L'auteur : sylviesportetfoi
La course : Les Aventuriers du Bout de Drôme - 65 km
Date : 8/5/2010
Lieu : Crest (Drôme)
Affichage : 4836 vues
Distance : 65km
Objectif : Pas d'objectif
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Vendredi 07 mai 2010 Il est 18 heures, lorsque je sors de mon travail et direction la Drôme pour cette nouvelle aventure saison II for me, qui débute samedi à 3h30 du matin, avant tout, il y a la réception à la Mairie avec les Elus, les Dunes d’espoir (enfants handicapés), présentation du Team ou Florent TROILLET est convié, ainsi que les gagnants de l’édition précédente. La fatigue de la semaine est présente normale, les soucis que nous connaissons tous, cadencent notre vie afin de nous épuiser davantage, telle est la loi de la jungle . Heureusement que Jack est là, parfois j’ai l’impression que je vais péter un « boulard » . Toutefois, mes entrainements passent bien, et les « footaing » récup se font à 12 km/h. Ma masse graisseuse est tombée à 12 %, et me sens aussi plus légère, Jack me colle deux séances de PPG (me suis inspirée de la vidéo de Gilloublue du forum de Daunay) et cela m’amuse beaucoup (une première ). Un nouveau souffle, un pallier de franchit, une assimilation d’une vitesse que je redoutais auparavant et qui me fait de moins en moins peur. Comme d’habitude, je me pose beaucoup de questions car à l’approche d’une compèt, les obstacles de ma vie privée essayent de prendre le dessus, pour le coup c’est ma voiture qui a gros problèmes (alternateur HS, donc batterie aussi). Ne pas se laisser déstabiliser par les épreuves de la vie demande beaucoup d’endurance, de persévérance, bref… Je ne veux pas m’apitoyer sur mon sort. Mon coach a aussi ce rôle de sophrologue la veille d’une course, et il me redonne confiance en quelques mots que j’enregistre, je l’écoute sans un mot ce soir là, et accepte ce qu’il me dit. Le temps est mi-figue, mi-raisin, et pour le week-end la météo n’est pas réjouissante, tout cela fait parti du jeu. Arrivée à bon port, je suis heureuse de retrouvée Jack au taquet, qui se hâte de se changer, Mika toujours aussi souriant, qui doit faire le « maratrail » dimanche. C’est parti mon « quiqui », Starsky et Hutch en action, pfff ! Heureusement que Jack conduit bien, vite, enfin conduite sportive, lol, mais bien, sinon mon pôv cœur aurait lâché. Retrouvailles avec Maria, Je fais la connaissance de Florent et sa maman (ADORABLES), je retrouve Thierry KEROUHNOU, Franck, Fiona, ainsi que d’autres coureurs, les organisateurs du Marathon de Vannes etc… Un magnifique objet en verre sera remis aux enfants handicapés, Les vainqueurs de l’édition 2009 sont récompensés (miam ! Des paniers gourmands), et la présentation du team est faite devant les élus. Beaucoup d’émotions sur le visage de Jack devant les enfants, j’évite de trop le regarder, ou moi je risque de m’effondrer devant tout le monde , décemment cela ne se fait pas… Maria me demande sur quelle distance je me positionne, cela a été mon dilemme toute la semaine, je redoute le 65 km à cause de mon entorse mais j’en meurs d’envie, le « maratrail » ne m’enthousiasme pas du tout, le semi encore moins. Evidemment, il n’y aurait pas le 24 heures pour les « France », j’aurais fait le 100 et le 42, hum, ce n’est que partie remise. Je me suis placée devant le Seigneur, j’ai tiré au sort, et j’ai écouté mon cœur, qui m’a dit 65. Plus de doute, je fonce. Vaille que vaille. Une petite « pasta party » rapidos mais conviviale et hop ! au dodo. Impossible, bien évidemment de s’endormir, mes muscles brûleurs de graisse se mettent en route, et voilà la chaudière dans le lit (ce n’est pas ce que vous pensez, je transpire). Bon ! 1h30 de sommeil avant d’affronter ce « trail », ça devrait le faire. Samedi 08 mai 2010 J’prends un petit dèj copieux, et me prépare, surtout ne pas m’habiller trop, surtout pas pour moi, sinon j’explose. Le camel (réserve d’eau du chameau) est prêt etc… Départ assez rapide en voiture où Jack doit informer les coureurs du parcours, vérification des sacs et tutti quanti. En arrivant, un moment de panique me saisit , j’ai oublié le camel sur la table de la salle à manger, ma mamilla ! Je repars avec un ami de Jack pour le récupérer. C’est reparti, pas besoin d’échauffement mon cœur est au bon rythme, je finis de me préparer dans la voiture et arrive juste pour le départ, j’ai donc rien entendu du tout. Un peu de blabla avec Jyminou qui me charrie au possible avec ma blondeur et cet oubli, Tritri, Dgégé. On part tous en footing jusqu’au point de départ du 100 et 65 km, 2 km plus loin, il est 3h30, je n’ai pas froid, j’aime courir à la frontale, l’excitation m’envahit, je revis des moments magiques de l’année 2009. Je prends cette fois aussi un départ prudent et surtout pas dans les premières. Les chemins sont accidentés sur ces premiers kilomètres, évidemment on me taquine dans ces premières descentes, ou l’on me dit que ce n’est pas le tout après de nous en mettre plein la vue dans les côtes ensuite, hum ! Ils vont bien voir, hi ! Hi ! Je les laisse me taquiner au possible, grr ! les hommes. Allez une partie assez plate se profile devant nous, et je décide d’accélérer, je cours avec Thierry Kerouhnou, qui va me dire de filer, je rencontre Denis, et ravie de le revoir , je file, je passe mes forumiens engagés sur le 100 et bye, bye ! Ce n’est pas le tout mais j’ai un chrono à faire, et viiiii! Je commence à remonter pas mal de coureurs et coureuses avec ma foi de charmantes réflexions sur mon allure de course « gazelle » Je ne suis pas là en dilettante TEAM NB oblige, tout va très bien, je suis sur le même tempo qu’un runner avec qui je vais sympathiser rapidement, nous sommes de la même année 1969 (no comment svp) . Nous discutons suivons le balisage, maintenons notre bon rythme, et puis au bout d’un moment nous nous disons que ce n’est pas normal de ne plus rien voir, ni au sol, ni accroché aux branches, bref ,nous faisons marche arrière jusqu’à l’intersection, partons d’un côté, puis de l’autre, et décidons de remonter jusqu’à la dernière balise, la nuit est noire, les chats sont gris, aucun bruit, excepté moi, qui dans un moment d’euphorie crie « youhou » pour rigoler , il y a quelqu’un, on n’entend au loin le bruit d’une moto. Et beinh ! Vla autre chose, la marmotte, et oui, notre marmotte nationale qui met le chocolat dans le papier alu, vla ti pas qu’elle me demande un coup de main pour planter les fèves de cacao je me laisse embobiner encore une fois avec Stéphane, et c’est parti pour du jardinage d’environ 30 min ! Hum ! Je suis un peu exaspérée, il ne faut pas abuser quand même, allez ! Ciao la marmotte débrouille toi, et j’espère ne plus te revoir, je l’entends susurrer, « je t’aurais un jour, je t’aurais ». On croise des coureurs, marcheurs, mais en sens inverse, alors là avec Jérôme on ne comprend plus rien, on redescend, et paf, nous voilà avec la moto qui ferme la course. A ce moment je ris, mais comme çà. C’est ti pas beau, moi qui disais la veille à Jack, que j’aime partir derrière, bah me voilà tout au fond. Coup de massue sur la tronche , mon ami est plus cool, il est sur le 100, et me dit de ne plus en parler et de continuer sereinement, notre allure s’accélère naturellement et passons et remontons des gens et encore, et encore, je récapitule les runners que je connais et que vais devoir remonter, lorsque je serais arrivée à Tricycle je sais, que cela ira mieux. Je me remets en question devant le Seigneur, me serais-je trompée ? j’oublie le camel, je me perds… Beaucoup de questions , et cette voix douce dans mon cœur me dit : « Mon enfant, je ne vais pas t’ôter la difficulté, mais je vais t’aider à la passer, et tu vas réaliser une grande chose ». A partir de ce moment je suis plus que sereine. J'ai la chanson dans la tête sur le CR: Our own way = Notre propre chemin Beaucoup d’énergie dépensée, à » slalommer » entre les coureurs, merci à toux ceux qui m’ont, (nous ont Jérôme et moi) encouragé à tout recommencer, un merci particulier à la 2e féminine du 100 km 2009 , qui m’a dit de ne rien lâcher, quel regard, je n’oublierai jamais, merci à Fabienne qui fait de gros progrès grâce à son courage et Franck Mantel, je rejoins Jyminou qui me dit que Tritri allait très vite et que je suis à 5 km de lui encore, hum ! Et un coup dur sur la cafetière, un ! De plus belle, j’accélère, les monotraces sont très gadouilleux et moi j’aime çà, mes chaussures restent collées dedans, je souris toute seule, paf ! Je saute dans les flaques d’eaux, çà me rafraichit en tant que chaudière, je ne décrirais pas tout, car il y a des vidéos et des photos sur le net, de cette merveilleuse aventure Drômoise, mais il y a des côtes pas piquées des vers, des escalades de rochers, tout en dévers. Et qui je vois à l’horizon, au bout d’un moment évidemment, je ne suis pas wonder woman et bien Tricycle, qui va me charrier un p’tit moment, il m’a trop fait rire , mais je file, je ne suis pas d’ici… Et bien, non ! Non ! Je suis logée à la même enseigne que les autres, le parcours je ne le connais pas du tout. Et en plus je me paume, la cerise sur le gâteau, j’imagine la tête à Jack, lol. Ah, mais il ne faut pas croire, sur ce week-end, je suis là en tant qu’athlète, bon les chéris, pas trop le temps, bref, c’est le team avant tout, exceptionnellement. Vincent, de l’organisation est présent aussi pour m’encourager , et m’annonce une remontée spectaculaire, j’entends ces mots qui me résonnent de ne pas me « griller », je sais que non, IMPOSSIBLE, cela ne m’est jamais arrivée sauf si sur les 2 premiers kilos je pars comme une déjantée. J’ai toujours mes lettres incrustées dans mon esprit : GDP = Glissement, Détente, Puissance. Et les photos que je récupère lorsque je cours, ne sont pas pour mon égo, mais je peux rectifier de moi même, certaines choses qui clochent encore. Et bien sur ! La blessure, peut me ralentir, voire stopper. En parlant de blessure, le quadriceps gauche, le muscle vaste externe exactement commence à se durcir et devient très douloureux, c’est seulement une contracture mais qui peut provoquer une déchirure si je force. La boisson se fait rare, même si je bois au ravito, mon «camel » est vide, et il a mal été rempli (je ne l'ai pas enlevé), je me retrouve en total auto suffisance sur des kilomètres ou je rêve de boire, c’est le désert. J’ai remonté Denis, qui m’annonce qu’il y a 4 femmes encore devant moi, et que me connaissant si je gère, je peux remonter. Et c’est chose faite, quelques kilos plus loin, ensuite je cours avec Tine sur plusieurs kilos, et me dit que la première est peut-être partie un peu vite, mais qu’elle est rapide. Tine s’arrête au ravito, je file mon chemin, une seule idée en tête alors que la veille je dis à Jack que je ne suis pas compétitrice du tout et l’affirme, je me découvre cet élan de la rattraper à tout prix. Tiens, tiens ! On m’annonce que La première est à 2 min30 de moi, un regain d’énergie me saisit, je l’aperçois au loin, elle courre, mais mon allure est plus rapide (simple constatation), et en quelques instants après avoir négocié un virage en épingle en dérapage contrôlé, je fonce tel un prédateur sur sa proie, je me sens bien et je compte le montrer. Très belle allure, cette jeune femme a les bâtons et marche en côtes, sur cette portion je peux monter en petites foulées et sans bâton (je n’en voudrais jamais), un petit signe de la main, quelques mots d’encouragements, elle est charmante, et je sais que je dois gagner du terrain et des minutes, la course n’est pas finie. J’ai une technique bien précise à respecter, indiquée par mon coach (SECRET story). Mon binôme ne m’a pas rejoins, normal, il est sur le 100. A boire, à boire, c’est le désert, et au moment ou je n’en peux vraiment plus, c’est le mirage, waouh ! Une fontaine avec des tasses multicolores, un panneau indiquant « eau fraiche et potable », un monsieur surgit avec son appareil photo : « Ah ! La première féminine » s’écrie t-il, clic – clac dans la boîte, je bois et le remercie, ça va beaucoup mieux ainsi. Et c’est reparti pour un tour, la fatigue s’installe petit à petit, les coups de plus mou, personne, personne, je n’ai fait que remonter du monde, les kilomètres vont passer, je suis heureuse d’apercevoir parfois un coureur, mais je passe mon chemin. Je n’ose même pas en vérité regarder les kilomètres sur le GPS, je ne le fais jamais sur du long, je vérifie juste l’allure et encore pas vraiment sur un « trail ». Je sens pourtant l’arrivée, j’entends des tambourins au loin et pourtant, je « ziotte », et je vois non pas une bosse, mais une montagne, que dis-je une pyramide de menhirs. Ca sent pas bon pour mon compte, allez ! A l’attaque, mains sur les cuisses, le buste penché, je ne regarde pas en l’air, juste mes pieds et je prie, je prie, c'est l'école du courage. A chaque fois, que l’on croit que c’est arrivé, et bien non ça repars, ça en est même vicieux cette histoire à la fin . Hum ! L’organisateur à l’arrivée, je le… croque . Mais, il a mis les 3 becs sur le 65 ou quoi, mais, oh ! Je râle à l’intérieur de moi.Je défie quiconque de courir après 65 km dans ce coin, je crois qu’il m’a fallu 27 min pour faire un kilomètre. Et là ! Paf ! Pire que tout, un petit panneau blanc « Allez les filles, montagne moyenne, 60 km », euh ! Non ! J’ai 65 à mon « garmin » que j’ose « looker » bon ! Je me suis perdue, mais pas encore 5 km , s’il vous plait, non ! Pitié ! Il faut escalader des rochers, on recule parfois de 2 pas, je m'accroche à des troncs,merde alors. J’en ai marre, ras la casquette, ah un « djeun’s », on va faire le yoyo tous les deux, il m’annonce qu’il est sur le 100, je lui souhaite bon courage, il va bien, mais il me dit qu’il ne courre pas pour avoir de la souffrance, mdr ! Il me repasse, et un peu plus haut, je le vois assis au pied d’un arbre, on se regarde, mdr ! Là ! j e souffre me dit-il! , il est convaincu à ce moment de ne pas faire le 100. Je lui parle des 3 becs. On va finir cette course quasi ensemble, ça redescends, Serge JAULIN (organisateur du Ventoux) nous filme, des spectateurs annonce encore 20 min environ, je croyais que c’était fini, vraiment, je suis déçue. Les descentes sont terribles pour mes pieds, j’ai des ampoules sous les ongles des 2 orteils, chaque foulée est une souffrance, avec le quadriceps droit tendu comme un arc. Pourtant, je ne laisse rien paraître sur mon, visage et mes paroles ne me trahissent pas. J’arrive enfin heureuse de ce merveilleux trail, je saute dans les bras de Jack qui m’annonce 2° au scratch, ah ! Bon ? Et Moi, je lui dis en riant : « Il est où l’organisateur que je l’étrangle ? ». 73 km au GARMIN Maria a la gentillesse de me masser les gambettes, surtout la souffrante. Mais elle a des doigts de fée. Par curiosité, je demande au docteur, chargé du contrôle sanitaire de prendre mes pulsations et ma tension, mais il semble très surpris, je le regarde et lui demande : « J’ai plus de pouls ? » Si me dit-il, vos pulsations sont à 72, et votre tension 11.5, vous avez une récupération exceptionnelle, 30 de moins que les autres. On part, avec Fio, Maria, pour vite filer sous la douche, Jack assurant la suite des arrivants. Je pense être restée 20 min sous l’eau tellement cela est bon sur les jambes. Je pense déjà au lendemain pour le semi, pour le passer sans blessure, le 24 heures restant l’essentiel. Un bon repas va suivre, soigné par la maman de Jack, Franck qui aura complété par des quiches et tout et tout, mdr, il me dit : « tu as vu le « déniv » que tu t’es mis dans la pomme ». Mange ! Francky, Fio et moi partons au gîte pour aller faire une sieste, bah pas de place dans la toto, Fio qui est un élastique ira donc dans le coffre, quelle rigolade. Le soir, un briefing s’impose avec NB, contente de les revoir. Nos conversations restent secrètes, nah ! Le repas du soir approche, le spectacle a commencé, ravie que Jack prenne place à mes côtés pour ce court moment. Maria aura la gentillesse de me ramener rapidement, car je suis fatiguée, je me dois de récupérer pour le lendemain. Dimanche 09 mai 2010 Jack n’arrivera que tôt le dimanche matin pour dormir 1h30, je crois, oh ! C’est si court, pff !!! Je l’entends juste avant de partir me dire de dormir et me reposer, mais moi, je veux qu’il vienne me chercher pour faire le semi. Je mets donc le réveil, me prépare, etc… Mais je n’ai pas mon sac de sport, tout va foirer, Jack pense que je vais dormir, je lui dis que non ! et pourtant la course va débuter, bref ! je partirais avec 20 min de retard, juste pour le fun, je suis assoiffée, j’attends le ravito avec impatience ou je vais boire 5 verres d’affilés en alternant énergétique et eau , je me sens très bien dans les côtes, en revanche les descentes, c’est quasi impossible, avec le quadri, il commence à pleuvoir, quelques endroits très techniques se profilent, je suis en récupération et contente de courir avec des gens que je suis heureuse de revoir ou découvrir. Bah voilà ! Une arrivée sur le podium en 2h19, la remise des prix va s’ensuivre rapidement (un magnifique trophée au scratch en verre, de nombreux cadeaux pour ce podium 1ère féminine et encore miam du panier gourmand … Tout va très vite, le déjeuner se passera avec mes amis du forum. , bref, mais bien. Il est quasi l’heure de rentrer à Lyon, un court instant avec jack autour d’une bière que je bois très, trop rapidement, vu ma tête qui tourne , une autre bue la veille après le 65, j’en rêvais en courant, vous allez pas me dire quand même, ses envies, là ! Ce sont des caprices. Je repars heureuse et rêveuse de ce week-end magique encore une fois, en compagnie de personnes très agréables, dans cette chaleureuse ambiance avec à la clef deux podiums. Mes filles seront encore une fois fières de maman, et des cadeaux gagnés, elles fouinent pour voir évidemment si elles peuvent récupérer quelque chose pour elles. Ah ! Ces gosses… On les aime. Total kilos pour le week 94 km, on va enchainer toute la semaine avec les entrainements Sylvie Sport Et Foi sur le 24 heures des "France" _________________ Ne permettez à personne de vous dire ce que vous valez. Dieu est le seul à pouvoir le faire. Accorder un tel pouvoir à un autre être humain est de la pure folie. Si les gens sont capables de vous coller une étiquette, ils pourront aussi vous imposer leurs limites. |
3 commentaires
Commentaire de domi81 posté le 02-06-2010 à 05:12:00
félicitations pour les courses et le CR !
au plaisir .... ;-)
Commentaire de jepipote posté le 02-06-2010 à 07:36:00
superbe aventure, félicitations. bonne récup et soignes bien les ampoules !!
Commentaire de gdraid posté le 02-06-2010 à 09:51:00
Merci Sylvie, j'ai beaucoup de plaisir à lire tes aventures en course, tu sembles tellement heureuse de vivre chaque instant avant, pendant et après les épreuves, et puis tu es si photogénique !
Bravo pour ton appétit insatiable de course à pieds !
JC
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