Pour ma première SaintéLyon, je me sens obligé d’en faire le bilan.

Préparation physique : ne rien changer sinon décaler d’une semaine pour une meilleure condition, et un meilleur état de fraîcheur.

Régime alimentaire : ne rien changer, et la cure de Bédélix a été efficace pour éviter tout désordre gastrique.

Soins : « Pédi relax » toujours au top pour les pieds et orteils pendant une semaine avant l’échéance.

Vêtements : La hantise du froid a amené ma première erreur ;

En haut le maillot technique GORE aurait suffi.

En bas, le collant porté était trop épais, trop chaud.

Pas de gants, pas de bonnet.

Les chaussures New Balance 1100, qui ont fait le Marathon des Sables, elles pas moi, pas de souci, chemins et routes aucun problèmes.

Invité dans le groupe par Joker 72 (Sylvain), juste rester avec eux le plus longtemps possible pour gérer l’allure des moins de huit Heures.

Trop couvert, donc au bout d’une demie heure, enlever la deuxième couche climat superflue, et l’attacher à la taille par crainte du trop grand écart avec le groupe (les lucioles clignotantes). Enlever le Buff Kikourou.

Les coureurs impatients qui déposent leur sac par la porte centrale des bus, Nuls !!!!

Les gels abandonnés sur les chemins.

Les bousculades aux ravitos : vu la position dans le peloton, gros embouteillage, donc bousculade et jouer des coudes pour se faire servir dans le gobelet. L’écologie, on est pour mais ça cause pas mal de désordre. J’ai dû en bousculer quelques uns. Désolé !!

Ne pas finir avec Joker 72 qui m’avait invité à participer avec lui à la fête, une douleur au genou l’a handicapé sur les vingt derniers kms.

Ma poche à eau qui s’est pliée, et qui a été remplie seulement d’un demi litre au lieu du litre et demi, D’où le manque d’eau au 50eme km. Bien fait pour moi.

Ma lampe frontale, bien pour courir tout seul par temps clair, mais pas adapté à la course.

Mon chrono pas bon du tout.

Attendre un an pour faire l’édition 2010

Le Parc expo à St Etienne.

L’animation présente mais sans plus.

L’atmosphère dans l’attente.

La douceur de la température

Le départ.

Les Lucioles Clignotantes, ce groupe avec qui je courais, un régal, un repère dans la nuit, un état d’esprit au top. La chute et la blessure d’un des coureurs a obligé l’arrêt au ravito pendant plus d’un quart d’heure et cela n’a pas été un souci. Etat d’Esprit exceptionnel.

Le parcours, même si le bitume faisait peur, mais ça a passé. Le passage par Ste Foix et Fourvière ne m’ont pas gêné, au contraire, montées au pas de charge.

L’ambiance aux ravitos, les passages des relais.

Les mots magiques: "relais", "ça passe", "à gauche", "merci !!", on ouvre la porte et on referme.

Le serpentin lumineux.

Les encouragements , tout au long du parcours.

Les « kikourous », au départ, sur le bas côté, à l’arrivée.

Les coureurs équipés de phare «  genre feu de route «  ou « longue portée », y a que se mettre derrière.

Les bénévoles de tout bord, ravitos, sécurités, points de contrôle. Ils ont dû en baver, eux !!

L’arrivée à fond les ballons à quelques centaines de mètres du Palais des Sports avec deux

Kikous.

Gerland et son palais des sports, l’ambiance, le sac trop bien rangé et récupéré sans douleur, la douche, le repas d’après course.