Récit de la course : Le Grand Trail du Saint Jacques 2014, par ejouvin

L'auteur : ejouvin

La course : Le Grand Trail du Saint Jacques

Date : 27/9/2014

Lieu : Le Puy En Velay (Haute-Loire)

Affichage : 3109 vues

Distance : 72.3km

Objectif : Pas d'objectif

28 commentaires

Partager :

On remet le couvert mais c'est la panne...

Après une première participation réussie en 2013 avec les zamis Chouquette, Marylène (devenue ammie ce jour là), Chloé, Virgine, Florent, Jean-phi et le coup de foudre humoristique Fanny, j'avais qu'une envie : REVENIR et faire la fête. En fait, cette course ressemble à une fin de saison, avec pour objectif se marrer et faire du sport. Donc on y va avant tout pour prendre du plaisir en commun, et non pas solitaire pour une fois. J'ai réussi à embarquer un collègue sur la distance moyenne et j'espère qu'il va se plaire sur cette belle course.

Comme l'année dernière, le ton est donné dès la sortie du train, disons du métro cette année, et le voyage va être sous le signe de a rigolade. Cela permet de rendre le trajet moins long et nous arrivons un peu tard au retrait du dossard. Cette année, nous, enfin Chouquette, passerons incognito.

Puis direction l'hôtel pour un repas de sportif et une nuit de promiscuité. Je vais avoir beaucoup de peine à m'endormir et la nuit sera trop courte à mon goût.

 

La navette

Après une énième bouchée de pâtes et jambon, nous allons rejoindre le départ des navettes. Problème, il est assez compliqué de se garer dans cette petite ville. Pas grave, nous trouverons une place un peu éloignée mais au moins la voiture est en sécurité. Nous abandonnons mon collègue qui prendra la navette du 50kms. Tel des cancres, nous voici placés, Chouquette, Jean-Phi et David, au fond du car. Ce statut doit être honoré et nous passerons l'intégralité du trajet à dire des bêtises dignes de gamins de 4 ans. Certains voisins en rigolent, d'autres essayent d'occulter notre vacarme pour dormir sur l'épaule de leur(e) chéri(e). En gros, cette année je ne vais pas poursuivre ma nuit durant ce trajet et j'évacue la pression.

Et oui, qu'on se le dise, je me suis inscrits avec la volonté de performer et d'améliorer largement le temps réalisé l'année précédente. En gros, à défaut d'avoir des couilles en or, je souhaite repartir avec un coquille en métal précieux, à mettre dans mon caleçon. C'est assez ambitieux, mais je m'en sens capable malgré une préparation frustrante. En gros, le travail de vitesse n'a pas pu être réalisé.

 

Le sauvage

Le départ est toujours aussi perdu au milieu de nul part. Pas de couverture téléphonique, nous sommes "coupés du monde" permettant de se concentrer sur les rencontres locales. Il est temps de se changer, je suis quasi le seul en tenue civile, et de se placer sur la ligne de départ, non sans faire encore une fois des pitreries. Cette année, pas de "SAS" pour les dossards élites, et je serai idéalement placé sur la ligne de départ. Je laisserai tout de même ma place à casse-noisettes, ce qui confirmera que je n'essayerai pas de choper son 06.

Après beaucoup de discours, nous sommes lâchés sur les chemins.

 

Tour de (sur)chauffe

Qu'on se le dise, il fait un grand soleil et la température n'est pas fraîche en ce bon matin. Cela n'empêchera pas certains de partir avec le coupe-vent sur le dos... Et comme lors des précédents éditions, cela va partir vite. Avec Jean-phi, nous avons l'impression d'être vraiment plus rapide que l'année dernière. D'ailleurs, il me faudra du temps pour le récupérer après la première montée qui me verra mettre le cardio au delà de 165, alors que je m'essouffle à 150 à l'entraînement. Et cela n'empêche pas de se faire déposer.

Tant bien que mal, nous essayons de calmer le cardio mais rien n'y fait, il ne va pas descendre dans la zone prévue. Mais cela ne nous empêche pas de discuter pour autant. Arrivé au premier pointage, la surchauffe commence à se faire sentir. La température commence à être chaude pour 10h du matin et il faut impérativement faire tomber les pulses.

 

Direction Sauges

Bon ça y est, le cardio a enfin décidé de se stabiliser et les positions semblent être établie. Pourtant, j'ai l'impression de forcer beaucoup plus que l'année précédente et je redoute la deuxième partie du parcours. Mais bon, c'est comme ça, il va falloir faire avec cette première partie dangereuse toute en descente. En arrivant à Sauge, une petite variante par rapport à l'année dernière, nous fait faire un petit détour dans une parc. Mis à part une trace en forme single, je ne m'amuse pas trop pour le coup. Seul bénéfice, ça permet de tester l'allure sur le plat et les chiffres affichés par la montre me plaisent bien.

Premier ravito enfin... Je fais le plein de miam miam et rempli les gourdes.

 

Les choses sérieuses commencent

Je lâche temporairement Jean-phi à la sortie du ravito. Mais il va me reprendre hyper facilement dans les montées qui suivent. Je ne peux absolument pas suivre son rythme sans me faire exploser la ceinture. Et pour le coup, il commence vraiment à faire chaud. Alors je vais prendre mon mal en patience et nous verrons bien. Mais un nouvel ennui commence, j'ai les tétons qui pointent et ça pique. Mince alors, je ne vais quand même pas me les mettre en sang ? Et puis j'ai l'impression d'avoir des brûlures naissantes sur l'aisselle droite. Je me vois déjà courir le torse nu sur la fin du parcours...

Bon la première montée est passée et elle m'a parue interminable. Il va falloir s'attaquer à la descente sur Monistrol qui sera tout aussi longue. Qui plus est, nous avons commencé à reprendre les randonneurs et nous devons slalomer un petit peu. Cela dit, ils sont particulièrement attentifs et s'écartent à notre passage. Il faut bien cela, car j'essaye de ne pas traîner. Le terrain n'est pas trop technique malgré de nombreux cailloux et racines et il est impératif de bien faire attention. Ce qui est marrant sur cette partie, c'est l'alternance du terrain, provoquant parfois quelques glissades sous les yeux des dits randonneurs.

J'essaye de vraiment me faire plaisir et j'ai une fois de plus l'impression d'être beaucoup plus rapide, d'autant plus que je commence à doubler quelques concurrents.
Enfin, c'est la traversée du pont Eiffel qui nous permet de rejoindre le deuxième ravito.

 

La galère

Ce ravito est important car après, il faut se farcir la première partie de la grosse difficulté du parcours. Une montée en deux parties entre coupées d'un plat où il faut courir. En voyant le roadbook, on peut se demander pourquoi le troisième ravitaillement est après seulement 6 kms. Mais il faut bien voir qu'il est au environ de midi, ça chauffe grave et la pente est assez forte quand même.

Je lance toute mes forces dans la bataille, mais la fatigue se fait déjà ressentir et les minutes filent plus vite que prévu. Je bois pas mal, je m'asperge mais rien n'y fias, j'ai chaud, trop chaud. Heureusement, nous commençons à reprendre des concurrents des relais ce qui permet de se divertir. A l'approche de Saint Privat, je vais partager un moment avec deux jeunes filles.

La première encourage sa copine qui est en surchauffe. Je les lâche un petit peu, elles me reprennent, cela plusieurs fois de suite. Alors qu'elles m'encouragent j'envoie une petite giclée d'eau, vive les bidons, au visage de la première. A la vue de sa satisfaction, je comprends que cela leur fait du bien. Il me reste encore une gourde à moitié pleine et je vais m'en servir pour les rafraîchir en versant le contenu sur la tête. Cela semble leur faire un bien fou et nous arrivons ensemble au château. Elles en ont terminé, mais moi il me reste encore 30 bornes à me farcir.

 

Ca monte encore

Au ravito, je vais être aidé par des concurrents du relais pour remplir mes gourdes à la rampe à eau. Cela me permet de me rafraîchir, de boire sans me préoccuper de mon ravitaillement. Aller, on ne traîne pas et on attaque la fin de la montée. C'est de pire en pire, nous sommes tous cuits, tous au bord de la défaillance. Pour un trail non montagneux, on se tape des montées à plus de 10%, il faut poser les mains sur les cuisses, monter de grosses marches, passer des blocs de pierre. Et toujours ce chrono qui défile sans pouvoir réagir. J'essaye de m'accrocher à un coureur équipé de bâtons. Il me met minable et je ne peux absolument pas suivre quand cela grimpe.

Arrivé au kilo 48, nous en avons terminer de cet enfer normalement. Il ne reste plus qu'à relancer dans la descente. Je vais en profiter pour reprendre "bâtons man" et le lâcher. Ca me redonne le moral mais s'emballer est le principal risque. Et je ne vais pas y échapper...

 

Un bon Bains, mais sans mousse

On crève de chaud, c'est terrible. Je suis bien content d'arriver au ravito des Bains pour tenter de me rafraîchir et bien m'alimenter. La pause sera plus longue que prévue mais j'essaye de reprendre le rythme. Alors que j'essaye de reprendre des forces, "bâtons man" nous passe tous en revu. Je vais embrayer sa foulée et essayer de le conserver en point de mire pour ne pas perdre le moral dans cette longue partie dans les champs en plein soleil. Sauf que cette fois-ci, il me met minable sur toutes les parties du parcours. Je m'accroche, je tente de le garder à vue.

Sauf que voilà, je sens que mon esprit commence à partir, des mini vertige. Oulala, il ne faut pas sous estimer ces signes. Vite je m'alimente encore et bois autant que je peux. Un moment, je ne me vois pas arriver au bout et je me vois même contraint de mettre le clignotant au prochain pointage, à 7 bornes de l'arrivée... Non, cela n'est pas possible, 7 bornes, je pourrai le faire même en marchant, pas possible de lâcher si proche de l'arrivée.

Je tente encore et toujours de relancer, j'ai l'impression de bien forcer mais rien n'y fais, je plafonne à 6' au kilo alors que le profile est majoritairement descendant. La fin risque d'être vraiment compliquée.

 

On y est

Alors que le ravito de La Roche approche, les forces reviennent enfin. "Bâtons man" n'est plus un point de mire, mais un concurrent que je dois lâcher. Je crains qu'il me refasse le coup sur le ravitaillement. Pour autant, je vais prendre mon temps de remplir de nouveau les bidons et essayer de charger les niveaux pour tenter de finir au mieux ce parcours. La dernière partie dans les roches doit se faire calmement pour ne pas se fusiller, mais elle est compliquée. Une malheureuse dernière montée de 40 mètres dans les blocs fait mal, très mal. Mais bon après, c'est la fin...

Alors, je lance mes dernière forces dans la bataille. Plus de contrôle du cardio même lorsqu'il affiche des mesures à 170-175. La vue de chaque panneau, annonçant la distance restante, me galvanise. Mais attention, ils ne sont pas tout à fait juste, il faut rajouter 1 km à chaque fois.
C'est la fin des chemins, place au bitume, qui tape fort, pour rentrer dans le Puy. Connaissant la fin du parcours, autant dire que je ne retiens plus rien dans la première descente. Je me lance à corps perdu, à la limite de l'explosion. L'esprit n'est plus présent, je ne réponds plus que par des signes aux signaleurs et différents spectateurs.

Arrive la foutue voie pavée nous emmenant à la cathédrale. Cette année, c'est décidé, je cours. Pas de photographe cette fois-ci, donc pas besoin de faire le fier pour avoir sa tronche dans les magazines. Place à la dernière montée, je me force à courir même à petits pas. Les mots des spectateurs font mouche et m'encouragent à continuer. Les marches se présentent, je continue de courir quand .... Bam crampes aux deux ischios. Les deux dernières portions se feront en marchant et en grimaçant.

Heureusement, cela ne va pas durer longtemps et nous entamons les zig-zag sur les rues pavées autour de la cathédrale. On serre les dentes, on oublie la douleur et on relance. C'est la fin, on a le droit de se mettre dans le rouge, il faut y aller tant que l'on peut.

Fin des pavés, cooool sauf qu'il reste à se farcir quelques marches descendantes, tout ce que je déteste mais cette fois-ci je suis au courant. Alors je vise les rampes d'accès quand celles-ci sont disponibles. On peut entendre le speaker, il ne reste quasi plus rien et pourtant certains sont mis KO si près du but. Je m'explose le cœur pour franchir "dignement" la dernière ligne droite et l'arche d'arrivée.

 

Ca c'est fait

Une fois arrivée, le speaker va me demander de rester pour donner mes impressions. Mais il comprend que j'ai besoin de souffler. Quand je me relève, il me tend le micro et je ferrai part de ma grande surprise de voir que j'effectue 16 minutes de plus que l'année dernière en ayant l'impression de m'être beaucoup plus arraché. Je suis bien content de voir mon collègue qui aura très bien terminé son 50kms également.

Aller, on reprend son esprit en buvant quelques verres. Je vais le quitter en laissant un petit cadeau olfactif. Récupération du tee shirt et je me dirige vers la douche. Malheureusement, je vais voir Chouquette et Jean-phi en tenue civile. Je comprends qu'il y a eu du dégât et je suis déçu pour eux. Mais bon, c'est le jeu et il est préférable de préserver la santé.

Après une bonne douche, on va prendre la première bière de l'amitié. Les premières gorgées vont me mettre KO, obligé de m'assoir. Mais bon, cela va vite aller mieux et nous allons poursuivre notre repas autour d'une bonne part de saucisse lentille. Les discussions à table sont du même acabit que celles dans le bus. Autant vous dire que nos voisins de table risquent de s'en souvenir. Mais vous n'aurez aucun détail, même si c'est franchement mararnt, car ce qui se passe au Puy reste au Puy. Cela dit, il a été bien rempli cette année et il risque de bientôt déborder. Les dossiers vont ressortir....

Nous attendrons David qui va en terminer, comme tout le monde, exténué. Les encouragement pour les finishers sont soutenus, les images belles. Tout le monde est à bout, cette édition a vraiment fait mal. Sur le coup, je ne ressens pas trop de courbatures, mais je vais déchanter le dimanche. Grosse fatigue, je n'ai pas arrêté de dormir et les cuisses se sont mises à piquer. Il m'aura fallu m'arracher pour essayer de pondre ce CR, peut d'inspiration et pourtant il y avait de quoi dire. Mais la fatigue m'a empêcher de mettre des mots sur mes sensations, qui resteront donc des souvenirs pour moi et ceux avec qui je les ai partagé. Comme l'année denrière, les absents aurotn tords, même si il y avait plein de beaux rendez vous ce week end au quatre coins de la France.

Mais ce fut un week end réussi pour la deuxième année consécutive. Beaucoup de rigolades, une superbe ambiance entre nous et c'est bien là l'essentiel.

28 commentaires

Commentaire de Krapo07 posté le 28-09-2014 à 21:24:10

Bravo à toi, sacré perfomance. Quand je vois que j'ai fini avec les crampes en montant à la cathédrale alors que je n'ai fait que 30km, je dis waou, respect ;)

Commentaire de ejouvin posté le 28-09-2014 à 22:01:50

Bah moi aussi j'ai fini avec les crampes. Heureusement, elles ont été passagères.
Et puis sur 30kms, il faut se donner à fond tout le temps, ce n'est pas le même effort. Alors bravo à toi aussi.

Commentaire de Mamanpat posté le 28-09-2014 à 21:50:43

Quelle grosse marrade ! Encore bravo chouchou et merci pour tout le reste ! ;-)

Commentaire de ejouvin posté le 28-09-2014 à 22:02:44

Tu m'étonnes, qu'est ce que l'on s'est marré.
A en oublier les souffrances, même si je suis explosé. Pire qu'à la Montagn'Hard, c'est pour dire.

Commentaire de Jean-Phi posté le 29-09-2014 à 06:34:43

Seulement 24h pour pondre le CR ! Avion en course et à l'écrit. Rien à redire tu es le plus fort. Comme dit en partant très belle perf compte tenu des conditions qui en ont fait exploser plus d'un. Bravo et surtout merci pour l'humour de tout ce week-end. Nicolas n'est pas en reste non plus, ça fait une bonne recrue. On y retourne l'an prochain ?!

Commentaire de ejouvin posté le 29-09-2014 à 08:40:09

Bah disons que j'essaye de mettre par écrit mon ressenti le plus vite possible. Comme cela, c'est un peu plus authentique. Mais je dois avouer que j'ai lutté pour le pondre.

Concernant l'humour, il faut que cela soit partagé, et pour le coup on s'est bien marré. Cela ne plait pas à tout le monde, mais bon il suffit de choisir son public.

L'an prochain, je ne sais pas, il y a des trucs à faire en Ile de France, genre Impérial. Mais peut être que je doublerai, va savoir ....

Commentaire de Taldius posté le 29-09-2014 à 10:40:57

Bravo à toi :)

Commentaire de ejouvin posté le 29-09-2014 à 10:44:20

Heuuu merci.
Mais cela n'a rien à voir avec ce que vous avez fait... C'est vous les héros

Commentaire de caro.s91 posté le 29-09-2014 à 15:39:50

Avec la chaleur qu'il y avait, c'est vraiment une belle perf! T'es sûr que les 16 min ne sont pas restées dans les efforts du côté de Mondeville? !!! :)

Commentaire de ejouvin posté le 29-09-2014 à 15:44:15

Aucune idée si Mondeville n'a pas laissé quelques traces, même si cela est probable. Mais ce n'est pas bien grave, ce fut un joli week end.

En plus de faire chaud, il a fait un sacré soleil à en juger les coups de soleil.

Belle perf, non non, il ne faut pas dire cela. J'ai eu la "chance" de moins exploser les autres. J'ai fait un petit tour sur le tableau de passage, c'est une hécatombe sur les derniers pointages. D'ailleurs, c'est rigolo à lire.

Commentaire de sabzaina posté le 29-09-2014 à 19:50:49

Pire que la MH ! Ouh là là !
Bravo Monsieur :)

Commentaire de ejouvin posté le 29-09-2014 à 20:32:00

Attention, c'est un effort bien différent quand même. Oui, j'étais vraiment épuisé samedi et c'est pourquoi je dis que c'est pire. Mais la course est plus abordable.

Ce week end, il fallait réussir à tenir et ça donnait de bon classement. Il n'y a pas forcément de gros mérite, mais le plaisir de courir était bien là.

Commentaire de Minion posté le 30-09-2014 à 08:57:05

Respect tout de même, vu le cagnard qu'il a fait.

Commentaire de ejouvin posté le 30-09-2014 à 09:09:28

Et pour une fois que je sors le tee shirt sans manches... Bah je me suis tapé de gros coup de soleil, ça pique.

Commentaire de Fred42 posté le 30-09-2014 à 08:58:52

La prochaine fois je garde ma place au fond du bus !! je le savais la place du milieu porte bonheur. Bravo pour ta perf et surtout un beau résumé de la course. Pour moi j'ai adoré (bonne organisation, paysage magnigique..) bien entendu j'aurai préféré la finir en courant mais bon...

Commentaire de ejouvin posté le 30-09-2014 à 09:10:23

Finir en courant ou pas, le principal est de passer une bonne journée.
Je ne sais pas si elle porte bonheur la place du milieu. Pour cela, il faut revenir l'année prochaine et comparer.

Commentaire de elnumaa[X] posté le 30-09-2014 à 11:04:54

pfiou , enorme ta perf !!! & sur "mes" terres en plus !
bonne suite @+
manu

Commentaire de ejouvin posté le 30-09-2014 à 11:09:08

Merci.

Enorme, non non vraiment il ne faut pas dire cela. On trouvera toutes les excuses du monde, mais je mets 16 minutes de plus alors que les favoris progressent. Maintenant pour le reste des participants, nous avons eu des difficultés à gérer la chaleur. Je m'en sors mieux que les autres, ce qui entraîne ce classement. Mais par des chaleurs plus clémentes, j'aurai eu plus de mal à mon avis.

Et puis cette année, c'est plaisir de participer avant tout.

Il va falloir que je revienne sur tes terres, ça a l'air super sympa.

Commentaire de Arclusaz posté le 01-10-2014 à 11:20:13

Ben voilà, tu changes de TS fétiche et du coup les tétons saignent et les aisselles chauffent !
ton fan club perd ses repères et toi aussi....

Et dis moi qui c'est cette Chouquette ? j'ai beau cherché je ne vois vraiment Pat...

Bravo pour cette course et ce super classement.

Commentaire de ejouvin posté le 01-10-2014 à 13:23:12

Je ne vois que Pat moi aussi ;)

Merci en tout cas.

Commentaire de Mamanpat posté le 02-10-2014 à 14:39:34

Une chouquette ? Une douceur, croustillante à l'extérieur, moelleuse à l'intérieur. Facile à trouver ! :-)

Commentaire de Arclusaz posté le 02-10-2014 à 15:09:26

Jean-Phi ?

Commentaire de ejouvin posté le 02-10-2014 à 15:15:09

Dangereux comme commentaire ça... Pour ma part, je ne connais pas l'intérieur en tout cas.

Commentaire de Arclusaz posté le 02-10-2014 à 15:21:35

Alors, celui là de commentaire, je n'aurais jamais osé (mais j'avoue, j'y ai pensé ....)

Commentaire de ejouvin posté le 02-10-2014 à 15:24:28

Je suis un fou, j'ose "presque" tout ;)

Commentaire de Mamanpat posté le 04-10-2014 à 07:10:42

Tu serais venu au Puy tu oserais tout ! Ou presque... :-)

Commentaire de celestcyr posté le 03-10-2014 à 19:17:49

chapeau bas le "fou qui ose presque tout" ;)

Commentaire de ejouvin posté le 03-10-2014 à 22:22:52

Que le chapeau bas ? Bah mince alors ;)
Merci en tout cas.

Il faut être connecté pour pouvoir poster un message.

Accueil - Haut de page - Aide - Contact - Mentions légales - Version grand écran - 0 sec