Echappée Belle 2021 parce qu'on <3 les cailloux tout doux

val pelouse, cette descente est géniallissime et d'une grande courabilité sans être une autoroute à bobo-parigot.

Trop. Je me suis fait un gros kiff à dévaler ça. Franck a du se demander quelle mouche m’avait piqué.

val pelouse, cette descente est géniallissime et d'une grande courabilité sans être une autoroute à bobo-parigot.

Ouais, ben le début était aussi embouteillé que l'autoroute parisienne avec le(s) gros du peloton du 62. même moi cela m'a ralentit c'est dire

mon je pense que c'est les aiguilles d'arves.

Les aiguilles d arve sont beaucoup pkus basses que le cervin et on voit les 3
C est bien le cervin ca fait 3 fois que je l.ai indique et une personne a verifie sur un site de geolocalisation
Apres il faut que la visibilite soit bonne mais c etait le cas vendredi c est rare en plein ete d ailleurs

Les 5 meilleurs gestionnaires sur l'intégrale:
phillipe.u, marmadoc, boubou27, tomaddroid et jmr38

Si on m'avait dit en montant au Morétan, alors que j'étais tout seul, lâché par le groupe de madame pinpin, que j'étais au top de la gestion, ça m'aurait bien fait rigoler
Au lieu de ça je tapais dans mes bâtons quand j'entendais les bénévoles chanter "Si tu aimes le Morétan, tape tes bâtons" à 15 min du sommet.
Mais tout cela sera expliqué dans un CR à venir.

Bon.
Un petit retour sur cette course, avant j'espère faire un CR, si la difficulté d'y insérer des photos ne me rattrape pas.
Le WE était presque parfait: la météo, les copains, un parcours de la traversée Nord renouvelé et somptueux... que demander de plus?

Côté course, la 1ère partie fut furieuse:
une furieuse envie de partir vite et me changer les idées après diverses guignoleries d'avant course (annoncer qu'on part en mode niktou, renverser une bouteille sur ses affaires avant de partir, tester un chargeur qui décharge les portables la nuit d'avant, refaire 10 fois son sac à la recherche d'un truc dont tu ne te serviras jamais...)
une furieuse envie de revanche après avoir vu Bubulle redescendre le souffle court et le coeur gros
une furieuse envie de montagne après un printemps enneigé et un été ennuagé sur nos sommets
une furieuse envie de liberté, avec des courses enfin au programme, et une préparation entière à retrouver la flamme

La 2ème partie fut contemplation:
une contemplative quête d'absolu dans les cailloux AOP belledonniens.

caillou.jpg (31.53 Kio) Consulté 1684 fois

un contemplatif émerveillement dans la descente de la Valloire, dont le névé gelé me rappelait ces course glaciaires que j'affectionnais tant minot

neige.jpg (59.42 Kio) Consulté 1684 fois

une contemplation des paysages à l'infini, face aux sommets de la chaine, mais également une vue déchainée jusqu'au Mont Blanc et les Alpes Suisses depuis le Moretan

La 3ème partie fut effort
un effort soutenu pour polir la Pierre du Carre qui luisait au soleil

Perioule.jpg (88.69 Kio) Consulté 1684 fois

un effort violent pour repartir de Val Pelouse et admirer de chaque côté de la crête les lampions qui se baladaient sur le fil de la nuit tombante, côté Frèche à droite, et Perche à gauche
un effort continu pour courir toutes griffes dehors depuis le Grand Chat jusqu'à l'arrivée avec Xavier

La 4ème partie fut réconfort
un réconfort permanent pour profiter de l'assistance de chococaro et de la team bubulle: merci, vous avez été formidables. oui, chips/ rivella à Val Pelouse, ça passe nickel. Faut juste arriver à se relever quand on a bénéficié du confort des bubullosièges pliablissimes.
un réconfort admiratif en croisant les bénévoles kikous dans leur tenue de galactiques passionautes : Loiseau en plein repos sur le fil à Super Collet, JuCB et ses merguez / shamallow grillés à la Perche, la famille Sims 549 et sa table de marque au coeur de la nuit dans la cabane à Michel... et plein d'autres que je n'ai pas eu le temps de saluer
un réconfort familial avec cette cousinade de kikous dimanche midi. Plein de belles rencontres, beaucoup de convivialité, et une passion en commun.

La 5ème partie est fierté
fierté d'avoir passé la ligne main dans la main avec Xavier et Yves. Pour Xavier, c'est la 5ème fois, et c'est toujours aussi bon de faire une course ensemble
fierté d'avoir fait un bout de WE avec miss C, et d'avoir accompagné la fin de course de son papa pacé, pas si pressé, mais tant ému
fierté d'avoir pu largement battre le temps objectif, en profitant de conditions optimales, et de tous les dopants dont je viens de parler au-dessus
fierté de participer à cette si belle course, dotée d'une organisation en béton et de bénévoles en titane
fierté d'être là et de pouvoir en parler et le partager avec vous.

Bon, ben Benman, je crois que ton CR est fait. Il est parfait, y a tout !
même pas la peine qu'on se revoit pour en parler......

Pour aider :

En faisant un gros zoom, il me semble que c'est un nuage . Je pense que le col du Moretan est trop bas pour pouvoir voir le Cervin. Est-ce que tu as vu le Mont Blanc bien à gauche de ce truc ?? Ce n'est pas l'Arclusaz devant ?

La pièce jointe Cervin.jpg n’est à présent plus disponible

A voir chez peakFinder
Il peut être necessaire d'ajuster la visibilité en filtrant les sommets visibles par altitude (en bas a gauche)
C'est bien le Cervin

La pièce jointe cervin.png n’est à présent plus disponible

tout juste.
Voici la photo que j'ai prise

panorama moretan mini.jpg (44.52 Kio) Consulté 1636 fois

Woah difficile de redescendre de mon nuage
je n’ai pas encore eu le temps de lire tout le suivi mais merci pour tout. Bravo à tous finisher ou non (vouloir y participer c’est déjà courageux ou alors c’est par ignorance du sujet ?!...) merci au bouzin , merci à tous derrière vos écrans ou SMS pour vos messages de sympathie et de soutien, pendant et après la course. Vous m’avez tous aidé à finir d’une manière ou d’une autre. Tout à compté pour moi.

Derrière l’écran, ma progression laisse imaginer une bonne gestion pour assurer mon arrivée mais effectivement c’est trompeur.
Je dirais même que j’ai plutôt mal géré mon début de course en fait. En partant trop rapidement, je me trouve dans le wagon de Boubou27, Tomtraileur, Marmadoc et Toto38 qui n’ont pas du tout les mêmes objectifs tps que moi. La descente juste après la brèche fendue me vide de toutes mes réserves.
Au Habert, Loiseau m’encourage à ne pas lâcher.
Je mettrais 7H pour parcourir la portion HA-Le Pleney, je pense le pire score du peloton (à vérifier)
je me refais une santé au Pleney après un dodo de 40 minutes et l’assiette de pates bolo.
La seconde partie se passe beaucoup mieux. Je croise sur mon parcours Philippe.u, Papakipik, Mazouth avec qui je fais plusieurs km c’était très sympa, Aurélien, Simon, Albacor désolé si j’en oublie...
A chaud, sur place je partage avec certains d’entre vous, mon sentiment mitigé entre satisfaction d’avoir terminé ce monstre et ma volonté d’arrêter les courses Ultra. Wait and see…

Je retiens beaucoup de partage, de solidarité et d’amitiés entre nous, c’est l’essentiel !
Ce fut un superbe WE avec plein s émotions, le retour au boulot va être délicat ...

A chaud, sur place je partage avec certains d’entre vous, mon sentiment mitigé entre satisfaction d’avoir terminé ce monstre et ma volonté d’arrêter les courses Ultra. Wait and see…

Toujours attendre une dizaine de jours avant de faire des annonces…

Mon petit?CR.
Et (encore) un arrêt au Pleynet?: épuisé

Arrivé a 3h06 après une interminable marche (accompagné de Rico_vomito & Damien_le_sous-marin), j'ai bien vu Phil au poste de booster me prodiguant les bon conseils habituels. Contrairement aux 2 précédents échecs je n'avais pas envie d'arrêter la course, mais juste envie de dormir.
Je m'allonge vers 3h09 sur la couchette…
La bénévole adorable du dortoir est venu me réveiller pour me dire que c'était le moment de se lever pour partir avant la barrière. J'étais dans le coltar complet, j'avais l'impression de n'avoir dormi que 30 secondes… Je ne me souviens plus trop de ce que j'ai pu lui dire (et ça ne devait sûrement pas être très clair) mais je me suis rendormi aussi sec et c'est Rico qui m'a ensuite secoué vers 5h15, pour m'annoncer le départ de la navette

Alors oui, j'y ai cru (encore) cette fois ci.
- De belles sorties longues en prépa: Les 3 Soms de Chartreuse, un Chambé / Grenoble en 2 jours et un Aiguebelle / Vizille en 4 jours. Des sorties dont je rêvais depuis longtemps.
- Une météo idéale
- 15 jours de repos avec de vraies bonnes nuits
- Une gestion de course qui c'est grandement améliorée depuis 2017 : timing entre et dans les ravitos, connaissance du parcours (tu m'étonnes)
- Je n'ai plus besoin de 4kg de nourriture dans mon sac… et j'ai même pas touché aux Carambar© de la chambre des Gagalouchis

Ajouté à ça des rencontres qui font plaisir : Vik & Flo (merci pour le lift), Numax, Katman, Barbabeilles, Denis_fast_blue_jean, Ménestail_Philippe, Matthieu, Petit Franck, Damien, Yoga, Rico69, et tous les bénévoles à l'amabilité légendaire…
(Je ne me souviens pas avoir vu Loiseau au Habert, m'as tu vu?)

Bref tout allait bien jusqu'au Habert d'Aiguebelle (où je commence à me perdre au ravito), l'Aigleton aura été difficile et la Vache un peu plus. Je n'avais aucune envie d'y redormir comme l'année dernière, mais sans Damien pour me coller au train et Rico comme locomotive, je ne suis pas sûr que je n'aurais pas récidivé…

Le col de la Vache atteint a 22h47, tout était encore possible à condition de trottiner jusqu'au Pleynet, mais jambes de plomb, souffle court, gorge qui brûle et c'est le calvaire d'un retour i n t e r m i n a b l e en marchant vers le Pleynet qui commence…
Le plateau des Sept Laux à beau être dans sa lumière que je préfère avec la (quasi) lune bleue de cette superbe nuit, ça n'aide en rien pour franchir le dernier casse patte du Col du cul de la vieille…

Alors depuis je cogite pas mal là dessus, j'ai très probablement manqué de foncier, les sorties longues (aussi chouettes soient elles) ne suffisent pas. Avoir arrêté Strava sans suivre un minimum le volume de l’entraînement réalisé avec un autre moyen était probablement aussi une mauvaise idée.
Mais le temps n'est pas extensible non plus et vies de famille & professionnelle laissent assez peu de place pour une préparation idéale.
Alors je vais attendre de voir un peu, comment on peut organiser tout ça et trouver de la place… C'est quand même un parcours exceptionnel…

Courotaf, je continue de penser qu'il faut un peu plus se secouer et pas trop s'arrêter aux ravitos au début de parcours car quand t'as besoin de t'arrêter un peu ensuite il faut de la marge, et aigleton/vache dans le noir, c'est un rythme forcément plus lent...

Bon le baragouin C'était peut-être "encore 5mn", il aurait fallu te faire réveiller par phil et un gros panard au cul.

Courotaf, je continue de penser qu'il faut un peu plus se secouer et pas trop s'arrêter aux ravitos
Bon le baragouin C'était peut-être "encore 5mn", il aurait fallu te faire réveiller par phil et un gros panard au cul.

^^
Putain mais Fred , mais bosse ton mental bordel ya que ça qui marche !!!
Le reste , la prepa le matos la bouffe ça reste des ARTEFACTS et tes justifications ? de pâles complaintes pr 1 montagnard comme toi !!!

Jai relu ton CR 2017 alors cest sur qd ya Remi et toute la bande de loustic cest + facile )

@++ ici ou laz

Dans la montée du Morétan, j'ai trouvé que nous avons beaucoup moins joué a saute caillou que les 2 dernières années.
J'ai cru que nous avions pris un autre chemin, plus a droite.
Mais en étudiant ma trace, j'ai l'impression que c'est a peu près le même "chemin".

Peut être l'effet de la nuit, ou que a 20m près on passe des petits cailloux aux gros...

Bon et alors en 2022, Florent prévoit un 200K ou pas pour les 10 ans ???

nan mais parce que cà s'anticipe tôt dans les agendas pour bien s'y préparer

non, pas 200k

Bravo à tous, finishers ou non. Quel que soit le format, c'est quand même un morceau ...
Une pensée particulière pour les guerriers de l'Intégrale : vu comment je finis la TN, je n'imagine même pas comment c'est possible de s'en enquiller double dose !!! Immense respect les gars (et les filles, bien sûr !).
Et, comme toujours, une ambiance de folie, et des bénévoles au top du top. C'est vraiment génialissime.
Côté course, pour ma part, que ce fût dur !
L'enchaînement Grande Valloire - Moretan (montées et descentes !) est vraiment monstrueux physiquement. Mais que c'est beau. On en prend plein les jambes et plein les yeux.
Après une montée à la Pierre du Carré toujours aussi épuisante, et les crêtes des Férices comme d'hab interminables (même en sachant qu'il y avait toujours un coup de cul en plus après, j'ai quand même été surpris !!).
Un bon arrêt à Val Pelouse et j'ai bien fini (au mental parce que crâmé physiquement, mais du coup la nuit est passée assez vite, ça allait).
Merci pour le suivi. Pas croisé de Huskies pendant la nuit, heureusement ! Juste des vaches, et l'orage entre la Perche et le Grand Chat (qui lui non plus n'a pas attaqué le poulet !)
Spir : Super témoignage de bénévole ! J'ai trouvé ça très juste, très beau et très touchant. Merci.

Bonne récup' à tous !

Dans la montée du Morétan, j'ai trouvé que nous avons beaucoup moins joué a saute caillou que les 2 dernières années.
J'ai cru que nous avions pris un autre chemin, plus a droite.
Mais en étudiant ma trace, j'ai l'impression que c'est a peu près le même "chemin".

Peut être l'effet de la nuit, ou que a 20m près on passe des petits cailloux aux gros...

Même constat, j’ai trouvé que le chemin était vraiment bien marqué. Sur mes différentes rando, je passais plus sur la gauche où il y a plus de cailloux

Dans la montée du Morétan, j'ai trouvé que nous avons beaucoup moins joué a saute caillou que les 2 dernières années.
J'ai cru que nous avions pris un autre chemin, plus a droite.
Mais en étudiant ma trace, j'ai l'impression que c'est a peu près le même "chemin".

Peut être l'effet de la nuit, ou que a 20m près on passe des petits cailloux aux gros...

Même constat, j’ai trouvé que le chemin était vraiment bien marqué. Sur mes différentes rando, je passais plus sur la gauche où il y a plus de cailloux

Ca doit être ça !
De jour tu dois mieux voir les gros cailloux tout doux pour sauter dessus. Là, de nuit c'était plus de passer d'un fanion à l'autre sans trop avoir de visibilité. J'aurais peut être du mettre un peu plus de lumière.

Mais au final, je suis monté plus vite que l'année dernière (2h54 contre 3h00), même si j'ai l'impression d'avoir galéré grave. Aucun souffle et le cœur qui ne montait pas. A la fin j'avais la règle de m'arrêter reprendre mon souffle tout les 3 fanions... Avec les zigotos la haut qui mettaient l'ambiance...

Dites les kikous, je me creuse un peu la tête depuis samedi soir.

Je suis pas sûr de vouloir retourner sur l’EB (la faute à la section « cabane à Michel - aiguebelle » qui m’a encore une fois bien soulé).
Vous conseillerez quoi comme parcours qui fracasse la rétine, avec plein de cailloux et à mi chemin entre le trail et la rando ?

Une bien belle journée en Belledonne pour ma part, mais un abandon à Super Collet après une montée Pierre du Carre interminable dans la fournaise. Pas d'excuses, c'est le mental qui a lâché alors qu'il n'y avait ni blessure ni problème particulier. La journée avait commencé bizarrement avec une nuit en tente à Aiguebelle, des "voisins" qui papotent joyeusement à 1h40 du mat, me contraignant à mettre des boules quies et... à zapper mon réveil ! Heureusement le frangin était là et à 3h45 il s'étonne de ne pas me voir pour un départ de la navette à 4h ! Prépa express, oubli du tél et retour à la tente en courant : l'échauffement est fait !
Arrivé sur place on nous explique que le départ de la course est retardé d'un 1/4h mais que la 1ère BH reste inchangée car "tout le monde y arrivera"... Il y a une queue pas possible aux toilettes, je n'ai pas le choix il faut y passer et quand je sors... la course est partie ! Petites péripéties qui n'ont pas du avoir une grande incidence sur le reste.
Le départ est prudent, j'ai relu mon CR du Parcours des Crêtes de l'an passé donc je fais attention à l'hydratation et à l'alimentation, la Grande Valloire c'est un sacré chantier effectivement, mais ça passe plutôt bien, l'ambiance dans le Morétan est enflammée et les descentes en luge dans les névés sont bien marrantes, surtout quand on voit ceux qui essaient de descendre debout mais qui ne le restent pas longtemps ! Dans la descente sécurisée par une corde, les gants aident bien à garder un bon rythme, je double une fille qui se prend ensuite une bonne gamelle et décroche un pavé d'un bon demi-mètre de diamètre, ça passe pas loin mais ça passe !
J'arrive à Périoule avec une heure d'avance sur mes prévisions, le ravito est sympa et je me restaure convenablement pour la suite, ce sera la dernière fois. J'échange quelques mots avec st ar (bravo pour ta fin de course bien maîtrisée), et j'aperçois Mazouth. Descente sans trop de rythme, je reste coincé derrière un gars avant de me rendre compte qu'on est en train de traîner, j'accélère sur la fin et j'arrive en bas de la montée Pierre du Carre encore en forme. Il doit être 15h30 et c'est la fournaise, tout de suite je me rends compte que ça va être très compliqué. Impossible de mettre du rythme, je suis au ralenti, la montée me parait interminable et je laisse un paquet de concurrents que je n'avais pas vus depuis longtemps me doubler. J'aurais certainement du m'arrêter, prendre le temps de manger quelque chose, car là je cherche à avancer coûte que coûte mais à l'allure d'un escargot : près de 2h pour faire 4km, autant dire que l'avance sur les prévisions est loin derrière moi !
L'idée de l'abandon commence à s'immiscer, chaque petite montée étant vécue comme une punition. Il faut que j'aie le temps de me poser à Super Collet, de me changer car je suis en nage et bien aspergé d'eau des torrents, de récupérer quelques compotes car l'alimentation devient très compliquée. Mais en arrivant au ravito, on m'annonce que je dois être parti dans 12 minutes. J'avais oublié ces fameuses 15 minutes de décalage par rapport au départ. C'est sûr, je n'avais qu'à aller plus vite mais je trouve quand même sévère ces 15 minutes en moins qui m'auraient -peut-être- aider à repartir.
Je me suis promis de ne pas avoir de regrets, la journée était magnifique et je préfère encore avoir succombé à la chaleur mais avoir vu ces superbes paysages, ce qui n'était pas le cas l'an passé.
Je reviendrais certainement faire le GR en rando, sur l'EB ça me semble compliqué même si la course est magnifique, les bénévoles au top et l'ambiance incomparable.
Frustration quand même pour ce premier dossard de l'année, il n'est pas impossible finalement que je redescende dans 3 semaines à l'UTV qui reste plus dans mes cordes !

Dans la montée du Morétan, j'ai trouvé que nous avons beaucoup moins joué a saute caillou que les 2 dernières années.
J'ai cru que nous avions pris un autre chemin, plus a droite.
Mais en étudiant ma trace, j'ai l'impression que c'est a peu près le même "chemin".

Peut être l'effet de la nuit, ou que a 20m près on passe des petits cailloux aux gros...

Même constat, j’ai trouvé que le chemin était vraiment bien marqué. Sur mes différentes rando, je passais plus sur la gauche où il y a plus de cailloux

Ca doit être ça !
De jour tu dois mieux voir les gros cailloux tout doux pour sauter dessus. Là, de nuit c'était plus de passer d'un fanion à l'autre sans trop avoir de visibilité. J'aurais peut être du mettre un peu plus de lumière.

Mais au final, je suis monté plus vite que l'année dernière (2h54 contre 3h00), même si j'ai l'impression d'avoir galéré grave. Aucun souffle et le cœur qui ne montait pas. A la fin j'avais la règle de m'arrêter reprendre mon souffle tout les 3 fanions... Avec les zigotos la haut qui mettaient l'ambiance...

J’ai pas vu de segment pour la deuxième partie du Moretan (après la grande valloire), mais j’ai aussi l’impression d’être montée assez vite. Sûrement grâce au fanions qui évite de réfléchir. Puis surtout, pour la première fois, je suis montée au cardio… ce qui m’a permis d’être hyper régulier.

Je vais faire mon petit retour aussi!

J'ai vraiment adoré la Skyrace. Effectivement bien découpée en 4 sections comme l'a dit Florent au briefing: La première moitié de la montée de Fond-de-France jusqu'au refuge des 7 Laux, relativement facile techniquement. Ravito puis la 2ème partie, du refuge au sommet du Rocher Blanc, là c'est directement plus sérieux: des pierriers avec d'énormes cailloux, puis plus on approche du col de l'amiante, plus c'est de la p'tite caillasse qui roule sous le pied, donc franchement plus compliqué et surtout, ça me faisait stresser de risquer de parpiner mes poursuivants. Mention spéciale à la carcasse d'avion .
Ensuite, descente du sommet très technique, pas roulante pour 2 sous jusqu'au refuge de la combe madame. Cette année, il y avait un loooong névé, très compliqué j'ai trouvé. (D'ailleurs, je me rends compte que je suis extrêmement nul, docn si quelqu'un a une technique, ça m'intéresse ). Et finalement, la dernière section bien plus roulante jusqu'à l'arrivée. Mais il faut rester tout de même vigilant!

J'ai pu rencontrer quelques kikoureurs après la course et à l'AAB. C'était très sympa, merci!

Mention spéciale à Franch qui, après la skyrace a fait serre-fil puis est venu me rejoindre au fort Montgilbert et qui a certainement enjolivé la fin de course de bon nombre de coureurs avec ses petites blagues

Dites les kikous, je me creuse un peu la tête depuis samedi soir.

Je suis pas sûr de vouloir retourner sur l’EB (la faute à la section « cabane à Michel - aiguebelle » qui m’a encore une fois bien soulé).
Vous conseillerez quoi comme parcours qui fracasse la rétine, avec plein de cailloux et à mi chemin entre le trail et la rando ?

moi j'ai bien envie d'aller au chalenge de montcalm

mais je retournerai quand même à l'eb

Mention spéciale à Franch qui, après la skyrace a fait serre-fil puis est venu me rejoindre au fort Montgilbert et qui a certainement enjolivé la fin de course de bon nombre de coureurs avec ses petites blagues

J'ai pris quelques vents au cours de la nuit, à croire qu'après une certain nombre d'heures de courses le sens de l'humour de certains est dans les chaussettes avec les ampoules.

Très sympa d'avoir partagé ces quelques heures de PM avec toi !

Dites les kikous, je me creuse un peu la tête depuis samedi soir.

Je suis pas sûr de vouloir retourner sur l’EB (la faute à la section « cabane à Michel - aiguebelle » qui m’a encore une fois bien soulé).
Vous conseillerez quoi comme parcours qui fracasse la rétine, avec plein de cailloux et à mi chemin entre le trail et la rando ?

PICaPICA, ou la PICAriège, comme l'a indiqué Vik.

Dites les kikous, je me creuse un peu la tête depuis samedi soir.

Je suis pas sûr de vouloir retourner sur l’EB (la faute à la section « cabane à Michel - aiguebelle » qui m’a encore une fois bien soulé).
Vous conseillerez quoi comme parcours qui fracasse la rétine, avec plein de cailloux et à mi chemin entre le trail et la rando ?

PICaPICA, ou la PICAriège, comme l'a indiqué Vik.

Pour avoir fait 3j de prépa EB du côté du Montcalm, je ne peux que confirmer :
- pleins de cailloux :OK
- mi chemin trail/rando, je dirais plutôt 90/10 rando/trail
- fracassage de rétine : je te laisse juge https://photos.app.goo.gl/c7DcZBBqDg43RJjx9

Courotaf, je continue de penser qu'il faut un peu plus se secouer et pas trop s'arrêter aux ravitos au début de parcours car quand t'as besoin de t'arrêter un peu ensuite il faut de la marge, et aigleton/vache dans le noir, c'est un rythme forcément plus lent...

Bon le baragouin C'était peut-être "encore 5mn", il aurait fallu te faire réveiller par phil et un gros panard au cul.

Ah bah c'est sur qu'avec toi au réveil je me serais pas endormis a nouveau
Cela dit, je suis pas sur que 30min aurait suffit, et on pourrais discuter des plombes de ce qui aurai pu arriver.
Une autre option aurait été de prendre un temps de repos au Habert… J'en sais trop rien.

En tout cas sur les temps de ravito j'y ai pensé longuement et ce que j'ai fais me conviens (sauf au Habert peut être, mais 34min c'est pas non plus ouf), je ne suis pas le même genre de machine que toi. Entre 10 et 20min pour faire le plein, prendre une soupe ou 2 et mettre de la crème solaire ça me convient.

Putain mais Fred , mais bosse ton mental bordel ya que ça qui marche !!!
Le reste , la prepa le matos la bouffe ça reste des ARTEFACTS et tes justifications ? de pâles complaintes pr 1 montagnard comme toi !!!
Jai relu ton CR 2017 alors cest sur qd ya Remi et toute la bande de loustic cest + facile )
@++ ici ou laz

Je prend tous les bons conseils pour la prépa mentale aussi… j'ai pas l'impression d'avoir rien fait non plus

Je vais déjà m'occuper du foncier dans les prochaines semaines

Je vais déjà m'occuper du foncier dans les prochaines semaines

Déjà ? Tu as tout l'hiver pour ça

Je vais déjà m'occuper du foncier dans les prochaines semaines

j'ai très probablement manqué de foncier

Jeudi soir, "picnic" assis dans l'herbe devant nos chambres au campanile

j'ai fait 5 ou 6 fois moins de sorties montagne que les années précédentes, des semaines entières sans sortie.... malade 5 semaine de suite, après alors que je reprenais pas mal, me suis fait une entorse le 9 juillet... bref, on va dire que j'ai un peu de foncier - au sens large, longue période, du terme -

je pense qu'on surestime pas mal le besoin de foncier ...

: mrgreen :

En tout cas sur les temps de ravito j'y ai pensé longuement et ce que j'ai fais me conviens (sauf au Habert peut être, mais 34min c'est pas non plus ouf), je ne suis pas le même genre de machine que toi. Entre 10 et 20min pour faire le plein, prendre une soupe ou 2 et mettre de la crème solaire ça me convient.

J'avoue que je trouve ça monstrueux 34 min sur un ravito, même sur une base vie c'est beaucoup.
Je suis de plus en plus convaincu que l'on doit s'alimenter en continue avec ce qu'on emporte et juste refaire le plein aux ravitos. Parfois on se pose un peu plus, on en profite pour souffler et vider la caillasse des chaussures mais cela prend 5min...
Mieux vaut ralentir très légèrement le rythme de mouvement et prendre un pas régulier que de devoir faire des pauses. En bref : le pas du guide cher aux montagnards.

Fondamentalement le temps perdu aux ravitos c'est du temps qui peut se gagner sans entrainement ni devoir hausser son niveau.

Prendre 20min à se remplir le bide c'est sortir son corps du rythme du mouvement, c'est mettre en route une digestion couteuse en énergie. Alors que d'avaler une barre toutes les heures, une poignée de fruits secs (récupérés au ravito dans un petit sachet) toutes les 30 minutes c'est continuer d'alimenter la chaudière en marche.

Prendre 20min à se remplir le bide c'est sortir son corps du rythme du mouvement, c'est mettre en route une digestion couteuse en énergie. Alors que d'avaler une barre toutes les heures, une poignée de fruits secs (récupérés au ravito dans un petit sachet) toutes les 30 minutes c'est continuer d'alimenter la chaudière en marche.

Je n'avais jamais vu ça comme ça. Pour moi le ravito c'est le moment où on se pose un peu dans l'herbe pour apprécier le moment présent.
J'essayerai de ne pas stopper la prochaine fois

En tout cas sur les temps de ravito j'y ai pensé longuement et ce que j'ai fais me conviens (sauf au Habert peut être, mais 34min c'est pas non plus ouf), je ne suis pas le même genre de machine que toi. Entre 10 et 20min pour faire le plein, prendre une soupe ou 2 et mettre de la crème solaire ça me convient.

J'avoue que je trouve ça monstrueux 34 min sur un ravito, même sur une base vie c'est beaucoup.
Je suis de plus en plus convaincu que l'on doit s'alimenter en continue avec ce qu'on emporte et juste refaire le plein aux ravitos. Parfois on se pose un peu plus, on en profite pour souffler et vider la caillasse des chaussures mais cela prend 5min...
Mieux vaut ralentir très légèrement le rythme de mouvement et prendre un pas régulier que de devoir faire des pauses. En bref : le pas du guide cher aux montagnards.

Fondamentalement le temps perdu aux ravitos c'est du temps qui peut se gagner sans entrainement ni devoir hausser son niveau.

Prendre 20min à se remplir le bide c'est sortir son corps du rythme du mouvement, c'est mettre en route une digestion couteuse en énergie. Alors que d'avaler une barre toutes les heures, une poignée de fruits secs (récupérés au ravito dans un petit sachet) toutes les 30 minutes c'est continuer d'alimenter la chaudière en marche.

Moi une base vie c'est 4h minimum

Prendre 20min à se remplir le bide c'est sortir son corps du rythme du mouvement, c'est mettre en route une digestion couteuse en énergie. Alors que d'avaler une barre toutes les heures, une poignée de fruits secs (récupérés au ravito dans un petit sachet) toutes les 30 minutes c'est continuer d'alimenter la chaudière en marche.

Je n'avais jamais vu ça comme ça. Pour moi le ravito c'est le moment où on se pose un peu dans l'herbe pour apprécier le moment présent.
J'essayerai de ne pas stopper la prochaine fois

je partage pas tellement la vision de Franch sur le manger */30mn pour alimenter la chaudière, par contre le coup de faire des pauses courtes oui, et ne pas s'exploser le bide à chaque fois aussi.

se poser un peu dans l'herbe si on est crevé pourquoi pas mais vaut mieux le faire hors ravito qui est un véritable traquenard: discussion avec bénévoles / autres coureurs / spectateurs, trucs à grignotter, attendre son tour, prendre le temps de choisir...

Faire une fois un vrai gros repas peut être pas mal, et la BV du pleynet s'y prête bien (même sans forcément aller manger les pasta au restau)

gagner 10mn / ravito au début, ça veut dire que tu peux passer 30mn à dormir au habert d'aiguebelle si t'es défoncé. 30mn à ce stade ça te permet de bien passer aigleton/vache normalement.

Prendre 20min à se remplir le bide c'est sortir son corps du rythme du mouvement, c'est mettre en route une digestion couteuse en énergie. Alors que d'avaler une barre toutes les heures, une poignée de fruits secs (récupérés au ravito dans un petit sachet) toutes les 30 minutes c'est continuer d'alimenter la chaudière en marche.

Je n'avais jamais vu ça comme ça. Pour moi le ravito c'est le moment où on se pose un peu dans l'herbe pour apprécier le moment présent.
J'essayerai de ne pas stopper la prochaine fois

Dans une montée s'arrêter dans un lacet et regarder 30 secondes le paysage permet aussi de bien profiter du moment présent cela permet d'éviter le traquenard collectif !

Prendre 20min à se remplir le bide c'est sortir son corps du rythme du mouvement, c'est mettre en route une digestion couteuse en énergie. Alors que d'avaler une barre toutes les heures, une poignée de fruits secs (récupérés au ravito dans un petit sachet) toutes les 30 minutes c'est continuer d'alimenter la chaudière en marche.

Je n'avais jamais vu ça comme ça. Pour moi le ravito c'est le moment où on se pose un peu dans l'herbe pour apprécier le moment présent.
J'essayerai de ne pas stopper la prochaine fois

je partage pas tellement la vision de Franch sur le manger */30mn pour alimenter la chaudière, par contre le coup de faire des pauses courtes oui, et ne pas s'exploser le bide à chaque fois aussi.

se poser un peu dans l'herbe si on est crevé pourquoi pas mais vaut mieux le faire hors ravito qui est un véritable traquenard: discussion avec bénévoles / autres coureurs / spectateurs, trucs à grignotter, attendre son tour, prendre le temps de choisir...

Faire une fois un vrai gros repas peut être pas mal, et la BV du pleynet s'y prête bien.

Je pense également que des bonnes pauses, assumées et programmées, dès les premiers ravitos sont clés pour repartir de bons pieds (aérés et détendus) et durer.
Un peu comme pour la soif, si t'attends d'être cramé pour te reposer, c'est trop tard.
Pour la première fois en course, j'ai "réinvesti" l'avance que j'avais sur mon plan de marche en massage/kine au Pleynet, à Super Collet (en préventif juste pour se faire) et à Val Pelouse (pour le dos qui en avait bien et les quadrisun peu dur). Je ne regrette pas une seconde ces 3x10minutes de relaxation qui m'ont permis de finir assez bien (à mon niveau)

Par contre, j'ai trop mangé à Jean Collet, ce fut ensuite très laborieux jusqu'au Pleynet

Pour rappel:
- Vik & Franch c'est des machines qui peuvent faire moins de 40h
- Yoga et moi on est dans les 50h.

Après j'écoute et j'y réfléchi quand même, hein

Cette année je n'ai quasi pas mangé sur les ravito (a part la soupe).
J'ai mon ziplock que je rempli pour manger en route. À force de faire du long j'ai besoin de manger moins. J'ai mangé 4 barres en plus des fruits a coques dans mon ziplock au départ. Ce que je prend sur les ravito me permet de faire un/deux casse-croute en route. Ça c'est une révolution par rapport a quelques années en arrière où j'avais un garde manger dans le dos.
En plus sur l'ÉB on a de quoi faire: avant chaque ravito tu as un moment de répis où tu peux manger en trotinant, c'est toujours ça de moins à faire

Je comprend l'idée du piège au ravito, mais je préfère m'interdire les pauses hors ravito que de me mettre trop la pression pendant. À réfléchir.

Je vais déjà m'occuper du foncier dans les prochaines semaines

Déjà ? Tu as tout l'hiver pour ça

L'objectif des prochaines semaines n'est pas de faire du foncier, mais de m'organiser pour avoir du temps pour en faire d'ici cet hiver.

Pour rappel:
- Vik & Franch c'est des machines qui peuvent faire moins de 40h
- Yoga et moi on est dans les 50h.

Après j'écoute et j'y réfléchi quand même, hein

Cette année je n'ai quasi pas mangé sur les ravito (a part la soupe).
J'ai mon ziplock que je rempli pour manger en route. À force de faire du long j'ai besoin de manger moins. J'ai mangé 4 barres en plus des fruits a coques dans mon ziplock au départ. Ce que je prend sur les ravito me permet de faire un/deux casse-croute en route. Ça c'est une révolution par rapport a quelques années en arrière où j'avais un garde manger dans le dos.
En plus sur l'ÉB on a de quoi faire: avant chaque ravito tu as un moment de répis où tu peux manger en trotinant, c'est toujours ça de moins à faire

Je comprend l'idée du piège au ravito, mais je préfère m'interdire les pauses hors ravito que de me mettre trop la pression pendant. À réfléchir.

Je vais déjà m'occuper du foncier dans les prochaines semaines

Déjà ? Tu as tout l'hiver pour ça

L'objectif des prochaines semaines n'est pas de faire du foncier, mais de m'organiser pour avoir du temps pour en faire d'ici cet hiver.

Si tu as besoin de conseils pour l'entrainement, je veux bien d'aider

Ayant une assistante, je fais des assez grosses pauses pour changer chaussettes, nettoyer les pieds et massage des mollets. Cette année j'ai essayé d'optimiser pour réduire car l'année dernière c'était grosse déconcentration avec des pauses de plus de 30 minutes (2h au Pleynet...)

Là, j'avais prévu un sac pour chaque ravitaillement avec tout ce qu'il fallait dedans (barres, chaussettes, tshirt, câbles recharge).
On a réussi a faire 12 minutes à Arcelles, mais sur les autres, c'était minimum 20' (sans compter le dodo ou podo).
Et encore, j'avais même pas le temps de manger ! Je prenais le ravitos dans un sachet plastique porté devant le sac et dans lequel je piochais pour manger en montant.
Et au Pleynet, j'ai réussi a réduire à 1h12 en faisant douche / massage / podo / repas pâte au "resto"
Mais ca fait vraiment du bien et permet de repartir moins fatigué.

au total, juste sur les ravitos j'ai pris 4h52 (7h30 en 2020 !)

Pour rappel:
- Vik & Franch c'est des machines qui peuvent faire moins de 40h
- Yoga et moi on est dans les 50h.

Et oui, ce n’est pas la même course pour Vik et Franch que pour nous. C’est sur.
Je suis aussi adepte des longues pauses. J’aime bien enlever le sac, m’assoir et discuter (et surtout manger ). Ça fait parti du charme de la course.

Pour rappel:
- Vik & Franch c'est des machines qui peuvent faire moins de 40h
- Yoga et moi on est dans les 50h.

Et oui, ce n’est pas la même course pour Vik et Franch que pour nous. C’est sur.
Je suis aussi adepte des longues pauses. J’aime bien enlever le sac, m’assoir et discuter (et surtout manger ). Ça fait parti du charme de la course.

j'ai passé au moins 1h au col de la perche hein !

j'ai enlevé le sac, j'ai mis une veste, me suis assis, j'ai discuté.

et surtout j'ai mangé une saucisse, deux merguez, un bout d'abondance, bu une bière, un rouge, une prune.

Ça fait parti du charme de la course.

j'ai aussi rechargé le feu qui était un peu délaissé.

Pis je suis reparti prendre le digeot à la baraque à michel (une chartreuse). Ça fait parti du charme de la course.