Belet a écrit:Logiquement, en pur calcul en prenant l'hypothèse d'un niveau égal (puissance passée au sol?) il y a un point d'équilibre pedestre/vélo au delà duquel le poids du vélo est trop handicapant et le coureur prend le dessus.
Maintenant est ce que c'est à 10, 12 ou >15%, j'en sais rien.
Arnaud.
moi même, polyvalent (je suis nageur en brasse, rameur, marcheur, kayakiste et cycliste, mais peu coureur), je constate la meilleure performance, à pieds sur les sentiers assez raides pour monter du 1200 1500m/h sans dépasser 5km/h
là c'est plus facile qu'en vélo (moins de pulses à pieds qu'en vélo pour la même vitesse ascensionelle maintenue)
la marche a un meilleur rendement que la course, alors si on peut butter sur le facteur limitant de la puissance aérobie en restant en marche à pieds, cela avantage les non spécifiquement coureur et surtout les cyclistes, si résolu le problème de la musculature au niveau de la cheville.
avec des "marches" le cycliste sera encore plus avantagé. (sentier avec des calles, des cailloux permttant de moins tirer sur la cheville).
Mais attention à ce détail: le pied ne doit pas adopter de trajectoire descendante à chaque pas (les marches d'escaliers ordinaire entraînent une perte qui est plus grande que celle de monter son vélo, par perte d'altitude à chaque pas, avec pieds allant un peu plus haut avant de se poser pour ne pas cogner sur la marche)