragé, en lisière de forêt, avant de rejoindre les coureurs déjà dans le colza


Le terrain est sec, c'est une chance


Photo Elan 91


Petit passage dans l'herbe fraîche


Une nouvelle côte, dans le très court passage bitumé


L'occasion de croiser quelques coureurs plus loin dans le classement

Après un nouveau passage en lisière de forêt, je finis par tomber sur Coli, qui arbore lui aussi sa casquette Kikouroù, qui officie en tant que signaleur avant une descente quelque peu technique, que je parviens toutefois à avaler sans me faire inquiéter par mes poursuivants.


Coli, en signaleur de chic et de choc

Dans la traversée de champs qui nous ramène, à vol d'oiseau, et avant un nouveau détour dans le triangle au nord du départ, vers le parking, je dépasse, pour la troisième ou quatrième fois, un coureur de l'Entente Sportive de Vauhallan, club organisateur du Castor Fou.


De nouveau, des écarts conséquents se forment avant le retour sur Cerny

A-t-il vu le pseudo sur ma casquette ? Toujours est-il qu'il m'interpelle pour me proposer de venir courir cette autre course verte le 7 juin. Je lui réponds par une question : "Pierre-Yves, l'organisateur du Castor Fou, est-il dans le coin ?" Ma question peut surprendre, mais j'ai toujours en mémoire des propos de Pierre-Yves que m'avait rapportés mon père après une de mes premières courses, lorsque Pierre-Yves l'avait félicité pour mes performances de jeune (comprendre récent) coureur.

Le coureur de l'ESV me confirme que l'objet de mes recherches est bel et bien présent, à quelques mètres devant nous, et je me mets en chasse aussitôt, non sans que mon interlocuteur me mette en garde contre les dangers éminents qui menacent ceux qui se permettent de dépasser des Vauhallannais.

Arrivé à la hauteur de ma cible, je me présente, mais, à peu près comme si j'avais sorti une de mes blagues fétiches, c'est un four. Certes, nous sommes en pleine montée, à trois kilomètres de l'arrivée, et nous avons tous d'autres préoccupations circonstancielles, bien plus importantes qui focalisent notre attention, mais Pierre-Yves ne se souvient ni de mon père, ni de moi.

Tant pis, me dis-je, en filant, même si le mot est certainement mal dimensionné, vers l'arrivée et ce tour de stade qui m'avait paru si long il y a trois ans. Un rapide coup d'oeil au chrono me confirme que je vais exploser, dans le mauvais sens, mon "record" de 2005, mais j'ai l'impression que je peux encore passer sous les 110 minutes, alors que j'imaginais depuis plusieurs kilomètres un chrono au dessus de 1h55'.

Porté par cet objectif un peu bête ainsi que par les encouragements des coureurs qui en ont déjà terminé, je réaccélère un peu et termine 108ème en 1h49'55", loin derrière la première féminine mais tout juste devant les deux suivantes que sont Dominique Goulet et Evelyne Poupet.

Au final, pour une sortie de récupération, ce n'est pas si mal. En effet, même si j'avais mis cinq minutes de moins en 2005, j'avais fini moins bien classé, proportionnellement, qu'aujourd'hui.

Je récupère un superbe TS technique griffé du fameux sanglier (le premier que je verrai finalement aujourd'hui), puis embrasse Martine Napolitano, venue prêter main forte aux organisateurs en voisine depuis Mondeville.

Je félicite ensuite Jean-Luc, qui, dix-septième au scratch, s'est assuré une place sur le podium V1, et angelo, qui a pris la même place sur le podium scratch. Je retrouve également Bikoon, qui a, une fois encore, après Chevreuse, sacrément bien tourné, malgré une chaleur qui l'indisposait fortement.

Les copains du JDM arrivent peu à peu, sauf Yves qui, comme attendu, m'a largement devancé aujourd'hui, en 1h42'50". daloan, en particulier, semble avoir apprécié lui aussi cette sortie de récup', lui qui a battu jeudi dernier son record sur marathon lors de celui de Sénart.

J'aperois de nouveau Pierre-Yves, qui, toujours confus de ne pas avoir réagi à l'énoncé de mon nom, se souvient toutefois parfaitement d'un certain Castor Junior, qui a déjà dit à plusieurs reprises sur divers forums que la course du Castor Fou valait le détour et était organisée par un gars bien. Tout est bien qui finit bien, donc...

Après avoir remercié JLW pour cette organisation aux petits oignons et salué l'arrivée des Dunes d'Espoir, avec un Ced c'est bien euphorique, je regagne enfin ma voiture, avec le sentiment du devoir accompli. C'est un peu bête, mais j'ai le sentiment d'avoir finalement pas trop mal couru, tout en prenant un plaisir finalement rare sur ce format de course qui me fait d'habitude bien plus mal.

Serait-ce le deuxième effet AMT ?

22 commentaires

Commentaire de Say posté le 09-05-2008 à 00:21:00

Oki, mais quel était déjà le premier effet de l'AMT? Je note que sur un autre récit, quelqu'un dit que tu lambines!! MDR

En tout cas, c'est hallucinant ce que les AMTéens ont bien récupérés. Ca va finir par me donner des idées tout ça...

Commentaire de Le Bagnard posté le 09-05-2008 à 01:37:00

Bravo Cédric tres jolie chrono et comme d'hab tres joli CR !!

Ps Si la tête est encore là bas (au Népal) les jambes elles sont bien ici.

@+

Commentaire de rapace74 posté le 09-05-2008 à 06:13:00

décidément 2008 est une année riche pour toi (en CR !! ;-))))) ) bravo cedric pour ta course heureusement que tu ne t'entraine pas !!!! sinon je ne pourrais meme plus te suivre!!

a bientôt au pilat

manu

Commentaire de fanfan59 posté le 09-05-2008 à 06:27:00

Bravo et merci Cédric pour ton cr accompagné de magnifiques photos. Pour quelqu'un en récup, je trouve que tu t'en es pas mal tiré du tout. C'est un vrai plaisir également de voir Céd C bien aussi rayonnant avec les Dunes d'espoir. Bises. Françoise

Commentaire de corto posté le 09-05-2008 à 07:41:00

Bravo Cedric pour ton CR. Heuresement que de temps en temps tu cours afin de pouvoir nous en faire!!

Très belles photos.

Commentaire de Tamiou posté le 09-05-2008 à 08:08:00

Ce que tu fais après un an à courir une fois par semaine me laisse beaucoup d'espoir.
Pour les Cr tu restes difficile à battre.

Merci Cédric

Commentaire de JLW posté le 09-05-2008 à 09:35:00

UN récit du Castor himself sur le Sanglier, nous (tous les benevoles) en sommes très honorés. Les petites globules ramenées de l'Anapurna font visiblement du bien à l'altitude de Cerny. N'oublie pas que d'après des avis autorisés ... le tour dans ce sens serait un peu plus difficile. Faudra un jour que je fasse qq stats sur le sujet.

Merci pour ton sympathique récit agrémenté de belles photos qui rendent bien compte du parcours et de ses difficultés.

Commentaire de Bikoon posté le 09-05-2008 à 09:55:00

Salut Cédric,
Ravi de t'avoir croisé par cette superbe journée printanière.
Merci pour les photos et le CR.
Et bravo pour ta belle récup post AMT !!
Bikoon

Commentaire de moumie posté le 09-05-2008 à 10:30:00

merci pour ce récit pleins d'humour et ces jolies photos.

On ne t'arrête pas, à peine remis de l'AMT, tu repars pour 21kms, bravo

Commentaire de Céd C' Bien posté le 09-05-2008 à 11:52:00

Bravo Cédric pour ce récit et surtout pour cette course ou des ailes te son apparue après l'AMT.

Chapeau bas!!!

Commentaire de le_kéké posté le 09-05-2008 à 13:24:00

C'est n'importe quoi ce CR, c'est plus de la course mais du roman photo. Normalemnt il y a une règle qui dit pas de photos sur les courses aux saucissons, on sort les cornes et on envoie au max. Et là monsieur il discute, il prend des photos de gobelets, pfffff il casse le truc.

Bon sinon un récit du Casttor j'avais oublié ce que c'était et ça vaut le coup (mais est-ce à cause de la rareté ??), et l'AMT il y aura un CR ??

Bravo pour la perf et tu as raison de pas trop forcer, reserve toi pour trailabéné, car sinon c'est encore 1 an de sarcasmes qui t'attendent...

Philippe

Commentaire de Fred.94 posté le 09-05-2008 à 14:43:00

Super récit
Belles photos

Merci Cédric !!

Commentaire de gdraid posté le 09-05-2008 à 15:46:00

C'est beau Cédric, d'aller au bout de ses rêves de courses lointaines au Népal, et d'en revenir plein de bonheur et de projets plus audacieux, pour atteindre un jour, qui sait, le sommet de l'Everest...
Merci pour ce beau récit du Sanglier de Cerny, et pour toutes ces photos bien choisie.
Cela m'a fait très plaisir, de discuter quelques instants avec toi.
JC

Commentaire de hellaumax posté le 09-05-2008 à 15:48:00

Supe récit, Cédric, vraiment agréable à lire et à parcourir.
Amicalement

Commentaire de chacal posté le 09-05-2008 à 16:02:00


21 km et autant de photos, de rencontres, de texte ( chavais pô que l'sanglier était une course a texte ..)

Plus c'est court, plus t'as le temps de bavasser ..

En tout cas , moi j'adore toujours ces courses devenues traditionnelles, ou il y a toujours autant d'amis , coureurs de long, de court, ou sauteurs en hauteur .

Bravo cedric et merci pour ce recit. apres ça y'a plus rien à dire ... ( oui je sais c'est petit bras ..)

Commentaire de zakkarri posté le 10-05-2008 à 07:28:00

Belle course de ta part sans trop forcer ... et de bien belles photos, merci !

Zak.

Commentaire de marion posté le 10-05-2008 à 20:06:00

Beau Cr , beau chrono et belle course! Quoi de plus?
Marion

Commentaire de LtBlueb posté le 11-05-2008 à 22:08:00

cr très agréable à lire avec de très zolies photos (n'en déplaise au kéké :)))) ... à te lire , il y avait tous les coureurs du sud parisien , ca avait l'air bien sympathique en tout cas :)))
sinon juste un p'tit "warning" : n'essaierais tu pas de nous distraire avec ce CR et de nous faire oublier celui de l'AMT ? :)))))


merci !

Commentaire de Le Lutin d'Ecouves posté le 12-05-2008 à 20:24:00

De retour de Crest, je m'aperçois que le Castor fait un CR pendant mon absence, pensant que je ne le verrai pas. Raté ! Bonjour aux globules rouges !

Commentaire de l'ourson posté le 15-05-2008 à 19:49:00

Ah !! ça fait du bien de lire un CR du CJ :-).. depuis l'temps !! ;-))

L'Ourson_ki_attend_(aussi...;-)_le_CR_de_l'AMT_;-)

Commentaire de taz28 posté le 20-05-2008 à 08:42:00

AHHHHHHHHHHHHH j'ai failli louper ce récit de mon sucre d'orge !!!
Décidément fallait pas partir dans la Drôme !!!

Merci Cédric pour ce jolit récit champêtre, et les superbes photos (dis donc, Coli il est flouté aussi pour le respect de l'anonymat ?? :-))

Vivement celui de l'AMT !!!

Taz

Commentaire de agnès78 posté le 20-05-2008 à 09:50:00

des phtos magnifiques, un récit emprunt d'humour, toujours un plaisir de te lire. merci cédric
bises
agnès

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