Je sais, vous allez me dire que vous aussi un jour vous vous êtes retrouvés coincé entre une voiture de pompier, le carrosse de cendrillon, une soucoupe volante, une Harley le tout avec des touffes de poils qui montent et qui descendent ! Bien sur, bien sur. Classique même ! C’est vrai, ça peut arriver… dans une fête foraine.
Sauf que là, je ne viens pas vous faire un compte rendu sur une journée à la foire du trône, non non non. C’est bien de C.A.P. dont je viens vous causer, oui oui oui…
A propos de fête foraine, imaginer un manège de 800 modules indépendant des uns des autres et pourtant ne faisant qu’un… Vous imaginez le tableau ? Des couleurs dans tous les sens, rajoutez le son, la musique, les danses, les chants…. Attention vous êtes en train de courir, et c’est l’homme de Cro-Magnon qui vient de vous doubler suivit de la schtroumphette…. Et oui, vous ne rêvez pas, vous êtes aux foulées des bistrots en plein centre ville…. Vous les voyez les 800 modules qui se trimbalent dans le même sens ; celui des cafés, non des ravitaillements soudainement très fréquentés !!! Faut dire qu’ils y propose : bière, pastis, whisky, y parait même qu’il y avait de l’eau (dans le pastis)
Tien voilà un clown, des nageurs, une sorcière, un surfeurs, des pirates un essaim d’abeilles, un jeu de milles bornes, un skieur, des bornes kilométriques, des sacs de grains, j’en passe et des meilleurs. Mention spéciale pour le baigneur kiki 14 avec lequel je dialoguais sur kirikou ! Non sur kikourou et qui a pris de temps de discuter et courir avec moi en me présentant pas mal de monde. Bien sympa tout ça moi je dis.
Caen en liesse ! Du délire, du grand, que du sport (pour les premiers), une grosse fête pour tous, le tout dans une excellente ambiance.
Quant au classement ? Bah je sais pas, le temps ? Bah 7 km, 3 demis !!!



Bonus (enfin j’espère !)

A chacun son « aux foulées des bistrots »

Y’a foule aux foulées des bistrots ; fréquenter les bars de prêt, on devrait d’ailleurs dire « les fous lez bistrot », c’est peut être paradoxale mais la foule en liesse des bistrots laisse à voir (mais pas à boire) sans retenue sa joie et ses encouragements. Alors ?
Les affûtés de la panoplie, les sportifs du déguisement, les ceinturés du circuit, pourrons évoquer leur état limite due probablement à la sécrétion abondante d’endorphine, en parlant « des fous let des bistrots » ou encore « des fous laize des bistrots ».
Ceux qui se sont vraiment chargés diront qu’ils ont participés aux « fous lests des bistrots » et ce sans jamais commettre le crime de lese-bistrots.
Mais, et c’est le plus important, pour tous, les foulées furent lestes et la soirée pouette.

A plus et bonne foulées