L'auteur : Moogly
La course : Silva Night
Date : 28/11/2009
Lieu : Versailles (Yvelines)
Affichage : 871 vues
Distance : 28km
Objectif : Pas d'objectif
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Mon premier CR, soyez indulgents, je ne suis pas une littéraire…
Je n’ai pas de quoi incorporer les cartes, les chiffres seront donc purement décoratif, sauf pour les autres participants peut-être.
La silvanight, je l’attend depuis longtemps celle-là, je l’ai successivement rêvée, désirée, attendue puis crainte et enfin vécue.
Il y a plusieurs mois, j’en entend parler, CO en binôme de nuit dans la forêt de Versailles, très proche de chez moi. Tout parfait donc! J’adore la CO et je me régale tout particulièrement de courir la nuit. En juin, j’ai fait mes tous premiers essais d’orientation le mercredi soir, notamment avec Laurent, le Bagnard. Je lui propose, il est partant. C’est inscrit sur mes tablettes!
J’espérais bien d’ici là progresser en orientation et aussi améliorer mon endurance pour ne pas trop le ralentir. J’aurai un peu réussi un des deux…
De super cours de CO avec l’électron, course d’orientation l’O’castor où je me teste vraiment car j’y vais seule et n’ai donc d’autre choix que de réellement m’y retrouver. Jusque là j’avais toujours été en équipe. C’est pas fabuleux mais y’a de l’idée pour l’avenir. Je fais les 12 km de l’O’castor sans me sentir perdue à aucun moment. C’est mon coin d’entrainement, ça aide.
Par contre à partir de mi-octobre une douleur en haut de la cuisse gauche commence à se faire sentir, peut-être une petite déchirure ou contracture je ne sais pas, et mon genou droit proclame régulièrement haut et fort qu‘il préférait nos anciens sports à la course à pied. Chaque sortie me donne droit à plusieurs jours de boiterie. Je réduis l’entraiment jusqu’à un point tel que je ne cours plus que le week-end sur les courses auxquelles je suis inscrite. J’ai peur, si j’en fais plus, de devoir annuler un truc et surtout la Silva! J’étais déjà pas top avant mais là mon niveau régresse aussi progressivement que surement. Si, sur l’O’castor, je m’oriente de façon à peu près correcte, à partir du sixième kilomètre, je manque d’huile dans le genou droit et les poumons me brûlent. Ca promet, grrr, c’est génial…
Le côté solitaire de la course me convient car au moins si je ne suis pas bien je ne pénalise que moi. Dès que c’est en équipe je me met une pression terrible et stupide. Je l’avais déjà constater à l’ekkiden. Très peur de mal faire. Je ne suis pas compétitrice mais comme les autres pourraient l’être…
Arrive donc le samedi 28 novembre. Je n’ai aucune confiance à mes forces et je me demande à quel point l’orientation de nuit est plus dure que de jour: un peu, beaucoup, passionnément?
Le petit troupeau Kikoureurs se retrouve sur le parking. C’est sympa de me sentir doux dingue parmi les doux dingue. On est là, tous très contents de s’apprêter à patauger une partie de la nuit dans la gadoue sous la pluie et le vent. J’aime cette forme de déraison. C’est tellement mieux qu’une soirée dans son canapé devant la télé! Encore que… s’il y a un match de rugby je dis pas…
On se prépare. Laurent cherche sa frontale et fini par mettre la main dessus. J’hésite à enlever une couche de fringue, j’ai toujours chaud quand je cours. Je ne change rien et ne le regretterai pas.
On tente d’écouter les consignes, j’en rate un bout, je suis trop loin. Je n’ai pas bien chaud, il me tarde qu’on commence.
Le départ est donné, on ramasse nos cartes, tout le monde file vers un abri. On les suit sans trop savoir pourquoi. Ils commencent à étudier leur parcours. C’est une course au score, l’ordre des balises n’est pas défini comme dans d’autres cas. J’ai bien écouter Michel et Domi qui disaient qu’il fallait prendre quelques minutes à cette étude plutôt que de se lancer tête baissée n’importe comment. Pourtant on ne les écoutera pas. Je ne suis pas très stratège et je soupçonne Laurent de ne pas l’être plus que moi. Je crains plus de manquer de jambe que de balise! Nous n’en sommes pas encore à optimiser! Je propose donc qu’on parte et qu’on avise au fur et à mesure. Laurent est d’accord, c’est cool un partenaire aussi conciliant!
On range les cartes dans les plastiques à l’abri de la pluie. Il y a trois cartes: le stade, la forêt de Porchefontaine et celle de Meudon, s’ajoute à cela les définitions de poste. Laurent a les deux grandes cartes de forêt et le doigt électronique. J’avais prévu un plastique de rab, j’aurai donc les quatre documents. On fait le tour du stade pour nos deux premières balises. Chouette, on sera pas bredouille!!
Un détail me chatouille: c’est bien l’improvisation, ça nous va bien, mais faudrait pas prendre plusieurs fois la même non plus! J’ai un marqueur, je compte donc les barrer sur la carte à chaque fois. Finalement mon marqueur n’aime pas l’humidité. Laurent en a un aussi, il va nickel jusqu’à ce qu’il prenne la poudre d’escampette. Je l’avais glissé sur mon oreille sous mon bonnet et ma frontale mais il s’est fait la malle sans me dire au revoir. J’ai rien senti. Arg!!! Je déteste laisser des trucs dans la forêt! Je m’en veux de ce déchet qui m’incombe. En fait, j’utiliserai mon bic, bien sur il n’écrit rien sur le plastoc mouillé alors il me sert à presque trouer la balise. Laurent poinçonne donc avec le doigt, moi avec le bic. Après coup, je crois ça n’a servi à rien, on a tourné large et nous ne sommes pas repassé sur les mêmes zones. Point à améliorer dans l’avenir!
On rentre dans la forêt et on file vers le nord-est. On voit une balise, Laurent y va mais elle n’est pas pour nous mais pour la rando. Bon on va peut-être essayer de se servir de notre carte maintenant... La 28 est un peu plus haut que le chemin. Laurent y fonce comme un cabri. C’est chouette un garçon qui galope comme ça! Sur l’O’castor j’avais bien râlé, intérieurement, de voir des nanas se faire tracter dans les montées et attendre tranquilou sur le chemin que leurs monsieurs aillent poinçonner. Moi, qui étais fatiguée et endolorie, et je devais tout faire quand même! C’était trop injuste! Je savoure donc et fait taire ma (toute petite) culpabilité et me plongeant dans la carte pour la suite pendant ce temps. On essaye la 34 mais là j’ai comme une vision! Le large sourire moqueur de Michel! Elle est de l’autre côté du grillage! J’avais pris ça pour un chemin sur la carte! Raté pour celle-là, c’est la première, pas la dernière. On fait la 14, 11, 13. On va vers le nord-est et longe une clôture qui doit nous amener sur la 23, Laurent à l’air sûr. Je ne suis pas totalement convaincue mais n’ai pas la présence d’esprit de vérifier l’orientation avec ma boussole. De toute façon je ne suis pas souvent totalement convaincue de notre localisation, ou alors juste quand on est sur la balise, là j’y crois :o). Au bout on tombe enfin sur… le point de traversée vers la carte de Meudon. On est juste 1 km plus au sud que ce qu’on croyait! Me perdre (mais pas trop) dans la forêt fait partie de sensations que j’aime bien, là je suis servie. Qu'est-ce qu'on court vite! A peine un petit moment de déconcentration et on a traversé la forêt!
On ne s’était pas encore demandé si on irait sur la seconde carte, puisqu’on est là, nous écoutons le destin qu’y nous y a conduit. Quelques minutes sacrifiées pour la traversée, Laurent chambre tout ce qu’on croise. On redémarre au nord vers la 36. On s’aperçoit que le changement d’échelle modifie les perceptions de distance. Je propose de laisser la 37, elle est loin et ça grimpe sec! Laurent est ok, le co-équipier parfait je vous dis! On fait 42, 40, 54, 51. Ca s’enfile comme de perles, ça y est, on est devenu trop fort! Il fallait juste le temps qu’on s’échauffe un peu. Le choix se pose d’attaquer la partie nord de cette carte, il y a un paquet de balise mais ça fait bigrement loin. Je ne me le sens pas trop, peur de rentrer en retard. Laurent est… d’accord! On fonce, enfin en marchant parce que ça grimpe dur vers la 41. Je me dis que la plus sûre façon de faire c’est de monter un peu plus haut jusqu’au croisement de chemin qui la surplombe et de redescendre en azimut sur la balise. Je m’applique, règle la boussole et on rentre dans les branches. Il y a un peu de monde sur zone et ça jardine, mais ils sont tous sur notre droite. Je suis perplexe mais, sans y prêter trop attention, on bifurque vers eux alors que ma boussole me montre plutôt l’autre côté. Erreur de débutante qui manque de confiance, on cherche un moment avant de la trouver là vers la gauche comme de bien entendu. Je suis sûre qu’on l’aurait trouvé bien plus vite si la zone avait été vide! Très souvent le monde sur zone ça sert, parfois ça peut gêner.
Il y a un paquet de bonhomme et je ne sais plus lequel est le mien. Il fait nuit bien noire maintenant. En les regardant je ne vois que des frontales alors je fini par ne plus regarder que leur jambes. Les rayées, c’est pour moi! Pratique son costume de super-héro! En général je ne fais pas une fixation sur les jambes mais je n’ai plus regardé que ça de la soirée.
On attaque le chemin du retour. Laurent me rappelle avec raison de boire et manger. J’obéis. Plusieurs fois, en cas de doute, on s’arrête pour regarder la carte. J’en retire deux leçons importantes:
- ne pas stopper dans un coin humide, à l’arrêt on s’enfonce très vite dans la gadoue
- ne pas repartir trop vite juste après avoir relevé les yeux de la carte car pendant quelques secondes on n’y voit plus rien (carte bien éclairée/forêt très sombre) et, si j’ai marché en lisant, un arbre peut avoir poussé devant moi pendant ce temps (j’ai failli en embrasser un énorme!)
La 52 est en bordure de chemin, trop facile, on croise Mara et Ouster en allant vers la 55. On s’échange les infos sur leur localisation. Je la sens pas celle-là, Mara confirme qu’elle est pas facile. J'étudie son cas, pas de point d’attaque, chemin qui s’arrête sur la carte… Parfois il suffit de penser qu’on n’y arrivera pas pour s’en rendre incapable, est-ce ce qui s’est passé? Toujours est-il qu’on ne la trouve pas. On jardine, on (re)met les pieds dans l’eau, je scrute un chat (ces yeux la nuit, c’est magique, ça m’hypnotise) mais point de balise 55. On file vers d’autre zone de jeu, attrapant la 53 et se perdant vers la 57. Zut encore une route! Par deux fois la zone de traversée se sera imposée à nous. Moi j’dis, faut pas lutter dans ces cas là. On revient donc sur Porchefontaine.
Là, ça fait comme après l’erreur précédente, on se reconcentre et on fait une bonne série rapidement: 26, 31, 18, 32, 27, 29, 22, 12 à peine 3-6 minutes pour passer de l’une à l’autre. Méga important la concentration dans ce sport, pas bon signe pour moi ça! "Manque de concentration" écrivaient toujours mes profs... On cherche la 21, elle est indiquée proche du sentier, à peine un peu plus haut. Il m’a même semblé la voir du chemin avec du monde autour. Laurent monte la pointer mais redescend bredouille. Trop confiante, entre temps j’avais bougé et je l’ai perdu de vu. On a retourné la zone mais impossible de mettre le doigt électronique dessus. J’avais peut-être confondu avec une fringue orange d’un des autres coureurs en arrivant..?.. L’heure fatidique approche, je surveille le chrono, hors de question qu’on nous retire une de nos précieuses balises pour une minute de retard! On attrape la 10 au passage, on ne trouve pas la 13, pourtant je le sentais bien celle-là. Avec plus de temps on aurait pu faire une autre approche en utilisant des chemins alentour mais là ça devient chaud niveau chrono, tant pis. On rentre au bercail, encore deux petits plaisirs pour moi: j’envoie Laurent au bout de la pièce d’eau et même foncer à la dernière pour arrêter notre chrono. Ca fait un peu sadique quand je dis ça non? Il aura parcouru bien plus de terrain que moi! Un régal de le faire courir! Il y est deux minutes trente avant les 3h45.
Bilan: 27 balises et surtout 3h42 de plaisir, bien sur j’ai été lente mais je veux retenir que je n’ai eu mal nulle part. La tête trop occupée ailleurs? C’est possible. Je ne suis pas convaincue que ceux qui ont fait 60 balises aient autant rigoler que moi. Je les trouve très forts et impressionnants mais je n’échangerais pas ma course avec eux, ni surtout mon partenaire!!
Merci pour tout ça Laurent
Après ces presque 4 heures de sport il y a eu environ 5-6 heures d'after, une bonne moyenne non? Une bien bonne soirée en tout cas!!
Au plaisir de retrouver tout ce beau monde.
J'adore la CO !!!
18 commentaires
Commentaire de taz28 posté le 30-11-2009 à 22:22:00
Un premier récit de ma petite Nadège !!
Cool !!
Tu as bien fait de te mettre à écrire tes sensations sur la course, ton compte rendu est top, tout comme votre binôme avec Laurent !!
Dommage, on aurait pu se voir près d'un hibou ou d'un sanglier, mais on s'est ratés !!
Taz
Commentaire de redpanda posté le 30-11-2009 à 22:26:00
Bienvenue au club des chasseurs de balises ;)
par contre tu devrais revoir tes fréquentations!!!
Commentaire de Astro(phytum) posté le 30-11-2009 à 22:32:00
Maintenant je comprends pourquoi laurent disait que vous aviez fait 2 fois le parcours ! C'était pour retrouver ton marqueur :-)))
Merci Nadège pour ton récit plein de bonne humeur .
Commentaire de Land Kikour posté le 30-11-2009 à 22:39:00
Et bien voila un 1er Cr pour une 1ère CO. Avec un coèquipier de haut vol, bref que du bonheur cette course !!
Bises,
Olivier
Commentaire de Land Kikour posté le 30-11-2009 à 22:45:00
je voulais dire 1ère co de nuit....
Commentaire de Moogly posté le 30-11-2009 à 22:48:00
Sandrine, j'aurai bien aimé te voir, bientôt j'espère. Ca te donne pas envie d'une course nocturne et boueuse? Rdv au Glazig peut-être
Les gambettes rayées de mon partenaire ont bien assuré, je n'en changerai pas s'il y a une autre silva demain! Effectivement il a fait deux fois le parcours... par rapport à moi!
Dès que je peux recourir je vais aller dans le coin chercher ce marqueur, je le soupçonne non biodégradable ce petit fugueur! Je le laisse avoir froid un peu, ça lui apprendra! Il est à Laurent en plus, faut que je le lui rendre!
Commentaire de Le Loup posté le 30-11-2009 à 22:54:00
Vachement de plaisir à lire ton récit et content que tu te sois bien amusée. De mon côté il m'a fallu attendre l'after pour positiver, grrr... Pas content d'avoir jardiné le Xou ! Je n'en resterai pas là : je les aurai un jour, je les aurai... (ces fout*** balises !)
Merci pour ton CR Moog' !!!
Commentaire de Jay posté le 30-11-2009 à 22:56:00
Un recit plein de fraicheur qui en dit long sur la belle course que tu as faite en compagnie du Bagnard.
Bravo a toi d avoir su conjuguer serieux et humour tout au long de votre recherche des balises , j ai adore lire le recit avec du supens en attendant de savoir quelles peripeties vous attendaient apres chaque balise ..
J ai hate de lire les prochains,
Biz Jay
Commentaire de Le Bagnard posté le 01-12-2009 à 00:01:00
Tout le plaisir fut pour moi Nad !!! on remets ça quand tu veux ;-) Çà va faire jaser, mais ce fut un NUIT DE FOLIE !!!!
Le stylo est biodégradable, mais tu peux partir à sa recherche battante comme tu es tu le retrouveras sur !!!
A bientôt et merci pour ce superbe CR
Signé:
l'homme aux jambes rayées ;-))
Commentaire de Moogly posté le 01-12-2009 à 08:08:00
Jaser, ça a déjà commencé au pub quand j'ai dit que j'avais les cuisses labourées. Il est vrai que le verbe était mal choisi à une telle heure avancée de la nuit! Je vous ai épargné l'épisode du lendemain où j'y suis allée à la pince à épiler pour me débarasser des épines encore coincées sous ma peau. Ca n'existe pas des guêtres qui montent jusqu'en haut? J'ai pas tout le temps attendu Laurent sur le chemin non plus, la preuve!
Mais je pourrais facilement alimenter les commérages en rajoutant qu'après cette nuit de folie j'ai le dos brulé! Non, non, pas de moquette dans cette forêt, beaucoup de mousse par contre. Encore une leçon: sous-tif et sac à dos se fachent au-delà de 3 heures, ok je note.
Tu vois Jay, c'est l'avantage de se perdre un peu, on se garde un effet de surprise, allons nous tomber sur une balise ou une route?!? Tatatata...
Alex, Moog' ça me plait bien.
Merci à tous
Commentaire de taz28 posté le 01-12-2009 à 08:35:00
C'est du joli tout ça Miss Moog :-)))
Il s'en passe des choses dans les bois la nuit...Moi j'étais avec 2 hommes rien que pour moi (dont un mineur oupsss...) mais pas de traces de griffures ou de brûlures !!
La version rando était bien plus soft !!!
Merci Nadège pour ta bonne humeur et ton humour !!
J'adooore !!
Taz
Commentaire de Insigma posté le 01-12-2009 à 10:21:00
Avec un partenaire pareil... Le plaisir était garanti !
Bravo à vous 2, je n'aurais sûrement pas fait mieux !
Commentaire de ouster posté le 01-12-2009 à 17:25:00
Bravo à vous deux c'était très chouette de vous croiser juste quand on sortait de galère :)
Le petit saucisson de Laurent m'a fait du bien... (et la ca va jaser!!!)
Commentaire de marioune posté le 02-12-2009 à 20:09:00
Bravo moogly et super sympa ton récit! Le bagnard avait un bien agréable boulot ce soir la, super équipe que vous avez faite. A bientot.
Commentaire de Jorge posté le 02-12-2009 à 20:22:00
Ça c'est du récit !
Prolixe le Moogly...
Le plaisir est partagé, on reviendra.
Commentaire de Moogly posté le 03-12-2009 à 08:08:00
En effet marioune, ce soir là Laurent a eu du boulot et deux boulets. Et il s'est superbement débrouillé avec tout ça!
A bientôt à vous tous, peut-être au Perray ou sur Paris rapidement :o)
Commentaire de gdraid posté le 08-12-2009 à 15:18:00
Quelle belle histoire je découvre par ton CR, Moogly !
Je ne regrette pas d'avoir cherché à t'identifier sur Kikourou, suite aux posts de l'Origole ...
Quant à Laurent, rien ne m'étonne de lui, c'est un type au top !
Si tu savais Moogly, qu'il a pour projet futur les 6 jours d'Antibes en juin prochain, et avec son éternel boulet !(pas toi Moogly, l'autre ...) :)
Continues tes aventures en sous-bois Moogly, surtout nocturnes, tu les décris si bien.
JC
Commentaire de Moogly posté le 13-12-2009 à 15:41:00
Merci JC, j'espère faire ta connaissance un jour.
Je pense aussi que Laurent est au top mais aussi un peu fou! Ce qui contribue surement à faire de lui un partenaire parfaitement à mon goût. Il a la fantaisie qui me fait parfois défaut :o)
Je compte bien faire un max de CO et surtout nocturne et surtout avec lui, c'est trop fun!!
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