. Mais avec ton temps aux aiguilles rouges pourquoi pas autour de 3 heures
Sinon de faire des sorties des sorties de 15 à 20 jusque là parce que sinon je ne vois pas comment tu vas boucler ton marat
le solitaire a écrit:Alors je suis peut être mauvais mais il m'est encore arrivé de faire 4h pour mon 13ème marat avec dirons nous 1h30 au semi et 40' sur 10.
LtBlueberry a écrit:salut,
avec 1h20 sur paris versailles tu as sans doute le potentiel pour viser 3h40/3h45 sur marathon
d'ailleurs inutile AMHA de faire un test 10km à 3 semaines
le souci c'est l'absence totale d'entrainement spécifique , bref si tu pars à 11.5km/h il y a de grandes chances que tu ne tiennes pas la distance avec un second semi un peu galère (1h50 sur le premier semi, >2h15 sur le second)
perso à ta place , je partirais un peu moins rapidement que ton "potentiel" (10.5km/h ?? ) histoire d'apprécier ce deuxieme semi, voire même d'y faire un NS si tu vraiment large
a+
L'Blueb
cedricmtpl a écrit:Je vais donc arreter de me poser des questions et me dire que ce sera deja bien de faire moins de 4h, partir cool et ne pas depasser les 150/155 bpm sur les 30/32 premiers kilometres et accelerer, si possible, par la suite, d'autant que c'est toujours plus agréable de partir lentement puis de passer sa course à doubler du monde (c'est ce que j'essaye de faire en trail).
Advienne que pourra!
yves_cool_runner a écrit:Le marathon est une course très particulière, car cela reste un long "sprint", une course de vitesse qui doit se faire à une allure de métronome, et où le moral flanche pour 10'' de moins par kilo ! Moi, c'est la seule course qui me fait "baliser" avant le départ malgré près de 30 ans de pratique. La Sainté Lyon ne me fais pas cet effet, ni aucune des épreuves longues que j'ai pu faire... Mais p....., le marathon, c'est total respect.
par contre on voit sur ta courbe cardio que tu t'es placé un peu au-dessus, avec du 170 vers la mi-course, c'est sans doute ce qui t'as causé qques difficultés vers la fin.
Si tu es bien préparé et que les conditions de parcours / météo sont bonnes, le temps sur marathon, quand on est entre 3 et 3h30, correspond à peu près à 2 x temps réalisé sur semi de préparation (3 semaines avant le jour J) + 8 à 12'.
montevideo a écrit:Retour sur mon expérience après mon 2ème marathon en 3h41 après 3h44 en avril 2010.
Peu d'amélioration au final au niveau du temps : ma conclusion passer de 3 à 4 séances et suivre un vrai plan pour tenter d'approcher les 3h30.
Pour moi la difficulté c'est vraiment la distance pas la vitesse (marathon courru en 11.5 km/n en gros contre +15 kmsh/h sur kms : les 5 derniers entre 39.12 et 39.48 et 14kms sur semin : le dernier en 1.30.42)
kkris a écrit:une prépa,c'est 8semaines mini,c'est contraignant,mais le chrono est souvent au bout!
loicm a écrit:
Je pense qu'il faut quand même se mefier des dictat ecrits à droite et à gauche, cela dépend des facultés de chacun (à l'effort et de RECUP des efforts précédents), et des acquis. Nous ne sommes pas tous egaux sur ces points.
jeanphi69 a écrit:J'ai fait comme Loïc, après la CCC, sauf que j'ai opté pour le marathon du beaujolais. Malgré le déniv. qui rend ce marathon un peu moins roulant (360 D+ seulement mais avec pas mal de relances), j'y ai fait mon meilleur temps (3h07). Bien sûr, j'avais fractionné toute l'année mais j'ai vraiment travaillé le spécifique sur stade, quand pour le trail je fractionne plutôt nature et j'ai bcp travaillé sur la vitesse marathon (on l'oublie trop souvent dans les prépas). Par contre 3 sorties supérieures à 2h00 (2h20 pour la plus longue) auront suffit pour le foncier avec tout ce qui avait été fait en amont. Le plus dur pour moi a été de repasser sur bitume. Mes quadris me disent encore merci.
Une bonne prépa ne se résume pas que, à mon sens, à quelque chose de figé genre 8 ou 10 semaines de prépa, mais bien plus avec une structure qui s'appuie sur l'acquis, la fatigue cumulée et un travail très ciblé marathon (vitesse spé). Je pense que c'est de cette manière que cela peut fonctionner. Je n'ai pas hésité à moduler l'entraînement losque j'ai senti la fatigue arriver. Etre à l'écoute de mon corps, des sensations m'ont permis d'être quasi certain de ma capacité à gérer mon allure jusqu'au bout. Si ça peut servir...