Récit de la course : Verdon Canyon Challenge Ultrail - 100 km 2010, par Cantalou

L'auteur : Cantalou

La course : Verdon Canyon Challenge Ultrail - 100 km

Date : 12/6/2010

Lieu : Aiguines (Var)

Affichage : 3261 vues

Distance : 100km

Objectif : Pas d'objectif

7 commentaires

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Le récit

 

Je me suis inscrit au Verdon canyon Challenge avec Grégoire pour qui c'est la première expérience sur cette distance après plusieurs ultra de 70 km à son actif. Pour ma part, j'y vais avec 3 objectifs: profiter du cadre magnifique de la course (le lac de Sainte Croix et le canyon du Verdon), me faire ma propre opinion de cette course après tout ce qui a pu être écrit et enfin cette course s'inscrit dans ma préparation de l'ultra du GRP fin Août).

Cela fait un moment que l'on en parle avec Grégoire (en fait depuis plusieurs mois et notre inscription) et à l'arrivée vendredi après-midi à Aiguines, on réalise que ce coup ci on y est. L'installation au camping qui domine le lac nous met immédiatement dans l'ambiance et on choisit l'emplacement le plus bas, près de la bordure, afin d'en profiter pleinement.

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L'accès au village est direct pour aller récupérer le dossard et au passage on aperçoit le balisage au sol. Sur le plan du 100km qui est affiché, on remarque que le parcours a changé par rapport au road-book qui était sur le site de la course. Ceci est confirmé en détaillant celui remis lors du retrait et qui nous accompagnera tout au long de la course. Ca ne servait à rien de l'étudier par coeur pour se le mettre en tête et il va falloir réviser. Aiguines est un charmant petit village et un arrêt s'impose à la terrasse d'un bistro.

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 Le reste de l'après-midi est consacré à une petite sieste, la préparation des affaires, la révision du nouveau parcours jusqu'au brieffing de 20h30 durant lequel la raison de la modification est donnée (un bloc menace de tomber et cette partie est donc logiquement interdite d'accès). La pasta se déroule au restaurant de notre camping et après 2 assiettes de pates, dodo.

Réveil à 3h40 et comme il y a de la lumière au restaurant du camping, on en profite pour s'octroyer un thé tranquillement en avalant le gâteau sport. Nous rejoignons la ligne de départ et les quelques 130 autres concurrents, enfin on y est:

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Aiguines - Petite forêt: 10,7 km et 833 d+

On passe donc près du camping et ça commence à grimper immédiatement pour avaler les 800 d+. Le jour se lève avec quelques brumes et on aperçoit le terrain de jeu qui va être le notre pendant cette épreuve.

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La montée est maintenant assez sèche et technique, comme il va falloir faire ce tronçon dans l'autre sens à la fin de la course, je me dis que cette descente de nuit avec 80 bornes dans les patesne sera pas facile. Comme d'habitude je pars tranquillement et on rejoins ainsi le plateau (Le grand Margès) avec encore pas mal de cailloux sur celui-ci, une partie herbeuse et un passage aérien sur une crête avant d'attaquer la descente elle aussi assez sèche par endroit (même réflexion que précédemment en pensant au retour demain matin). Arrivée au ravitaillement en 2h05 et 89ème, nous sommes effectivement partis tranquille mais le chemin est encore long. Alors que nous buvons un coup, j'aperçois un homme en vert (Dawa) et je ne comprends pas immédiatement comment il peut être là en même temps que nous. En fait, le second tronçon est une boucle qui revient à ce même ravitaillement et il a 11 km d'avence sur nous (2h08 pour faire les 21 km des 2 premiers tronçons !!!).

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Petite forêt - Petite forêt: 10,9 km et 260 d+

 On commence sur une large piste forestière et on en profite pour courir car ce ne sera pas souvent le cas ensuite. Le départ et le retour de cette boucle étant sur la même piste, on croise les poursuivants de Dawa. Cette partie va donc se faire facilement.

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Retour à petite forêt, 3h30 de course et 79 ème soit quelques places grapillées. Comme le prochain tronçon ne fait que 5,6 km et qu'il nous reste de l'eau on ravitaille vite fait pour repartir.

 Petite forêt - Iloire: 5,6 km et 383d+

 Ca commence par une mono-trace au milieu des buis où il fait bon courir puis on s'enfonce petit à petit dans le canyon où on ne court plus du tout. On est maintenant au coeur du canyon sur un sentier "en balcon"

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Vous avez dit technique

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 et quelques vues plongeantes sur le Verdon

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Notez la corde sur droite pour assurer le passage précédent.

Arrivée à Iloire 69ème en 4h50 (soit au passage 1h20 pour 5,6 km !!!). Il y a toutes les pauses pour prendre des photos mais quand même au niveau moyenne c'est pas terrible.

Ravitaillement où on refait le plein des poches à eau et c'est reparti.

 

Iloire La source: 7 km et 348 d+

C'est parti pour une bonne descente avec un passage sur des petits cailloux qui roulent sous les pieds et rendent les appuis totalement instables. On rejoins ainsi la fin du canyon et la jonction du Verdon avec le lac.

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 Au passage sur le pont, la vue classique pour ceux qui connaissent et cette couleur de l'eau si caractéristique

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Petite remontée jusqu'au ravitaillement de La source qui est le premier à proposer du salé sous forme de petit bout de jambon et de saucisson. Il est 11h et le soleil commence à chauffer, pas autant que pour des éditions précédentes mais suffisament pour être couvert de sueur.

68 ème et 6h10 de course. 

La source - Moustiers: 10 km et 800 d+

 Juste après le ravitaillement, on trouve la source qui permet d'enlever cette sueur qui colle à la peau et de se rafraichir avant d'attaquer un gros dénivellé. La chaleur plus la fatigue des 6 premières heures font qu'il faut serrer les dents dans cette montée. Alors que jusqu'à présent on discutait de temps en temps avec Grégoire c'est le silence radio et chacun baisse la tête et souffre dans sa bulle. Par contre en prenant de l'altitude on découvre petit à petit le lac de Sainte Croix et c'est de plus en plus beau.

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Jusqu'à arriver au sommet à 1200m s'où on domine le lac.

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C'est bien beau de monter mais maintenant il va falloir descendre 650 d- assez techniques et sans s'en rendre compte l'enchainement montée/descente laisse des traces dans les cuisses.

On attaque ensuite un passage assez fun totalement hors sentier où se demande parfois où il faut passer, n'est-ce pas Grégoire?

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(à quatre pattes entre des blocs, les pieds dans l'eau à la traversée d'un ruisseau, escalade d'un talus à pic accroché aux branches comme on peut) pour arriver à Moustiers.

60ème en 8h49 (à nouveau 2h40 pour faire 10 km)

Dans la traversée de Moustiers, je n'attends pas d'être arrivé au ravitaillo et m'arrête à la première fontaine pour m'asperger d'eau fraiche devant des touristes un peu surpris. Le ravitaillement est situé sur une jolie place et l'apport en salé c'est ettoffé (pain, fromage). Comme on commence à être un peu entamé, on en profite pour faire une pause un peu plus longue durant laquelle je sollicite les podologues car les pieds ont chauffés à force dans les cailloux. C'est l'occasion de mettre un pansement sur une inflamation naissante au niveau de chaque talon et de tartiner tout ça de crème.

Moustiers - La Clue: 9,4 km et 700 d+

D'entrée après Moustiers ça remonte et d'en bas on aperçoit clairement le chemin empierré qui zigzague.

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Lorsque l'on est à l'abri du vent et dans la rocaille il fait assez chaud. Au sommet de cette côte, on arrive sur un plateau avec une large piste qui nous permet de recourir. Les écarts maintenant sont conséquents entre les coureurs, on n'aperçoit personne devant et on ne voit pas non plus ceux que l'on a doublé dans le montée. A partir de là et si je n'avais pas éta accompagné de Grégoire, j'aurais progressé tout seul. Ce qui ne me déplait pas forcément sur ce genre d'épreuve.

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A la sortie du plateau, on aborde à nouveau un passage  assez technique

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Grégoire commence à souffrir des pieds et regrette de n'avoir pas consulté comme moi les podologues a Moustiers.

Ravitaillement de La Clue 56ème 10h50

Malheureusement pour Grégoire, il n'y a rien pour soulager ses pieds sur ce poste de ravitaillement. On regarde le road-book et le prochain est à 8 km.

La Clue - Mayrestre: 8 km et 400 d+

 Après avoir regrimpé on se retrouve sur une partie maginfique d'où on domine le canyon. Tout d'abord à son embouchure avec le lac

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 Puis on s'enfonce en surplombant le Verdon

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 On évolue sur le bord du canyon et je m'arrête à maintes reprises pour admirer la vue plongeante avec quleques 600 à 700 m de perspective.

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Après plusieurs km de ce spectacle, on repique à l'intérieur et cette partie nous permet de recourir avant de reprendre 400 m d- très raides et techniques pour arriver au ravitaillo de Mayrestre: 59 ème 13h06

 Mayrestre - Maline : 9 km et 769 d+

 Le tronçon qui suit commence par une descente pour se retrouver un peu à mi-hauteur dans le canyon sur des passages parfois étroits fait d'une succession de petite montées/descentes assez éprouvantes après plus de 13 heures et une grosse dose de cailloux. On est au coeur du canyon.

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Ca devient très dur, Grégoire a de plus en plus mal au pied et cette partie est interminable au point qu'à la jonction avec la route on s'assoit sur la murette pour "faire le point". Imitant là un autre concurent qui n'est pas guère mieux mais va repartir avant nous. On ne peut pas dire que cette pause est vraiment salutaire mais on ne peut pas rester assis là et c'est reparti. Les kilomètres suivants vont être très longs et c'est un réel soulagement que d'apercevoir le ravitaillement de Maline.

57ème 15h38.

Surtout que ce poste de ravitaillement  possède la totale. Pendant que je me dirige vers la fontaine pour me laver, car depuis Moustiers on n'a pas vu d'eau et tout le corps est couvert de sueur (c'est sec comme pays), Grégoire va immédiatement au stand podologue.

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Il y a même les kiné pour prodiguer des massages mais dans notre cas ce n'est pas utile. On en profite également pour ravitailler copieusement en salé: bol de soupe, assiette de pâtes. Je bénéficie à mon tour des soins pour les pieds et ça fait un bien fou de sorte que l'on repart  tout neuf et le moral à bloc.

 Maline - Petite forêt : 7 km et 630 d+ 

 On aborde la descente jusqu'au fond du canyon assez facilement pour atteindre le pont qui enjambe le verdon à la tombée de la nuit.

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On aperçoit juste un peu le Verdon que l'on va longer maintenant. Dommage que la modification du parcours ne nous ait pas permis de passer ici de jour tellement ca doit être beau. Après être resté au niveau du Verdon, le sentier s'élève un peu et de nuit ça devient assez "chaud". On progresse donc à la frontale, avec plusieurs panneaux prévenant des risques de chutes, sur une corniche avec un cable à main gauche pour s'assurer et le Verdon qui gronde plusieurs mètres en contre-bas sur la droite. Je ne sais pas ce que cela donne en plein jour mais là c'est impressionnant. Après ce passage, on rencontre des bénévoles qui nous demandent de ranger les bâtons car maintenant il va falloir avoir les deux mains libres pour continuer:échelle, petite escalade avec corde, passages très raides pour ressortir du canyon et rejoindre la piste de ce matin jusqu'au ravitaillement de Petite Forêt.

52ème 18h45.

La fatigue se fait sérieusement sentir et il reste encore 20 bornes.

Petite forêt - Aigle : 9 km et 620 d+ 

On attaque la montée repérée la veille et on sait à quoi on s'attend. Grégoire imprime un bon rythme régulier et c'est dur mais finallement ça ne passe pas si mal que ça. Arrivé sur le plateau j'ai un gros coup de sommeil qui m'attrape et je suit un peu comme un robot Grégoire ainsi que le concurrent doublé dans le côte mais qui nous a rejoint depuis. Je dois lutter pour garder les yeux ouverts et me promet de faire 10 minutes de sieste au prochain ravitaillo. La traversée du Grand Margès va ainsi être longue et assez pénible jusqu'à l'approche de la descente. La besoin de sommeil s'est brusquement estompé et j'attaque la descente devant le petit groupe puisque nous avons rejoins une concurrente sur le plateau. Mieux même après ce gros coup de bambou, j'ai repris la forme et continue ma descente devant jusqu'en bas. Je m'arrête et le premier à me rejoindre est Grégoire, nous rejoignons le camping de l'AIgle pour le dernier ravitaillo.

50 ème 21h58.

Même si nous sommes dans notre camping à quelques mètres de la tente, la tentation d'arrêter et d'aller se coucher ne nous effleure pas (ou, pour être franc et en avoir reparler le lendemain, le fait d'être tous les deux fait que chacun a envie d'accompagner l'autre jusqu'au bout).

Aigle - Arrivée: 11,5 km et 400 d+

C'est parti avec une petite descente et lorsque la piste s'élargit j'ai envie de relancer mais les cuisses de Grégoire sont trop dures et nous finirons tout en marchant. Il faut savoir savourer ce moment qui précède l'arrivée lorsque l'on est sur de terminer après de longues heures parfois difficiles. Au passage, on rencontre 2 concurrents Italiens qui rentrent à leur gîte après en avoir terminé et nous indiquent gentiment comment couper par la route pour rejoindre AIguines directement. Lamentable et ça donne une idée de comment ils ont du "gérer" le parcours lorsque ces opportunités se présentaient à eux!!!

Le jour se lève lorsque l'on revient sur Aiguines à 5h22 pour boucler cette épreuve. Après un café et une madeleine, les bénévoles présents nous indiquent que les kiné sont toujours là si nous le souhaitons. Et effectivement, ils ne dorment pas et attendent tous les concurrents pour un massage salvateur: chapeau bas.

Il ne reste plus qu'à remonter au camping, ce qui n'est pas trivial pour profiter d'un bon repos.

 

Conclusion: 

- perso: cette course m'a été très profitable pour la préparation du GRP avec une durée de 24h, une nuit complète et quelques moments difficiles à gérer. Ca été aussi un grand plaisir de partager ces 24h avec Grégoire et nous nous sommes promis de ré-itérer cela l'année prochaine.

- organisation: cadre magnifique et complètement différent de ce que je connaissais jusqu'à présent pour un ultra bercé entre le canyon (que ce soit en haut, dedans ou au fond) et le lac de Sainte Croix. Après avoir lu pas mal de choses sur cette épreuve, je peux dire que cette année le balisage était impéccable et le soutien au coureurs très appréciable: podologues à Moustiers, Maline et l'arrivée ainsi que kiné à Maline et à l'arrivée. A noter aussi l'utilisation du système de pointage Geofp.

Epreuve très technique sur certaines portions.

Il manque juste selon moi un peu plus d'information sur

justement les postes où sont présents ces soins

la constitution des ravitaillement car ce n'est pas un problème de n'avoir du salé qu'à partir du 4ème ravitaillo et les pâtes au 75ème mais c'est mieux si on le sait. Par exemple lors du brieffing il est demandé la constitution des ravitaillements et la réponse est: vous aurez tout ce que l'on peut trouver traditionnellement sur un ultra. Sic

De même, on apprend juste la veille à 20h30 qu'une dépose de sac est possible, pourquoi ne pas le mentionner sur le site.

Enfin et ce n'est pas propre à cette épreuve, pourquoi ne pas passer à l'éco-tasse. Quel gachis tous ces gobelets jetés après une seule utilisation.

7 commentaires

Commentaire de Mustang posté le 20-06-2010 à 17:31:00

superbes photos, récit bien détaillé; quant aux remarques sur le ravito, rien de nouveau sur ce sujet par rapport aux griefs des années passées!

Bravo pour ta perf et ton compagnon de route!

Commentaire de domi81 posté le 20-06-2010 à 17:57:00

bravo JP pour la course et le CR.
encore une épreuve ou il fallait sa dose de courage !
félicitations. ;-)

Commentaire de philtraverses posté le 20-06-2010 à 19:22:00

Super récit très précis, comme si on y était. Belles photos

Commentaire de NICO73 posté le 20-06-2010 à 19:35:00

Vraiment Bravo ! La course, le récit et la perf. Je suis très admiratif.

Commentaire de Rudyan posté le 20-06-2010 à 21:38:00

bravo pour ta perf! Ce trail n'est vraiment pas simple. Je n'ai fait que le 30kms et j'ai déjà trouvé ça très dure.
Ton récit est très bon, je me suis revu sur certaines portions communes...

A+

Commentaire de pascalpenot posté le 21-06-2010 à 20:04:00

très belle ballade. Les photos sont magnifiques. Bonne prépa pour le GRP.
Tu as raison, j'en ai pas parlé dans mon CR mais quelques détails d'organisation aurait pu être annoncé sur le site. Mais bon. C'est une asso de passionné et rien à dire sur l'essentiel : tables de ravito, bonne humeur des bénévoles et staff médical, kiné en tête.
Après tout Nobody's Perfect.

Un dommage. sauf si Alzheimer me joue des tours, tu est le seul Kikourou que je n'ai pas réussi à saluer avant, pendant ou après la course.

Au plaisir donc d'un prochain Ultra

Commentaire de PaL94 posté le 27-07-2010 à 14:59:00

Chapeau bas Jean Pierre !

Bravo pour la course et ce super recit tres illustré qui donne envie.

Si avec ça tu n'es pas fin pret pour le GRP...

RDV à Vielle Aure !

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