sirocco a écrit:Donc rien de nouveau ... où j'ai loupé qq chose ??
Septime a écrit:Bruno Heubi propose de l'"EMA", encore un néologisme qui va embrouiller les coureurs pour rien, selon la terminologie internationale, dans le domaine aérobie, ou c'est de la PA (puissance aérobie) ou c'est de l'EA (endurance aérobie) ou c'est de la CA (capacité aérobie), que ça soit maximum ou maximal ou est l'intérêt de le préciser, sinon pour appâter le coureur (VMA, EMA...).
Marketing..., mots nouveaux d'allure scientifique destinés à en jeter.
Quant à l'économie du geste de la CAP, beaucoup savent qu'il suffit d'accumuler les KM et ça se fait tout seul, la foulée devient rasante.
BrunoHeubi a écrit:Avoir une foulée rasante n'est pas une fin en soi et je sais de quoi je parle
Septime a écrit:Non c'est pas simple, verbiage embarrassé? non bien sûr. La PMA par contre ça existe et c'est la VMA exprimée en watts, ça c'est clair.
BrunoHeubi a écrit:Septime a écrit:Bruno Heubi propose de l'"EMA", encore un néologisme qui va embrouiller les coureurs pour rien, selon la terminologie internationale, dans le domaine aérobie, ou c'est de la PA (puissance aérobie) ou c'est de l'EA (endurance aérobie) ou c'est de la CA (capacité aérobie), que ça soit maximum ou maximal ou est l'intérêt de le préciser, sinon pour appâter le coureur (VMA, EMA...).
Marketing..., mots nouveaux d'allure scientifique destinés à en jeter.
Quant à l'économie du geste de la CAP, beaucoup savent qu'il suffit d'accumuler les KM et ça se fait tout seul, la foulée devient rasante.
La VMA est la vitesse où l'expression de la PA est optimale
L'EMA est la vitesse où l'expression de l'EA est optimale.
Simple, non ?
Là où tu vois de l'embrouille, j'y vois de la cohérence et de la clarification.
C'est simple au contraire. Le système aérobie s'améliore en puissance (VMA) et endurance (EMA) quoi de plus cohérent ?
Quant à la vitesse spécifique liée au coût énergétique de la foulée, tu oublies que l'endurance n'est pas transférable et qu'il ne suffit pas justement d'accumuler les km.
Avoir une foulée rasante n'est pas une fin en soi et je sais de quoi je parle
BrunoHeubi a écrit:Ce que j’ai de neuf à apporter c’est avant tout une approche de l’entraînement qui synthétise et prend en compte 3 notions qui sont pour moi les piliers de l’élaboration d’un plan d’entraînement
Et je fais la comparaison avec un trépied. S’il manque un élément, ça ne tient pas debout.
Ces trois éléments sont :
1. La Puissance Aérobie, clairement exprimée pour que tout le monde la comprenne en une allure d’entrainement appelée Vitesse Maximale Aérobie
2. L’Endurance Aérobie, clairement exprimée pour que tout le monde la comprenne en une allure d’entrainement appelée Endurance Maximale Aérobie
3. Le coût énergétique de la foulée clairement exprimée pour que tout le monde la comprenne en une allure d’entrainement appelée Vitesse Spécifique
Ensuite, l’autre particularité de mon approche, c’est de pouvoir rendre cela digeste, accessible, utilisable par tous les coureurs qu’ils soient débutants ou chevronnés. Qu’ils aient une piste d’entraînement à leur disposition ou une simple rue éclairée. Qu’ils habitent à la montagne ou en plein centre ville. Qu’ils soient chef d’entreprise surbooké ou employé du bâtiment épuisé par une journée de boulot.
Qu’en lisant mon livre, ils aient à leur disposition tous les éléments pour pouvoir se lancer dans le défi qui est le leur. Un 10km mesuré, le grand raid de la Réunion, le marathon du Médoc, les foulées des Laveuses ou la course au saucisson du coin
Alors, je ne sais pas si c'est assez novateur pour que tu estimes que j'ai inventé quelque chose dans l'entraînement. Mais j'aurais tendance à écouter aussi tous ceux qui ont livrés leur opinion ici
JeanThevenet a écrit:La VMA est la vitesse où l'expression de la PA est optimale... ça voudrait dire pour moi, le seuil aérobie annaérobie.
car quand la participation aérobie est maximale (pour ne pas dire puissance maximale aérobie, on n'est plus dans des condition optimales mais dans une logique d'effort d'urgance avec la participation maximale aérobie plus une participation plus ou moins forte de l'annérobie.
c'est quand le seuil est très haut que l'annaérobie est utilisé plus tardivement et qu'on tient un peu plus, mais la logique est quand même de s'épuiser rapidement par excès lactique...
On devrait peut être dire la puissance maximale purement aérobie (la PMPA)
ou on est à 80 à 95% de la VO2max selon les cas.
on dit que la PMA est la pouissance atteinte à la VO2 max alors que la puissance observée est déjà la somme de deux métabolismes (annaérobie 15 à 20%, aérobie 80 à 85% quand 100% VO2max atteints)
Septime a écrit:Donc c'est clair au vu des simples reformulations visibles ci dessus (l'habitude de la "communication"), BH one n'a RIEN DE NEUF, par rapport aux années 60, à proposer aux coureurs de cette époque.
BENOS a écrit:Je ne vois aucuns interêt à ce post à part de foutre la merde.
BENOS a écrit:Vu l'acharnement, Y en a un qui a du se prendre une branlée par l'autre dans le passée...
DEXTER WARD a écrit:Quoi que les entrainements à la Serge Cotereau, ça avait son charme....et c'est grâce à son encart dans son encyclopédie du jogging que j'ai fait en 91 2h48 au marathon.......
taroc78 a écrit:
Il n'y a pas d'entrainement miracle mais des constantes qui se degagent le 30"30" ou la VMA courte est un axe ,un axe meme pour les ultra fondeurs ou les traileurs n'en deplaise à des aigris comme Septime.
Calbears a écrit:Pour ceux qui ne savent pas pied beau=septime
Jay a écrit:ça tombe bien .. c mon programme de ce soir pour ma séance VMA courte... 2 série de 6 à 8 30'/30' .. c'est surdosé ?
jay