L'auteur : totoro
La course : Saintélyon
Date : 2/12/2012
Lieu : St étienne (Loire)
Affichage : 5494 vues
Distance : 71km
Matos : Cascadia 6
Gore Tex
Salomon XA20
Objectif : Terminer
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Cette année, c’était mon objectif number 2 après le maratrail de Lans-en-Vercors (http://www.kikourou.net/recits/recit-13244-maratrail_de_lans_en_vercors-2012-par-totoro.html). D’ailleurs, je m’étais inscrit dès le jour de l’ouverture des inscriptions !
Préparation :
Après le maratrail qui est un très beau et bon souvenir, je m’étais dit que j’allais orienter ma préparation en deux parties :
- Une première pour retrouver de la vitesse après tous ces entraînements typé trail (long et peu vite). J’avais d’ailleurs prévu un test lors du semi-marathon de Lyon (http://www.kikourou.net/recits/recit-13718-semi-marathon_de_lyon-2012-par-totoro.html). Ce test a été concluant puisque j’y ai battu mon record. Par contre, j’ai mis une semaine à m’en remettre, enfin plutôt mes tendons d’Achille car le bitume, ça tape bien !
- Une seconde partie orientée trail avec dénivelé en spécifique sur Fourvière, un peu d’allure marathon et des sorties longues en nocturne. Cela a été une première pour moi et j’ai adoré être courir seul en forêt, des sensations très sympa, surtout après le changement de ma frontale !
AAB :
Le jour J, je me sens bien, j’ai fait attention pendant la semaine à dormir le plus possible. Je me suis même autorisé quelques petites siestes pendant la pause midi au boulot ;-)
Une petite anecdote : en sortant du train, je me fais apostropher par un monsieur qui m’interroge sur mon baluchon « La Route du Louvre », on discute un peu et se présente comme l’organisateur de ce marathon. Sympa comme rencontre surtout en ce jour de ma première STL !
A Gerland, en sortant du métro, les chants des supporter lyonnais sont présents. Je me dirige vers le Palais des Sports, paye mes 10€ pour le transport vers Saint-Etienne en car. Dans le car, je ferai la route avec un de nos champions lyonnais : nono69 :-) qui avait de très envie d’en découdre !
Arrivé à Saint-Etienne, on était très heureux d’avoir un dossier complet ! Prise du dossard très rapide, un bracelet pour le SAS, la puce et un joli bonnet. On croise de suite jean-phi, puis phoon. Jean-phi nous fait part ensuite de son redoutable sens de l’orientation pour nous faire vers le Flore. Et dire que c’est Arclusaz qui lui a donné la bonne direction ! Tout change mes amis, tout change ;-)
Dans la salle, on sert plein de paluches et c’est bon :-) Merci aux gentils organisateurs ! La famille Nini/Elcap assure grave ! Comme d’habitude.
On admire le coup de fourchette de notre ami Arclusaz. Même ogo et ogette sont là qui sont venus de Lyon pour nous encourager et nous suivre !
Je vais chercher mes pâtes sauce bolognaise et m’installe avec franck_de_brignais et son pote Denis, déjà rencontré lors d’un OFF. On discute beaucoup stratégie, tenue à adopter. Béotien sur l’épreuve et la distance, je reste les ouïes bien grandes ouvertes. Une chose retiendra mon attention : la côte de Beaunant est longue, il est possible de courir sur le haut.
Après avoir mangé ma part de tarte aux pommes, je vais essayer de me reposer au côté de map-o-spread, avec qui je fais connaissance. Je fais les derniers choix pour l’équipement :
- Bonnet, gants, collant long Nike chaud, t-shirt manche longue Mizuno Breath Thermo, Gore Tex et buff Kikourou !
- La frontale Myo RXP
- Le sac avec mélange Quézac/eau dans la poche à eau, mon portable, des piles de rechange, la couverture de survie, mes gels et du PQ (au cas où ?)
- Mes éternelles Cascadia et des guêtres Raidlight qui vont péter en les mettant en place alors qu’elles ont à peine 150 bornes … ça commence bien ! A posteriori, je le regrette car avec la neige et la boue, elles m’auraient bien aidé !
22h30, on se bouge pour aller déposer le sac avant le grand rush. C’est une fois la dépose du sac effectuée et qu’on entre dans la « bétaillère » qu’on se rend compte de la chance de pouvoir être au Flore ! Dans le parc expo, c’est joshua01 qui s’assiéra à côté de nous avec un très bel objectif chronométrique de 8h.
Course :
23h30, je rentre dans mon SAS des 7h-9h. Je fais des étirements tranquilles pour me pas avoir à partir à froid. Sur la ligne, il fait froid mais je me sens bien.
Au départ lancé, pas trop de marche pour moi et suffisamment en tout cas, pour faire signe à une grande championne : Christine Arron.
Ma stratégie générale est marquée par mon cardio : être au maximum à 80% de FCM, soit 160 pour moi. Globalement, je vais respecter le truc. Dès les premiers mètres, je me sens bien et tourne autour de 11 km/h sans forcer du tout. Bon d’accord, c’est tout plat et sur du bitûme mais ça commence bien, j’arrive même à rattraper sebmalix ! Il me rattrapera très vite dans les premières pentes vers Sorbier.
Mais rapidement, à la sortie de Sorbier, la neige et surtout les plaques de verglas apparaissent. Pour l’instant, cela ne me dérange pas, je fais attention où je pose les pieds. Mais du coup, les ralentissements sont déjà très nombreux car l’air de rien, il y a du monde, beaucoup de monde !
J’arrive au ravito de Saint-Christo sans m’en rendre compte tellement je suis bien concentré sur mon effort. Le chrono affiche alors 1h40 environ. Je prends un coca dans mon gobelet collector des Foulées de la Gazelle (http://www.kikourou.net/recits/recit-11044-courir_dans_les_pas_de_gazelle_-_27_km-2010-par-totoro.html), remplis ma poche à eau et prends deux-trois trucs à grignoter en marchant. Car la tactique est de passer le moins de temps possible au ravito, pour rester dans le rythme, éviter de me refroidir et éviter de perdre du temps.
Entre Saint-Christo et Sainte Catherine, c’est un peu l’enfer blanc : de la neige, de la neige et encore de la neige ! De la bonne poudreuse de 20cm d’épaisseur et des congères encore plus haute ! Bref, on n’avance pas vite, on s’arrête très souvent et je gèle littéralement car le froid, largement intensifié par le vent, est bien présent sur les hauteurs. Cela m’inquiète énormément car je commence à perdre la sensibilité des doigts. Je profite d’un feu de camp pour m’arrêter un peu pour les réchauffer ! Le verglas continue de faire des ravages avec beaucoup de chute. J’en ramasse un qui est en glissage plus ou moins contrôlée.
Sur cette portion, je fais mes premières chutes aussi mais la neige a joué son rôle d’amortisseur sur ces coups. Etrangement, je remarque que je fais pipi très souvent. Ok, ce n’est pas très glamour mais c’est la première fois que cela m’arrive. Je m’inquiète de la possible déshydratation ou des crampes, mais plus je bois et plus je pisse. Et ce sera vrai jusqu’à l’arrivée !
L’arrivée à Sainte Catherine, je file au ravito où, après le remplissage de la poche à eau et le coca, je remarque des tucs et des PIM’s !!! C’est bon ça sachant que je ne me rappelle plus la dernière fois que j’en ai mangé !
En sortant du ravito, j’aperçois Mamanpat qui m’explique ses galères avec les piles de sa frontale. Cela monte bien, je me sens plutôt bien. Etrangement, dès la sortie de Sainte Catherine, la boue apparait mais la boue et l’eau mêlées au verglas, ça craint aussi. C’est même plus traite car les pierres et cailloux sur les chemins sont incroyablement glissants.
Dans le bois d’Arfeuille, je glisse deux fois mais me rattrape toujours, ce qui n’est pas le cas de tout le monde. A la toute fin de cette descente, j’essaye de passer sur le bas-côté en herbe et ce sera la cinquième chute du jour, enfin de la nuit, qui est la bonne : je virevolte et c’est le genou droit qui atterrit le premier sur une pierre. Sur le coup, je vois que mon collant est troué, j’ai mal mais ne voit pas de sang. Enfin, pour l’instant car ensuite, je vais saigner …. J’ai pris un gros choc. J’essaye de suite de remarcher pour éviter de refroidir la zone impactée. J’ai mal mais je semble avoir gardé ma mobilité. Je continue de marcher, la douleur s’estompe un peu mais d’un coup, j’ai la tête qui tourne. J’ai le réflexe de tout de suite m’asseoir sur le côté pour respirer profondément. Un bon paquet de coureurs me double évidemment puisque je ne bouge plus. Seules deux personnes vont me demander comment je vais et aucune n’attendra que je leur réponde … bravo l’état d’esprit :-(
Dès que je vais mieux, je me relève, et marche, me ravitaille tranquillement. Au bout de quelques minutes, le genou ne me fait plus mal et recours donc pour tester, ça marche :-) Jusqu’à Saint Genou (le bien nommé tiens !), je vais principalement marcher, puis petit à petit, une fois la dernière montée finie, recourir un peu. La plupart du temps, je cours dans les champs, moins exposés au verglas et aux congères que les chemins …
J’arrive au ravito de Saint Genou, comme prévu, je le zappe, j’ai des gels pour l’énergie. Très bonne idée de pouvoir passer sur le côté sans entrer, donc, dans la tente. Cela fait gagner un peu de temps même si je n’ai jamais rencontré de problèmes au ravito : les bénévoles ont toujours été disponibles et il y avait toujours de quoi manger et boire !
Le début de cette partie est généreux avec de belles montées (bois de la dame) et de belles descentes. Depuis ma chute, je suis devenu très prudent, je tâte chaque cailloux, chaque dévers, regarde très attentivement, cela en est usant et pas très agréable.
La descente vers Soucieu-en-Jarest quasi entièrement bitumée et longue. Je l’ai trouvé très longue. Je ne me sens pas top : qu’est-ce que je fais à Soucieu, stop ou encore ?
Dans Soucieu, les encouragements du public font chaud au cœur. Dans la tente, je me gave de pim’s, remplis ma poche à eau et prend des tucs et des pâtes de fruit pour manger en marchant. Je ne me suis pas arrêté longtemps mais en repartant, quasi-impossible à marcher ! Courir, c’est pire. J’ai du mal à identifier pourquoi j’ai aussi mal. Cela se situe au niveau des hanches, en haut de la cuisse et sur les deux jambes. Si vous avez une idée, je suis preneur ! Bon, Beaunant c’est dans 12 bornes.
Au mental, je marche. Je me dis que mes muscles ont dû se refroidir. Je me fais doubler mais à ce moment-là, je m’en tape ! Je prends sur moi et en profite pour bien manger et boire et pisser aussi (encore !). J’ai dû faire 25 pauses pipi pendant la course ! Une fois réchauffé, j’arrive à me remettre à courir doucement.
Encore une fois, pas beaucoup de souvenir de cette portion, juste que la boue est de plus en plus présente. D’ailleurs, au bout d’un moment, je ne cherche même plus à l’éviter … Après je reconnais le Garon, emprunté lors d’un OFF, avec ses grosses caillases. A l’approche de Beaunant, le Soleil se lève péniblement. Je suis content car il y a encore des PIM’S :-). J’enfourne aussi du fromage et un verre de coca. Je reste encore moins longtemps, j’ai très peur de revivre la « souffrance » à la sortie de Soucieu. Le lumière du jour m’a quand même montré qu’il y a du sang sur mon collant, mon genou doit être ouvert
La montée de Beaunant, le long de l’aqueduc, est superbe grâce à ce bel édifice que nous contemplons. Elle me permet de manger tranquillement et de discuter avec quelques compères sur nos galères respectives. Cette côte se passe en problème. Dès que le pourcentage faiblit, je me rappelle de la remarque de franck_de_brignais et de Denis et recommence à courir. Cela coince sérieux mais la tête prend encore le relai.
En plus, je vois une tête connue en approche : merde je commence à halluciner ! Mais non, c’est blob qui remonte la file des coureurs pour reprendre Mamanpat ! Je suis très étonné qu’elle soit derrière moi. Les quelques mots échangés m’ont redonné du moral et des jambes. On approche de Lyon, la délivrance est proche en kilomètre mais loin en temps !
Malgré la descente, je coince, m’arrête pour marcher puis courir puis marcher puis courir. La bataille est mentale et physique et pour bien nous finir, il y a des escaliers ! Juste après le train mamanpat/blob me double et m’encourage à les suivre. J’y arriverai pendant 153 mètres à tout casser ! Je les remercie et les laisse s’échapper. Le long de la Saône, c’est très long et sans intérêt. Le nouveau quartier de la Confluence ne m’interpelle pas plus que ça. Il se remet à neiger à gros flocons. On passe une jolie passerelle que je ferais en marchant, le bois me paraissant glissant et je ne veux pas me mettre à l’eau ! J’alterne de plus en plus marche et course à pied, mes jambes n’en peuvent plus.
Le passage à la Confluence entre le Rhône et la Saône est incontournable, c’est un beau symbôle. Ensuite, c’est grimpée d’escaliers, passage sur le pont Pasteur (je crois ?). Je double map-o-spread, j’essaye de l’encourager pour qu’on finisse ensemble. Ensuite ma montre indique 70 bornes de fait et bizarrement, comme si j’avais été programmé pour faire 70 kilomètres et pas un de plus, plus d’énergie dans le moteur, ni dans la tête. Je ferai le parc de Gerland en marchant et me remettrai à courir que pour les 100 derniers mètres.
Je franchis l’arche d’arrivée avec beaucoup d’émotion, j’en pleure ! Je vois lalan qui m’applaudit, je vais le saluer mais ne peut rester, je n’ai pas l’envie de rester là. Blob m’interpelle, je le remercie encore. Je félicite mamanpat aussi. Je récupère mon tshirt et engloutis quelques pâtes de fruit.
Ma chérie vient me récupérer et on va chercher mon sac. On file à la voiture et zou, direction la maison où un bain bien chaud m’accueillera :-)
L’après-course :
J’ai donc terminé cette épreuve (oui, cela a été une épreuve au sens propre du terme ! ) en 9h22’45’’ et fini 1221 sur 4024 arrivants et 6000 partants. Cette STL aura été très dur avec 30% d’abandons et j’arrive, après toutes mes péripéties, à être dans le premier tiers du classement.
Bravo à tous pour avoir participer à un truc aussi dantesque !
Finalement, je ne garde pas beaucoup d’images dans ma tête de cette course. Cela se ressent dans le récit je pense. Par contre, j’ai vraiment été puisé très loin dans mes ressources mentales pour la terminer, pour ne serait-ce que continuer malgré le froid et la boue, les douleurs et les chutes. Ce sera le gros point positif du truc.
Mon genou a doublé de volume le dimanche après-midi et aujourd’hui, je suis avec une attèle car un énorme hématome ne me permet pas de plier correctement la jambe :-( J’espère que cela ira mieux d’ici la fin de semaine. Mis à part cela, je n’ai jamais eu aussi peu mal aux muscles des jambes !
Vous pouvez retrouver mes infos de la course ici :
http://connect.garmin.com/activity/248630109
En résumé :
- Les points positifs :
- Les points négatifs :
21 commentaires
Commentaire de ogo posté le 04-12-2012 à 13:03:14
Cette 59e édition aura décidément été dantesque pour bon nombre d'entre vous. Bravo d'être allé au bout malgré les conditions et ta chute. Rien de trop grave, j'espère. Soigne bien ton genou et à bientôt sur un off.
Commentaire de Jean-Phi posté le 04-12-2012 à 13:23:39
Tu as fait une très belle course et quand je vois tes temps de passage jusqu'à Ste Catherine, je me dis qu'il ne t'en faut plus beaucoup pour finir beaucoup plus vite. Ca va venir, j'en suis certain !
Récupère bien ton genou et à très bientôt !
Commentaire de TwoTiVal posté le 04-12-2012 à 14:18:56
Bravo a toi !
Se lancer dans le trail (même si tu as une grosse expérience de coureur sur bitume) et faire la STL en si peu de temps, moi je dis encore bravo !
Et puis quand on voit ton temps, je re-dis bravo !
Enfin bref : triple Bravo !
Et à bientôt sur un off ...
Commentaire de RVLF posté le 04-12-2012 à 14:29:06
Bravo pour ce courage !
Pour ma part je suis comme toi jamais eu aussi peu mal aux muscles après une course... Mais mal ailleurs avec les chutes !!!
D'accord sur la trop grande dangerosité de cette édition, ce fut limite.
Commentaire de lalan posté le 04-12-2012 à 15:56:47
Pour une première STL tu n'as pas choisi la plus facile, mais elle sera bonne pour le moral de ta saison 2013.Tu en avais gros sur la patate à l'arrivée, c'était beau de voir une belle émotion sincère sur ton visage. Bravo et bonne récup, soigne toi bien.
Commentaire de Arclusaz posté le 04-12-2012 à 16:16:12
Bravo !!!! les conditions ne t'étaient pas favorables, tu n'as pas pu exprimer tes qualités de descendeur, de routier, de grimpeur, bref de coureur complet que tu es en train de devenir. Encore un peu d'habitude sur les longues distances et tu vas tout faire péter.
Pour les pipis intempestifs, je te rassure ce n'est pas la prostate. Mais une poche à eau de Sainté à St Christo (15 bornes) puis une autre jusqu'à St Catherine (12bornes), tu m'étonnes que ta vessie avait envie d'exploser ! Le trop est peut être l'ennemi du bien....
Mais, bon, j'y dis ça.....
Commentaire de marat 3h00 ? posté le 04-12-2012 à 16:52:23
bravo pour ton abnégation. En fait, on apprécie la course seulement quand on en à terminé. C'est paradoxale mais c'est ainsi pour cette année. L'avenir te donnera d'autres satisfactions et de biens meilleurs chrono. 2013 = 7h / 7h30 !
Commentaire de joshua01 posté le 04-12-2012 à 17:56:04
Bravo pour ta course , tu avais un mental de guerrier,c'est ce qui m'a manqué pour finir.
Commentaire de Le Lutin d'Ecouves posté le 04-12-2012 à 19:35:27
Bravo mon Totoro ! J'ai cru revivre ma Saintélyon 2010 avec la neige, les chutes et même la rencontre du Blob à Lyon...
Mais il est plus fort le Totoro car le Lutin, il a mis 1h00 de plus !
Commentaire de DROP posté le 04-12-2012 à 20:37:48
Grande classe sébastien. Chapeau pour cette fin de course au mental! Avoir fini cette édition, c'est costaud.
Par contre on a retrouvé le mec qui a explosé le budget PIM'S ;-)
Bonne récup et à bientot sur les sentiers
Commentaire de Pierrot69 posté le 04-12-2012 à 21:31:48
Super content pour toi! Félicitation pour cette belle première qui a dû être sacrément dure vu les conditions et chapeau de t'être accroché malgré ta chute. 2013 promet d'être un grand cru!
Commentaire de tidgi posté le 04-12-2012 à 23:22:03
Et bien voilà, il avance, il avance le totoro.
Et une 1° STL de bouclée !
Pour la prochaine, c'est le chrono qui va s'affoler...
Commentaire de Nini posté le 05-12-2012 à 00:09:12
Bravo finisheur !
Une bien dure Saintélyon qui laissera des traces... Bonne recup'
Bises
Commentaire de Mamanpat posté le 05-12-2012 à 11:37:08
Tu vois que tu aurais pu faire le wagon supplémentaire du train ! Pour qq secondes au final, une arrivée main dans la main aurait été super sympa !
Bravo !
Commentaire de le berger posté le 05-12-2012 à 14:27:54
Je suis bien content que tu aies pu aller jusqu'au bout. Que tu la refasses ou pas, tu peux être fier d'avoir terminé la Saintélyon, surtout dans ces conditions-là.
Commentaire de bruno230 posté le 05-12-2012 à 17:44:23
Bravo a toi d etre venu a bout de cette"épreuve",car oui nul doute que cela en a été une et il fallait être costaud pour terminer cette édition.Je te tire donc mon chapeau "MONSIEUR "totoro.
Commentaire de bruno230 posté le 05-12-2012 à 17:45:53
Bravo a toi d etre venu a bout de cette"épreuve",car oui nul doute que cela en a été une et il fallait être costaud pour terminer cette édition.Je te tire donc mon chapeau "MONSIEUR "totoro.
Commentaire de franck de Brignais posté le 05-12-2012 à 17:52:29
Bravo Seb ! Tu as été très sérieux dans ta préparation, je t'ai vu très concentré au Flore. Le manque "d'images" vient certainement de ta concentration extrême. Tu dois absolument faire une seconde édition pour te mettre toutes les belles images de cette course en tête. Tu seras plus détendu... maintenant que tu sais à quoi tu seras mangé ;) Bonne récup'. Tiens nous au courant pour ton genou !
Commentaire de fildar posté le 05-12-2012 à 20:56:22
C'est rare de ne faire qu'une Sainté quand on y a gouté une fois on y revient.
La météo n'est pas galère tous les ans et tu peux être fier d'être finisher cette année.
Aller tu as un chrono à améliorer.
Commentaire de sebmelalix posté le 06-12-2012 à 13:45:32
Merci pour ton récit Seb.
Bravo pour cette première avec les conditions que l'on connait...
Être FINISHER était ton objectif... Tu l'as réalisé malgré ton genoux douloureux!!!
Félicitations, et savoure cette belle victoire ;-)
Commentaire de Trottinette posté le 09-12-2012 à 21:52:52
Bravo à toi tu as terminé, même blessé. Une premiere difficile qui laissera des souvenirs !
à bientôt.
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