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90 km du Mont-Blanc 2024 - Chamonix Mont Blanc
avec 8 kivaoù, 167 récits au total, 7 galeries photos, 15 vidéos, les résultats
42 km du Mont-Blanc 2024 - Chamonix Mont Blanc
avec 2 kivaoù, 167 récits au total, 7 galeries photos, 15 vidéos
23 km du Mont-Blanc 2024 - Chamonix Mont Blanc
avec 1 récit pour 2024 et 167 au total, 7 galeries photos, 15 vidéos
Le Duo Etoilé - 21 km 2024 - Chamonix-Mont-Blanc
avec 167 récits au total, 7 galeries photos, 15 vidéos
10 km du Mont-Blanc 2024 - Chamonix Mont Blanc
avec 167 récits au total, 7 galeries photos, 15 vidéos
Km Vertical du Mont-Blanc 2024 - Chamonix Mont Blanc
avec 167 récits au total, 7 galeries photos, 15 vidéos
supervoyageur a écrit:defi13 a écrit:
bonjour Loïc nous avons une cote similaire (je navigue entre 50-52 sur des formats 80km) et 56-58 sur des formats 40-60k. Si tu viens de la route, tu sais courir vite normalement. Ton défi sur cette course ça va être la distance et le dénivelé (en gros le double de ce que tu connais).
Si tu as travaillé ta vitesse de base et ton seuil pendant ta préparation, et si tu veux t'éviter des déconvenues (bouchons notamment), tu peux appliquer les recommandations suivantes :
- venir tôt sur la ligne de départ et te placer SUR la ligne de départ pour être dans les 20 premiers à partir lors du coup de feu,
- faire un premier 500m en +/- 2 minutes en ville puis réguler ton allure sur le sentier qui va te faire quitter la ville,
- adopter un rythme de 4'20''/ 4'40'' par km pendant 2km en étant le plus souple possible,
- réguler ensuite sur les sentiers : plat je cours souple, montée je me questionne et je me demande si l'allure est la bonne pour un format 42K
- ralentir, marcher et rester fluide autant que possible dès que ça monte (il y a quelques coups de culs jusqu'au km 18 mais rien de méchant).
- à partir de 2ème ravitaillement Vallorcine (au pied de la montée des Posettes) tu marcheras obligatoirement. Au col s'il pleut ou il fait froid la veste de pluie est obligatoire de même que les gants (avec 2 paires j'ai quand même eu les mains bleues pendant plus d'une heure en 2014). La partie devient technique jusqu'à l'aiguillette des Posettes puis la descente est très difficile au début avant de s'adoucir. Pas de folies en descentes techniques et relâche toi lorsque cela devient facile en bas.
- après le Tour il y a une portion de plat de 15-17 minutes pour rejoindre Tré-le-Champ : il faut te détendre au maximum pour arrivé frais et déterminé à Tré-le-Champ. Ravitaille toi bien : la vraie course commencera après la passerelle métallique qui enjambe la route. Tu enchaîneras 20 minutes de montée technique / 15 mins de descente technique et 30 mins de montée difficile pour rejoindre la Flégère. Ravitaille toi bien et 1 heure plus tard tu seras arrivé.
Ce genre de départs rapide me convient assez bien, en 2022, j'ai été premier de ma vague du cross du MB après 500m de course et j'ai rattrapé le fond de la vague qui me précédait en 15 minutes. J'ai régulé à partir de ce moment là. Le petit effort pendant 15 minutes (à allure souple hein, pas au seuil car toi tu pars sur le 42k !) va lancer ta course et si tu te régules sagement après tu devrais faire un bon chrono. Dans mes calculs il faut passer le ravito de la Flégère en 5h10 max et finir avec le couteau entre les dents pour espérer faire 6h00. Partir cool puis accélérer par la suite est assez difficile surtout quand on ne connaît pas cette course.
Hello.
Merci pour tes conseils. Par contre à la lecture de ton message j'ai l'impression que tu as fait le parcours dans le sens inverse non ?
D'après la trace récupérée sur le site, le 1er ravitaillement est Le Tour puis tu prends la direction du col des posettes pour redescendre à Vallorcine qui est le second ravitaillement. Après Vallorcine, c'est l'enchaînement Le Bechar et La Flégère avant de redescendre sur Chamonix par la Charlanon.
miniping a écrit:Y'a pas besoin de partir vite sur le MMB, les premiers sentiers arrivent au bout de 7km, avant c'est assez large pour poser un A380 (pistes de ski de fond en gros)
defi13 a écrit:miniping a écrit:Y'a pas besoin de partir vite sur le MMB, les premiers sentiers arrivent au bout de 7km, avant c'est assez large pour poser un A380 (pistes de ski de fond en gros)
c'est clair, les pistes sont très larges, mais dès que les difficultés se profilent tu te fais tasser par des gens qui n'ont pas ton niveau et tu es entraîné dans un faux rythme alors que tu vaux beaucoup mieux.
A chaque fois que j'ai commencé dans une vague 2 ou 3 et que je rattrapais les 500 voire 1000 coureurs qui étaient partis 5, 10 (Cross du Mont Blanc 2022), 15 mins (Ventoux 2024), voire 30 minutes devant moi (Templiers 2022) je ne l'ai jamais regretté et je me suis toujours demandé ce qu'ils faisaient dans ce sas
defi13 a écrit:
c'est clair, les pistes sont très larges, mais dès que les difficultés se profilent tu te fais tasser par des gens qui n'ont pas ton niveau et tu es entraîné dans un faux rythme alors que tu vaux beaucoup mieux.
A chaque fois que j'ai commencé dans une vague 2 ou 3 et que je rattrapais les 500 voire 1000 coureurs qui étaient partis 5, 10 (Cross du Mont Blanc 2022), 15 mins (Ventoux 2024), voire 30 minutes devant moi (Templiers 2022) je ne l'ai jamais regretté et je me suis toujours demandé ce qu'ils faisaient dans ce sas
miniping a écrit:Oui enfin si on compte mettre 5h au MMB, il faut quand même pas partir en se "sentant bien".
van a écrit:bonne course à tous !! et millealheure, je n'ai pas pu répondre à ton mp comme ça ne fonctionne pas, mais oui le mieux c'est de garde les navettes pour l'accompagnant
millealheure a écrit:defi13 a écrit:miniping a écrit:Y'a pas besoin de partir vite sur le MMB, les premiers sentiers arrivent au bout de 7km, avant c'est assez large pour poser un A380 (pistes de ski de fond en gros)
c'est clair, les pistes sont très larges, mais dès que les difficultés se profilent tu te fais tasser par des gens qui n'ont pas ton niveau et tu es entraîné dans un faux rythme alors que tu vaux beaucoup mieux.
A chaque fois que j'ai commencé dans une vague 2 ou 3 et que je rattrapais les 500 voire 1000 coureurs qui étaient partis 5, 10 (Cross du Mont Blanc 2022), 15 mins (Ventoux 2024), voire 30 minutes devant moi (Templiers 2022) je ne l'ai jamais regretté et je me suis toujours demandé ce qu'ils faisaient dans ce sas
Vous parlez bien du 42 ... ? il me semble que la question des bouchons se pose davantage sur le 90 où l'on se retrouve assez vite sur des petits sentiers
bubulle a écrit:defi13 a écrit:
c'est clair, les pistes sont très larges, mais dès que les difficultés se profilent tu te fais tasser par des gens qui n'ont pas ton niveau et tu es entraîné dans un faux rythme alors que tu vaux beaucoup mieux.
A chaque fois que j'ai commencé dans une vague 2 ou 3 et que je rattrapais les 500 voire 1000 coureurs qui étaient partis 5, 10 (Cross du Mont Blanc 2022), 15 mins (Ventoux 2024), voire 30 minutes devant moi (Templiers 2022) je ne l'ai jamais regretté et je me suis toujours demandé ce qu'ils faisaient dans ce sas
Je pense très exactement le contraire de tout cela et je me permets de continuer à déconseiller totalement à supervoyageur d'appliquer cette "tactique" au 42km (mais tout aussi également à tous les coureurs du 90km qui ne visent pas le top 100).
Déjà, sans vouloir être relou, mais compter en minutes au kilo sur une course de montagne, voire sur n'importe quel trail, y'a comme un décalage.
L'adage simple est "Si tu te sens bien, c'est que tu vas trop vite. Si tu as l'impression de te traîner, tu es pas mal". Bourrin, mais efficace. Avec un niveau de 50-55-60 (Betrail), même si, sur le premier coup de cul, on est "sur un faux rythme" (dont j'attends de connaître la définition), l'importance de tout cela est extrêmement relative face au "temps" que l'on pourra potentiellement perdre quand on va soudainement exploser sans comprendre pourquoi, une bonne dizaine d'heures plus tard (sur le 90), ou dans la montée de la Flégère (sur le 42). Et qu'on va passer 10 minutes le uc sur une chaise et le regard dans le vide au ravito suivant (ou y vomir ses tripes, comme alternative intéressante).
Les "bouchons"? Et alors? On n'y pense plus quand on se prend un mega-cagnard dans la montée d'Émosson ou dans le Béchar. J'ai eu des bouchons sur le 90, au moment de passer sur le single qui monte à Bellachat....où j'ai eu l'impression de monter ensuite comme un escargot, moi qui aime bien faire parler les cuisses et les bâtons en côte. J'ai du attendre 10 minutes peu après le ravito d'Argentière, sur le 42, en ayant l'impression d'être au péage de St-Arnoult un samedi de départ en vacances. Ils étaient totalement oubliés, à la fin de la course.
Le fait de faire comme ça, aussi, ça a l'avantage de s'éviter plein de stress en début de course, on prend les choses comme elles viennent et, fort curieusement, on s'en porte généralement très bien.
Cela a même l'avantage qu'on profite bien mieux du début de la course en cessant définitivement de croire qu'on court le marathon olympique....
Mazouth a écrit:Raidioactif ne fait que gagner des places depuis le début, on peut dire que Raidioactif is au top !
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