L'auteur : bubulle
La course : Marathon de Toulouse
Date : 27/10/2013
Lieu : Toulouse (Haute-Garonne)
Affichage : 2450 vues
Distance : 42.195km
Objectif : Battre un record
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Le voici donc, ce premier gros objectif de la fin d'année 2013 : marathon de Toulouse, mon 9ème marathon officiel...mais le premier et le seul de cette année.
Eh oui, les trails et la nouveauté de l'année, ceux en montagne, ont "mangé" tout le calendrier et le printemps n'avait plus de place....il est donc resté celui d'automne.
Le challenge était fixé depuis avril, date de l'inscription : atteindre les 3h30 qui seront les minima pour ma catégorie d'âge si je veux participer au marathon de Boston, mon "dream marathon", en 2015.
Entretemps s'est greffé un autre défi puisque l'ami François que j'avais aimablement poutré (de "un tout petit peu moins d'une minute") lors de nos records respectifs l'an dernier à Val de Rueil....eh bien, François s'est vengé en juin à Caen en étant le premier de nous deux à passer sous les 3h30.
D'où défi mutuel et mise sous pression et en demeure (Lutin, t'as vu ? Un zeugma !) de se repoutrer pour 2013. Ce ne sera pas une confrontation directe pour cause de calendriers divergents, mais un virtuel poutrage à une semaine d'écart, lui à Vannes et moi à Toulouse le dimanche suivant.
Las, les éléments se sont ligués contre le pauvre François (même si d'aucuns, surtout les Normands, ne manqueront pas de sussurer qu'à aller faire une course en Bretagne un 20 octobre, il a cherché les problèmes) et il a échoué à quelques secondes de ce qui eût été une performance mémorable. Cependant, la qualité du résultat fait que je ne peux désormais plus me contenter de faire un tout petit peu mieux : les 3h30 (et quelques....) de François valent pas loin d'un 3h25 dans des conditions et sur un terrain plus favorables. Donc je me dois de poutrer de façon nette et sans bavures...même si, honnêtement, l'objectif numéro 1 reste le record et ces 3h30.
La préparation a été minutieuse et scientifique : du trail lent tout le mois d'août, un passage brutal à de l'entrainement sur route en faisant tout simplement mes trajets du boulot (14km par jour) à "vitesse marathon ou presque" (y'a un sac de 3-4kg sur le dos). Et, les dimanches, des semis à allure progressivement de plus en plus rapide. En passant, hop, un record sur semi en 1h34 à Bois d'Arcy. La fin de prépa est plus cahotique avec une reco du trail des 7 Hameaux pas vraiment faite à allure marathon (on aurait achevé Raoul)....et un dernier dimanche sur le même trail des 7 Hameaux à patauger dans la boue pour faire des photos des copains (ça a été moins juste que je ne le fasse, le trail...grand fou, va!).
Bref, quasi n'importe quoi....mais du n'importe quoi prometteur.
Ce week-end à Toulouse ne sera pas qu'un week-end marathon, nous profitons aussi de l'occasion pour visiter des amis (avec hébergement 5 étoiles)...et même aller assister à la victoire du Stade Toulousain sur le RC Toulon au stade Ernest Wallon. Le tout précédé d'un mémorable déjeuner au Louchebem (boudin frit et saucisse de Toulouse) et suivi d'un dîner non moins mémorable (magret précédé d'un vin de noix maison que je ne vous dis même pas). Cela vaut toutes les pasta party et l'avenir nous dira si sauter en hurlant "tou-lou-sain" quand Johnny Wilkinson rate son drop à la 81ème minute constitue une bonne prépa spécifique marathon.
Donc, hyper-préparé et remonté comme une pendule mais, à vous l'avouer un peu franchement, la trouille au ventre, voilà le bubulle qui débarque au Pont de Pierre de Coubertin avec sa super-chérie qu'il a fait lever à 6h du matin...ainsi que son copain Zilou qui fait le super-taxi (et fera les super photos).
Eh oui, la trouille quand même. Programmer 4'58" sur le chrono, ça refroidit surtout quand....la météo est au grand beau et qu'il est évident qu'on va avoir chaud, très chaud. Je me demande franchement si ce n'est pas un peu suicidaire de partir à plus de 12 à l'heure dans ces conditions.
Le départ est plutôt bien organisé, bien qu'il y ait quand même 6500 coureurs. Les sas ne sont pas bien compliqués et on accède librement jusqu'au sas 3h. Je comptais me placer dans le 3h15....mais il n'y en a pas. D'une autre côté, sans séparation entre les sas, ça se mélange en fait allègrement et je me retrouve finalement.....quelques mètres derrière les meneurs d'allure 3h30 qui ont déboulé tout d'un coup de l'arrière. Le premier challenge sera donc de leur passer devant pour éviter le troupeau qui va se constituer derrière eux.
Le marathon servant de support aux championnats de France, il y a aussi 500 coureurs qui partent devant le sas préférentiel "moins de 3h" et il va falloir s'attendre à un départ rapide devant. Le départ surprend d'ailleurs un peu tout le monde car il est fait selon le protocole FFA....donc un simple coup de pistolet du starter et pas l'habituel décompte.
Hop hop hop, se caler au plus vite sur ces 4'58", c'est l'objectif...en espérant pas trop de bousculades....ce qui est le cas. La course est étonnamment fluide et j'arrive sans peine à passer les drapeaux bleus. Bravo aux toulousains (et aux autres) qui se placent correctement sur le départ de leur marathon (y'a des leçons à donner aux parigots, là).
Deux premiers kilomètres rapides....et en légère montée jusqu'au pont des Demoiselles...me confirment que le leitmotiv de la journée sera la chaleur.D'où résolution immédiate :hy-dra-ta-tion. Il va falloir jongler avec la gourde habituelle et les ravitos au vol car j'estime avoir besoin de 4 à 5l d'eau pour éviter tout problème.
Virage au pont des Demoiselles juste devant les drapeaux de 3h30 et pourtant j'ai fait les deux premiers kilomètres en 4'52 et 4'56. Il va d'ailleurs falloir être vigilant car la montre bipe légèrement avant chaque kilomètre donc le rythme réel est légèrement inférieur à ce qu'elle va annoncer (environ 2-3 secondes). Concentration z'et calculs, ça occupe.
Grand Rond (on y reviendra), rue de Metz, Esquirol...tout ça est avalé sur un rythme bien régulier quoique plus rapide que l'objectif. C'est que j'ai les drapeaux bleus aux fesses. Je ne comprends pas : ils vont bien trop vite et ils vont cramer tous ceux qui les suivent ! D'un autre côté, l'an dernier, sur un rythme de 3h35, c'étaient les drapeaux de 3h45 qui me talonnaient.
Pont Neuf : une petite descente pour passer rive gauche (eh oui, elle est plus basse que la rive droite, je vous le garantis). Et ça continue à défiler tranquille : tout le monde est au même rythme mais tout le monde dégouline déjà bien, ça promet pour le long voyage dans le Nord de Toulouse.
Et hop, un belle côte pour remonter sur le pont des Catalans, traverser les allées au son de la Pena Baïona (un comble, quand même), on tourne à gauche à Compans et....c'est parti pour plus de 10 kilomètres de quasi tout droit vers le Nord : bien pour la régularité mais ça va faire du dégât.
Passage à la Barrière de Paris là où, hier, nous prenions la navette pour le stade. Elisabeth et Zilou sont bien là et je me prends une deuxième rafale de photos.... Elisabeth hurle deux fois plus fort que la moitié de Toulouse qui est sur ce rond-point (j'exagère juste à peine). Les encouragements sont d'ailleurs très nombreux et enthousiastes sur cette partie et ça fait plaisir.
10ème kilomètre, 48'25" à ma montre, 49'25" officiel. Pile dans le rythme qu'il faut (y'a eu petite accélaration vers les Minimes)
Faut ça, parce que la suite est looooongue. L'avenue de Fronton n'en finit pas, juste interrompue par le pont des voies ferrées (aïe ça pique, cong) et lepassage sous la rocade (non, la ro-ca-deuh).
Un petit crochet dans Aucamville, sans grand intérêt si ce n'est d'ajouter les quelques centaines de mètres manquants. On est encore toujours en banlieue, donc il reste possible de faire de bonnes parties de parcours à l'ombre des maisons, au besoin en courant sur les trottoirs. Petite tactique perso qui paie toujours bien.
Et c'est reparti vers le Nord, ça n'en finit pas ce tout droit avec le soleil à droite. Pas grand chose à raconter en fait : on rattrape ça et là quelques participants du championnat de France : V2F, V3F, quelques V4H, de rares W3H, et, je crois, la seule V4 féminine qui est quand même sur un bon rythme de 3h45 (faudra que je vérifie le résultat final).
Kilomètre 18, c'est enfin la fin de cette remontée....mais ce n'est pas la fin du pas facile. Déjà, on a eu un petit aperçu juste avant avec une petite traversée à découvert où le soleil cognait sévèrement mais là, après avoir croisé ceux qui sont 10 minutes et 2kilomètres devant nous, on part dans une boucle autour du village qui n'en finit pas vraiment. Seule cerise sur le gateau : on groupe qui joue du Led Zep plutôt pas mal. Moi j'ai eu "Rock And Roll" (de Led Zeppelin IV), et vous?
Et le rythme, au fait, il en est où? Eh bien, sur ces 10 bornes de remontée dans la Nord, je n'ai rien lâché : les kilomètres oscillent entre 4'49 et 4'55, donc je suis bien dans l'objectif...un poil plus rapide, même. En me retournant, les drapeaux bleus sont désormais invisibles, donc je semble être nettement devant les 3h30. Oui, mais voilà.....avec la chaleur, est-il vraiment possible de faire une deuxième moitié aussi rapide?
Le semi est finalement atteint à Castelginet : 1h43'20" environ d'après ma montre, consultée au passage de la ligne, j'ai donc 1'40" d'avance.
C'est au kilomètre 22 qu'on commence enfin à revenir sur nos pas, direction Toulouse : y'en avait marre de voir les panneaux routiers nous l'indiquer dans notre dos ! Curieusement, se produit alors une espèce de déclic dans le peloton : ça craque de partout. Je vois les premiers marcheurs et je commence nettement à ramasser les coureurs. Certes, moi aussi, je commence à avoir les cuisses bien dures, ce qui me fait augmenter le rythme d'hydratation : c'est désormais une bouteille à chaque ravito que j'attrape, moitié pour m'arroser, moitié pour boire. Gros gâchis, d'ailleurs, ces bouteilles parfois de 1 litre alors que des 33cl suffiraient. Mais je ne me plains pas, j'ai toujours la lucidité de m'en servir!
Les kilomètres qui suivent seront une longue et interminable succession...de kilomètres....et de coureurs dépassés. C'est désormais bubulle en mode pacman : je ne trouve quasiment plus personne à mon rythme sauf un coureur avec un tee-shirt du marathon de Sauternes que je suivrai de plus ou moins loin jusqu'à le dépasser au km 35.
Par contre, c'est quand même un bon chemin de croix, ce retour, car le soleil est de plus en plus haut, il y a de moins en moins d'ombre....et un petit vent de face s'est levé ! Je me demande franchement quand je vais craquer, mais je me dis que ralentir serait capituler. Donc, allez, on dit que c'est le mur mais que je vais le démolir à coup de 4'55".
Ça marche bien vu que du 22 au 28, je tourne autour de 4'50 mais qu'est-ce que c'est long et dur ! Et, surtout, à découvert ! Notamment cet horrible passage entre Launaguet et la rocade (nong, la ro-ca-deuh) du km 26 au km 30, au milieu de rien avec juste ce petit vent sournois de face.
C'est là que Karine me rattrape. Je ne sais pas qui c'est Karine, mais tous les spectateurs crient son nom quand j'arrive....puis juste avant que j'arrive...:-). Bref, c'est la seule qui me dépasse, j'ai l'impression, depuis le kilomètre 22. Du coup, je m'accroche et j'arriverai à la suivre jusqu'au 34, voire à la redépasser en grillant les ravitos. Merci Karine, tu m'as bien aidé.
Enfin Borderouge, ça sonne le retour parmi la civilisation (on y avait cru au panneau "Tolosa" mais il était sournoisement au milieu des champs). Mais ça sonne aussi le début de lignes droites de malade mental, la pire étant celle où on nous fait prendre la couloir de bus....bien au centre de l'avenue, au cagnard. Heureusement que je retrouve enfin ma chérie et Zilou (qui va faire une rafale de 18 photos de Pacman Bubulle où on me voit mettre une mine au dossard 4047...et où on me voit devant Karine, ce qui était bien rare).
L'avenue qui (ra)mène à la Barrière de Paris est la pire : on voit la sculpture qui orne la place à au moins un kilomètre et ça n'en finit pas....et toujours ce fichu vent léger dans le pif : c'est pas possible, ils le font tourner avec les rues, ou quoi ? Karine me largue d'ailleurs dans ce secteur là, faudra que je regarde son résultat final.
L'ambiance monte à la Barrière de Paris, avec un petit côté "passage de la Bastille" du MDP qui fait chaud au coeur. Ça donne un peu l'impression que tout Toulouse est dehors. Je suis d'ailleurs même accompagné par grumlie qui est venu sur le parcours et que, le pauvre, j'ai fort peu salué quand il m'a fait signe en me trouvant au km 31 environ. Il me suivra pendant environ 4 kilomètres sans que je ne m'en rendre trop compte, tellement je suis focalisé sur ce rythme à ne pas perdre. J'espère que tu ne m'en voudras pas de ce manque de civilité de ma part!
Les kilomètres se suivent un peu dans le brouillard. Karine est bien devant désormais, je ne la vois plus (elle finira en fait 10 places et 30 secondes devant moi). Seule mémoire des ce passage Barrière de Paris-Jeanne d'Arc : je dépasse une concurrente Espoir du championnat de France, qui arbore un superbe maillot du CLCS Firminy, le club de mon cousin qui organise Le Puy-Firminy. Je la salue au passage, mais la pauvrette a l'air bien en galère et ne comprend pas bien ce que veut lui dire ce vieillard qui lui dit "à dans trois semaines à Firminy".
Dans tout cela, par je ne sais quel miracle, le rythme s'est maintenu et, j'ai beau guetter les signes de crampes, rien ne vient. Il faut dire que le reste de conscience qu'il me reste me force toujours à continuer à boire (et à prendre mes Pomp'Potes miracles....les 4 que j'avais emmenées y sont passées). Et c'est par petits paquets que je dépasse les coureurs sur les boulevards.
Qu'ils sont longs ces boulevards ! Après une ambiance de corrida à Jeanne d'Arc (où j'aurai une photo de dos....Elisabeth et Zilou ayant été trop optimistes sur leur capacité à me rattraper) et Jaurès, revenir jusqu'au Grand Rond est interminable. Longer le Jardin des Plantes aussi....et que dire de cette boucle au delà du Jardin des Plantes, qui n'est là que pour faire la distance...:-). Plus grand monde dans ce secteur et je pioche bien dans les deux relances à angle droit.
Mais, bon, je pioche à 4'47" même si je ne le sais pas (je ne regarde plus la montre....comme toujours à ce moment là, on ne pense plus qu'à arriver et le faire aussi vite qu'on peut). Le Jardin des Plantes est donc traversé un peu comme dans un rêve, je sais désormais que ça va le faire et bien le faire. Je veux juste pouvoir m'offrir une belle ligne droite sur la rue Alsace-Lorraine et je révise déjà le virage vers le Capitole.
Faut juste se palucher les allées Jules-Guesde, un peu désertes, avant de voir enfin ce panneau "41" qui veut dire "lâche tout bubulle".
Elle est belle, quand même, cette rue Alsace-Lorraine. Là, c'est sûr, y'aura plus de crampes, donc y'a plus qu'à se mettre dans le rouge complet et faire le kéké. En plus, ça descend un tout petit peu....enfin j'avais eu cette impression la veille. C'est un peu moins évident aujourd'hui et c'est long, quand même et j'attends le virage à gauche avec impatience.
La foule entière hurle "Vas-y Christian" quand je passe le virage en faisant crisser les Supernova et en renversant au moins 10 coureurs par le souffle chaud de la tempête Christian (qui sévit ce même jour dans le Nooooord). Je l'entends bien la foule, d'ailleurs.....mais c'est bizarre, elle a une voix que je connais, cette foule de toulousains... En fait, c'est normal, la foule qui hurle, c'est ma chérie à moi que j'ai, la seule capable de hurler "vas-y Kiki" plus fort que tout le Capitole (ou assez fort pour que je l'entende hurler de Vallorcine aux Posettes....j'exagère à peine).
Et, enfin, je le vois ce chrono après lequel je cours depuis plus de 3 heures, il est là, au dessus de la ligne et il me dit "3h27". GAGNÉ...le record, c'est tapé, le François, c'est poutré, Boston, c'est plié (ou presque), on foooooooonce.
Bip. 3h25'19" que me dit la montre. Yargla ! Tous les kikous me prédisaient ces 3h25 mais je n'osais pas y croire et elles sont là devant moi. Je viens de taper mon record de 8 minutes et j'ai survécu au four toulousain (ainsi qu'à la combinaison boudin/saucisse/rugby/magret). Je peux *enfin* me poser et il faudra quand même bien 5 minutes pour que je retrouve mon souffle.
Voilà. J'ai tapé le record, encore. Fait suer, ça va commencer à devenir difficile de progresser. Me revoilà donc au niveau du François (sisi, François, je me refuserai à abuser de l'expression "bubulle+4", elle n'est pas méritée).
Et la première étape du challenge d'automne bubullien, c'est fait. Prochain challenge : le retour sur Le Puy-Firminy et une tentative d'y approcher les 8 heures... mais ce sera une autre histoire (qui, j'en ai peur, sera aussi longue que celle-ci, vous qui avez survécu jusqu'à ces lignes).
Et, donc, François, rendez-vous l'an prochain (Val de Rueil à nouveau?) pour tenter ces 3h25, en le faisant en mode "team"?
18 commentaires
Commentaire de jack91290 posté le 27-10-2013 à 20:36:16
Un cr aussi rapide que ton chrono. Bravo Christian
Commentaire de SebKikourou posté le 27-10-2013 à 20:39:03
encore félicitation Christian ,toujours un plaisir de te lire on a l’impression d’être dans le peloton a tes cotes.
Commentaire de Arclusaz posté le 27-10-2013 à 20:46:08
c'est fait et c'est bien fait.
Bravo pour ta sportivité vis à vis de François et ta performance : effectivement, ça va devenir dur d'améliorer.
Pour te montrer mon admiration, je valide l'utilisation (2 fois) de "saucisse" à la place de son homologue masculin.
Commentaire de sabzaina posté le 27-10-2013 à 20:47:21
Rien d'autre à ajouter. Respect
Commentaire de Kirikou69 posté le 27-10-2013 à 21:03:40
Bravo à toi, compatriote ligérien : tu portes haut nos couleurs!!
Commentaire de francois 91410 posté le 27-10-2013 à 21:08:54
Bravissimo l'ami !
j'étais certain - sauf cata bretonne peu probable à Toulouse - que tu ferais 3h27 et même moins. Tu ne nous as pas déçu pour le coup !
En regardant tes relevé au km, c'est exactement ce que j'imaginais pour moi il y a une semaine (...n'en parlons plus...)
Pour l'an prochain, en effet, le défi est encore relevable. Une association FranBulle aurait de la gueule en effet, faudra juste choisir un spot moins risqué que le mien (en même temps ça devrait pas être dur) ; la chasse aux parcours roulants qu'on n'a jamais fait est ouverte, sinon je suis condamné à Val de Rueil ...
Bonne récup
Commentaire de st ar posté le 27-10-2013 à 21:47:41
et oui le défi va devenir de plus en plus dur à relever, c'est ça qui est bon...bravo pour ce nouveau record!
Commentaire de caro.s91 posté le 27-10-2013 à 22:11:41
Bravo, super Bubulle, non seulement super chrono, mais récit encore tout plein de la concentration que l'on ressent tout au long de ce parcours !
Commentaire de Bacchus posté le 27-10-2013 à 22:26:21
Voilà un Marathon superbement mené, belle perf
Bravo Bubulle
Commentaire de Jean-Phi posté le 28-10-2013 à 11:23:59
Belle perf bravo Christian ! Je note le repas d'avant course qui semble faire son petit effet le lendemain de course !
Commentaire de Mamanpat posté le 28-10-2013 à 11:43:12
Ben bravo !
Commentaire de grumlie posté le 28-10-2013 à 19:59:24
C'est clair qu'il était concentré (allez j'ose: le bubulle était dans sa bulle) ;-).
1 grand bravo pour cette belle perf.
Commentaire de Caro74 posté le 30-10-2013 à 20:06:31
BRAVO Bubulle, pour ta belle perf´ et surtout aussi pour ton super récit, qui m'a passionnée. En plus, tu es la preuve vivante que profiter de la bonne chère ne nuit en aucun cas à la performance, ce qui est une bonne nouvelle!
Commentaire de Caro74 posté le 30-10-2013 à 20:16:27
BRAVO Bubulle, pour ta belle perf´ et surtout aussi pour ton super récit, qui m'a passionnée. En plus, tu es la preuve vivante que profiter de la bonne chère ne nuit en aucun cas à la performance, ce qui est une bonne nouvelle!
Commentaire de Le Lutin d'Ecouves posté le 02-11-2013 à 09:08:01
Je me disais que pour un jeune, 3h25, c'est normal mais en te lisant, je constate que tu connais LedZep IV, ce qui veut dire que tu n'es plus très frais comme moi. Alors, ces 3h25 sont donc un très bon chrono que le François il va se faire mal au troudu pour le battre !
Bon, les gars, je me retire de la compétition, 3h24, c'est trop pour moi ...
Bravo Bubulle.
Commentaire de marc42 posté le 04-11-2013 à 20:00:08
Bravo Bubulle pour avoir tenu le choc, ce qui n'a pas été mon cas. Juste devant toi au semi et loin derrière à l'arrivée. Très beau récit. Bon courage pour la nocturne en Auvergne. Je peux te donner des infos : il fera moins chaud qu'à Toulouse et les lentilles vont remplacer les flageolets.
Commentaire de steph81 posté le 27-07-2014 à 22:52:38
Encore un super récit, merci:) Ca m'a rappelé des souvenirs,j'y étais aussi..c'est vrai que ça cognait!
Commentaire de bubulle posté le 11-10-2019 à 15:13:21
Je n'ai jamais participé à Boston....:-).
Et d'ailleurs, depuis celui-là, je n'ai plus fait un seul marathon sérieusement.
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