L'auteur : Hippolyte30
La course : Semi-Marathon de Nimes
Date : 1/5/2007
Lieu : Nîmes (Gard)
Affichage : 2338 vues
Distance : 21.1km
Objectif : Pas d'objectif
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Semi-marathon de Nîmes. 1er mai 2007
Le métier qui rentre !
Voilà 10 jours que j'ai raccroché les baskets temporairement ! Le marathon de Paris n'est déjà qu'un bon souvenir . Tout mon esprit est désormais tourné vers la course du Viaduc de Millau. Robert, mon entraîneur de l'A.S.S.P Vergèze l'avait dit : " Après le marathon, une bonne semaine de repos puis après 3 footing de 40 à 50 minutes ". Des paroles de vieux sage que je respecte à la lettre. Du coup, 10 jours après le 42 km en 2h59, je suis presque frais. A part 4 ongles bleus, je n'ai aucun bobos, pas de stigmate. Ce programme minimum plus une journée thalasso à la Grande Motte avec Sandrine m'ont fait du bien. Et puis samedi, 13 jours après Paris, je rencontre un copain marathonien , Fred Moline avant le derby de Handball Nimes-Montpellier. Il est super bronzé, maigre comme un kenyan. La bouille du gars qui se sent bien dans son corps et qui prépare un gros coup : " En fait, je me suis mis au Triathlon avec Olivier mon petit frère, me dit-il. On prépare un Iron Man en Allemagne ( 3,8 km de natation, 180 km de vélo et un marathon pour finir ). Ce matin, j'ai fait 120 km de vélo. Je suis mort mais en pleine forme " me dit-il avec un large sourire. Je vois ça, il irradie le mec et donnes de la force pour faire des conneries. " Je fais le semi-marathon de Nîmes mardi 1er mai, tu en es ? " me demande t-il. Je lui réponds alors que je reviens tout juste de Paris, que je vais faire Millau et que cette course n'est pas dans mes plans... Seulement l'idée fait son chemin.
Farfelu ?
Dimanche, par e-mail, je demande l'avis du coach : " est-ce farfelu de courir un semi 15 jours après un marathon ?" Je m'attendais à une volée de bois vert du Robert. Et bien, pas du tout ! Voici sa réponse : " En ce qui concerne le semi de Nîmes, ce n'est pas une idée farfelue. Si tu as bien récupéré- c'est toi seul qui le sens- à condition d'avoir respecté les consignes de repos, tu peux même faire un bon chrono. ATTENTION !! Dés la moindre alerte musculaire, tu lèves le pied et tu finis super-cool sinon gros bobo ! " Voilà, ma décision est prise. Sandrine l'accueille super bien. Elle est vraiment parfaite, marathonienne elle aussi et me voilà inscrit par téléphone la veille de la course à un 21 km sans préparation mentale ou physique. Du coup, je dors super bien ! Le matin, je suis un peu plus stressé. Je récupère mon dossard, le N°6. Très bien, c'était mon numéro fétiche quand je jouais au foot, comme Dominique Bathenay que j'admirais, le joueur, pas l'entraîneur ! Comme je suis journaliste sportif, j'ai décidé, avec l'accord de mon rédac chef, de couvrir en même temps la compétition pour ma chaîne.
Ca, ce n'est pas une bonne idée. Ce n’est pas la première fois que ça m’arrive d’allier plaisir et travail mais c’est toujours au détriment de ma course. Je suis d’abord reporter. Avant le départ, je pense donc d'avantage au caméraman et aux interviews à faire plutôt qu’au départ tout proche. Je perds beaucoup de temps à parler avec tout le monde, organisateurs, coureurs et je ne me concentre pas beaucoup.
Je croise un confrère de la presse écrite toujours aussi sympathique. Sans me dire bonjour, il me toise: " Ah bon ! T'es là toi. Fais en sorte qu'on ne te voit pas sur les images à la télé." Je lui réponds gentiment : " écoutes, fais la course et toi aussi tu sera peut être sur les photos." Voilà, ça c'est dit !Toujours aussi grognon et gras du bide celui là ! Il devrait essayer la course à pied. Ce lui ferait du bien à la tête et au corps. Dans le métier, il y a quelques pisse-vinaigres dans son genre. Ils ne se mettent jamais en danger et vivent tout par procuration grâce à leur petite plume. Toujours à donner des leçons en deux phrases trempées dans l’acide sans essayer de comprendre la perf ou la contre performance d'un sportif. Il devrait sortir la tenue de jogging. Cela le rendrait plus humble et plus aimable. Il deviendrait journaliste « sportif » au sens littéral et ça peut aider pour avoir des infos. Depuis que j'ai commencé à faire courir sérieusement, je m'attire la sympathie des grands sportifs de la région. Je ne suis plus seulement un simple baveux mais aussi quelqu'un qui en bave à l'entraînement et en compétition. Dernier exemple en date avec le handballeur de Montpellier Franck Junillon, international Français. Il est venu dimanche dernier sur le plateau parler du derby Nîmes-Montpellier, sommet de la D1 française. C’est un grand joueur et un chic type, attentionné et ouvert. Avant de parler de son match, en aparté, au maquillage, il a voulu connaître mon temps au marathon de Paris. Ca fait plaisir.
Bon, j'ai maintenant 30 secondes de libre, j'essaye de penser à moi. Au moment où j'envisage d'aller me soulager, (avant une course, je suis un vrai toutou, dès que je vois un arbre, je ne peux pas m’en empêcher), Alain, un copain du club m'appelle pour une photo. J'oublie alors l'arrêt pipi et je repars au départ retrouver le caméraman pour un détail de tournage. Je fais ensuite une interview de Corinne Gayraud, l'une des meilleures féminines puis on discute tranquille à 5 minutes du coup de feu. " Tu veux faire combien ?" Elle me répond " 1h25 pour battre mon record sur semi ". Je me dis que je lui servirai peut être de lièvre. Je ne sais pas du tout ce qui va arriver aujourd'hui. Mon record est de 1h24'55" sur semi. Je vais peut être bien finir avec elle. Subitement, je me rends compte que je vais bientôt partir pour 21 bornes et que je n'ai même pas pensé à ma tactique de course. Partir tranquille ? Vite ? Consulter mon chrono à chaque km ? Trop de questions en si peu de temps. Je décide de courir à la sensation sans regarder la montre, au feeling, on verra bien. Zut ! J'ai envie de pisser maintenant. Trop tard.
L'animateur Claude Razon appelle déjà à une minute de silence en la mémoire de président de la ligue, Jean-Luc Chas, décédé d'une crise cardiaque.
9h00. Les 1300 concurrents du semi de Nîmes, qualificatif pour les championnats de France s'élancent des Allées Jean Jaurès. A ma grande surprise, j'en suis ! Je me demande une dernière fois si tout cela est bien raisonnable. Mais, j'ai l'impression d'avoir de bonnes jambes aujourd'hui. Il faut dire que le temps est parfait pour claquer une perf. Autour de 15° sans un pet de vent ! Au bout de 500 mètres, je suis doublé par un grand chevelu, Olivier. " Et alors Olivier, tu ne dis pas bonjour !". " Oh ! Denis, tu es là toi aussi. Mon frère m'avait dit que tu ne viendrais pas !" " J'ai changé d'avis à cause de lui. Où est-il ? " Juste derrière ! " " Bon allez, ne parlons plus ! A plus tard !". Et ce magnifique triathlète s'en va cueillir son meilleur temps sur semi en 1h18'58 soit 16 km/h.Quelques mètres plus loin, un verre de mes lunettes tombe à terre. Je perds 10 secondes dans l'affaire et je m'énerve tout en courant d'avoir pris cette paire alors qu'il n'y a pas de soleil. Je suis vraiment un amateur et c'est le métier qui rentre.
Tout va bien. C'est bon de courir après 15 jours d'abstinence. J'attrape, il me semble un bon wagon de mecs décidés. Il n'y a plus de filles dans le coin. Je ne regarde pas la montre mais on doit courir autour des 16 à l'heure. Je croise des gars du club. Bernard Kieffer, un champion celui là, discret et rapide. Il terminera 15ème en 1h17'14", record perso pulvérisé de 4 minutes !
En tête de mon groupe, il y a Jérôme Villaret, lui, aussi de Vergèze, un taiseux, jamais un mot plus haut que l'autre. Le buste bien droit, il a fière allure. Pourtant, il y a 2 semaines, il a subit une grosse défaillance au marathon de Rotterdam, apparemment sans conséquence. Dans cette course, je ne verrai que son dos. Par 2 fois, je lui dis que je traîne dans le coin mais aucune réaction de sa part. Il prend un gros relais pendant que je suis à la queue du peloton de 10 coureurs. Ca me fait penser encore à mon entraîneur. Il nous a transmis un pensum sur la tactique de course intitulé « guide d'entraînement pour les courses hors stade. »
Je le cite : " Vous pouvez profiter des autres coureurs pour vous abriter du vent. Ne menez jamais. Vous êtes dans une compétition. Ce n'est pas un oeuvre de bienfaisance. Il ne faut pas confondre sortie en groupe et épreuve officielle ". Bon, j’applique la tactique mais il y a tout de même une très bonne entente entre nous. Aux ravitaillements, on se file de l'eau puis les éponges passent de main en main. Plus loin, il faut juste faire attention avant l'hippodrome des Courbiers. L'organisation a aligné un bon kilomètre de barrière et il faut faire gaffe de ne se prendre les pieds dedans. Tout va bien à part que j'ai de plus en plus envie d'uriner. " Ca va passer Denis, Ce n'est rien ! " Ca, c'est le diable « Denis » au dessus de ma tête qui me parle comme dans les BD de Tintin. L'ange « Denis » n'a pas le même discours : " Denis, il faut t'arrêter. Tu as vraiment envie de pisser. Et puis, tu vas boire, non? T'es donc obligé de faire une halte sinon ta vessie va exploser! Allez, ne fais pas le con !" Et l'autre démon d'enchaîner : " Tu pisseras à l'arrivée, pour l'instant cours Zinzin, cours ". L'idée de boire moins m'effleure un peu l'esprit. Pas longtemps. La veille, j'ai lu un article dans Libération sur les malaises cardiaques et le marathon. Apparemment, plus tu cours, plus la chaleur de ton corps augmente et plus tes fréquences cardiaques montent. Pour lutter contre cela, il faut bien boire dès le premier ravitaillement sinon ton cœur tourne à vide comme une pompe de piscine. Et là, cela devient dangereux pour le palpitant. Comme je compte boire d’ici la fin de l’épreuve, je vais donc m'arrêter pour pisser. Je n’ai pas d’autres solutions. Ce sera après la mi-course.
On passe le 10ème km en 37minutes et 27 secondes ! En regardant pour la 1ère fois mon cardio de la matinée, je n’en crois pas mes yeux. Certes, je sentais que le train était rapide mais là, c'est carrément mon record sur 10.000 mètres battu de 35 secondes. " Finalement, c'est bien de courir à la sensation mais Zut ! Il faut vraiment que je pisse!". Je déclenche mon chrono comme pour un arrêt aux stands dans une course de Formule 1. Je stoppe sur la droite au bord de la route et je vois filer dans une longue ligne droite mes amis d’une demi-heure. Ils s'en vont sans un regard. C'est dommage. "Et merde ! Ce n'est pas possible. J'ai envie, très envie mais la plomberie est bloquée, j’ai très mal au bas ventre et ça ne vient pas." Au bout de 20 secondes, le mécanisme se met en branle et là, c’est l’inverse, le tuyau ne veut plus s'arrêter. Je vais ainsi uriner pendant 50 secondes sans discontinuer. Je vois les autres de plus en petits. A un moment, je me suis dit que j'allais repartir tout en me pissant dessus. Clic, j'appuie sur le chrono. Arrêt pipi, 1'10. Je ne sais pas combien de concurrents m'ont doublé. 10-15? C'est con mais je me dis encore que c'est le métier qui rentre !
Je regarde derrière moi. Personne ou presque. Corinne Gayraud n'est toujours pas en vue. Il n'y a pas de femme dans ce semi. Devant, à 30 mètres, 4 coureurs sont dans ma ligne de mire. Enervé, je les rattrape trop vite puis, je reste sagement avec mes nouveaux copains. Le tempo ne m'a pas l'air très rapide. Bigre ! Je cours 30" moins vite au kilo. Il faut se reprendre. J'accélère et je récupère par l'arrière de vieilles connaissances, Roland Laigle notamment du Macadam club nîmois, un bon client, à suivre les yeux fermés. Il est reconnaissable à l’éponge coincée à l’arrière de sa tète par un bandeau. Comme cela, il a les idées toujours au frais. Cependant, il a l'air de souffrir mais s’il ne manque pas de supporters tout au long du parcours. Tu parles, c'est son club qui organise la course.
Au 15ème, après la petite montée de l'autoroute, nous passons ensemble en 58'17". Dingue ce temps ! C'est aussi mon record malgré l'arrêt aux toilettes ! J'ai vraiment des bonnes cannes aujourd'hui. Finalement, peut être que l’arrêt prolongé m’a fait plus de bien que de mal. J’ai pu reprendre mon souffle et faire descendre les pulsations.« Si on veut faire 1h21, on doit faire les 5 derniers km en 19 minutes » me dit alors Roland Laigle. Je fais un rapide calcul et je lui réponds « Alors, je pense que ça va être difficile » ! Impossible même. Le parcours est redevenu plat mais il tourne beaucoup dans la cité Mas de Mingue puis dans les faubourgs de Nîmes. Heureusement, il y a de plus en plus de monde pour nous soutenir car depuis 10-12 bornes, c’était plutôt le désert du côté de la campagne gardoise. Il manque quelques groupes de musique et autres penas pour rendre la vie plus douce.
Roland semble abdiquer et je me retrouve au 17ème km avec 3 gars. On se fait quelques relais avant que le Vétéran 2 de plus de 50 ans du club « les foulées orangeoises » nous plante un démarrage à la « Békélé. » Il va nous mettre exactement une minute dans la vue. Il y a quelques instants, je lui filais de l’eau et voilà comment il me remercie. Puis au loin, j’aperçois le crane rasé et les bras tatoués de Serge Peyssin. Je ne suis pas sur qu’il me connaisse mais je le vois souvent devant moi dans les classements. C’est maintenant mon seul objectif : le rattraper. Il semble avoir la foulée plus lourde qu’à l’accoutumée. Je m’accroche à cette idée pour ne pas penser à ma forme déclinante. D’ailleurs, Je verrais mon image assez pitoyable ensuite sur les images d’Enrique, le caméraman ( elles ne seront pas diffusées, heureusement !). Je m’écrase sur le sol, le buste trop en avant là où les premiers semblaient voler au même endroit. Après 3 km de course poursuite, je dépasse, sans le regarder, Peyssin au niveau des arènes. Je ne suis pas euphorique pour autant. Les 2 derniers kilomètres me paraissent très longs. Un peu plus loin, Alain m’attend pour une photo de l’autre côté du monument romain. Clic-Clac et déconcentration. Je perds une nouvelle fois un verre de mes lunettes. Couillon va ! Vraiment, ce sont erreurs de débutant. J’entends déjà Roland et Serge revenir. Ce sont leurs supporters qui m’alertent. « Allez Serge, allez Rolland » De mon côté, il y a quelques « Allez Vergèze » qui fusent. Ca fait du bien.Enfin, voilà la dernière ligne droite ! Je sprinte pour garder ma place avec Roland juste dans mos dos. Avant l’arrivée, le speaker officiel n’arrête pas de l’encourager mais je résiste. Résultat : 51ème en 1h23’11, record personnel sur la distance. Je suis à la fois content et déçu d’être passer à côté de la qualification pour les France. Ce sera pour une autre fois.Sitôt la ligne passée, il faut que je redevienne journaliste. Transformation. Pas le temps de parler avec les copains ni de refaire la course puis de faire mes étirements. J’ai pourtant mal aux guiboles et aux pieds. En fait, j’ai des ampoules à 4 doigts de pieds. Cela ne m’arrive jamais ! Dernière erreur de ma part, j’avais oublié la crème anti-frottement.
J’attends donc, micro en main la première féminine pour l’interview. Il s’agit de Corinne Gayraud en 1h26. Bravo Coco !Les époux Gosse, Valérie et Pierre de mon club arrivent heureux 4 minutes plus tard. Record pour Valérie et 2ème place senior féminine. Belle perf !
1h23 minutes 11 secondes. 15,2km/h. Franchement, je ne peux pas avoir de regrets 15 jours après le marathon de Paris. Mais ce n’est pas un exploit retentissant. Mon confrère râleur de la presse écrite (décrit ci-dessus) a raison. Il ne faut pas se monter le bourrichon. Ainsi, dans la catégorie supérieure, il y en a qui font beaucoup plus fort tous les week-end. Des vraies machines à gagner comme le 1er de la course, Rachid Boulahdid, vainqueur en 1h07’07. 48 heures plus tôt, le même Rachid avait déjà remporté le semi d’Albi en 1h06. Ca, ça fait peur ! Et en même temps, cela pose des questions. Epilogue. Encore une pensée du coach : « Bien ton chrono à Nîmes. Maintenant du repos. »
Denis
51ème en 1h23’11/ 1074 arrivés
19ème V1/299
8 commentaires
Commentaire de gdraid posté le 04-05-2007 à 00:43:00
Chapeau Hippolyte30 !
Tu cours dans la cour des grands,
et tu écris avec la plume des grands.
Tout fut parfait pour toi, ce jour là.
Bravo pour ta belle perf.
JC
Commentaire de cedre posté le 04-05-2007 à 09:44:00
Je me régale (comme on dit chez nous) à te lire.
Joli semi pour toi en tous cas.Bravo....
au plaisir de se croiser sur les routes gardoises !!!!
Commentaire de bigout66 posté le 04-05-2007 à 10:11:00
Décidement tes récits sont vraiment passionnants.
Après Paris, cette fois-ci Nîmes que je voulais faire avant ma blessure.
J'avais déjà remarqué qu'après un marathon on est généralement très en forme puisque l'an dernier, 2 semaines après Paris, j'avais battu mon record sur 10km.
Dommage que tu ais perdu du temps entre tes lunettes et ta vessie :-))
Ton temps n'en reste pas moins excellent et j'aimerai un jour faire aussi bien.
@+ ;-)
Commentaire de zakkarri posté le 04-05-2007 à 17:18:00
Merci beaucoup pour ce super cr, je me suis vraiment régalé !, je connais de nom et de vue les personnes citées. Quel dommage l'arrêt pipi, la qualif c'est peut être joué à ce moment là ...
A bientôt peut être sur une course !
zak.
Commentaire de titifb posté le 05-05-2007 à 07:10:00
Belle course, beau chrono, beau récit !
Quel dommage que les quelques erreurs commises te coûtent tant (temps !), parce que je pense que tu aurais pu décrocher 1H21; c'était à ta portée, mais, comme tu le dis si bien : "c'est le métier qui rentre" et si ce chrono, tu le vaux, tu le feras !
Bonne continuation !
Commentaire de agnès78 posté le 05-05-2007 à 23:12:00
merci beaucoup pour ce MA-GNI-FI-QUE CR : un régal de te lire!
Et BRAVO pour ta course!
bises
agnès
Commentaire de agnès78 posté le 05-05-2007 à 23:12:00
merci beaucoup pour ce MA-GNI-FI-QUE CR : un régal de te lire!
Et BRAVO pour ta course!
bises
agnès
Commentaire de McFly posté le 06-05-2007 à 22:23:00
Ben après un CR pareil, je vais hésiter à en faire un. C'est sympa de nous faire découvrir comment ça se passe devant. Et encore bravo pour ta perf.
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