Avec un peu de retard, voici mon compte-rendu des 6h OFF du Marmotton, à Chambéry.

Après une semaine bien chargée au CERN à Genève (inauguré par Chirac l’année dernière, dixit Rapace74), j’arrive à Chambéry samedi midi avec ma Scénic et 4 chaises pliantes pour le ravito des 6h OFF. Le temps est maussade, mais on fera avec.

Je m’avale une petite salade aux diots , prend ma chambre au Lion d’Or, et vais frapper à celle d’Alzo (Pascal) pour éventuellement taper la discute. Après plusieurs minutes, Madame Alzo ouvre, et me signale que Monsieur dort. On se demande qui est la vraie Marmotte ?



Du coup, je file à la gare récupérer Momo13. Au moins lui, il est pas endormi, et on va se dérouiller les jambes en visitant la vieille ville. On discutera beaucoup aussi, surtout Momo en fait, il est pas marseillais pour rien .



Au retour de notre ballade, voilà t’y pas qu’on croise la Marmotte (pas la vraie, mais Alzo) et madame. Zou, rediscute au salon de thé.

Ensuite, direction la gare again avec Momo, où cette fois, il y a des grosses pointures :
Bertrand HéméVO2drôme, grand favori de ces 6h
Bernard le Pirate, nouvel espoir de la marche de grand fond française
Vincent le Confetti, encore un Sudiste haut en couleurs qui déchire
Fabulous Fab et j’en oublie, tout çà pour attendre l’arrivée par le train de Paname de :
Christophe Tonio, le déjanté des classements IAU sans fin
Caroline Nono (non, pas l’escargot), quel sourire à damner un Saint
Jean-Louis Cagouille41 (ex67), qui descend du Pfaffenschlick à bikini (private joke)
Et Noel Patate avec son canidé mignon (car la Patate, c’est plutôt une tête de n…. breton)

(Pour simplifier, j’ai occulté la chronologie exacte des arrivées des uns et des autres)

Comme tout ce beau monde a soif, direction le troquet face à la gare pour se jeter bières et pastaga derrière le gosier. Vers 19h, petit tour au terrier pour certains pour déposer ses affaires, puis cap vers la Pizzeria Peppone, lieu du grand AAB d’une quarantaine d’ultrafondus ADDM kikourent. Comme d’autres ont déjà relaté en détail ce rassemblement, je zappe. Juste quelques photos :

























C'est pas bon, ce qu'on mange, chez Peppone? Qui c'est qu'a choisi, d'abord?

Retour au Lion d’Or avec Momo, Bernard et Caroline, après un petit détour pour déposer Tonio et Rudy à l’Etap Hotel. Et chut…, on fait gaffe de pas réveiller Alzo.

Le lendemain, petit déjeuner avec Momo et Bernard vers 6h30. Alzo et Caroline se concoctent chacun leur petit-déj perso dans leur chambre, on pourra avoir des doutes sur ce qu’ils auront consommé ;) .

Puis on file enfin vers le lieu du crime, euh je veux dire, des réjouissances. Là, on retrouve encore de nouvelles têtes (car tous n’ont pas pu assister à l’AAB de la veille), et c’est l’occasion de retrouvailles parfois cocasses:



Chacun se prépare à sa façon, mais on se couvre presque tous, car pluie, fraicheur et vent sont au programme:















Tout ça sous l’œil attentionné de Mille pattes, qui va éponger pas mal de flaques (sauf le lac, sa raclette est un poil trop petite pour çà):



Et d’un beau couple de zamoureux (mais y en a un qui porte déjà les cornes, c’est pas de bonne augure, tout çà !):



9h10, c’est parti. Soi-disant un tour de chauffe, mais le peloton éclate dès le départ. Hopla n’arrive pas à contenir les F1.

…couic…

Après la course, on n’est même pas trop fatigués:





Il faut dire que Marmotton avait tout prévu pour nous sustenter : crêpes, clairette, bières…., sans oublier celles de Cloclo (37° dixit Pat71):



En fait, j’aurais à peine vu passer ces 6h, enfilant les tours comme des perles. 33 tours au final, d’un récital Cloclo encore « dans le vent », dixit Cagouille.
Ca rattrape un peu ma misérable prestation aux derniers 100 km de Millau, en 17h23.

Je dois dire que l’extraordinaire organisation du Marmotton et de ses acolytes n’est pas étrangère à ma bonne disposition. "Et le grand vainqueur de ces 6h Off.... c'est Marmotton!!!!"



Les encouragements de tous les po(é)tes et po(é)tesses à chaque fois qu’on se croisait a aussi aidé, merci à tous.





L’after a évidemment encore consisté à se poser dans un troquet en accompagnant l’attente du train pour Tonio et Caroline. Puis on s’est mangé une raclette sur une table hongroise, euh je voulais dire une tartiflette sur une table savoyarde. Dur, dur, de se quitter.

Mais on sait qu’en 2008, ca sera encore plus géant (est-ce possible?)