Après la Ricamarie, direction le « soud » pour trouver le soleil avec les collègues du CMI dans la Totomobile. Les présents de ce mini weekend choc : Pedro vomito, Alain l’homme tranquille, Toto la crevette, Renaud le chat noir, Guillaume mon jumeau et ma pomme, votre serviteur ;)

 

Toto, Pedro et Alain vont faire le semi des « Pyramides », course rapide et classante. Toto et Pedro compte se taper la bourre et battre leurs records, Alain également en passant sous les 1h30 pour se qualifier par la même occasion au championnat de France.

 

De notre côté, on les accompagne en s’alignant sur le « Run » pour se faire une séance d’entraînement à l’allure voulue 15 jours plus tard sur notre objectif de Villeurbanne.

 

 

Départ tardif de Tullins, 2h30 plus tard, arrivée à la Grande Motte et installation dans le studio de Pedro. C’est l’heure de l’apéro et de manger. Pas mauvais le Crozes J

 

Marche digestive dans les rues désertes des Pyramides et après le bar d’Annonay, nous découvrons le King’s Pub de la Grande Motte.

 

Belle déco avec rideaux kitsch ;)

Petite bière et encore un lieu plein … de tranches de vie mais pas de thé Russe (cf Annonay !). :)

 

Retour au studio mais avant ça en bons montagnards que nous sommes, Toto nous fait grâce d’un grand moment en nous montrant les « huîtres » du bord de mer (il nous montrait les mouettes => cela a peut être un rapport avec ce qu’il va lui arriver plus tard dans la matinée dominicale).

 

 

 

Dodo animé ou plutôt réveil animé avec Toto qui se réveille malade et qui doit effectuer un premier slalom matinal pour ne pas nous vomir dessus (oui oui Pedro est bien vomito mais il a troqué sur surnom pour l’occasion) (je sens déjà la vengeance poindre … ;) ).

 

Pas de semi pour Toto qui a vraiment du mal à récupérer, c’est dommage il avait vraiment ce record dans les jambes mais ce n’est que partie remise vu le bonhomme (il court aussi un cross qu’un marathon, question de parité).

 

C’est notre heure pour notre Run, on n’est vraiment pas pressé et l’échauffement est plutôt restreint pour cet entraînement en conditions réelles.

 

Renaud veut descendre sous les 40 min à Villeurbanne, il compte donc se baser sur un temps de 19 min 30 environ, Guillaume sur la base de 17 min 30 et 17 min pour ma part.

 

On en saura mieux pour savoir si on est capable de faire ces temps (x 2) à Villeurbanne.

 

Les conditions sont idéales pour l’instant même si nous aurons un léger vent de face sur les 2 kms retour en bord de mer.

 

Détail important : les débardeurs et les lunettes de soleil, c’est râpé, il fait gris et frais. Pas terrible ce « soud ».

 

Pan, on commence à avoir l’habitude, on est superbement placé. Je pars vite en suivant le wagon, je dois être 12 ième environ (environ 400 au départ), les motards nous shootent allégrement sur le premier kilomètre.

 

 

Beaucoup d’espoirs et de juniors du club de Triahlon de la Grande Motte sur cette course, d’ailleurs certains explosent en étant parti trop vite.

 

 

 

Je remonte doucement mais sûrement, les jambes sont encore fatiguées mais le souffle est bon (je cours avec le cardio pour l’occasion). Pas de kilomètres indiqués, je cours donc à la sensation.

 

 

 

 

 

Je passe la ligne en 18 min 17 donc loin du chrono espéré alors que je n’ai pas traîné en route. Je suis 8 ième et 3^ième sénior mais de cagettes de pommes en lots, j’avais faim !

 

Tout le monde est d’ailleurs assez loin de leurs temps habituels.

 

On décide de refaire le parcours, résultat : 5 km 450 soit un temps inférieur à 17 min pour un 5 km. Pas mécontent même si je manquais de jus.

 

Direction les 2 derniers kms du semi pour servir de lièvre à Alain et Pedro. J’emmène Pedro qui a accompagné Alain dans sa quête du chrono.

Malheureusement, le vent fort s’est levé en bord de mer et franchement de face.

 

Je termine donc à Pedro, Guillaume avec Alain. Le bougre de Pedro finit en boulet, je regarde la montre, 15,5 km/h, 16, 16,5 km, et même plus de 17 sur ces deux derniers kms vraiment ventés !

 

 

 

 

La pluie les accompagne d’ailleurs.

Il passe la ligne en 1h32 et Alain en 1h33 pas si loin finalement du temps espéré malgré les conditions.

 

Il est l’heure de manger avec encore quelques belles anecdotes et moments de fous rires puis retour sur l’Isère avec un Toto qui a retrouvé la forme.

 

Un dernier adieu aux « huîtres » et des photos de groupe.

 

 

 

 

 

 

CMI, ça remue la vie ;)