Récit de la course : Grand Raid 73 2006, par Sandrine74

L'auteur : Sandrine74

La course : Grand Raid 73

Date : 20/5/2006

Lieu : Cruet (Savoie)

Affichage : 3079 vues

Distance : 73km

Objectif : Pas d'objectif

6 commentaires

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Grand Raid 73

Trail Grand raid 73, Samedi 20 Mai 2006, Départ le Cruet en Savoie 370 m.

Une journée d’exception, pour des personnes d’exception !

Quand je me suis inscrite à l’UTMB, je me suis dit qu’il fallait que je me prépare et en conséquence que je fasse des trails….
C’est alors que j’ai découvert le Grand Raid 73 (GR73), et je me suis dit que je le ferai !
Me mettant des objectifs ! J’envoie donc mon inscription en Mars !
Je ne me fais pas trop de soucis, jusqu’à ces derniers temps, avec un enchaînement de blessure à la cheville qui m’a privé d’entraînement depuis 4 semaines, et d’une chute en VTT qui m’a un peu esquinté le genou il y a 2 semaines, au Challenge The North Face de Chamonix !

Je suis un peu stressé à l’approche du rendez vous, mais le jeudi c’est vraiment terrible je ne tiens pas en place ! Pour me calmer un peu le soir, je prépare des cakes…. Pour aller me coucher vers 23h, je dors bien jusqu’au réveille des petits oiseaux à 5h, et là au bout de 10 min je me lève, sachant que de toute façon c’est cuit !
Je m’occupe et je peaufine la préparation de mes affaires pour me rendre chez Marmotte dans l’après midi, où nous serons 6 a y dormir : Olivier74, Olivier91, SOUL, Val, DidierP, moi-même, accueillit chaleureusement par Marmotte et maman Marmotte !
Auparavant je suis passé chercher mon dossard c’est toujours ça de moins à faire, au passage un nouveau t shirt, le road book qui se résume à une feuille !

Une fois tout le monde arrivé chez Marmotte, nous attaquons l’apéro puis le dîner (pendant lesquels je resterai sagement à l’eau), faisant même oublier à Didier, qu’il y a doucement de moins en moins d’heure pour dormir ! Mais arrivé 23h, là il faut quand même penser à se reposer !
Nous ressentons tous le fait que nous ne trouvons pas le sommeil, juste peut être Olivier74, autrement les duvets se font entendre.
J’ai peut être dû fermer les yeux pas plus de 1h30 de temps, entre 23h et 2h30 l’heure du réveil ! Mon cœur battait de trop, c’est terrible comme sensation… Et je n’étais pas la seule !

J’ai du mal à avaler quelque chose au petit déj’, en plus on est quelque peu dans le jus ….
Marmotte dit qu’il ne faut pas plus de 15min pour rejoindre le Cruet depuis chez lui, moi je suis septique, mais bon s’il le dit ???
Ce qui crée une semi panique dans les autres voitures, car nous avons de 3h30 à 4h15 pour retirer les dossards, après la vérification des sacs se fait de 4h à 4h30, sans suit le Briefing à 4h45, pour un départ à 5h !

Nous arrivâmes pile à 4h15 ! OUFFF de soulagement, tout ce beau monde à son dossard !

Le temps ce matin est relativement clément, il fait même doux. La dernière météo que j’ai prise le vendredi après midi indiquait des petites précipitations courrant de l’après midi, avec baisse des températures, et des vents de 10 à 20 Km/h, donc rien de bien terrible !

Depuis mon arrivé, je suis sans cesse sollicité ! Bon nombre de personnes viennent à moi pour se présenter. J’attends « Sandrine, Sandrine74 », ou bien même « Sandrine du forum ? », et oui, c’est bien moi !

C’est ainsi que je vois Laurent Valette, et Florian de la même équipe, Gilles d’Oches, Gilbert qui ne manque pas de me préciser qu’il a encore bien regardé sur le forum ma photo pour me reconnaître ! Antranik, qui est venu prendre les températures savoyardes ! Dhom qui ne pensait pas qu’on se croiserait ! Je croise des personnes que je connais, Jacques74 et Nicolas (durdur) avec qui j’ai déjà fait une sortie, Michel Poletti est là aussi, j’en profite pour lui présenter l’équipe du forum. On me présente à Titi, Patrak et bien d’autre que j’ai dû oublier !

L’heure est venue de se rendre sur la ligne de départ, je donne vite ma polaire à Marmotte, car je pense que je n’en aurai pas besoin, j’ai deux maillots à manche courte, et ma Gore tex, donc suffisant !
Avant le départ, on me pose encore cette petite interrogation : « Sandrine74 », là c’est un peu le fou rire, je dis en regardant Olivier « J’ai bien nettoyé le tatouage ? », c’est Blast qui est là… Faire connaissance à 5h du mat’ dans la nuit, je n’ai pas trop l’habitude ! Elle me remercie car ils ne connaissaient pas ce trail et c’est grâce à moi qu’ils sont là ! Je ne sais pas si vous dites la même chose maintenant ? Avez-vous des regrets d’être venu, j’espère que vous ne m’en voulez pas de vous avoir fait connaître cette course ?

L’excitation à son apothéose, le départ est donné…. C’est partie pour 75 Km et 4500m+ et -.

Ca fait 4 semaines que je n’ai pas couru et s’est avec un peu d’hésitation que je démarre en course à pied, mais doucement ça me pose aucun soucis, alors je laisse allez, et j’entends une fois de plus « Sandrine ? », c’est Raph, c’est vraiment marrant car nous habitons a à peine 2 Km l’un de chez l’autre et nous faisons enfin connaissance à 120 Km de la maison !
Nous faisons quelques mètres ensemble et discutant rapidement de chose et autre, et je le laisse filer pour me mettre à mon allure, ça commence à grimper !

Olivier74 et Jacques74 sont juste devant moi, nous nous calons à la même allure, ce qui ne pose pas de problème lors de la première montée qui fait dans les 650 à 700m+, c’est fou à un moment dans la montée, je me surprends à dire « ça brûle même pas, ça va super bien pour vu que ça dure ! », nous sommes au Col du Mont 1014 m. Nous rejoignons le Lac de la Thuile 877m au bout d’une heure et 5 Km, il y a un petit ravito, j’en profite pour ranger la frontale et prendre la casquette qui ne me quittera plus, je la mets au dessus du buff… Là, SOUL arrive et me dit « j’croyais que tu partais doucement », mais je suis partie doucement ! Rire.

Olivier74 a eut un peu de mal à digérer la Mondeuse d’hier soir, mais c’était juste dans la première montée du reste il repart aussi sec. Avec SOUL, on se taquine, on rétorque, Je lui fais presque prendre un mauvais chemin en repartant du ravito !
Nous faisons ainsi quelques Km ensemble…. Suivie de faux plats, de mur à la montée, de descente ultra glissante et ultra boueuse, où s’y on ne fait pas attention on enfonce jusqu’à la cheville…. Ca fait ventouse et la marche et pénible parfois !
Nous sommes dans les derniers, de temps à autres, il court moi j’essaye de rester sur un bon rythme de marche me laissant tenter de temps en temps sur une petite foulée, mais j’appréhende toujours sur les grosses flexions dorsales, donc je me lâche sur des descentes si possible pas trop glissante, mais ça se fait très rare…. Rire

Au niveau du Chalet Ducrey, on voit photographe à 50m, alors que nous marchons ensemble !
Ca fait des beaux souvenirs !!! et des belles photos !

Nous nous arrêtons vite fait à Morbié 3h de course, pour faire le plein en eau, le prochain point d’eau est dans 20 Km, alors les Poches et bidons sont remplis à bloc !
A partir du Mont Pelat 1543 m, je lui dis de prendre son rythme, toutefois il m’attend encore une fois ou deux, mais je préfère qu’il aille moi ça me dérange pas d’être seule !

A partir de là et sur quelques Km il y a une longue succession de petites descentes et montée, vraiment terrassante, qui me parait interminable pour finir, chaque petite montée me brûle les mollets, cuisses et fessiers !
Je m’hydrate bien pourtant, j’essaye de manger, c’est là que je sens que je n’ai mangé qu’un tout petit morceau du kokocake, mais qu’il m’en aurait fallu plus !

Je passe ainsi le Col de la Fullie 1338 m, et c’est après les Chalets de Fullie, que la pluie commence à me taquiner, c’est ainsi que je décide de m’arrêter pour mettre ma Gore tex qui restera grande ouverte (ça fait trop chaud là-dessous).
Je fais main basse sur un gel énergétique, car j’ai bien du mal à avancer, enfin c’est l’impression que je me donne car j’avance quand même pas trop mal !
Et tout doucement à l’approche du Col de la Cochette 1694m, alors que la pluie prend ces aises et que le vent forcie, ça va de mieux en mieux ! Peut être le fait aussi de voir des personnes !

Arrivé au Col, je vois les bénévoles qui bougent sur place pour se réchauffer, ils me pointent et m’indiquent la belle monter bien raide et glissante, menant à des vents de plus en plus violent surtout pendant les rafales, me demandant même si parfois il ne va pas nous arracher du plancher des vaches, un mélange genre grésil / neige gifle ma figure, je ne sens plus mes mains, mais il ne faut pas que je m’arrête en montant, je passe ainsi une personne. Arrivé en haut, je pose mon sac, je ferme toutes les écoutilles de ma veste, j’ai juste un maillot en dessous, j’enfile ma paire de gant, et là l’effet s’en fait ressentir quelques minutes plus tard ! J’ai horreur du sang qui revient au bout des doigts à en hurler de douleur… Mais j’aime aussi cette sensation, car ça veut dire que je vais vite avoir chaud aux mains ! Je range aussi mes lunettes de soleil, qui à mon avis me serviront à rien !
Les bénévoles en haut du Mont Colombier 2045m, sont un peut frigorifié, nous discutons pas trop longtemps…. Il faut que j’y aille c’est pas le tout mais j’ai envie de passer la barrière horaire qui est à 12h30 à Aillons le Jeune, soit au bout de 7h30 de course !

En descendant, au chalet de Rosane où on nous poinçonne de nouveau, je m’aperçois que des personnes prennent le mauvais chemin et en criant assez fort j’arrive à les interpeler pour les faire revenir sur les ru balises.
Maintenant il faut remonter sur le Col de la Cochette, où je passe après 6 h de course, pour attaquer la franche et longue descente. Je me prends à rêver à cette bonne soupe chaude qui nous attend en bas aux Aillons, avec du saucisson et fromage, alors j’accélère le pas pour allez en petite foulée, mais une première torsion de la cheville m’arrête net !
Il faut que je me calme, c’est ainsi que je marche vite. Un contrôle surprise me poinçonne le badge et je repars ! Mais bon sang je ne me rappelais pas que c’était aussi vallonnée cette traversée !
Je n’en vois plus le bout le temps tourne, je regarde régulièrement la montre, je tente de nouveau d’allonger le pas, mais re-torsion, décidément le manque de sommeil se fait un peu sentir !
La pluie s’intensifie, le sentier couvert de feuille morte de l’automne est super glissant, et les racines et pierres cachées en dessous sont traîtres, régulièrement de petites descentes sont des toboggans de boue.
Le balisage mène dans le lit d’un petit ruisseau, je me demande franchement qu’est ce qu’on fait ici, je suis arrêté net, devant un joli toboggan, on m’avait pas dit qu’il fallait prendre une luge !
Je dis pas qu’on est propre, bien au contraire, malgré les bâtons de plus en plus c’est du tarzan cette affaire, aggripage de branches, test d’équilibre, et surtout test du matériel et de la personne ! Rire.

Enfin Aillons, je me demande si j’ai déjà autant apprécié de voir arrivé le bitume, signe que j’arrive au ravito bientôt !

Les minutes passent d’un coup trop vite, 7h08 de course, 7h10, 7h13, OUFFF ! Voilà j’y suis !

Nous sommes à 947m aux Aillons, et le saucisson et le fromage resteront qu’un doux rêve, car il n’y a plus que du sucré et ça me dit pas grand-chose, on m’apporte gentiment une « soupe », on arrive à trouver un petit sachet de sel, que je mets entièrement dans la tasse, je mélange j’aime pas du tout, mais pas grave il me faut du salé !

Et là, qui je vois ? SOUL, pas trop tenté à repartir !
Moi, je change vite de maillot, les bénévoles me donnent le temps qu’il me reste avant que je sois forcé d’arrêter !
Je suis trempé, le veste et trempe inter, et exter… ça m’apprendra à la laisser ouverte.
J’ai bien une paire de chaussette sèche mais, je n’ose même pas enlever les pieds des chaussures car ils massèrent dans un bouillon chaud et je risque plus de les refroidir !

Les minutes tournent, SOUL me demande ce que je fais… Moi je lui réponds :
« Je me suis pas embêté à arriver avant la barrière horaire pour rester ici ! JE REPARS… Tu fais comme tu veux, mais c’est dommage d’arrêter là, on a fait le plus dur ! »
Qu’est ce que je ne lui ai pas dit là ! Du coup, pas trop tenté, il emboîte le pas… Et c’est à 12h30 que nous repartons, sous une pluie battante. J’ai renfilé mes gants après les avoir essorés !

Les 2, 3 Km qui suivent sur bitumes me font mal sous le pied droit, mais bientôt on retourne à nos occupations acrobatiques à essayer de rester debout face à ces mures de boues….
Et là, d’un automatisme que je ne me connaissais pas je mets un pied devant l’autre, je regarde les ru balises, et j’avance, tant bien que mal…. On dirait qu’il y a eut la guère ici, y’a des traces de glissades un peu de partout, à certain endroit obligé d’attraper les racines pour pouvoir avancer… Les bâtons n’accrochent pas beaucoup sur cette patinoire !
A certain moment j’ose même plus lever la tête pour ne pas voir qu’elle est la pente qui nous attend !
Je regarde SOUL derrière qui lui aussi profite de cet automatisme pour jouir d’une semi somnolence…

La piste est là, la pente est moins raide, c’est bon plus grand-chose à monter et on est au Chalet de la Buffaz 1496 m, le vent est revenu, juste pour ne pas nous faire regretter d’être forcé d’arrêter au Chalet suite à l’interruption de la course décidé par l’organisation à cause des intempéries, qui s’avère une sage décision !
8h54 de course, ça fait déjà une belle journée !

Déjà 3 ou 4 personnes sont à l’intérieur enroulé dans les couvertures de survie, ou laine.

Doucement ça se remplie, on nous demande de déplier les couvertures, pour se mettre dedans, on a l’impression d’être des rescapés !
Une bénévole demande de donner le dossard, pas trop d’accord car je n’ai pas abandonné, et je ne suis pas la seule. Mais elle les redonnera, avant de repartir, et nous les reprendrons de bon cœur ! On en rigole.
Et là Antranik qui m’appelle tout grelottant pour l’aider à déplier sa couverture, moi qui suis réchauffé malgré que mouillé ! Mais c’est pas grave j’ai l’habitude !
Sa couverture est toute collée, et ça fait de la charpie ! Alors je lui mets la mienne sur les épaules de toute façon ils sont en train de prendre une décision pour savoir si on redescend ou pas, qu’est ce qu’on fait !.....

Nous sommes maintenant une bonne vingtaine dans le chalet.
Au moment où Gilbert arrive, on nous explique que ceux qui peuvent, doivent descendre, et les autres seront pris en charge….
Alors, moi décider à faire plus de 42,195 Km pour être dans l’ultra, je repars aussi sec, je n’ai même pas les muscles qui brûlent, je me mets à courir dans la descente, comme si j’étais en trans. à un moment, j’avance…. Plus rien ne peut m’arriver, j’avance c’est tout ! J’ai une pêche d’enfer, j’aurai bien continué !

Il pleut toujours et encore ! Des navettes nous attendent au Col du Lindar 1170m !
On nous ramène sur les Aillons pour nous mettre au chaud, et là des visages qu’on connaît, on rie de nos aventures, Olivier74, Jacques74, Gilles d’Oches, Dhom et bien d’autres sont là !
Un réel plaisir de tous se retrouver, à se raconter ces terrains de boue, nos acrobaties, nos aventures de cette journée….

Maintenant il faut attendre des navettes pour le Cruet, avec Olivier74 nous profitons d’une voiture de bénévole pour retrouver notre Marmotton qui nous attend avec impatience !

Je me change au cul de la voiture car franchement je ne suis pas intéressé par une douche froide, en plus elles sont dans des bengalos.
Je prends mon plateau repas, pour enfin manger du salé, et on retrouve les amis, ceux du matin qui on pu passé, et arrivé !

On retrouve ceux du 25 Km, comme Vinca qui viendra se présenter à moi !

Ca fait du bien d’être au sec, de manger du chaud, de voir tout le monde rire.
Les rapatriés arrivent par flot ! Les organisateurs récupèrent les dossards pour faire le point pour voir si personne ne manque !
Et il manque quelqu’un !.... Heureusement retrouvé avant la nuit ! Mais quelle frayeur !

La remise des prix se fait, toutefois juste des hommes sur le podium, 23 arrivants, sur 110 participants.
Toutes les féminines ayant été arrêtées, aucune récompense distribué ! C’est bien dommage ! Personnellement, je m’en fiche car dans les dernières, c’est plus pour Blast que ça me fait peine, car apparemment elle était 2°….

Voilà c’est déjà l’heure de faire des au revoirs, de partir au terrier de marmotte, pour faire un repas convivial, et oui c’est son anniversaire et on a pas manqué à lui rappelé !

Alice, la femme de Olivier91, et deux de ces enfants se joignent à nous, Olivier74, DidierP, et Val sont déjà reparti !
Pour cette journée quelque peut, différente, exceptionnelle, nous débouchons le champagne !
Les p’tites bulles ça fait bizarre !

Assommé par la fatigue de la nuit dernière, et de tous les efforts, il m’en faut bien peu pour avoir la tête qui tourne légèrement !
Olivier, Alice et les enfants repartent sur la haute savoie.

Et vers 1h30, les yeux se ferment tout seul…
Et chacun prend le chemin du duvet…. Ça fait du bien, la tête plein de souvenir, je me dis qu’il ne faut pas que j’oublie ces détails pour vous les faire partagé….

J’écris ce récit, les yeux encore là haut, je me rappelle du froid, je ressens ce vent, j’entends les encouragements, les rires, le bruit des couvertures de survie !
Ce week end est une fois de plus passé trop vite !

Ce que j’ai le plus aimé : l’impression d’être simplement en famille, l’impression de tous vous connaître ! Et je n’ai pas décroché le sourire de la journée je crois !
Ce que j’ai le moins aimé : devoir arrêté, mais c’était une sage décision, qu’il faut savoir respecté pour la sécurité de tous !
Et si c’était à refaire ? Ben, j’attends le bulletin d’inscription ….

Un grand merci, à Jean Paul et Joël les organisateurs, qui ont bien du mérite pour avoir pris une telle décision, pour l’organisation, et le tracé.
A tous les bénévoles, qui ont eux aussi bravé les conditions extrêmes pour nous guidé, nous ravitaillés, et nous encouragé, mille merci !
Marmotte et maman marmotte pour leur accueillent au terrier, d’ailleurs, quatre étoiles le terrier !!!
Et toutes celles et ceux, que j’ai enfin rencontré ! Olivier74, Olivier91, Durdur (Nicolas), Jacques74, SOUL, DidierP, Val, Michel Poletti, Blast, Vinca, Laurent, et Florian, Gilles d’Oches, Eolson, Chritine, Papazian, Dhom, Gilbert, Titi, Werner, et toutes celles et ceux que j’ai oubliés, mais qui m’ont reconnu et sont venus me saluer ! Et aussi pour les nombreux encouragements par mail et forum !
Nous avons passé une journée un peu exceptionnelle, et cela nous a permis de nous rapprocher au lieu de juste nous croiser !

Un dernier petit mot pour vous dire, que c’était ma première ! En Ultra…. Alors il fallait bien ça ! Rire.

Sandrine…. Sandrine74, arrêté au Chalet de la Buffaz, + de 3250m+, et environ 45 Km ! (info IGN Rando, 3500m+ et 2700m-…. Ce qui m’étonnerai même pas vu le nombre de montée et descente !

6 commentaires

Commentaire de dovic posté le 22-05-2006 à 20:19:00

bravo pour ton premier ultra

Commentaire de Olivier91 posté le 22-05-2006 à 20:27:00

Un petit tour sur kikourou pour faire monter le compteur pour ton récit ... que j'ai lu sur UFO bien entendu!!!
Bises
Olivier
PS: Au fait, Alice te trouve bien sympa!!! ;-)))

Commentaire de eric41 posté le 22-05-2006 à 22:16:00

Quelle aventure pour un premier ultra.
Vraiment chapeau vu les conditions climatiques.
Avec le moral que tu as ,tu as de belles courses devant toi.
Merci pour ce CR.

Commentaire de joy posté le 23-05-2006 à 10:34:00

Bravo,
bonne continuation et a bientot de faire ta connaissance d ailleur amene ton appareil pour quelques photossssssssssssss.
A+
JOY secretaire general de la PATOUPISTOU TEAM

Commentaire de coureur couronnais posté le 23-05-2006 à 13:47:00

Bravo et merci pour tous ceux qui comme moi n'ont pas pu participer à cette course, ton CR est super,d'ailleur j'ai l'impression d'avoir fait la course!
A+ .

Commentaire de Sandrine74 posté le 20-06-2006 à 08:04:00

Salut les amis,
Merci à vous, d'avoir lu le récit, vos petits messages m'incitent qu'un peu plus à partager !
Et à bientôt sur des trails !!!
Amicalement
Sandrine

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