JeromeCl a écrit:Perso, mes "dopants" habituels en ultra :
en 3/ dernièrement, la soupe du ravito de Périoule ...avec les petites patates chaudes, rien que d'y penser ça me fait saliver.
Bikoon a écrit:Ma petite pierre à l'édifice, pas sur le dopage (quoique), mais sur l'effet potentiellement nuisible sur la santé d'une prise de médicaments : UTMB 2013, quelques heures avant le départ, je suis mal fichu, un peu fièvreux bref j'ai peur d'avoir choppé un truc.
Le seul cachet que je trouve est un ibuprofène 400, je prends. Au col Chécrouit 11h après Chamonix je fais pipi couleur coca, je me suis senti défaillir de trouille, mais heureusement pour moi aucune conséquence. Ce fut la seule et dernière fois...
coco38 a écrit:Bon et bien c'est un bon sujet...
Me voilà mieux informé sur la dangerosité des anti-inflammatoire. Je sous estimais nettement les risques même avec une utilisation limitée.
Je vais en rester au Doliprane de façon parcimonieuse de toute façon... et avec bonne conscience
Vik a écrit:moi il m'arrive de prendre une bière ou deux (ou ce qu'on me file d'autre, du jaja ou du genepi, voire de la prune) pendant une course. mais bon ça m'arrive aussi hors course, je sais pas dire si c'est une conduite dopante
novass396 a écrit:Bof... quand j'ai mal a la tête des fois, jprends un doliprane et puis apres j'ai pu mal.
Je le vis bien.
Ewi a écrit:coco38 a écrit:Bon et bien c'est un bon sujet...
Me voilà mieux informé sur la dangerosité des anti-inflammatoire. Je sous estimais nettement les risques même avec une utilisation limitée.
Je vais en rester au Doliprane de façon parcimonieuse de toute façon... et avec bonne conscience
Le plus simple, c'est d'en parler a son médecin lorsqu'on y va pour le fameux certificat médical
coco38 a écrit:Ewi a écrit:coco38 a écrit:Bon et bien c'est un bon sujet...
Me voilà mieux informé sur la dangerosité des anti-inflammatoire. Je sous estimais nettement les risques même avec une utilisation limitée.
Je vais en rester au Doliprane de façon parcimonieuse de toute façon... et avec bonne conscience
Le plus simple, c'est d'en parler a son médecin lorsqu'on y va pour le fameux certificat médical
Ben voilà... UT4M Taillefer fait sans Doliprane (ni avant, ni pendant, ni après)... et même pas mal !
Et pour les conseils du médécin... ben j'ai ma fille... nouvelle Interne en médecine
coco38 a écrit:Ewi a écrit:coco38 a écrit:Bon et bien c'est un bon sujet...
Me voilà mieux informé sur la dangerosité des anti-inflammatoire. Je sous estimais nettement les risques même avec une utilisation limitée.
Je vais en rester au Doliprane de façon parcimonieuse de toute façon... et avec bonne conscience
Le plus simple, c'est d'en parler a son médecin lorsqu'on y va pour le fameux certificat médical
Ben voilà... UT4M Taillefer fait sans Doliprane (ni avant, ni pendant, ni après)... et même pas mal !
Et pour les conseils du médécin... ben j'ai ma fille... nouvelle Interne en médecine
peky a écrit:Bonjour,
Sur LCP (chaine 13) le sujet du dopage est actuellement abordé.
Vik a écrit:moi il m'arrive de prendre une bière ou deux (ou ce qu'on me file d'autre, du jaja ou du genepi, voire de la prune) pendant une course. mais bon ça m'arrive aussi hors course, je sais pas dire si c'est une conduite dopante
banditblue29 a écrit:@Jean-Phi : c'est quoi ton problème de mâchoire ? Bruxisme?
Jean-Phi a écrit:La douleur fait partie inaliénable du sport. A nous de la transcender !
Je sais ça fait un peu mystique dis comme ça mais c'est ce qui permet de savoir que l'on n'a besoin d'aucun produit dopant (ou non) pour affronter la difficulté quel qu'elle soit.
My 2 cents (for nothing )
banditblue29 a écrit:@Jean-Phi : Je compatis.... ! Si en plus, tes muscles ne sont pas coopératifs, ça doit vraiment pas être simple .
Galaté57 a écrit:la ligne rouge qu'il convient toutefois à se fixer est que "repousser cette douleur" juste avec l'esprit ne devienne pas une motivation...
Cela serait aussi basculer dans une sorte de dopage encore plus pernicieux.
Jean-Phi a écrit:Je remonte les sujets en retard, très intéressants les échanges. Je vais me permettre une petite digression.
Ce qui est encore plus instructif c'est la confiance en soi qui apparaît en filigrane entre "ceux qui prennent" et "ceux qui ne prennent pas".
Je m'explique, à partir d'un exemple que je connais bien, moi !
Du temps où j'étais (sans doute) un coureur aguerri, je visais toujours plus, sans observer de repos et j'ai donc contracté des pubalgies et autres formes de blessures du coureur. J'ai soigné souvent à coup d'ibuprofène ou doliprane (n'allez pas croire que le doliprane est mieux, c'est faux).
Je suis sujet très sensible aux maux de tête (yeux) et j'ai très souvent pris des médocs pour ça (jusqu'au tramadol 50 pour ceux qui connaissent) et sujet à des problèmes de mâchoire assez violents (tramadol aussi). Je n'ai jamais vécu complètement ces douleurs. Tout juste les ai faites diminuer.
C'est long à expliquer mais la douleur est souvent très psychologique, se traduisant par des manifestations très physiques. Ce qui ne veut pas dire que l'on ne souffre pas !
Durant toute ma période coureur, avec le recul, je me suis aperçu que je doutais beaucoup, peu de confiance et surtout un mal être important. Le tout soigné à coup de médocs et autres.
J'ai depuis opéré un gros travail sur moi avec une certaine prise de recul sur le sujet douleur (au moment où je vous parle, cela fait 7 semaines que je me trimballe des douleurs de fou à la mâchoire). Je ne prends plus un seul cacheton pourtant depuis plusieurs mois.
La raison ?
1- Volonté de ne plus me bousiller quoique ce soi
2- Travail important psychologique avec auto hypnose (entre autre)
3- Recul sur la partie très psychologique de la douleur et la place que l'on veut lui donner ou pas
4- Confiance accrue en mes possibilités
Je pense qu'aujourd'hui, si je prenais le départ d'un ultra, je ne prendrai réellement rien. Je saurais soit ne pas prendre le départ parce que pas en capacité, soit avoir la certitude d'aller au bout. Par contre, je saurais identifier les 1ers signes pour anticiper l'arrivée de la douleur et la traiter en amie et non comme une ennemie/
La douleur fait partie inaliénable du sport. A nous de la transcender !
C'est de cette confiance en soi, de croire en ses capacités, en sa volonté que je perçois certains d'entre vous comme Tom (que je connais plutôt bien) ou Nath (que je lis surtout mais que j'adorerais croiser).
Je sais ça fait un peu mystique dis comme ça mais c'est ce qui permet de savoir que l'on n'a besoin d'aucun produit dopant (ou non) pour affronter la difficulté quel qu'elle soit.
My 2 cents (for nothing )
Vik a écrit:dans le genre, j'aime bien JCVD (pas ironique hein jsuis très sérieux)
BBert a écrit:Etude réalisée lors de l'UTMB 2017 qui vient d'être publiée:
Sur 412 échantillons d'athlètes masculins (hors élite) :
- 22% d'anti-inflammatoires
- 15% de paracétamol
- 4,4% d'hypnotiques (pour dormir la semaine précédente?)
- Au total 16% de produits interdits mais à peu près pas de produits dopants.
NRT421 a écrit:Tout le monde ne roule pas au saucisson semble-t-il. La nature humaine, rien de nouveau. Plonk
FredericB a écrit:NRT421 a écrit:Tout le monde ne roule pas au saucisson semble-t-il. La nature humaine, rien de nouveau. Plonk
En parlant de rouler, ils ont oublie celui/celle qui a saute dans une voiture pendant l'UTMB ? Cest pas considere comme du dopage ?
NRT421 a écrit:...La nature humaine, rien de nouveau. Plonk
FredericB a écrit:ils ont oublie celui/celle qui a saute dans une voiture pendant l'UTMB ? Cest pas considere comme du dopage ?
mic31 a écrit:Quelques questions :
- "412 échantillons d'athlètes masculins (hors élite) " : hors des élites peut on parler d'athlètes ?
- les femmes ne prennent rien (ou ne font jamais pipi ? )
- Utmb c'est le gros titre vendeur, mais ils parlent de quatre courses. Donc pas forcément la plus longue, puisque TDS, CCC etc sont concernées.
- et effectivement, pourquoi 6 ans pour sortir ces quelques infos ?
Nous ne disposions pas d’échantillons d’urine féminins, faute de structure de recueil appropriée