Boni a écrit:WE top mais c'est vrai que le soir j'ai vu, comme bcp puisqu'on mangeait, arriver des gars du 100 qui ont franchi la scène et disparu sans que pers ne s'en rende compte, sans que pers ne les accueille et que pers ne les présente. Put... les gars venaient de courir 17h ou bien plus !!!
Moi ces mecs là me font rêver ( y compris les filles), j'avais les boules pour eux !!!
Franchement ça c'est naze...le gars avec son micro il reste collé sur l'arrivée. 2 ou 3 fois il est arrivé comme une fusée mais les coureurs étaient barrés...trop tard !!! Ceci dit je ne pense même pas à ceux qui sont arrivés qd il n'y avait plus pers à table...dire que je risque de faire partie de ceux là l'an prochain...hi hi...ça doit être dur dur...
Et ben, j't'dis, ça donne envie d'organiser une course et de la tenir à bout de bras pendant des années...
Moi ça me barberait qu'on parle de moi alors que j'ai une tronche de zombie quand j'arrive, qu'en général j'ai envie de gerber, que j'ai rien à dire que des banalités du genre : "oh putain, que j'en ai chié !", j'en passe et des plus fines.
Le gars au micro, y fait ce qu'il peut et il est tout seul à le tenir pendant trois jours. Y dort même pas deux plombes en 3 jours. Il a pas fait de fiches sur tous les coureurs, moi-même j'y arrive pas, et pour la plupart des coureurs ya pas grand chose à dire, vu que le palmarès tient sur un timbre-poste, quand il en a un. Vas-y meuble, raconte sa vie pleine de trous au loustic. En plus si t'as le malheur d'appeler Caitlin Smith, Katherine Schmidt, t'as bien un branlu qui va te prendre le chou avec tes erreurs de prononciation, ta méconnaissance des coureurs, etc...
Alors que ça soit
naze d'arriver sans qu'on vous accueille ...j'en sais rien. Techniquement faudrait qu'Hercule il soit là aux aguets de 18 heures le samedi à 3 plombes du mat le dimanche, qu'il ait un relais informatique qui marche pour savoir qui arrive et quand, qu'il ait peaufiné des fiches sur tout le monde, qu'il ait un falzard avec un pistolet incorporé pour lansquiner sur place, etc...
Quand je me renseigne un peu sur le boulot que le gars qui tient le micro - mais qu'est pas là quand j'arrive - a fait pour cette course, et bien je me dis que je ne suis pas parfait, que ce que je viens de faire est un exploit relatif, que je l'ai fait pour mon plaisir unique et pas pour qu'on m'applaudisse, qu'on me cite, qu'on raconte ma vie, et que tout compte fait c'est mieux comme ça, parce que là j'ai un vieux glaire qui demande qu'à sortir et que voilà, vaut mieux que je disparaisse en catimini...
F'est où les fiottes? Merfi !