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Benman avec sa forme du moment, il part pas un peu trop doucement ? Parce que bien gérer c'est bien mais là, il va se coltiner du monde lent à remonter
jano a écrit:Benman avec sa forme du moment, il part pas un peu trop doucement ? Parce que bien gérer c'est bien mais là, il va se coltiner du monde lent à remonter
J'espère juste qu'il ne s'est pas fait coincer en fin de peloton comme moi l'an dernier, parce que ça demande une énergie folle pour avancer. Déjà que pour les premiers le ravito des Contas c'est Rungis, plus loin c'est encore pire... Sinon les BH jusqu'au Chapieux sont assez larges, sauf si on sombre moralement
jano a écrit:Benman avec sa forme du moment, il part pas un peu trop doucement ? Parce que bien gérer c'est bien mais là, il va se coltiner du monde lent à remonter
J'espère juste qu'il ne s'est pas fait coincer en fin de peloton comme moi l'an dernier, parce que ça demande une énergie folle pour avancer. Déjà que pour les premiers le ravito des Contas c'est Rungis, plus loin c'est encore pire... Sinon les BH jusqu'au Chapieux sont assez larges, sauf si on sombre moralement
Je hallucine quand même un peu quand je vois le nombre de places gagnées ou perdues de certains entre les Houches et St Gervais... quelle densité de coureurs !
jano a écrit:Benman avec sa forme du moment, il part pas un peu trop doucement ? Parce que bien gérer c'est bien mais là, il va se coltiner du monde lent à remonter
Bah, jusqu'à La Balme, tu as la place pour remonter.....
Je dirais que là o il est (avec Pat), c'est la limite pour être safe. Côté tikrimi, c'est plus juste, par contre.
Et notre féminine du Mordor, Marie-Caroline, on en parle, hmmmm?
Faut qu'on lui explique que suivre les deux lyonnais, là, c'est pas une bonne idée. Déjà y'en a un des deux qui va lui faire un cours sur la Théorie des Urines, elle va se demander ce qu'il lui arrive.
Spir a écrit:Déjà la fin de la lune de miel entre Benman et Patfinisher...
En fait, Benoit a perdu Patoche dans la nuit. Normal, le Pat, avec son bronzage sub-saharien, tu ne vois qu'une chose : le Crosscall qui luit dans la nuit....
Je vois le départ avec Vangelis et tous ces fadas avec l’œil du gamin au pied du sapin de Nöel, et je me dis "Un jour ...". Et après tu lis les scènes dignes de l'exode de 40 : bouchons, apocalypse au ravito etc... et tu penses : "ses morts, jamais, plutôt me mettre au curling".
Peu importe, faites-vous pléz' les kikous, vivez vos rêves. Go go go.
Et je me débrouillerai pour me remettre devant le live pour voir X. Thévenard mystifier tout le monde.
Certes ça a changé depuis l'époque où je faisais le tour de la grosse montagne (on avait plusieurs semaines pour s'inscrire, pas de points à glaner....) mais c'est quand même une belle aventure, sans doute beaucoup plus "biznes" aujourd'hui mais c'est leur choix. Je peux juste témoigner que déjà à cette époque c'était cher mais avec une organisation irréprochable. Et qu'il ne fallait déjà pas trop trainer au départ pour éviter les bouchons! J'ai d'ailleurs vu l'évolution en 3 participations avec un parcours de début de course plus apte à digérer le flot de coureurs. Les premiers bouchons chiants pour moi c'était après les conta dans le single qui monte au Bonhomme, tous les concurents partis trop vite qui marquaient déjà sérieusement le coup....et généraient de jolis bouchons dans la nuit noire! Mais j'ai aimé l'UTMB, c'était chaque fois une belle aventure!
samontetro a écrit:Les premiers bouchons chiants pour moi c'était après les conta dans le single qui monte au Bonhomme, tous les concurents partis trop vite qui marquaient déjà sérieusement le coup....et généraient de jolis bouchons dans la nuit noire!
Tiens, je n'ai pas trop de souvenir de bouchons proprement dit......juste d'une file indienne ininterrompue o tu n'as guère le choix que d'avancer à la vitesse des types de devant....et de subir d'interminables bavardages de ceux qui font la course en duo (et souvent en espagnol). Au final, si la file va à ta vitesse, ça va bien....si tu as un peu temporisé....bin, tu patientes..... Cela s'était délité au Col de Bonhomme : les descentes ont tendance à étirer plus les écarts.