L'auteur : ejouvin
La course : Trail du Massif des Brasses - 30 km
Date : 12/10/2014
Lieu : Onnion (Haute-Savoie)
Affichage : 1561 vues
Distance : 30km
Objectif : Pas d'objectif
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Non non, ce n'est pas un bug de Kikourou, voici mon deuxième CR du week end. Une petite explication s'impose. La semaine dernière, nous aviosn terminé le semi de Lyon avec coach en mode accompagnement. Celui-ci me dit alors "PLus de course avant la Saintélyon". Sauf que durant la semaine, son pote étant toujours présent, il me demande si je suis partant pour un trail le samedi, ou le dimanche ou les deux...
Non mais quelle idée, je vous jure. Et qu'est ce que je vais faire ? Et bien accepté de faire deux courses dans le week end. Donc, après la sieste au soleil de samedi après midi, nous sommes en route pour nous installé à 30kms du départ de dimanche.
C'est un peu l'inconnu et pas mal de crainte vis à vis des jmabes. Comment allons nous encaisser cette deuxième course ???
Une fois sur place, je décide de ne pas m'échauffer car je dois me mettre en tenue après avoir récupérer le dossard. Après un dernier café pour coach, son pote s'étant fait une entorse la veille, nous rejoignons la ligne de départ. Je vais y croiser Martinev et Badgone que je viens saluer avec plaisir.
Rien à voir avec samedi, il y a beaucoup de monde et du très costaud. De plus, le profil est largement plus compliqué avec de belles montées qui s'annoncent. Cette fois-ci, c'est de la "vraie" montagne et nous risquons de prendre cher.
Vu l'état, je décide de partir très très prudent, mais quand même proche de la première ligne. Le départ est donné derrière des chevaux pour un petit tour, sans grand intérêt, dans le village. Comme la veille, je me fais déposer. Sauf que là, il y a plus de monde et ce sont des wagons entier qui me passent. Je ne compte même pas le nombre de féminine, d'autant plus que je ne connais pas le niveau à cet instant. Bref, dans ma tête cela, va être compliqué, très compliqué...
Après un premier kilomètre, à peine, sur le bitume, nous attaquons les chemins, plus cool pour les jambes, gorgé de boue. Il n'aura pas fallu attendre longtemps pour avoir les pompes recouvertes et les pieds trempés. Si c'est comme cela dans les montées et descentes, cela promet...
Une petite bosse, qui pique, un kilo plat pour finir de chauffer les jambes et on attaque le sérieux. Ca passe en courant pas longtemps et il faut vite attaquer la marche "rapide". Tout autour de moi, les bâtons sont de sortie. Je rigole intérieurement en repensant aux discussions sur Kikourou. "Mettre les pointes devants" / "faire attention aux autres" / "ne pas écarter les bras". Moi qui me posait 1000 questions à l'époque en espérant savoir me servir des bâtons, je n'aurai plus jamais de scrupule... Cela dit, le sachant, je fais attention à m'écarter en doublant pour ne pas prendre un coup de bâtons. Mais bizarrement, cela me gonfle alors que je suis venu pour m'amuser / rigoler.
Les montées sont pour moi franchement raides, mais finalement assez courtes. Il y a à chaque fois une petite zone de plat où je peux constater que ceux qui me doublent dans la montée, ne sont pas à l'aise dès qu'il faut courir. Par contre, deuxième point qui commence à me gonfler ce jour, c'est les gars / filles qui s'accrochent à mes runnings dès que j'arrive à leur hauteur, et sans forcer. Le ton est donné, aujourd'hui c'est LA compétition. Et c'est sans parler comment ils me déposent dès que cela grimpe. Bon OK, chacun sa stratégie, mais cela ressemble quand même au concours de celui qui a la plus grosse.
Bon, on essaye de conserver la bonne humeur, surtout que l'on atteint une fois de plus un petit plat un peu avant le 6ème kilo. Et cela va marquer le début de la fin, ou du commencement pour moi. De ce point jusqu'à la fin, je ne vais faire que remonter. En même temps, ce n'est pas compliqué, vu mon classement en bas de la pente...
Concernant les jambes, ce n'est pas le top, elles sont un peu fatiguées et c'est surtout les mollets qui me le font savoir. Cependant, il faut s'accrocher car le morceau qui se présente à nous risque de piquer fort. Je me concentre uniquement sur moi même, contrôle du cardio, courrir dès que je peux et quand je passe à la marche, essayer de le faire le plus efficacement possible.
Nous allons sortir du bois, les pieds trempés et couverts de boue pour attaquer la première ascension. Et op, de nouveau un fait de course qui entame ma bonne humeur. Je rejoins un groupe avec un clône de Krupicka. A savoir, torse nu, barbe, lunettes de soleil. Sauf que celui-ci va nous réciter son palmarès. "J'ai fais ci, j'ai fais ça. Cette course, je l'ai faite avec une fracture. Cette autre course, j'étais fatigué du week end précédent et pourtant j'ai bien avancé". Ok, mais si tu es si "fort" que cela, comment se fait il que je te rattrape ??? Il va finir par m'achever dans la grosse pente. Il monte facile, très facile, dépose tout le monde. Puis d'un coup s'arrête, se retourne les mains sur les hanches et fait part à tout le monde de son admiration pour le paysage proposé, au demeurant splendide. Punaise, qu'est ce que je n'aime pas cela...
Cela dit, il faut quand même monter et c'est bien raide. Spécificité du parcours, nous croisons ceux qui redescendent du sommet. Je compte quelques jupettes virevoltantes avant de me rendre à l'évidence. Ca va vite sur cette course. Par chance, je vais voir coach qui est dans la descente. Un petit signe de la main et on se donne rendez vous sous l'arche d'arrivée dans .... 20kms. Whaouuuu, tant que cela ? Et j'en suis déjà à 1h20 de course ? Punaise, c'est rude la montagne quand même, mais c'est joli heureusement.
Le sommet est enfin atteint, en compagnie de trois féminines qui se tirent la bourre. Je me fais bipper et on attaque la descente. Arg, c'est trop technique pour moi. Les semelles encore couvertes de boue, je ne sais où poser les pieds. Même la cordes ne me sécurise pas. Je vais même me mettre sur le cul, provoquant certainement un bouchon. Les féminines me déposent, des groupes entiers d'hommes également. Mais moi, je ne veux pas prendre de risque.
Une fois le calvaire terminé, ce sont des singles qui tracent la descentes. j'ai bien fais de faire attention, une femme devant moi se fait la cheville sur un virage. Le premier ravito est en vue, et il est apprécié. Je retrouve mon clone de Krupicka, assis sur l'herbe en train de manger et contempler le paysage. Je ne sais pas si il attend le groupe qu'il a lâché et franchement ma seule volonté est de ne plus avoir à le croiser.
Une fois le premeir ravito passé, nous allons resdescendre la route. Ce n'est généralement pas ce que l'on recherche le bitume, mais pour le coup ça fait du bien. On peut descendre à bon rythme en se relâchant. Je vais m'éloigner des féminines qui m'ont accompagné jusqu'ici, à l'exception d'une qui semble vouloir attaquer. Elle cavale fort la bougresse. Durant ce passage, encore un truc qui m'étonne. Après un lacet, je vois débarquer un gars de la droite. En gros, il a méchament coupé le virage. Mouai, bof je ne vois pas l'intérêt et fort heureusement je le pose sans aucune difficulté. A cette instant, je suis vraiment pas dans le mode déconne, voir un peu déçu. Je repense aux différentes critiques sur les courses en Ile de France. "Ce n'est pas du trail" / "course de bobos" / "Y en a marre des parisiens qui viennent en Montagne et qui ne respectent rien". Vous l'aurez compris, je suis drôlement partagé. Ajouter à cela le truc qui me fera toujours rigoler malgré les explications, le défilé de Tee shirt + Polaire de LA course qu'il faut avoir fait avant ses 50 ans, sous peine d'avoir râté sa carrière... Oui je sais j'exagère, les gens les portent parce que l'on est trop bien dedans...
Contrairement à la veille, j'ai tout le temps quelqu'un devant moi et cela me permet de rester dans la course. Une fois le bitume terminé sous de chaleureux applaudissements de spectateurs, ils en auront fait de la route eux, nous attaquons deux petites bosses dans les chemins, avec le retour de la boue. Je m'efforce de courir et je constate que cela passe plus tôt pas mal. Il m'aura donc fallu 2h de courses pour enfin ne plus sentir de difficultés dans les jambes.
Km 18, c'est la fin des coups de cul, qui auront certainement fait mal à beaucoup d'entre nous. Et nous attaquons une belle descente régulière dans les chemins. Un vrai bonheur mais punaise, un énième fait de course qui m'agace. Le gars devant moi s'arrête au milieu du single pour prendre un truc dans son sac. Bon ok, je passe sur le côté, j'allais le croquer de toutes les façons. Arrive une descente un peu plus technique, en gros cailloux glissants sous la boue, et le voici qu'il passe tout droit rapidement. Me dépose et va rapidement prendre 200-300m d'avance. Ce n'est pas que je ne n'accepte pas de me faire doubler, mais quand le chemin devient plus roulant, il n'avance plus. Je le reprendre plus vite qu'il m'a déposé et le laisse sur place. Bon, c'est décidé, je vais forcer un peu pour ne plus le voir, il m'a gonflé.
La descente se termine et nous tombons sur la route pour rejoindre le deuxième ravito. Alors que je sors du chemin, j'entends "Et bien, il a meilleure tête qu'aux Allobroges". Hum hum, je suis quasi seul à cet instant, on parlerait de moi ? Je me retourne et voit un membres de l'équipe organisatrice du dit trail. Je lui lance que c'est moche de dire cela, que vraiment ce n'est ps beau de se moquer. Mais cela me fait terriblement marrer, et lui aussi. Ce court échange va totalement changer ma vision de la course. Je vais passer dans le mode "on se fait plaisir un maximum". Merci pour cette boutade, et cela fait plaisir d'être reconnu, même si c'est pour me chambrer.
Je remplis une gourde au ravito, je n'aurai pas beaucoup bu, et profite pour manger un peu. Quand on nous indique le chemin, cela fait tout de suite peur. C'est une montée sèche et une fois de plus dans la boue. Arrrg, mais cela ne va jamais finir ? Je repars avec une féminine qui est à la peine. La pauvre, elle n'avance plus vraiment malgré l'aide de ses bâtons. Cela va durer pendant un peu plus d'un kilomètre, avec environ 180m D+, pour arriver sur un faux plat ou je peux reprendre la course et en finir avec la boue.
Sauf qu'en levant la tête, on peut distinguer des points colorés qui montent ou descendent. Ouch, c'est ça que l'on doit s'avaler ? Bon bah, on ne lève plus la tête hein, sinon c'est perte de moral assuré. Une bénévole m'indique le chemin et me demande si cela va. Je suis passé en mode déconne et je lui répond que cela ira vachement mieux si je peux lui faire la bise. Bre, on claque la bise et elle me demande de faire coucou à son mari plus haut. Ah mince, encore râté.
La montée est moins raide que la toute première, mais elle fait aussi mal. Et c'est avec délivrance que je me fais bipper au sommet. Y a plus qu'à redescendre au village, enfin presque. Je vais me faire une frayeur en buttant le pied dans une pierre. Mais op, on se rattrape comme on peut sans chutter. Les singles sont toujours aussi étroit, et je me tape dans les chevilles régulièrement. A cela s'ajoute le vent qui s'est un peu levé sur cette portion, ça fait un peu frais sur le torse, vu comment je l'ai trempé de transpiration.
Bon bah, il n'y a plus de questions à se poser maintenant. Faut descendre et le plus vite possible. Les concurrents que je double sont vraiment à la peine. Même sur le plat, cela semble difficile pour eux, certains boitent. Je ne vais pas faire de sentiment, je veux en finir et comme la veille je ne regarde plus le cardio.
Là, il est juste question d'apprendre à descendre et d'essayer d'aller le plus vite possible. C'est franchement usant et pourtant je ne souffre pas des jambes contre toute attente. Alors, que nous plongeons de nouveau dans un bois, la boue refait son apparition, ainsi que les glissages. Pas cool, moi qui pensait terminé sur du "facile". Je reprends un gars qui fait sa pause technique et se produit le même scénario que précédement. Il va me déposer comme une merde dans une partie un peu plus technique. Je ne peux malheureusement pas me retenir de dire "Mais c'est idiot ça", étant persuadé que j'allait le reprendre sans forcer après. Et c'est ce qui va se produire. Vraiment pour le coup je ne comprends pas comment ils font, ils vont quasi plus vite dans les pierres boueuses que sur le goudon. Cela ne va pas manquer, je le reprends et il ne faudra pas 2 minutes pour qu'il disparaisse de mon champs de vision. Mais plus rien ne peut entacher ma bonne humeur alors j'en rigole et surtout je me promet de ne rien lâcher, sauf quelques vents puisque je ne suis pas quelqu'un de digne dans l'effort.
Je peux entendre la sono, un dernier effort pour enfin rejoindre l'arrivée. Whaouuu que de monde ... Le classement ne doit pas être super. En voyant les résultats, je comprendrai que le niveau était tout de même assez élevé, les féminines au top également. Ce n'était pas la course pour choper du 06.
La douche à la piscine sera un vrai bonheur pour conclure un week end de franche déconnade. Malgré mes sauts d'humeur pendant la course, je garderai plein de bons souvenirs de ce week end.
12 commentaires
Commentaire de JuCB posté le 13-10-2014 à 19:07:25
Hello ejouvin
Bravo pour ta course (surtout avec l'enchainement), 59 si je ne me goure pas, ils ne sont pas encore en ligne...
Ton récit, je me retrouve pas mal dedans :
- départ tranquille
- les bâtons dans tous les sens pendant 2-3km. Le port sur le sac devrait être obligatoire. Au moins jusqu'au premier pont avant de commencer à monter
- le clone qui m'a gonflé (gros doute sur le fait qu'il n'ait pas pris de dossard...)
- la pause technique à la fin, c'était moi !! :-)
Je confirme : tu déroules sur le goudron et n'avance pas en descente. :-) (pourtant je suis un piètre descendeur) De là, à voir un lien entre nos spots d'entrainements, Région Parisienne pour toi et Yaute pour moi....
J'ajouterai juste 2-3 trucs perso :
- merci au Julien qui a bien voulu m'aider à sortir une barre de mon sac
Je me débattais avec mes épingles à nourrice et j'avais accroché le dossard aux attaches du sac, donc impossible de l'enlever
Merci à ses supporters de m'avoir encourager aussi.
- le 2e ravito au pied d'une montée sèche, j'ai tout ressorti.
- le départ "tranquille" derrière les chevaux, j'ai beaucoup rigolé. Pour moi, j'ai vu un départ fond de cale comme d'hab
- je n'avance pas sur le goudron :-)
Bonne continuation
Julien
Commentaire de ejouvin posté le 13-10-2014 à 19:57:48
J'adore, parce qu'à chaque fois que je balance dans mes CRs, il y a toujours quelqu'un pour dire : "c'était moi". Un jour je vais balancer une saloperie et je vais le faire étrangler.
Je ne sais pas si l'on parle du même clone, mais si il n'avait pas le dossard, cela ne me dérange pas plus que cela. Sauf qu'il a bien profite de la douche à la fin... Après, c'est un sentiment sur l'instant, donc il faut prendre cela avec des pincettes, il.est sûrement très sympa.
Sinon sur la course, je confirme que je ne sais pas descendre, malgré quelque progrès. Par contre, je suis toujours surpris de voir le changement de rythme quand cela roule ;) mais bon, chacun ses points forts / faibles.
Concernant les bâtons, nous sommes avertis, à nous de faire attention autant que ceux qui en ont. Je ne savais même pas qu'il y avait une consigne d'utilisation... Mais bon globalement, cela se passe bien quand même.
Commentaire de Jean-Phi posté le 13-10-2014 à 19:20:58
Super course Etienne et bravo pour ta zénitude ! Je crois que le vrai A.K. est un peu plus cool que ses clones imitatifs. Pourtant lui aussi il court les trails de bobos. Bref... Pour fin juin, je ne sais pas ce que tu fais mais regarde ça, c'est du sauvage, ça devrait te paire et je pense que j'y serai à défaut du Morbihan. ;-)
http://www.grandduc.fr/
Commentaire de ejouvin posté le 13-10-2014 à 20:05:50
Comme dit plus haut, il ne faut pas lui tomber dessus. Il m'a agacé sur l'instant parce que je suis plutôt du genre réservé sur ce que j'ai pu faire. J'aime pas trop déballer mon CV, sûrement pour ça que je suis en tenue civile en général.
Fin juin, nous verrons avec la planification, comme m'a dit coach ce week end, faut pas chercher à tout faire et surtout organiser les sortie. C'est difficile à entendre, quand on est dans une logique de faire un peu tout ce qui se présente, juste par plaisir.
La course est vraiment superbe, même si je n'ai pas retrouvé une belle ambiance entre coureurs, mais j'en suis aussi fautif question niveau, j'ai trouvé cela très fort et ça change de ma région. Non pas que le niveau y soit "mauvais", mais la densité était beaucoup plus importante. Ça remet les idées en place et on relativise rapidement les félicitations reçues par réseaux sociaux en tout genre. C'est chouette de se prendre des mines, je veux dire de vraies mines, ou tu vois les pompes des concurrents juste au départ. Ils sont déjà à l'apéro quand toi tu en termine.
Commentaire de Mamanpat posté le 15-10-2014 à 21:15:19
Tu vas te faire tirer les oreilles !!!
Commentaire de ejouvin posté le 15-10-2014 à 21:37:35
Si seulement ce pouvait être autre chose que les oreilles ...
Commentaire de Arclusaz posté le 16-10-2014 à 13:56:01
Dis moi le bénévole, c'est toi qu'il a reconnu ou...... le TS fétiche ?
donc, donc dans tes deux CR du XE, tu confirmes que les gens sont plus sympas en 73 qu'en 74 : merci d'être venu du 75 pour poser cette vérité.
Commentaire de ejouvin posté le 16-10-2014 à 14:09:15
Bah je n'avais pas le tee shirt "fetiche", donc je pense que c'est bien moi qu'il a reconnu ;)
Est ce qu'il y a d'autre vérité à rétablir ?
Commentaire de Arclusaz posté le 16-10-2014 à 14:16:27
la légende disant que tu n'as qu'un seul TS, c'est fait, on sait que ce n'est pas vrai.
il reste à tordre la rumeur selon laquelle tu ne chopes jamais de 06 sur les courses....
Commentaire de ejouvin posté le 16-10-2014 à 18:22:04
Et mince...
En fait si, j'avais le dit tee shirt ;)
Commentaire de celestcyr posté le 17-10-2014 à 20:06:06
elle court...elle court...la rumeur ;)
en tout cas la machine encaisse les kms avec un bon classement général...2 courses en un week end c'est pas donné à tout le monde :) bravo
Commentaire de ejouvin posté le 17-10-2014 à 21:55:39
Non moi c'est ejouvin, pas la rumeur ;)
Oh tu sais, 2 courses en un week end, cela passe si on est raisonnable sur les deux et il ne faut pas s'attendre à un gros classement à chaque fois.
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