Pour une meilleure description de l'alta via 1 & 2, tu as encore les liens :
http://www.regione.vda.it/turismo/sport_eventi/sport/escursionismo/trekking_f.asp?type=a&pk_tour=40&infoPath=/turismo/sport_eventi/sport/escursionismo/altavia2_f.asp
et
http://www.regione.vda.it/turismo/sport_eventi/sport/escursionismo/trekking_f.asp?type=a&pk_tour=39&infoPath=/turismo/sport_eventi/sport/escursionismo/altavia1_f.asp
Pour ceux que ça intéresse, on peut trouver des cartes ici :
http://ecommerce.escursionista.it/lista_cat3.asp?open=ok&idcat1=237&idcat2=2971&idcat3=986
a+
Mais c'est quoi ce truc de malade ???
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Voir la fiche de la course sur kikouroù
TOR330 Tor des Géants 2010 - Courmayeur
avec 9 kivaoù, 5 récits pour 2010 et 76 au total, 23 vidéos
par Grizzlyski » sa fiche K
» 24 Nov 2009, 17:38
par Tercan » sa fiche K
» 29 Jan 2010, 08:26
rapace74 a écrit:l'inscription officielle est reportée au 20 fevrier a la place du 1er....
cela laisse encore le temps de réfléchir pour cette balade
manu
J'vais attendre l'an prochain pour y aller finalement.
J'voudrais pas te pourir sur la course anni de tes 40 balais
Tercan_c'est_beau_de_rever
par Elcap » sa fiche K
» 11 Mai 2010, 14:30
Comme je le dis régulièrement.... j'ai besoin de défis pour avancer, en toutes choses.
En matière de trail, cette petite sortie est mon objectif 2012/2013.
Après, d'ici là... tout peut arriver. Mais c'est le point de mire.
Si la course se fait toujours, en plus
En matière de trail, cette petite sortie est mon objectif 2012/2013.
Après, d'ici là... tout peut arriver. Mais c'est le point de mire.
Si la course se fait toujours, en plus
par Elcap » sa fiche K
» 11 Mai 2010, 14:41
tanguyla a écrit:Comme c'est dommage d'attendre si loin !...
Viens donc te ballader dès cette année, il reste encore de la place...
Et plus on est de oufs...
Je suis réaliste.... j'ai commencé le trail cette année... 1ere sorie longue : saintélyon 2009, prochaine grosse échance : CCC2010.
Je me le projetterai bien pour 2011, je suis assez fou pour ça... mais plus assez jeune. je sais qu'il me faudra un équivalent UTMB, avant, pour faire l'intermédiaire...
C'est plus réaliste non ? Et déjà assez fou
par serge » sa fiche K
» 11 Mai 2010, 15:04
un article d'ultrafondus sur l'expérience à avoir :
http://pagesperso-orange.fr/etienne.fer ... l-2010.pdf
la dernière newsletter de l'organisation reçue :
"Lorsque nous avons décidé d’envoyer chaque mois des communications à tous les inscrits, nous avons été dans l’obligation de choisir un thème pour chacune de nos lettres.
Il n’a pas été facile de choisir les sujets à traiter, vu le grand nombre de thèmes intéressants.
Dans cette seconde lettre d’informations, nous souhaiterions parler de quelques aspects étroitement liés à la sécurité.
Au cours de ces mois d’hiver, nous nous sommes concentrés sur la définition du système de sécurité et de secours à mettre en œuvre. Dans les essais que nous menons régulièrement avec nos experts, c’est toujours l’importance du rôle du coureur qui nous saute aux yeux.
Chaque personne participant à la course (coureur, volontaire, secouriste etc.) doit être pleinement consciente de ce qu’elle est sur le point d’affronter.
Que signifie tout ceci ?
Partant du principe que la sécurité personnelle dépend principalement du comportement de la personne elle-même, il est évident que chaque coureur doit toujours adopter des comportements responsables et respecter certaines règles de base très simples.
Nous avons déjà parlé dans la lettre d’informations que vous avez reçue de l’importance du matériel obligatoire et des vêtements. Dans cette lettre, nous souhaitons affronter le thème de la sécurité sous un autre angle.
Souvent on entend parler, dans les règlements et dans les recommandations des différents organisateurs de trail, de « réelle capacité d’autonomie personnelle ».
Qu’entend t-on avec cette définition ?Essayons de l’adapter à notre course.
Au mois de septembre, nous affronterons tous un défi important. Le Tor des Géants est une course d’ultra endurance en une seule étape qui doit être affrontée avec une préparation appropriée, non seulement au niveau de l’entraînement mais aussi comme capacité à se gérer.
Chaque coureur doit être en mesure d’affronter les situations avec toute la « sérénité » possible, c’est-à-dire être capable de résoudre toute difficulté, grande ou petite, en temps utile et avec calme.
Pour réussir un défi de ce genre, la connaissance de l’épreuve est fondamentale. Connaître le parcours, en ayant même fait des reconnaissances au préalable, connaître les conditions météo auxquelles on risque d’être confronté et, surtout, connaître ses propres capacités sont des facteurs très importants permettant d’élaborer une tactique.
Chacun doit être en mesure d’affronter de longues périodes de marche en solitaire, dans des conditions difficiles et dans l’obscurité, n’ayant pas peur des animaux qu’il pourra rencontrer le long du parcours, connaissant ses propres limites et ne risquant pas de se retrouver à bout de forces.
Il est important de commencer la course avec une tactique, c’est-à-dire d’établir globalement le nombre d’heures de marche et d’heures de repos à effectuer chaque jour, combien d’heures dormir et où dormir, comment s’alimenter.
50 postes de ravitaillement, repos et secours seront disséminés sur le parcours, dont les bases de vie. La stratégie gagnante peut être d’exploiter au maximum les opportunités offertes par les bases de vie. Tous les postes de ravitaillement offriront différents types d’assistance et des espaces où il sera possible de se reposer pendant quelques heures (2 heures maximum), afin de vous permettre d’affronter les coups de sommeil et la fatigue excessive. Les bases de vie sont des lieux où vous pourrez vous arrêter pour dormir, prendre un repas complet et une douche. Bien entendu, il est évident que penser de s’arrêter pendant un long moment dans un refuge ou un poste de ravitaillement ou même le long du parcours puis, ensuite, dans les bases de vie augmentera énormément les temps d’arrêt, au détriment de ceux de marche.
Vous devez vous assurer d’avoir toujours sur vous une réserve de nourriture et d’eau suffisante, en tenant compte du fait que les conditions météo jouent un rôle important sur la consommation d’énergie et, par conséquent, augmentent le besoin de s’alimenter. Évitez cependant de surcharger votre estomac en consommant trop d’aliments hyper caloriques et essayez d’adopter un régime varié ; les postes de ravitaillement proposent des aliments et boissons différents en mesure de satisfaire vos exigences, tandis que les bases de vie offrent des repas complets en vue de réveiller toutes les énergies nécessaires.
Essayez de reconnaître les signes que vous envoie votre corps pour vous dire que le moment de s’arrêter est arrivé. Il est préférable de s’arrêter un moment plutôt que de risquer de ne pas parvenir à terminer la course ou de mettre sa santé en danger.
Savoir combien de kilomètres vous séparent d’un poste de ravitaillement est fondamental car, si vous êtes en difficulté et pensez ne pas parvenir à atteindre le poste de ravitaillement suivant car trop loin, vous avez la possibilité de choisir de revenir sur vos pas vers le poste le plus proche, où vous attendent des volontaires prêts à vous aider.
Cette règle est valable pour toutes les situations, lorsque vous ne vous sentez pas sûr : si vous avez l’impression de vous être trompé de direction, si vous avez un problème physiologique ou tout simplement si vous tombez de sommeil au point de dormir debout. Cette course doit être une aventure dont vous vous souviendrez avec plaisir, ne vous torturez pas inutilement... Il sera encore possible de relever le défi l'année prochaine !
Au cours de ces derniers mois, nous avons réalisé un carnet de route détaillé et préparé toutes les cartes gps du parcours. Les personnes ayant effectué la pré-inscription ont déjà reçu, avec le DVD de la vidéo, un CD contenant ces importants fichiers. Au mois de mai, ces mêmes fichiers pourront être téléchargés sur notre site, de façon à ce que tout le monde puisse les utiliser. Étudiez-les avec attention et amenez avec vous le carnet de route pendant la course.
Ne sous-estimez pas l’importance des lampes frontales, qui devront être en bon état et assez puissantes, n’oubliez pas les batteries de rechange.... On ne sait jamais, vous pourriez vous retrouver dans l’obscurité et le froid sans aucune lumière ! Suivez attentivement les fanions le long du parcours (nous en préparerons 8.000) et les indications dans les centres habités, constituées de panneaux et flèches réfléchissantes, qui, avec votre lampe frontale, brilleront, même de loin.
Et si vous n’en pouvez vraiment plus ?
Cela peut arriver et c’est humain ! Souvent, s’arrêter et abandonner la course est le meilleur choix. Si vous décidez d’abandonner la course, n’oubliez pas d’avertir les volontaires et assurez-vous que ceci a été correctement communiqué au PC de la course. Souvenez-vous qu’une grande partie du parcours se déroule à plus de 2.000 mètres d’altitude, les téléphones ne reçoivent pas toujours, donc vos mobiles ne vous seront pas utiles. C’est pour cette raison que les postes de ravitaillement et de contrôle ne sont pas très éloignés les uns des autres. Chaque volontaire rattaché à ces postes sera en contact radio, en permanence, avec le PC d’Aoste sur une fréquence prévue à cette effet qui sera mise à notre disposition par la Protection Civile, et pourra éventuellement avertir les secours ou tout simplement organiser votre retour.
Votre passage sera enregistré chaque fois que vous vous trouverez à un poste de ravitaillement, un point d’eau ou dans les bases de vie.
Il y aura aussi des postes de contrôle informatique où votre puce sera lue avec un lecteur spécifique et votre passage enregistré et envoyé au PC. Dans d’autres postes, le contrôle sera fait de façon manuelle, en cochant votre numéro de dossard sur une liste spécifique, puis sera communiqué par radio. Dans tous les cas, assurez-vous que la lecture de la puce ou l’inscription dans la liste soit faite correctement. Dans les bases de vie, la lecture de la puce sera faite au moment de votre arrivée et de votre départ. Pourquoi autant de précautions ? Ce système est le seul qui nous permet de savoir où vous êtes…et savoir si vous êtes là ! Il est essentiel pour le système de sécurité et secours de savoir à quel point du parcours vous vous trouvez de façon à faire une estimation de vos temps de parcours de la distance qui vous sépare d’un poste de contrôle à l’autre.
Souvenez-vous : nous sommes responsables de votre sécurité mais c’est aussi un devoir pour vous !
De notre côté, nous mettrons en œuvre toutes les forces nécessaires pour vous accompagner tout au long de cette exceptionnelle aventure. Du votre, il doit y avoir un sens de responsabilité et une réelle capacité d’autonomie personnelle."
http://pagesperso-orange.fr/etienne.fer ... l-2010.pdf
la dernière newsletter de l'organisation reçue :
"Lorsque nous avons décidé d’envoyer chaque mois des communications à tous les inscrits, nous avons été dans l’obligation de choisir un thème pour chacune de nos lettres.
Il n’a pas été facile de choisir les sujets à traiter, vu le grand nombre de thèmes intéressants.
Dans cette seconde lettre d’informations, nous souhaiterions parler de quelques aspects étroitement liés à la sécurité.
Au cours de ces mois d’hiver, nous nous sommes concentrés sur la définition du système de sécurité et de secours à mettre en œuvre. Dans les essais que nous menons régulièrement avec nos experts, c’est toujours l’importance du rôle du coureur qui nous saute aux yeux.
Chaque personne participant à la course (coureur, volontaire, secouriste etc.) doit être pleinement consciente de ce qu’elle est sur le point d’affronter.
Que signifie tout ceci ?
Partant du principe que la sécurité personnelle dépend principalement du comportement de la personne elle-même, il est évident que chaque coureur doit toujours adopter des comportements responsables et respecter certaines règles de base très simples.
Nous avons déjà parlé dans la lettre d’informations que vous avez reçue de l’importance du matériel obligatoire et des vêtements. Dans cette lettre, nous souhaitons affronter le thème de la sécurité sous un autre angle.
Souvent on entend parler, dans les règlements et dans les recommandations des différents organisateurs de trail, de « réelle capacité d’autonomie personnelle ».
Qu’entend t-on avec cette définition ?Essayons de l’adapter à notre course.
Au mois de septembre, nous affronterons tous un défi important. Le Tor des Géants est une course d’ultra endurance en une seule étape qui doit être affrontée avec une préparation appropriée, non seulement au niveau de l’entraînement mais aussi comme capacité à se gérer.
Chaque coureur doit être en mesure d’affronter les situations avec toute la « sérénité » possible, c’est-à-dire être capable de résoudre toute difficulté, grande ou petite, en temps utile et avec calme.
Pour réussir un défi de ce genre, la connaissance de l’épreuve est fondamentale. Connaître le parcours, en ayant même fait des reconnaissances au préalable, connaître les conditions météo auxquelles on risque d’être confronté et, surtout, connaître ses propres capacités sont des facteurs très importants permettant d’élaborer une tactique.
Chacun doit être en mesure d’affronter de longues périodes de marche en solitaire, dans des conditions difficiles et dans l’obscurité, n’ayant pas peur des animaux qu’il pourra rencontrer le long du parcours, connaissant ses propres limites et ne risquant pas de se retrouver à bout de forces.
Il est important de commencer la course avec une tactique, c’est-à-dire d’établir globalement le nombre d’heures de marche et d’heures de repos à effectuer chaque jour, combien d’heures dormir et où dormir, comment s’alimenter.
50 postes de ravitaillement, repos et secours seront disséminés sur le parcours, dont les bases de vie. La stratégie gagnante peut être d’exploiter au maximum les opportunités offertes par les bases de vie. Tous les postes de ravitaillement offriront différents types d’assistance et des espaces où il sera possible de se reposer pendant quelques heures (2 heures maximum), afin de vous permettre d’affronter les coups de sommeil et la fatigue excessive. Les bases de vie sont des lieux où vous pourrez vous arrêter pour dormir, prendre un repas complet et une douche. Bien entendu, il est évident que penser de s’arrêter pendant un long moment dans un refuge ou un poste de ravitaillement ou même le long du parcours puis, ensuite, dans les bases de vie augmentera énormément les temps d’arrêt, au détriment de ceux de marche.
Vous devez vous assurer d’avoir toujours sur vous une réserve de nourriture et d’eau suffisante, en tenant compte du fait que les conditions météo jouent un rôle important sur la consommation d’énergie et, par conséquent, augmentent le besoin de s’alimenter. Évitez cependant de surcharger votre estomac en consommant trop d’aliments hyper caloriques et essayez d’adopter un régime varié ; les postes de ravitaillement proposent des aliments et boissons différents en mesure de satisfaire vos exigences, tandis que les bases de vie offrent des repas complets en vue de réveiller toutes les énergies nécessaires.
Essayez de reconnaître les signes que vous envoie votre corps pour vous dire que le moment de s’arrêter est arrivé. Il est préférable de s’arrêter un moment plutôt que de risquer de ne pas parvenir à terminer la course ou de mettre sa santé en danger.
Savoir combien de kilomètres vous séparent d’un poste de ravitaillement est fondamental car, si vous êtes en difficulté et pensez ne pas parvenir à atteindre le poste de ravitaillement suivant car trop loin, vous avez la possibilité de choisir de revenir sur vos pas vers le poste le plus proche, où vous attendent des volontaires prêts à vous aider.
Cette règle est valable pour toutes les situations, lorsque vous ne vous sentez pas sûr : si vous avez l’impression de vous être trompé de direction, si vous avez un problème physiologique ou tout simplement si vous tombez de sommeil au point de dormir debout. Cette course doit être une aventure dont vous vous souviendrez avec plaisir, ne vous torturez pas inutilement... Il sera encore possible de relever le défi l'année prochaine !
Au cours de ces derniers mois, nous avons réalisé un carnet de route détaillé et préparé toutes les cartes gps du parcours. Les personnes ayant effectué la pré-inscription ont déjà reçu, avec le DVD de la vidéo, un CD contenant ces importants fichiers. Au mois de mai, ces mêmes fichiers pourront être téléchargés sur notre site, de façon à ce que tout le monde puisse les utiliser. Étudiez-les avec attention et amenez avec vous le carnet de route pendant la course.
Ne sous-estimez pas l’importance des lampes frontales, qui devront être en bon état et assez puissantes, n’oubliez pas les batteries de rechange.... On ne sait jamais, vous pourriez vous retrouver dans l’obscurité et le froid sans aucune lumière ! Suivez attentivement les fanions le long du parcours (nous en préparerons 8.000) et les indications dans les centres habités, constituées de panneaux et flèches réfléchissantes, qui, avec votre lampe frontale, brilleront, même de loin.
Et si vous n’en pouvez vraiment plus ?
Cela peut arriver et c’est humain ! Souvent, s’arrêter et abandonner la course est le meilleur choix. Si vous décidez d’abandonner la course, n’oubliez pas d’avertir les volontaires et assurez-vous que ceci a été correctement communiqué au PC de la course. Souvenez-vous qu’une grande partie du parcours se déroule à plus de 2.000 mètres d’altitude, les téléphones ne reçoivent pas toujours, donc vos mobiles ne vous seront pas utiles. C’est pour cette raison que les postes de ravitaillement et de contrôle ne sont pas très éloignés les uns des autres. Chaque volontaire rattaché à ces postes sera en contact radio, en permanence, avec le PC d’Aoste sur une fréquence prévue à cette effet qui sera mise à notre disposition par la Protection Civile, et pourra éventuellement avertir les secours ou tout simplement organiser votre retour.
Votre passage sera enregistré chaque fois que vous vous trouverez à un poste de ravitaillement, un point d’eau ou dans les bases de vie.
Il y aura aussi des postes de contrôle informatique où votre puce sera lue avec un lecteur spécifique et votre passage enregistré et envoyé au PC. Dans d’autres postes, le contrôle sera fait de façon manuelle, en cochant votre numéro de dossard sur une liste spécifique, puis sera communiqué par radio. Dans tous les cas, assurez-vous que la lecture de la puce ou l’inscription dans la liste soit faite correctement. Dans les bases de vie, la lecture de la puce sera faite au moment de votre arrivée et de votre départ. Pourquoi autant de précautions ? Ce système est le seul qui nous permet de savoir où vous êtes…et savoir si vous êtes là ! Il est essentiel pour le système de sécurité et secours de savoir à quel point du parcours vous vous trouvez de façon à faire une estimation de vos temps de parcours de la distance qui vous sépare d’un poste de contrôle à l’autre.
Souvenez-vous : nous sommes responsables de votre sécurité mais c’est aussi un devoir pour vous !
De notre côté, nous mettrons en œuvre toutes les forces nécessaires pour vous accompagner tout au long de cette exceptionnelle aventure. Du votre, il doit y avoir un sens de responsabilité et une réelle capacité d’autonomie personnelle."
par Erwan Japon » sa fiche K
» 13 Mai 2010, 13:41
DidierC a écrit:http://www.kikourou.net/calendrier/course-29958-tor_des_geants-2010.html
321 kms et 24000 m de D+ non stop
On a pire au Japon...
La TJAR.
420km, la D+ est introuvable mais ca doit etre epoustouflant...
Le parcours: traverse le Japon d'ouest en Est (sens inverse de la Sakuramichi), mais par la montagne (trail). Pleins de passages a plus de 3,000m.
Ravitaillement: aucun. Support (par des proches par example) interdit.
Refuge: interdit de s'y loger ou de s'y reposer, mais droit d'y acheter a manger.
Record de l'epreuve: 5j10h32mn
par jpoggio » sa fiche K
» 07 Sep 2010, 07:00
Parmi les coureurs en souffrance au centre des sports de Dolonne lors du dernier wek-end d'août (...), il y en avait un fort sympathique (il doit traîner par ici et se reconnaîtra peut-être), en partance pour le Tor, qui était légèrement dépité de voir sa sortie longue (comprendre TDS) tomber à l'eau, à si peu de temps de son objectif...
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