L'auteur : xian
La course : Ultra Tour des 4 Massifs - 100 Master
Date : 20/8/2016
Lieu : Uriage Les Bains (Isère)
Affichage : 4338 vues
Distance : 77km
Objectif : Terminer
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Ca y est, la course est terminée, c’est l’heure de rédiger un CR et stocker les souvenirs.
Je m’installe devant le clavier, mets la radio… et ne sais pas trop comment attaquer : sentiment un peu étrange sur la course, difficile à qualifier.
L’esprit vagabonde, finalement encore bien accroché aux chemins de Belledonne et Chartreuse. Les hauts parleurs diffusent un vieux Téléphone que je sifflote par habitude. Tiens, c’est marrant, les paroles ont changé :
je rêvaiiiiis d’une autre course
sous le soleiiiiil à Chamrousse
la remontée du valon
de la Pra jusqu’au Colon
mais en raison de la pluie
c’est le parcours de repli
tant pis c’est une autre course
une autre course
Mais oui, c’est ça Jean-Louis, t’as raison : j’avais rêvé d’une autre course !
celle des photos de l’édition 2015,
celle des innombrables fois où je suis allé à La Pra, au Colon ou à Chamechaude sous le soleil
celle de 97 km et de 5800m de D+ qui allaient me faire passer une bonne partie de la nuit dehors et qui m’auraient permis de me tester sur plus de 14h en course
celle qui…
et bien non ! La course en montagne, ce n’est pas un off sympa dans les chemins derrière la maison avec les copains où c’est pas grave si on est trempés, parce qu'on n'est que quelques uns et que ça n'engage que nous.
Au briefing, vendredi soir, l’orga de la course estime que le parcours initial avec les passages en montagne n’est pas jouable en mode course, compte tenu des prévisions météo et du risque d’orage. On part donc sur le parcours de repli, au moins pour Belledonne… Un maigre espoir plane encore pour Chamechaude. C’est dommage, mais c’est la vie – les montagnes seront là l’année prochaine.
Décidemment, le gros morceau de ma saison 2016 s’engage bien mal !
Déjà, c’est une course de remplacement ! Cet hiver, je m’inscris à l’Echappée Belle 85 mais quelques jours après, mon frangin m’annonce qu’il se marie… le jour de la course ! Annulation et recherche d’une « course de repli » : ça sera l’UT4M100, qui, outre la compatibilité de la date, traverse quand même 2 supers endroits, Belledonne & Chartreuse et passe juste à côté de mon camp de base estival, à Saint-Ismier.
Et puis, cette « course de repli » me permettra de me tester sur du long et de la nuit, ça servira toujours pour l’année prochaine.
Prépa sérieuse (comme toujours) depuis le printemps, une semaine de vacances à Saint-Ismier fin juillet, pour faire un peu de montagne et tester la section « col de la Faïta / Chamechaude », pour moi, le gros morceau de la course. Finalement, cette reco s’est transformée en une bonne bambée en Belledonne, pour accompagner Anthodelb qui prépare l’Echappée Belle : pas vraiment le même style de parcours.
Et pour finir, je me suis choppé une sorte de bronchite, début août, au fin fond de la Lozère : 3 jours de fièvre de cheval puis bronches toutes prises et quintes de toux depuis. Pas top pour l’affûtage (mais d’un autre côté, je ne suis pas arrivé cramé au départ).
Bref… mentalement, pas des conditions tip top pour m’élancer, moi qui ai besoin de « gérer » mon environnement pour être à l’aise.
Mais condition physique (hormis les bronches…) pas mauvaise, pas de stress particulier, ni d’ambition. Pas inquiet plus que ça sur le fait de décrocher le superbe tshirt finisher..
Prépa du sac de course + sac d’allègement hyper méticuleuse.
A mon barda, je rajoute quelques grammes de précieux conseils :
1. Marat 3h00 ? : « change le slogan : ‘oublie que tu n’as aucune chance, vas-y, fonce’, par ‘si tu veux avoir une chance, ralentis’ »
2. Le Kéké : « et n’oublie pas que la course commence à St Nazaire »
3. Albacor38 (citant Le Kéké, décidément plein de ressources) : « la pluie n’est qu’une information »
La nuit, dans le confortable camp de base de St-Ismier est assez mauvaise.
Petit dej avec mon beau-frère qui se prépare pour le 40km de Chartreuse, puis ma femme me dépose à Uriage à 7h ; routine des derniers instants d’avant de rentrer dans le sas, je fais badger la puce du dossard. Plus qu’à attendre.
Dans le sas, Davintothewild, copain kikou lyonnais, me rejoint. Selfies sans, puis avec vestes de pluie pour passer le temps.
Je l’informe que je vais me brider à ~700 m/h dans les montées pour tenir compte des conseils 1. & 2. (ratio utilisé par Marat à l’UTB et qui lui a bien réussi). On ne se fait pas de plan de course, mais on part ensemble et on verra bien.
8h, départ. Initiative sympa pour se mettre en jambe en (relative) douceur et étirer le peloton : on fait un tour dans Uriage. Oeil en permanence sur la montre pour ne pas trop me faire aspirer par un départ « tonique » sur ces quelques kilomètres roulants.
Attaque de la montée vers Chamrousse, en forêt. Le ciel est bouché, mais il ne pleut pas.
Montée tranquille avec David jusqu’au ravito de Chamrousse Recoin. Vik et Le Kéké sont là, j’adore croiser les copains en course, même si ça ne dure qu’un instant.
Ravito assez rapide et on repart, toujours avec David pour une petite montée avant de plonger pour la première descente jusqu'au pont Rajas (je crois).
11h15 au pont Rajas sur le Ruisseau du Doménon. Au programme à venir : environ 400m de D+ pour rejoindre le ravito de Freydière. A cet endroit, se produisent 2 évènements :
La pluie commence à tomber sérieusement (bon, on a déjà gagné une bonne heure par rapport aux prévisions, qui annonçaient l’eau dès 10h).
David m’indique qu’il va attaquer la montée très cool. Je garde mon rythme et poursuis donc en solo.
Ravito de Freydière, sous une bonne pluie. Comme d’habitude, j’essaie d’optimiser le temps au ravito :
remplissage des bidons (contrairement aux Allobroges, je pense à verser la poudre dans le bidon avant d’arriver ! [note pour Jano, le boss des ravitos express : tu vois, ça commence à rentrer] )
j’avale un quartier d’orange et un biscuit + fourre quelques Tucs dans un sac congélation que je glisse dans la ceinture Sammie pour grignoter plus tard.
SMS à ma femme pour la tenir informée de mon avancée (et d’une première estimation d’heure de passage à la boulangerie de St Nazaire, à 500m de la maison, pour un rendez-vous à mi-course).
Aucun souvenir de la descente sur le Versoud. C’est roulant. Il pleut. Je suis bien. C’est parfois aussi gras qu’à la SaintéLyon ou aux Cabornis2016.
Ravito « eau » du Versoud. Pendant que je complète un bidon, j’apprends que la montée Chamechaude est supprimée également. Ça signifie que la dernière grosse montée est le Col de la Faïta.
Pluie, nuages bas qui laissent à peine entrevoir la combe du Manival et les crêtes de Chartreuse : la traversée du Grésivaudan, le long de champs de maïs et d’entrepôts n’a rien d’enchanteur, mais au moins, on ne cuit pas au soleil.
Finalement, ça passe assez vite. Pont sur l’Isère, puis pont sur l’autoroute : ça sent la base vie de St-Nazaire.
Appel à ma femme pour la prévenir que je suis bientôt à la boulangerie : elle y est déjà avec les enfants et ils m’attendent de pied ferme.
Base vie de St-Nazaire. C’est la grosse pause que j’ai prévue sur le parcours, mais comme femme et enfants sont un peu plus loin, je ne veux pas m’éterniser non plus :
1. dès l’entrée dans la salle, remplissage des bidons + réserves de solide dans le sac congélation tout en papotant avec Le Kéké
2. récupération du sac d’allègement en repérant un endroit pour me changer
3. finalement, je ne change que chaussettes + chaussures + tshirt, à côté de Jean-Mi Touron, qui fait une pause sur ses 160
4. du monde au stand des repas chaud, tant pis, ça ira sans
5. reparti
8’ plus loin, à la boulangerie, arrêt bises / réconfort avec femme et enfants. J’avais gros moral, mais ce genre de rendez-vous, ça booste encore plus ! (ma femme m’a trouvé un peu «marqué », alors que pour moi, je pétais la forme. Bon, je leur ai quand même dit d’aller vite se mettre au chaud, ça devait bientôt être l’heure de déjeuner. Il était déjà 14h passées).
8’ plus loin, sur le chemin qui longe le torrent du Manival, je croise un gars en short qui descend en courant. Je relève la tête et voit une casquette kikou. C’est le local de l’étape, Albacor38, qui entame son 2° footing de la journée en direction de la base vie. Il change de sens pour qu’on papote un peu (pas rancunier, surtout après que je lui sois passé devant sur un segment strava mythique du secteur). Et on finira par faire toute la montée au Col de la Faïta de conserve. J’ai su résister, bien qu’il m’ait provoqué avec son chrono d’une heure sur le segment jusqu’au col…
Petit moment geek avec prise de photo et publication sur le fil kikourou en live. Albacor38 me lit les commentaires des copains : ça aussi, c’est bon pour le moral.
J’apprends aussi que je suis reparti 56° de St-Nazaire.
Le Col de la Faïta. Encore pas mal de bornes, mais le plus gros du D+ est fait et je suis super bien : vraiment pas l’impression d’avoir forcé, pas le moindre début de bout de crampe.
Charteuse + pluie = terrain boueux. Les bâtons sont une aide bien précieuse pour garder l’équilibre et ne pas trop perdre d’énergie quand ça patine.
Prairie de l’Emeindras (superbe, comme toujours et par tous les temps) puis montée au ravito du Habert, sous la muraille de Chamechaude qui sort des nuages de temps en temps.
Comme à chaque ravito, je suis accueilli comme un roi. J’en profite pour remercier ici les bénévoles, vraiment aux petits soins pour les coureurs du début à la fin !
Le prénom du coureur étant inscrit sur le dossard, sous le numéro, systématiquement, à chaque ravito, j’ai eu droit à un « bonjour Christian » ou « bienvenue Christian », par le bénévole qui scanne les puces. Whaouu !!!! Quand tu arrives, trempé et que tu es accueilli comme ça, ça donne la banane !
Habert de Chamechaude : ravito réputé pour ses pastèques. Soit ! Je mange donc un morceau de pastèque et avale un bol de soupe après avoir rempli les bidons, bien que le ravito du Sappey ne soit pas très loin.
Et c’est reparti pour une longue, longue, longue descente dans la forêt jusqu’au Sappey, qu’on atteint après avoir tournicoté un moment.
Temps frais + descente = peu bu, donc bidons bien pleins.
Après le Sappey, on remonte au Fort St-Eynard (quelques centaines de m de D+ sur moins de 5km, puis on replonge sur le Col de Vence pour le dernier ravito. Calcul rapide : je n’ai pas besoin de m’arrêter au Sappey. Badge à l’entrée du foyer de ski de fond, je traverse la salle et badge à la sortie. L’arrêt est crédité pour 1’’.
Montée forestière jusqu’à la crête du Fort St-Eynard. Il ne pleut plus depuis un moment, j’arrive à garder un bon rythme en montée (500 à 700m/h). Je rejoins le dernier relayeur du 160 et on finit la montée ensemble.
Photos sur la crête de la toute fin du parcours et vite, je plonge vers le ravito du Col de Vence.
Vite. Ce n’est pas que je sois pressé par les BH, mais depuis que je sais que j’étais 56° au départ de St Nazaire, le vers est entré dans le fruit ! Un petit diablotin compétiteur s’installe peu à peu dans mon cerveau et me fait jeter des regards furtifs sur la couleur des dossards des concurrents que je double ou, plus rarement, qui me doublent : si c’est orange, c’est un UT4M 100, donc, un « concurrent » pour le top50 qui scintille devant moi.
Bon. Je n’ai pas cherché ce diablotin, mais s’il est présent, c’est qu’il devait être déjà installé avant le départ ! Alors je compte, je suppute, je me leurre (56° à St Nazaire, tu dois être pareil maintenant. Mais non, je ne me suis pas arrêté au Sappey et y’avait au moins 8 personnes dans la salle. Ça ne pouvait pas être tous des 160...)
Je ne suis pas un bon descendeur, je le sais. Et là, en plus, à 19h08, je m’arrête dans une épingle au dessus du col pour un pipi (ben oui, au bout de 11h de course, ça serait temps). Je repas tranquille… et me fais déposer par une fusée. Avec un dossard orange ! aaaaaarghhhh
J’arrive à ne pas perdre pied par cette place perdue (comme quoi, je suis encore assez lucide et pas totalement dominé par le diablotin) et arrive au Col.
Quoi ? pour ne pas emprunter 10m de route départementale, ils nous font monter un raide talus de … 5m, avant d’arriver aux tentes des ravitos. Je me surprends à râler (pour la forme) (comme quoi, je suis quand même un peu entamé).
Dernier ravito. Je ne complète pas mon sac congélation, puisque je n’ai rien pioché dedans depuis des heures et que je trimbale depuis un moment des miettes de Tuc mélangées à 3 abricots secs et 2 tranches de cake en décomposition. Pas faim de solide, mais ça va étonnamment bien. Ce sera donc un bidon de boisson de course et pour l’autre, je remplace la menthe par du jus de pomme coupé d’eau.
Je repars avec un gobelet de coca à la main et le téléphone dans l’autre pour informer mon fan club de mon arrivée presque imminente…
Je ne connais pas la dernière section de la course. Au ravito, un bénévole m’a dit : « 180m de D+ sur la crête du Rachais, puis que de la descente. Dans 10 km maxi, tu as fini ».
La mécanique des jambes, des bras et des bâtons fonctionne à merveille, j’ai un bon rythme de marche sur ce faux plat (bien) montant. La pluie s’est remise à tomber après mon départ du ravito. J’hésite à remettre la veste, puis finalement, je l’enfile sur mon tshirt trempé pour ne pas prendre froid.
Bon, c’est certainement joli comme secteur de jour et sous le soleil, mais ce large chemin sous les arbres n’en finit pas. Je regarde attentivement chaque panneau indicateur pour trouver la distance restant jusqu’à la Bastille.
Le diablotin craindrait-il l’eau ? Il me laisse tranquille depuis le ravito. D’un autre côté, je suis seul sur le chemin.
La Bastille, enfin. Descente, 3km de plat maxi et c’est bouclé.
Arrêt à l’abri des arches pour un SMS à ma femme. Oups, un dossard orange arrive. On cherche un peu le chemin (il manque un ou deux fanions). Le coureur me dit qu’il a les genoux bien fatigués, alors je tente ma chance : j’accélère progressivement dans les larges épingles qui nous mènent à l’Isère en me retournant de temps en temps… c’est bien, tu l’as distancé, me susurre mon diablotin, à l’abri sous ma casquette.
Désolé de ne pas t’avoir attendu, collègue, j’avais un top50 sur le feu depuis 30 bornes !
Sur les quais, c’est super : fin des fanions qui m’accompagnent depuis le départ, mais une super ligne verte fluo, peinte sur le sol et qui me guide jusqu’à l’arrivée. C’est assez surréaliste de courir, sous la pluie et dans la nuit qui tombe, dans les rues de Grenoble, le nez collé sur un trait vert, en croisant des gens déguisés en urbains ou attablés à des terrasses ! Eh oui, je cours. Je pensais finir en marchant ou au mieux, en trottinant, mais non, je cours. Pas à 13km/h, mais à un bon 10-11 quand même.
Au passage de la passerelle sur le Bd Jean Pain, à quelques hectomètres de l’arrivée, je vois qu’il n’y a personne derrière et personne devant : je garde le rythme, mais la pression tombe.
Le parc, les barrières, l’arche, badgeage de la puce.
C’est fini.
J’embrasse ma femme qui m’attend depuis un moment avec ma belle-sœur et qui me prennent en charge : un grand merci à toutes les deux, autant j’ai géré la course, autant après la ligne…
Au chrono, ça donne 12:25:43.
Et au classement, le diablotin exulte sur mon épaule : 48°
Finalement, cette course de remplacement, ça aura été une belle échappée !
Vivement la prochaine.
https://www.strava.com/activities/683371255
Un immense merci :
aux organisateurs et aux bénévoles
à ma femme et mes enfants (la prochaine fois, prenez des sous pour acheter des pâtisseries à la boulangerie en m’attendant !)
à tous les copains pour les SMS d’encouragement pendant la course (grrrr quand même à Rico69 : c’est toi qui a réveillé le diablotin en évoquant le premier un top50)
aux Bouzineurs et contributeurs (lire les échanges sur le fil, le lendemain, c’est un délice)
à Albacor38 pour la promenade à la Faïta
à Marat et au Kéké pour leurs précieux conseils de gestion de la course
quelques souvenirs en images
dans le sas, à Uriage, avec David. Quelques gouttes de pluie nous font sortir les vestes, mais ça ne dure pas.
montée forestière à Chamrousse, avec David.
Trouée dans les nuages dans la montée. Mais, ne serait-ce pas Chamechaude, tout là bas ? :-)
Arrivée au ravito, à Chamrousse Recoin : c'est comme à l'entrainement
Chamrousse.
Après le ravito de Chamrousse ; montée au col du centre de la photo...
... et on bascule pour une première longue descente, sous le Colon, encore dégagé
sections parfois bien boueuses !
traversée de l'Isère sous la pluie.
à quelques km de la base de vie de St Nazaire.
Dent de Crolles à droite et au centre de la photo, le Col de la Faïta
(c) Le Kéké. ravito à la base vie de St Nazaire. heureux !
boulangerie de St Nazaire, pour le rendez-vous familial qui fait du bien
Albacor38, le kikou au footing de warrior, dans la montée au Col de la Faïta
Col de la Faïta : Bec Charvet et Dent de Crolles dans la crasse
Habert de l'Emeindras, Chamechaude en ligne de mire !
descente sur le Sappey, vue sur le St Eynard et la descente raide sur le Col de Vence, dans la trouée
Fort St-Eynard : plus qu'à me laisser rouler jusqu'en bas
Vue plongeante sur le Col de Vence ! c'est raide
la fin du parcours jusqu'à la Bstille, au bout de la crête
c'est fini ! un peu cassé, mais tellement content :-)
14 commentaires
Commentaire de Mazouth posté le 26-08-2016 à 21:56:45
Pour la millième fois, en core bravo !! Super course, et en plus un beau récit. Par contre pour les photos tu n'aurais pas dû prendre l'appareil d'Arclusaz, ça ne rend pas trop bien ^^
Commentaire de arnauddetroyes posté le 26-08-2016 à 22:07:00
dommage de ne pas t avoir vu au depart d Uriage mais bravo pour ta course et ta 48 eme place!
Commentaire de Davitw posté le 27-08-2016 à 13:33:22
Encore Félicitation cher binome :) T'avais vraiment les jambes et bossé pour ça, cette 48e place est méritée !
Commentaire de snail69 posté le 27-08-2016 à 17:01:37
J'essaie d'imaginer la frustration de ne pas partir pour le parcours pour lequel tu t'étais préparé. Et malgré la pluie, tu nous fais qd même une super course. Bravo, c'est de l'expérience en plus pour l'EB de l'année prochaine !
Commentaire de tidgi posté le 27-08-2016 à 18:53:56
Ça sent le gros potentiel en ultra çà !
Bravo mec !
Commentaire de Jean-Phi posté le 29-08-2016 à 08:32:31
D'acc avec Tidgi, ça sent le bon gros potentiel pas encore tout exploité !
Bravo pour ta perf !
PS : Sympa d'avoir des photos de pas loin de chez moi, merci !)
Commentaire de rico69 posté le 29-08-2016 à 10:03:15
hihi ca t'a donné un p'tit challenge de plus ;-)
A charge de revanche pour le réveil du diablotin
Très belle perf malgré le repli
Commentaire de courotaf posté le 29-08-2016 à 10:52:57
Bravo pour cette belle perf dans des conditions bofbof.
Une année de plus pour préparer un départ de Vizille, ça va donner!
Commentaire de Kirikou69 posté le 29-08-2016 à 17:09:08
Tu finis ta prépa en Lozère et tu finis 48ième.
Et si tu essayais de te préparer dans l'Ain , l' Aisne ou l'Allier l'année prochaine ?
Commentaire de Albacor38 posté le 29-08-2016 à 18:56:32
Vu ton aisance sur cette course et compte tenu du parcours logiquement, mais malheureusement, tronqué de Belledonne sur cette édition je pense que tu peux envisager de prendre un dossard sur le 85 de l'EB en 2017...
Commentaire de Arclusaz posté le 29-08-2016 à 22:31:02
c'est vrai que les couleurs de tes photos sont décevantes : c'est dingue avec la belle météo que vous avez eu ! bon, il vaut mieux être bon trailer que bon photographe. Dommage pour le Grand Colon, la plus belle montagne du monde après une certaine dent.
Et quand même, un énorme bravo pour ce Top50 : bravo mon p'tit clou !
Commentaire de Spir posté le 30-08-2016 à 23:04:17
Ça a l'air tellement facile quand c'est fait avec talent... T'aurais au moins pu prétendre en avoir bavé ! Bravo pour cette belle course et ce chouette récit humide. Donc si j'ai bien compris on se retrouve l'an prochainà Vizille ! (Et avant en off, bien sûr)
Commentaire de marat 3h00 ? posté le 31-08-2016 à 15:28:40
Et mes super manches anti-pluie, elles ont servie au moins ? parce que sur les photos, on les voit pas.
belle perf Christian ! et ce n'est que le début ...
Commentaire de franck de Brignais posté le 01-09-2016 à 16:27:43
Il faisait relativement beau finalement... en tous cas dans tes sourires, c'est un soleil permanent !!...
Un immense bravo pour cette grande perf'. Vraiment bluffante. Faut dire qu'un secrétaire général se devait de tenir haut son statut, bravo !
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