L'auteur : les machine-gônes
La course : Trail de Saint Héand - 29 km
Date : 20/11/2011
Lieu : Saint Héand (Loire)
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Distance : 29km
Objectif : Se dépenser
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Prologue :
Le Risoux-Club Chaux Neuve avait pour la saison à venir 3 objectifs apparemment inatteignables : Rallonger son tremplin d’une cinquante de mètres en vue d’accueillir les championnats du monde en 2012, absorber Bois d'Amont et Jason Lamy-Chapuis avec, grâce au sponsoring du consortium Areva-Volodalen et enfin, faire signer les Machine-Gones – jusqu’à peu déclarés "aussi intransférables que la pâte à quenelle elle-même" par Jean-Michel Aulas (son leitmotiv, même quand il ne sait pas de quoi ou de qui il s'agit). Et bien, finalement, c’est le plus improbable qui s’est réalisé : les Machine-Gones, pourtant sous contrat avec le Zoo de l’Isère jusqu’en 2018 ont obtenu pour l’hiver un bon de sortie, sous forme d’un prêt au bénéfice du Risoux-Club. Le président de Chaux Neuve s’est immédiatement déclaré ému : « la concrétisation d’un rêve », « une signature de prestige qui devrait faire avancer le Jura tout entier », « une venue inespérée », même s’il a aussi fait part de sa « grande préoccupation » et s’est déclaré « attristé par l’état de déréliction actuel du Zoo Isérois », qui « avec tous ses forfaits et ses blessés, on voit pas trop comment ils pourraient refaire surface, même au printemps ». Il a en tous cas conclu le sourire aux lèvres : « Ne boudons pas notre joie ! Comme le bouc a son harem, nous, nous avons désormais les Machine-Gones ! ». On veut bien le croire : cet hiver, ça risque bien de ronger sévère du côté du Morbier.
Cependant et en attendant le début de ces festivités hivernales, les MG se sont souvenus qu’ils s’étaient engagés à un minimum de 3 courses à l’automne auprès de leurs gourous-coachs zoophiles ou zoopathes qu’ils soient à plumes courtes ou à poils longs. Avec en 1, la Semine et en 2, la Montagnôle, il fallait bien un 3. Pourquoi pas la Saint-Héand ?
Récit subjectif de la Saint Héand:
Ne nous demandez pas comment ni pourquoi… mais c’est arrivé. Cette fois, la course est partie sans nous. A ceux qui prétendent que ça nous pendait au nez, notre seule réponse : « Profiter du malheur des autres pour exprimer sa jalousie n’a jamais apporté le bonheur à quiconque ». Reste le problème pratique… comment rattraper une course qui s’est carapatée ?
Deux petits bonzommes en jaune sur la ligne de départ... mais où sont les coureurs ?
Et ben, plus qu'une chose à faire, on met le turbo ! Et hop, on retrouve les signaleurs qui s’en vont et hop, on rejoint la moto-balai puis les concurrents attardés : visiblement des participantes à un cani-trail qui se seraient emmêlé les pinceaux dans leurs inscriptions, puis des concurrents qui ont visiblement mal digérés leur petit-déjeuner, et tous ceux qui sont venus à contre-cœur, et tous ceux qui ont mal aux pieds, et les pas réveillés, et les grincheux…. Fffou fffou ffffou, enfin les premiers coureurs sérieux. Et nous, on dépasse, on dépasse. Malgré ça, jusqu’au bout, on se retrouve affublés du sobriquet de « les retardataires »… allez comprendre.
Où sont les " coureurs du dimanche" de jadis : ceux qui se doublent sans forcer et qu'on revoit jamais ?
Bon, au premier bilan : ça fait facilement 20 personnes de reprises. Oui, mais, ils étaient combien ? On suppute, on conjecture : sûrement pas plus de 3 minutes de retard de notre part à l’allumage… Quand même une longue file indienne se dessine dans les champs au loin après le premier virage qui part dans un vallon. Alors ils seraient quoi ? Environ 200… Possible. Bon, pour être à notre place, il faut en doubler encore au minimum 60. Et on a le temps : 29 km pour un dénivelé de + 1000m… pour tout dire, c’est pas la course où on comptait venir mais suite à une distraction et un post-it égaré, on a oublié le nom de la course où on avait prévu de s’inscrire ce dimanche. Donc on est là et pour un petit moment. N’empêche, le départ à 8h, ça fait tôt. Ceci dit, c’est joli, il fait bon et pas de nuages à l’horizon. On croise quelques troupeaux, des fermes, la vie pastorale quoi, et des passages en sous-bois, et des chemins dans les champs, et du sous-bois à nouveau…
Un dimanche à la campagne : C'est ça aussi, une préparation équilibréé...
Côté course, devant nous ça bouchonne dans les descentes, puis ça attaque à fond dans les montées. Alors là, on avoue que c’est un peu inédit. Deuxième grosse bizarrerie : au bout de 20 minutes, les attardé(e)s qu’on avait rattrapé(e)s, nous rattrapent à leur tour. Repris par la fin de course ??? Heuuuu, ça nous était jamais arrivé encore. Y a un gag ? C’est la caméra caché ? Un acte de dépit ou de désespoirs des isérois qu’auraient kidnappé le car des touristes de d’habitude qui vient pour faire la dernière page du classement ? Les mauvais sont tous à Jogg’iles ? Mystère. En tous cas, on s’informe : y a pas de course courte qui vient de partir, bigre c’est bien les concurrents du 29 km !!! Promis, on court pourtant. Et avec des foulées normales qui plus est. Troisième mauvaise surprise : comble de la déveine, la musaraigne est prise à son propre jeu. En faisant semblant de se prendre le pied dans une racine pour gesticuler et pousser un concurrent hors du tracé dans un fossé, elle trébuche pour de bon et s’étale de tout son long. Heureusement, à part le côté jambe de bois – famille Adams résultant de cette péripétie, la chute sera sans conséquence pour la suite. On précise cependant au photographe officiel de l’épreuve, si toutefois, il daigne se manifester un jour, qu’il peut garder (voir détruire) ses clichés
Les Machine-Gones en "rodâge"... Normal, on est encore avant le ravito qui sert les petit-déjeûners
(Rectificatif : Photographe notre ami, en fait tu assures comme une bête et tes clichés sont si extras qu'on t'en emprûntes quelques uns afin de dévoiler ton talent à la face du monde. On avaitparlé trop vite. Merci à toi. Quant à toi, lecteur, sache que si la photo te paraît pro, c'est qu'elle est de lui)
Côté paysage : on retiendra la vision des brumes qui se dissipent doucement sur les crêtes tandis que le soleil nous tire gentiment de l’obscurité. Et comme on arrive progressivement à y voir clair, la musaraigne fait remarquer qu’on court beaucoup sur plein de cailloux tout noir. Et oui, le trail de Saint Héand se déroule en terre stéphanoise ou presque. C’est d’ailleurs justement pour ce genre d’occasions qu’officiellement on s’appelle les machine-gônes et non les machine-gones…. C’est un détail mais l’accent circonflexe permet de laisser croire qu’on est pas des vrais lyonnais.
Un vert patibulaire nous a d’ailleurs interrogé pendant la course à ce sujet : « Z’êtes de la région, les machine-gones ? ». Les MG : « Non, non, nous, c’est juste une référence aux figures géométriques. Les machine-gônes, un truc pour mathématicien, c’est un peu comme les polygônes… heuuuu, voilà quoi ! ». Le gars a grommelé, il a croqué dans un oignon cru pendant qu’on s’ouvrait un gel, puis il nous a laissé continuer de trottiner sur son terril, sans nous embêter d’avantage.
C’est le moment de préciser que nous qui, par manque de réussite ou par malchance allez savoir, nous retrouvons souvent associés aux tréfonds du peloton, on se sent une certaine solidarité avec les descendants des sidérurgistes et des mineurs. Oui, c’est bien nous les « prolétaires de la course à pied » et quand les prolétaires de tous les trails s’uniront, faites gaffe à vous les Savoyards !
On est en terre noire : pas le moment de mettre une mine !
Bon, camarade lecteur, tu t’impatientes ? Tu veux savoir comment on s’en est tiré ? Le combat ? le sang ? la sueur ? C’est de ça que le public en redemande. Ok. Alors voilà, après une première moitié de course à somnoler tranquillement, agrémentée seulement par quelques escarmouches avec une marathonienne mal à l’aise sur terrain raviné mais pugnace dès qu’il y a 20 mètres d’asphalte, le duo infernal se fixe un premier gros objectif lorsqu’on lui annonce qu’il est dixième féminine et qu’il y en a une pas loin devant. En plus, elle est vite repérée avec ses jambes de girafe (zoo ou pas zoo ?), et toute en rose et qui cavale méchamment. On sonne la charge (intérieurement) et la poursuite s’engage. On a une première occasion de faire la différence quand la fille en rose part sur un pont où se trouve une croix (ce qui en langage de traileur averti signifie : « non, pas par là ! »). Mais ne suivant que leur idéal de sportivité bien connu, les MG font délicatement remarquer à la fille qu’elle s’est plantée (et aussi qu’elle ferait mieux de les suivre plutôt que de se faire des bornes supplémentaire en essayant de les semer bêtement). Deuxième occasion de lui fausser compagnie un peu plus tard : sur une longue montée à 10 ou 12% qu’on gravit en petites foulées aériennes (et oui, on fait ça, absolument). Mais arrivés quasiment au sommet, alors que les MG cherchent à prendre vite fait une photo des gens derrière prouvant aux sceptiques qu’il y en a bel et bien, un local de l’épreuve leur propose de les immortaliser devant le Mont Morin. On n’ose pas refuser. Résultat : le gars loupe son cliché et la poursuivante nous re-dépasse. Génial, on est ravis !
Un stéphanois en pleine action ! Son objectif ? S'aguérir pour briller à la Saintélyon !!!
Finalement, à notre grand étonnement, on augmente un peu notre rythme déjà élevé. Musa prend quelques bons relais. Le muscardin s’accroche. Bonne relance au point culminant, un ou deux ravitos de grillés et hop, la rose est dans les choux (comme on dit pour les enfants qui naissent).
Au loin un couple de coureurs ! Pas des rongeurs, mais de quoi faire de nouveaux plans sur la comète. On revient doucement. Doucement. Comme l’oiseau fait son nid, il se couche. On prend même le temps de discuter avec des futurs partants de la Saintélyon (après enquête, sur cette course, il y a que ça), ils sont plutôt marrants : dès que le sentier s’incline un peu, ils croient tous reconnaître une montée comme « la montée de Bonnan ». Pendant que ça chuinte des « Bonnan » tout autour comme dans une secte de yogi-sauteurs, voilà nos rivaux du duo à portée de périscope ; pendant un moment avec eux, c’est un peu à toi à moi. Tout ça s’annonce très indécis. En attendant, on est neuvième féminine. Faudrait aussi éviter un retour malencontreux de la coureuse en rose. On se méfie… muscardin échaudé craint l’eau froide.
Selon un stéphanois en phase de préparation de la Saintélyon : "On dirait fort la Montée de Bonnan!"
On est pas déjà passé par là ?
Dernier ravito, on a déjà doublé une ou deux fois l’autre couple, qui est repassé une fois ou deux. Mais là, ils s’arrêtent pour se gaver de pates de fruits. Monumentale erreur ! Et bingo pour nous. Il reste très peu… reste à peine…. Reste 8 kms ?!?! Ah, déception. C’est pas encore gagné alors. Et ça commence à tirer un peu dans les cuisses en plus. On tient comme ça jusqu’à une nationale où un bénévole nous annonce les 6 derniers (kilomètres pas coureurs). On se sent plus trop de capacité à accélérer. A peine on se dit ça, pan, la fille du duo qui déboule et nous double comme une balle, puis qui part dans la descente comme si elle était en roue libre. Quelques minutes après, son partenaire manque de nous piétiner dans un bruit de grand galop. Bon, adieu, alors. Mais on décide de ne pas s’affoler et de ne rien changer. A dire vrai, même si on voulait…
Quelques raidillons s’enchaînent. Des panneaux dans les arbres indiquent que le compte à rebours est conforme aux indications données : 5km, 4km, 3km, 2km, une grande montée en terrain dégagé. Et qui voilà qui progresse en marchant, juste devant nous ? La furieuse du 6e km-encore-à-faire qu’a du calculer un peu juste. Et nous comme deux acolytes en foulées toujours aussi aériennes, on revient, on passe, on file. Le partenaire désabusé attend sa fusée sans réaction sur le côté et lui glisse « c’est juste le mental ». Phrase qu’on prend pour nous. Et on met les bouts, comme un seul Machine-Gone !
Une vierge en pierre : c'est un signe. Derrière une embûche en forme de bancs en granit. Houuu-la, après, c’est la ville !!! C’est par où ? On donne tout ce qu’on a. On double un géant avec un buff orange sur la tête. Un petit bout de bitume, un virage à gauche, un virage à droite, on double un haltérophile, un escalier, une impasse, un autre escalier, un terrain de boules, on donne tout ce qu’on a, un signaleur qui dit à « gauche », un autre qui dit « tout de suite à droite », encore un autre escalier, on lâche rien, un autre qui tourne le dos, une rubalise devant, « j’ai peur qu’ils reviennent », une autre à droite, un gars qui court 20 m devant, « lâche rien, on va y arriver », un autre gars qui court 100 m plus bas, un passant qui gêne, une plaque d’égout qui glisse, « P’tain, c’est par où ?? ». « C’est par où la course ? ». Une dame avec un cabas « Quelle course ? ». Aucun signaleur nulle part, de la rubalise partout !!! Au hasard, droit devant. Ça remonte, bordel ça remonte ! Nooooooon !! Si ! On reconnaît l’école, c’est bon, c’est la ligne d’arrivée. On l’a fait : « On est huitième féminine ! », la main dans la main. A l’arrivée, ils demandent « Qui d’abord ? ». La musaraigne : « Ben moi ! ».
Derrière l’arrivée, voilà le gymnase. Dans le gymnase le tirage au sort. C’est le gars de derrière avec la 9e féminine qui a gagné la soirée-au-resto-pour-deux-avec-violoniste-romantique-à-ta-table. C’est dingo ! D’ailleurs, il n’est pas encore arrivé. Il a eu son lot ? On saura jamais…
Dans le gymnase, à l'arrivée, c'est l'effarement qui domine : Les machine-gones à Chaux Neuve ?
Le cani-trail : bluff ou vraie possible reconversion pour après 2018 ?
Pendant qu’on grignote, y a les podiums qui s’enchaînent. Miam miam, tout le monde est trop gentils : un peu de vin rouge avec de la fourme d’Ambert. Au 5e verre, la tête tourne un peu.
Sur le podium, le fameux team Compresse-moi-tout qui se félicite de sa victoire acquise grâce à une erreur d’orientation des 4 premiers : « Ils avaient qu’à préparer et reconnaître le parcours », qu’y disent…
La tenue du traileur moderne : entre Star-trek et Haloween...
Bon, ben nous aussi finalement, on a fait une sacrée belle course ! Et comme a dit l'heureux président du Risoux Club de Chaux Neuve, en lisant ce CR : "Là, je crois qu'on tient vraiment des champions du monde !". Alors hasard ou prémonition ?
La musaraigne grimpante a choisi de rallier Chaux-neuve directement depuis Lyon en ski-roues pour montrer sa détermination (à tous ceux qui ne voient dans ce transfert qu'une histoire de gros sous)...
12 commentaires
Commentaire de BOUK honte-du-sport posté le 26-11-2011 à 12:48:55
Oh les prolétaires du Trail ?
Je vous vois d'ici éructer "Qu'ils s'en aillent tous" !!!!
J'ai un rêve... I HAVE A DREAM... Recevoir dans mes petits souliers le mois prochain la compilation "les aventures de Muscardinraigne best-of 2010-2011"...
Je crois que vous avez la palme du gag pour la légende de la dernière photo !! Vivement le printemps et le harem du bouc, qui s'agrandit de jour en jour...
Commentaire de les machine-gônes posté le 28-11-2011 à 13:15:02
"Que se vayan todos !" Même si après faut les rattraper...
Ceci-dit, rien de telle qu'une bonne éruction matinale !
Commentaire de the dude posté le 27-11-2011 à 12:51:39
Eh oui je viens de vérifier: le Risoux-club Chaux Neuve ça existe vraiment!?!
Décidément ils sont pas comme nous les Jurassiens (Jurrassiques?), on dirait presque des Savoyards en pire...
Je vais de ce pas acheter l'Equipe qui normalement doit faire sa Une sur le transfert de ce début de siècle.
Quant à ce trail, ça semblait bien chouette et je reconnais que c'est tout à fait fair-play de laisser 5 minutes d'avance à vos adversaires, bravo!
Commentaire de les machine-gônes posté le 28-11-2011 à 13:16:53
Et comment que ça existe ! Et même, avec un parlmares autrement fourni que le GUC !!!
Commentaire de Free Wheelin' Nat posté le 28-11-2011 à 08:32:06
Ca vous a fait combien de montées de Bonnan alors??
Trop forts les machines-gônes!!
Commentaire de l ignoble posté le 28-11-2011 à 10:08:05
dis donc les MG,va pas falloir se blesser,vous en faites trop.....on a deja le bouck qui est en vrac,le goeland qui se remet d'un tacle de zouzou........non,non franchement,faites gaffe,pas envie de vous voir déprimer a manger du nutella le matin en matant Télématin,en pyjama raidlight......
Commentaire de Jean-Phi posté le 28-11-2011 à 10:08:17
D'abord on écrit Beaunant et pas Bonnan, non mais ! ^^
Il y a du lour cette fois-ci, je cite outrageusement :
Oui, c’est bien nous les « prolétaires de la course à pied » et quand les prolétaires de tous les trails s’uniront, faites gaffe à vous les Savoyards !
et :
Le partenaire désabusé attend sa fusée sans réaction sur le côté et lui glisse « c’est juste le mental »
Je croyais également que le blocage de départ de course était une marque déposée Machine-gônes ?? Serait-ce là, le seul faux pas ou une démarche préméditée pour ne pas faire podium cette fois-ci ?
En tout cas, c'est excellent, ne changez rien ! Et puis 8° féminine même pour le muscardin, ça le fait bien ! Bravo !
Commentaire de BOUK honte-du-sport posté le 28-11-2011 à 10:52:42
Punaise mais le muscardin est classé en féminine maintenant ? Ma stratégie est à revoir !!!
Commentaire de les machine-gônes posté le 28-11-2011 à 18:29:06
Pfffff, c'est juste l'esprit d'équipe, c'est tout ! Mais ça, forcément, ça s'apprend pas en 2 ou 3 Ekiden...
Commentaire de les machine-gônes posté le 28-11-2011 à 18:34:15
Merci Jeanphi et surtout merci pour le MG. Sinon c'est vrai que cette fois on est même arrivé un poil juste pour procéder au blocage habituel... Faut dire que dans la vieille lutte de Tic & Tac contre le réveil matin, parfois c'est le réveil matin qui gagne.
Commentaire de Le Lutin d'Ecouves posté le 02-12-2011 à 19:21:18
Décidément, j'aime les bestioles... Bravo à vous deux.
Commentaire de Mathias posté le 18-11-2013 à 21:16:12
CRASSIER ! Ici, on dit CRASSIER ! ;-)
Bon ok j'ai un peu de retard dans la lecture des CRs ;-)
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