Récit de la course : Marathon du Beaujolais Nouveau 2010, par sylviesportetfoi
MARATHON DU BEAUJOLAIS CUVEE 2010
MARATHON DU BEAUJOLAIS NOUVEAU CUVEE 2010le samedi 20 novembre 2010
Début du CR
Sylvie Boissy 2° femme en 3h10,20s Team NBJack : « Tu finis ta saison avec une belle victoire ».
Sylvie : « Comment çà ? J’ai dit à tout le monde à Millau que je participais au 24 heures de Aulnat ».
Jack : « Hum ! Tu vas t’ennuyer avec des séances à 5.30, perdre de la vitesse etc… »
Jack : « Le 24 heures, tu as le temps… »
Sylvie : « Tu as raison, j’aime la vitesse même si j’en bave »
Sylvie : « J’aimerais bien faire le marathon du Beaujolais, et finir par la Saintélyon »
Jack : « Voilà, ok, on se comprend, je valide tes projets ».
En aparté :
Pourquoi, j’ai choisi ce marathon ? Je le connais, je ne l’aime pas il est valonné, il y a de longues lignes droites, des escaliers, en 2006 3h55 – en 2007 3h50, il faut prendre le car pour ce rendre au départ.
En fait, je vais vous dire je n’aime pas les choses simples ce n’est pas plus compliqué que cela, et c’est pareille pour ma vie privée . Pourquoi ? Si j’écoute les collègues ou amis branchés horoscope, la femme sagittaire aime le mouvement, déteste la monotonie et déborde d’énergie. Bah voilà, j’ai une explication. lol.
Je fais le point, l’UTMB, je n’ai pas forcément aimé ; la distance du 100 km me va bien, car je ne tape pas dedans au niveau vitesse, il faut juste un « chouille » d’endurance.
Le marathon est ma bête noire, et je sais que je vais souffrir un max pour retrouver de la vitesse suite au 100 km de Millau, décemment un marathon à 5.20 au kilo, çà ne va pas le faire pour ma pomme en tous les cas . Le dernier date de 2009 octobre à Vannes ou je finis 3° femme en 3h14,50s.
Ouaich, ouaich, mes amis! le profil n’est pas le même, mais je ne serais pas contente de faire plus en fait.
Je prends un jour de repos run après le 100 km et c’est parti pour la prépa, Jack au départ avait peur « que je lui pète dans les doigts », maintenant qu’il me connait, il sait que la récupération est ultra rapide, que je peux supporter une importante charge de travail, mais en terme de kilométrage je ne fais pas grand-chose, puisque l’on va travailler principalement la vitesse. Les premières séances sont difficiles dans ma tête puisque je dis à Jack que 4.30 c’est dur pour moi, mais il sait me faire travailler par du 30/30, du 200, 400, 800, 1000, les entrainements se terminent ou se font de nuit et cela devient difficile parfois.
Je me sens de mieux en mieux, je suis affutée rapidement, les muscles s’allongent, mon taux de graisse diminue. En parallèle, je prends conseil auprès d’un ex champion de France de culturisme au boulot pour travailler les épaules et deltoïdes bien utiles pour la tenue des bras sur les marathons, je maintiens tous les jours mes séries d’abdos en plus de la musculation que j’entreprends chez moi, le matin je travaille le haut, à midi le millieu (abdos), le soir les jambes, ce programme me va bien, il me faut du sport 3 fois par jour, j’ai trouvé un véritable équilibre que je ne suis pas prête de lâcher si Dieu le veut bien.
J’ai souvent mal au dos étant donné que je porte du poids au travail, les shoes de sécurité etc… Et comme tout problème à une solution après avoir testé la table d’inversion chez le kiné, je trouve sur le net une table dans des prix très bas que je vais acheter et utiliser au moins 3 fois par semaine. Mes filles m’appellent la chauve souris, et depuis adieu les maux de dos.
Il est clair que je vais retenir au moins trois séances ou mes progrès seront évidents, comme celle du mille, ou j’arrive à descendre en 3.50 et surtout un à 3.36. Je n’oublierai pas, qu’en jouant avec la fatigue de la veille les 3000 à 4’ avec ensuite les 5000 en 4.12. Ce jour là ! J’entends des personnes qui travaillent dans leurs maisons m’applaudirent et dire « çà c’est beau !», des gens klaxonnés et le pouce en l’air me féliciter , ainsi que mon coiffeur qui m’a trouvé hyper aérienne et belle en courant, et bien tout cela me ravit et me satisfait, non pas pour mon égo, mais pour mon capital confiance qui est toujours trop faible, douter ! Douter ! Comme St Thomas .
La séance clée étant deux semaines avant avec Jack ou sur 17 km avec son aide, je vais tenir les kilos entre 4.15 et 4.20, et je me rends compte que je suis mieux à ce rythme qu’en 4.30 par exemple. Je vous assure que je vais arriver à libérer mon potentiel, car constatant que je bloque, je vais aller chercher de l’aide extérieure par de la sophrologie sportive, mon premier RV est vendredi prochain. Je suis tout bonnement décidée à pousser mes limites dans ma passion en mettant tout en place pour arriver à courir d’un naturel détendu sur marathon et autre grande course de renom . Mon but étant d’arriver un jour par la grâce de Dieu en 2h50 sur marathon et évidemment baisser mon chrono sur du 100 km, logique !!!
Ca c’est une première étape, car je ne lâcherai pas le 24heures tant que je n’aurais pas réalisé ce que je veux. Après le reste, tout le monde jurant que par le « trail », je me sens exclus, car en vérité ce n’est pas ma tasse de thé, j’aime courir sans avoir à réfléchir, je l’ai dit, je déteste les pièges qui se trouve dans la nature qui sont néfastes pour mon corps. J’aime le macadam, et je fusionne avec lui, car je ne souffre dans mon corps d’aucun choc.
Il y a eu deux séances terribles pour moi, une ou je devais tenir 4.30 sur 1 heure. IMPOSSIBLE! Il faisait nuit, je suis partie à la frontale, je n'ai trouvé ni le souffle, ni les jambes, j'étais perdue dans l’espace, je ne courais pas droit, j’avais le gilet fluo, je courais en face de la voiture et pourtant il me semblait gêner (des klaxons, appels de phares )pourtant je suis quasi sur le talu. (j’ai bien amusé Jack avec cela), il va falloir que j’investisse avec un « garmin espace".
Là ! J’en ai marre ! Je réfléchis car courir à 18h30 seule après le taf, trop dur et contraignant, alors dès le lendemain, je vais trouver mes supérieurs et demander si ils peuvent changer mes horaires à savoir une pause de 2 heures à midi. Suite à Millau, et beaucoup d’autres évènements, j’ai leur accord, je suis hyper contente. Mes séances se dérouleront uniquement autour du stade pour compliquer la difficulté, car de nombreux virages, monotone, tout cela m’aidera sur le marathon.
Et l’autre séance qui m’a abattu est celle ou je dois faire 40 min à 4.30 le mardi juste avant la compèt.
J’en ai bavé, plus que bavé, oui certes du vent, je suis très très mal avant mes règles, mais me dis-je les 40 min c’est trop dur alors 42.195 km, impossible . Je suis tellement mal, que j’envoie un texto à Jack de suite en arrivant et lui disant mes très mauvaises sensations, lui me rassure et me dit que c’est normal que j’ai travaillé à des vitesses supérieures, j’envoie un texto à Nono qui me suivra sur le marathon en vélo qui me dit la même chose. Ouf ! Mais je ne suis qu’à moitié rassurée. Le marathon course de vitesse et d’endurance c’est du seuil. Terrible épreuve.
Je pense être inquiète jusqu’au jeudi, car le vendredi je suis sereine, le samedi jour de la course tout va très bien. Jack me téléphone la veille pour me sophrologuer, me rassurer, me demander d’avoir une image positive en tête , de me mettre un peu en danger sur cette course , de me battre , il me rassure en me disant que si le chrono est mauvais ce n’est pas grave, ouf ! Que j’ai de la marge, du pied, que j’ai travaillé. Jack est sur le semi de Beaune avec son ami Philippe Rémond , je le savais avant l’inscription et c’est bien de vivre des courses séparées aussi.
On se rejoint avec Nono à Villefranche pour récupérer mon dossard, les conditions pour recevoir un athlète par l’organisation n’étant pas ce que je recherche, je suis restée dormir chez moi, même si j’aurais aimé voir les parents de Jack qui sont sur les stands pour distribuer les flyers pour la 10° édition des aventuriers du bout de Drôme. Ambiance très festive , Les déguisements abondent, j’ai aimé ce gars déguisé en Christ torse nu avec la couronne d’épines, et sa croix immense dans le dos, je crois qu’il a 54 ans.
Je fais des bisous à Yves et collette les « papouns » à Jack, je salue Photogone (photographe) qui me trouve fondue, et oui ! Prépa course, on y laisse des plumes. Je retrouve mon ami Philippe que je connais depuis de nombreuses années, on a commencé en même temps le run, il a enfin l’autorisation de son médecin pour faire une course, infarctus silencieux à 41 ans, triple pontage, même si me dit-il « les chronos c’est fini ! J’ai encore le plaisir de courir ». Je suis émue et ravie pour lui ainsi qu’émerveillée de cette joie malgré les épreuves, j’en prends de la graine. Il finira en 4h10.
Le départ est à Fleuri, et il faut prendre une navette, non ! Je dis à Philippe qu’on prend la voiture avec Nono, ce petit voyage à trois sera trop bien. Les paysages sont merveilleux mais ça monte, ça descend, et beinh ! On a pas fini.
Je revois certaines choses, j’ai séché mes muscles du dimanche au mardi avec des protéines, je me suis « baffrée » de glucides du mercredi au vendredi soir (c’est la fête du muscle, ils stockent un max), supprimé certains aliments la veille. Tout est fait correctement, comme dit Yo : « J’ai fait mes devoirs le mieux possible», on va voir pour la rédaction le jour J. Trop bien Yo ! « T’as vu je l’ai placé ton dicton ».
Je fais exactement comme mon coach m’a dit, et je m’échauffe 15 min seulement à petite allure, Nono me donne les consignes , j’ai de la chance c’est un grand entraineur de la région Lyonnaise, il me connait, m’a vu courir me fait prendre conscience de mon potentiel et alimente mon réservoir confiance en moi. Tous les coureurs sont derrières la ligne de départ, la télévision est là, pô grave et moi je trottine devant pour me placer 5 min avant juste derrière la banderole soulevée par les coureurs tout sourires.
Les « papouns » «Jack sont justes à côté de moi pour le départ, et je suis rassurée, ils m’encouragent comme ils savent faire. Le décompte se fait, après la minute de silence pour les sportifs décédés dans le coin. Pan ! Ca part comme des balles, je vois 3 nanas à vive allure me passer devant, waouh ! Je suis pourtant à 3.53 sur le premier kilo, à 4’ ensuite, mêh, meuh, bêh ! Je tiendrais pas moi, alors je laisse filer tranquille mimil. Bon ! Effectivement entre 4.15 et 4.20 je me sens bien Nono est à côté de moi ou derrière à vélo, je l’entends me dire : « C’est bien ce que tu fais », on garde des cartouches pour après, tu décomposes en 2 fois 15 km, après on voit. Il va me rassurer tout du long, sans aucun reproche, en côte et bien, il me dit de ralentir, et on se rattrape après, ces changements de rythme ne sont pas évidents, il y a de bons passages type course nature dans la terre, certains ravitos sont dans les caves, des escaliers à descendre à remonter, des virages à négocier, waouh ! Les éditions que j’ai vécu précédemment j’étais dans la foule, là nous sommes un groupe de 3 ou 4 coureurs. J’admire la foulée de l’un deux et je me place derrière lui, l’autre coureur est Belge selon l’accent que j’entends. On m'annonce 4° femme.
Nono, va encourager la troupe complète, et je n’oublierai pas que là ou peut-être me voit-il lutter il me dit : « Tu n’es pas toute seule, tu as le Seigneur ». Comme cela fait du bien, car là du coup j’avais tout oublié.
Je crois qu'ils ont lâché après le 30° kilomètres et à partir de ce moment, je ne vais faire que remonter des gens à la ramasse.
Je me sens vraiment mal avant le cycle menstruel, personne ne peut savoir la fatigue et ce que je ressens physiologiquement, je fais avec, tant pis, c’est la loi du sport, Jack est au téléphone avec Nono pour savoir où j’en suis, comment je suis, et je reçois les bisous transmis par tèl. Tout est vraiment différent en compétition, les kilomètres passent très vite, au ravito, je n’arrive pas à boire, je m’en mets de partout , les gels, je n’arrive pas à l’avaler d’un coup, je m’essouffle encore plus, mais Nono qui est sage me dit de ralentir et de prendre le temps de boire, mais je sais que 2 gorgées par ci par là seront insuffisantes. J’aurais du m’aguerrir aux entrainements au lieu de partir sans boisson, ni gel.
Au 17° j’aperçois la 3° femme, et le gars à la belle foulée sans mot dire, me regarde, et semble vouloir m’aider à la doubler… ce qu’il fait, je vais revenir doucement sur elle et, ma foi ensuite creuser l’écart car le 19° km je suis au garmin à 4’ au kilo. Le semi est passé en 1h32, soit 2 minutes de mieux que sur le marathon de Vannes. Le Belge me demande si je connais le profil, non lui dis-je pour ne pas me justifier en parlant, il me dit qu’à compter du 33, il y a une côte sur 4 km , wouaih super !!!! C’est la fête. Je souffle beaucoup, Nono me dit de ventiler, je l’entends souffler pour que je l’imite, j’essaye de me calmer, c’est difficile parfois tout s’emballe sur quelques secondes avant que j’arrive à reprendre le contrôle j’ai peur de ne pas arriver à tenir sur 42 km, mais c’est idiot me dis-je c’est dans la tête, les jambes sont là, et je déroule bien, je le sens.
Une fois que j’ai ingurgité le gel, ma respiration change de suite, je vais essayer de voir plein de choses pour améliorer cette gêne sans doute avec un rien (sucre peut-être, yoga dans le cadre du sport, sophro sportive). Je passe le 30° en 2h14 soit 4 min de mieux que Vannes ce qui est très motivant. Mais les choses vont se compliquer sérieux, sans connaitre pourtant le véritable mur, j’ai un point entre les côtes, cela est très désagréable, je serre mes pouces dans mes mains, je souffle davantage, Nono me dit de ralentir un peu, il me semble pas trop le faire, je ne m’en souviens plus … Cela va durer sur des kilomètres ou par un manque d’hydratation, le mollet gauche commence à se contracter limite crampe ainsi que le quadriceps , je suis bancale et sur une jambe, je sens que si j’appuie c’est la crampe, et pourtant je rattrape Michèle Lecervoizier, cela va être une vraie lutte dans ce profil montant le vent en plein face, Michèle est solide, elle l’a de l’expérience un beau palmarès, elle m’encourage par mon prénom, je la remercie et lui dit, "allez viens" ! "On y va" ! Bah alors Sylvie ??? (mais allons c'est une amie), Michèle va être derrière côte à côte, et puis sentant la crampe arrivée je déroule davantage, au ravito mon Nono me dit de jeter de l’eau froide sur le mollet, c’est top de chez top , cela va passer sur quelques kilomètres. Je n’entends plus Michèle mais je ne veux rien savoir… Je fais l’autruche.
Voilà à part les côtes ou je suis au garmin à 5.00 au kilo, je vais maintenir le même rythme sans trop faillir, le dernier mur est terrible je suis obligée de réduire considérablement l’allure, je relance ensuite, un conducteur, me dit que la première est pas loin que je peux la rattraper La demoiselle finira 3 min devant moi (ce qui n'est pas négligeable quand même)...C’est bon! plus que deux kilomètres dont l’un à 4.14, on traverse l’intérieur du marché gare, l’arrivée à Villefranche est très belle, des barrières de partout, et surtout le tapis rouge au loin, je finis le plus vite que je peux, les pom pom girls sont là à nous distribuer des roses, je regarde ma montre et je vois 3H10.20s, je suis aux anges, petite interview du présentateur, je file embrasser et féliciter la première féminine , nous sommes chouchoutés, remise du beaujolais nouveau, une couverture de survie sur les épaules, mais j’ai bien trop chaud, je refuse. Nono est plus qu’heureux pour moi et admiratif, je le remercie chaleureusement, MERCI d'avoir été là pour moi et franchement je ne réalise pas tellement contente. Allo allo ! avec Jack qui me félicite aussi. Je pars me changer, me ravitailler pas trop, mais surtout boire du coca, je n’ai pas assez bu. Au général, 50° sur 1400 coureurs.
La remise des prix est bien plus tard, ce qui laisse le temps de récupérer la voiture à Fleuri, je sens que les mollets ont beaucoup travaillé. Je souhaite seulement rentrer, prendre un bain, savourer ce chrono, manger tout ce qui me fait envie.
Les lots sont remis par Amaury de NB, car cette course est NEW BALANCE.
On bon partage avec Michèle lecervoizier et la première, nous formons un beau podium toutes les 3.
Le lendemain, je ferai un footing de 35 min de récupération, lundi repos, et le mardi nous partons pour des déjà des séances de côtes en me rappelant que la Saintélyon est seulement 2 semaines plus tard.
MARATHON DU BEAUJOLAIS 2007Certains d'entre nous vont de tâche en tâche dans l'espoir d'être reconnus comme des gens capables d'accomplir beaucoup
sans se sentir pourtant épanouis et contents des résultats, et sans prendre le temps d'apprécier leur propre valeur aux yeux de Dieu.
La satisfaction personnelle ne dépend pas d'une nième réusssite ou d'un nouveau but à atteindre.
Tant que Dieu ne vous aura pas confirmé qu'il vous approuve, les félicitations humaines ne rempliront pas votre coeur. Une fois que le plaisir de la course vers la réusssite sera éteint, vous devrez accepter que la vie est plus qu'une course constante à l'accomplissement, plus qu'une accumulation de buts à atteindre. Le défi à relever c'est abandonner la recherche incessante de l'approbation des hommes, véritable drogue qui corrompt souvent le sang de nos veines, pour rechercher plutôt auprès de Dieu la seule forme d'approbation qui compte et puisse remplir notre coeur.
Une autre réussite, une autre courronne ne vous seront d'aucun soutien. Seul Dieu peut restaurer ce que vos propres efforts vous ont enlevé.Je veux avancer par la foi et l'approbation de mon Dieu
10 commentaires
Commentaire de Jean-Phi posté le 27-12-2010 à 14:33:00
Super CR Sylvie ! Je t'ai reconnu au départ en te dépassant à la sortie du village. C'est là que je me suis dis que j'allais peut être trop vite ! lol
Je n'ai pas osé te parler et te dire que j'avais trouvé géniale ta perf à Millau.
J'ai couru avec la 1° féminine quasi tout du long, elle a craqué sur la fin alors que je sens dans ton récit que tu n'étais pas prête à lâcher quoique ce soit !!! La prochaine fois 1° au beaujolais nouveau ??? Pas impossible !
Bien à toi et encore félicitations !
Commentaire de sylviesportetfoi posté le 27-12-2010 à 14:44:00
Merci jean Phil!
Tu aurais du m'interpeller, fallait pas hésiter.
A bientôt j'espère!
Commentaire de CROCS-MAN posté le 28-12-2010 à 08:25:00
BRAVO Sylvie, au plaisir de te croiser un jour et l'invitation tient toujours pur les 24 h TELETHON de Marignane 2011.Merci pour ton récit.
Commentaire de sylviesportetfoi posté le 28-12-2010 à 11:17:00
Merci le solitaire!
Hou, je crois que je me mélange les pinglos avec les réponses. Pô grave,viiii un 24 heures prévu en fin de saison 2011.
Bisous
Commentaire de yves_cool_runner posté le 29-12-2010 à 10:41:00
3h10 au Beaujol'pif, c'est "grand"... Rien d'autre à dire, BRAVO.
Commentaire de sylviesportetfoi posté le 29-12-2010 à 22:06:00
Merci beaucoup!
Ces mots m'encourage pour le 2h59,59s pour le prochain marathon.
Par avance je te souhaite plein de bonnes choses pour 2011.
Amitiés sportives,
Sylvie
Commentaire de totoro posté le 03-01-2011 à 11:40:00
Bravo pour ton superbe podium et pour ton record sur un parcours difficile : les 3h sont à ta portée !
Commentaire de sylviesportetfoi posté le 03-01-2011 à 20:17:00
Bonsoir Totoro!
Merci pour la lecture et ce message qui évidemment, m'encourage.
En espérant que tu te portes bien...
Meilleurs voeux pour 2011.
Amitiés sportives,
Sylvie
Commentaire de gdraid posté le 10-01-2011 à 10:46:00
Merci Sylvie, je me régale à chacun de tes récits.
Ton marathon du Beaujolais, en mode Sagittaire, t'offre un beau podium féminin mérité.
Bravo pour ta forme, ton mental fort et ta foi !
JC
Commentaire de sylviesportetfoi posté le 10-01-2011 à 17:03:00
Re-merci, lol
Ah, viiii le marathon, c'est dur, mais on peut aller vite, chose bien difficile en trail pour moi en tous les cas.
Re-bisous
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