Paris Versailles 25 septembre 2016

c'est promis on le fait dès que 100% des coureurs nous transmettront le certificat médical avant le retrait des dossards

Et moi, je me réinscrirai à PV quand on aura aboli ces certifs à la mord moi le noeud. Jamais eu besoin de certif pour tous les PV auxquels j'ai participé dans une autre vie

Bravo pour l'organisation de cette course.
Ce fut mon premier paris versailles et surement pas le dernier.

Le parcours est sympa surtout la partie en foret cela change du monotone de la route.

Autant j'ai bien aimé le petit sac ravito à la fin, autant j'aurai bien aimé avoir un ravito final avec differentes boissons ou gateaux pour se restaurer, mais cela serait un gros bordel quand on voit deja les ravito et comment les gens jettent leurs dechets lors de la course.

C'est vrais qu'il faut arriver tôt pour reussir à se placer devant pour partir dans les premières vagues si l'on veut faire un temps et éviter la masse. Je le serai pour la prochaine fois, j'etais dans la vague 24.

Je rêvais de faire 1h20 pour une première et je termine avec un beau 1h16, j'ai manqué de jus sur la longue ligne droite pour faire 1h15.

La prochaine fois j'essaierai de faire moins de 1h15.

Je me joins aux autres intervenants pour saluer l'organisation de cette course, à laquelle j'ai participé pour la première fois, bien qu'habitant depuis 20 ans à moins d'un kilomètre du parcours.

Malgré une reprise récente après six mois d'interruption de CàP, je fais un temps certes modeste dans l'absolu, mais assez miraculeux par rapport à mes attentes personnelles.

J'ai par contre été choqué par la saleté de bien des coureurs, dont les détritus divers jonchaient l'aire de départ, et qui étaient manifestement incapable de déposer leurs bouteilles et autres déchets alimentaires aux endroits indiqués lors des ravitaillements. Bon courage à ceux qui sont passés derrière pour nettoyer.

Merci à l'organisation et aux bénévoles. En mode pacer privé sur cette belle course, j'y ai emmené pour sa première fois une coureuse qui veut maintenant resigner pour la 40ème!

L'organisation n'y peut rien mais il y avait de sacrés abrutis sur cette course. Le nombre de gars et de filles que j'ai vu balancer leur bouteille d'eau minérale au milieu de la forêt, hors des zones "prévues" à cet effet, en la jetant le plus loin possible de sorte qu'elle disparaisse derrière la lisière (et qu'on ait moins de chance de la ramasser lorsque les bénévoles nettoieront la porcherie que nous avons laissée) me sidère.
Des coureurs et des coureuses (pour une fois les hommes n'avaient pas le monopole de l'imbécilité) qui peinent à atteindre 10km/h en descente, qui supportent sans doute deux à trois kilos de plus que leur poids de forme si ce n'est davantage mais qui se sentent obligés de s'alléger des trente grammes d'une bouteille en plastique vide (je viens de vérifier, on ne sait jamais). J'en ai vu des bouteilles voler là où elles n'auraient pas dû et à chaque fois, ça me faisait le même effet; à l'heure où le climat et la préservation des écosystèmes constitue un enjeu pour l'humanité, des imbéciles, fussent-ils en short, sévissent toujours.

C'est vrai que c'est curieux que ce genre de comportement existe encore. Autant sur le même ça ne me choquait pas vraiment, étant donné l'armée de bennes qui passait derrière, autant en forêt ça paraît hallucinant qu'on puisse être con à ce point là !

Depuis que j'ai fait le marathon de Zermatt, dans ce qui est censé être le pays le plus propre du monde (il y avait aussi bcp d'étrangers sur la course, mais surtout des allemands), je ne m'étonne plus de rien.

La deuxième partie du parcours est en montagne, sur des sentiers type GR et c'était une vraie porcherie sur plusieurs centaines de mètres après chaque ravito, voire sur 1 ou 2 km dans certains cas, les gens jetaient les gobelets en contre bas, dans les rochers, les rhododendrons ou je sais pas quoi, pratique pour les nettoyeurs.

C'était inimaginable le nombre de merdes disséminées partout, depuis je rigole quand j'entends des coureurs énervés d'avoir à ramasser deux ou trois pauvres petits emballages de gels sur un trail de 50 bornes.

voilà pourquoi il y a, après les secours et la sécurité, un poste sur lequel on ne lésine pas non plus sur la dépense, c'est le nettoyage
on s'engage de toute façon auprès de l'ONF à rendre la forêt de Meudon aussi propre (voire plus propre) le lundi...

pour l'anecdote : en 2011 gros souci avec Nicollin, pas de ramassage des détritus au 2ème ravitaillement, du coup à 16h on envoie en urgence tous les bénévoles disponibles avec des balais et des poubelles
imaginez le boulot avec la circulation réouverte en + !

L'organisation n'y peut rien mais il y avait de sacrés abrutis sur cette course. Le nombre de gars et de filles que j'ai vu balancer leur bouteille d'eau minérale au milieu de la forêt, hors des zones "prévues" à cet effet, en la jetant le plus loin possible de sorte qu'elle disparaisse derrière la lisière (et qu'on ait moins de chance de la ramasser lorsque les bénévoles nettoieront la porcherie que nous avons laissée) me sidère.
Des coureurs et des coureuses (pour une fois les hommes n'avaient pas le monopole de l'imbécilité) qui peinent à atteindre 10km/h en descente, qui supportent sans doute deux à trois kilos de plus que leur poids de forme si ce n'est davantage mais qui se sentent obligés de s'alléger des trente grammes d'une bouteille en plastique vide (je viens de vérifier, on ne sait jamais). J'en ai vu des bouteilles voler là où elles n'auraient pas dû et à chaque fois, ça me faisait le même effet; à l'heure où le climat et la préservation des écosystèmes constitue un enjeu pour l'humanité, des imbéciles, fussent-ils en short, sévissent toujours.

Pfffffff

Je suis sidéré de lire ça...

J'ai encore passé un très bon moment sur Paris-Versailles grâce à une organisation bien rodée et à la gentillesse des bénévoles qui avaient toujours un sourire aux lèvres Lorsque je vois la photo que Sylvain a publiée, je mesure encore mieux la difficulté d'organiser des courses de masse et l'implication de tous les instants des bénévoles, un grand merci à eux

4ème Paris-Versailles, avec la nouveauté d' être bénévole pour le retrait des dossards. Une expérience très sympa surtout en tant que coureur. Des profils très diverses chez les participants : du néophyte qui demande si il est obligé de porter le T-shirt Paris Versailles pendant la course au coureur aguerri qui s'interroge sur l'heure où il faut se placer sur la ligne pour faire 1h05. Pas mal d'internationaux également, Belges et Américains et tête de liste pour ma part.

Par contre, pas évident, d'enchaîner le samedi avec la course du dimanche... une belle tortue qui a fini à 3 minutes de l'objectif visé

Ayant habité Meudon, c'est la cata le paris versailles, mais ils mettent les moyens pour le nettoyage d'après course. Il y a aussi les oranges jetés un peu partout, les petits papiers etc etc

j'ai fait mon premier PVersailles hier.
je ne pense pas que l'organisation soit un échec : au vu du nombre de coureurs, il faut juste éviter les consignes des sacs (toujours le bazar, quelle que soit la course)
en arrivant à 9h, j'étais dans les premières vagues (départ réel à 10h15)
des sas de temps, pourquoi pas, ils peuvent s'inspirer des autres courses qui ont ce système. Ce n'est pas non plus parfait, et on voit toujours des coureurs remonter, comme si eux-mêmes se plantaient de sas à l'inscription.
je la referai sans doute l'an prochain.

Ce n'est pas non plus parfait, et on voit toujours des coureurs remonter, comme si eux-mêmes se plantaient de sas à l'inscription.

..Et des coureurs qui se mettent exprès dans des SAS au dessus de leurs niveaux pour partir dans les premiers. Au Marathon de Paris, le journaliste de france 2 interviewait des coureurs dans les premiers kilomètres de la courses qui annonçaient sereinement un objectif de 4h30 avec un dossard pour le sas 3h15

AquagymL'organisation n'y peut rien mais il y avait de sacrés abrutis sur cette course. Le nombre de gars et de filles que j'ai vu balancer leur bouteille d'eau minérale au milieu de la forêt, hors des zones "prévues" à cet effet, en la jetant le plus loin possible de sorte qu'elle disparaisse derrière la lisière (et qu'on ait moins de chance de la ramasser lorsque les bénévoles nettoieront la porcherie que nous avons laissée) me sidère.
Des coureurs et des coureuses (pour une fois les hommes n'avaient pas le monopole de l'imbécilité) qui peinent à atteindre 10km/h en descente, qui supportent sans doute deux à trois kilos de plus que leur poids de forme si ce n'est davantage mais qui se sentent obligés de s'alléger des trente grammes d'une bouteille en plastique vide (je viens de vérifier, on ne sait jamais). J'en ai vu des bouteilles voler là où elles n'auraient pas dû et à chaque fois, ça me faisait le même effet; à l'heure où le climat et la préservation des écosystèmes constitue un enjeu pour l'humanité, des imbéciles, fussent-ils en short, sévissent toujours.

C'est hallucinant ce genre de comportements....

Ce n'est pas non plus parfait, et on voit toujours des coureurs remonter, comme si eux-mêmes se plantaient de sas à l'inscription.

..Et des coureurs qui se mettent exprès dans des SAS au dessus de leurs niveaux pour partir dans les premiers. Au Marathon de Paris, le journaliste de france 2 interviewait des coureurs dans les premiers kilomètres de la courses qui annonçaient sereinement un objectif de 4h30 avec un dossard pour le sas 3h15

Cà c'est le truc qui m'a gonflé au départ, il y en a qui remonte tout quitte à bien s'incruster entre les personnes juste pour partir dans les premiers et ne pas attendre alors qu'on les redouble pas longtemps après. Dans le genre "chacun pour sa gueule" c'est pas mal.

au fait pour ceux qui étaient là hier, j'ai une petite question :
savez vous qui étaient les coureurs à se préparer dans le passage qui longe le sas départ à droite, juste après le tunnel ? ils disposaient de pas mal d'espace pour s'échauffer alors qu'on s'entassait comme des bovins entre les barrières. Des préférentiels ?

principalement des coureurs invités, partenaires, ainsi que des préférentiels qu'on a pas réussi à caser dans le sas préférentiel "classique"...

ça représente pas mal de monde privilégié, j'en suis conscient, mais c'est aussi la contrepartie d'un certain nombre de financements qui nous permettent de maintenir un prix TTC de 29€

Pfffffff

Je suis sidéré de lire ça...

Et moi d'avoir à l'écrire.
Mais bon, il faut reconnaître que quand tu joues un slot entre la douze-millième et la quatorze-millième place (ceux que je doublais devaient en être là, nous sommes partis tard Raya et moi), tu ne peux pas laisser une bouteille vide te gâcher la vie.
30g pour un coureur de 70kg, ça fait quoi ? 0,04%
Donc pour 16km à 10km/h qui font 1h36, ça fait une déperdition potentielle de (96x60)x0,0004=2,4s si tu gardes la bouteille à la main pendant toute la course. Or entre deux ravitaillements distants de 5km et en admettant que tu ne croises aucune poubelle, le temps supplémentaire pendant lequel tu es susceptible de trimballer ta bouteille est 30*60*0,0004= 0,72s
Ouais, c'est sidérant de bêtise.

Donc pour 16km à 10km/h qui font 1h36, ça fait une déperdition potentielle de (96x60)x0,0004=2,4s si tu gardes la bouteille à la main pendant toute la course. Or entre deux ravitaillements distants de 5km et en admettant que tu ne croises aucune poubelle, le temps supplémentaire pendant lequel tu es susceptible de trimballer ta bouteille est 30*60*0,0004= 0,72s
Ouais, c'est sidérant de bêtise.

Y'a un problème : tu négliges trop de variables.

Ta bouteille représente une modification de ton Cx (coefficient de pénétration dans l'air), surtout si tu la tiens goulot vide vers l'avant --> création d'un tourbillon avec écoulement non laminaire. Des tests en soufflerie seraient nécessaires pour déterminer la perturbation induite et donc, indirectement le ralentissement de la vitesse du mobile. Toutefois, je n'aurai probablement pas accès à des moyens de calcul suffisants pour effectuer ce calcul. Estimons-le identique à la perte de vitesse dûe au poids supplémentaire, par une approximation certes osée, mais la rigueur scientifique peut s'accomoder de l'à peu-près, le lecteur attentif m'en excusera par avance.

Il convient également de considérer plus simplement le temps supplémentaire nécessaire pour parcourir les trois mètres nécessaires pour atteindre la poubelle, ce qui représente tout de même une seconde supplémentaire par bouteille (en arrondissant, par commodité, la vitesse à 10,8km/h). Il conviendrait de calculer plus précisément, toutefois, cet allongement de parcours, en fonction de la géométrie de la voirie et de l'angle pris pour dévier sa course.

Il n'est donc pas exclu qu'on puisse arriver à un gain total de 5 secondes ce qui, sur Paris-Versailles, représente un nombre non négligeable de places. En effet, Raya et toi êtes séparés par 48 secondes et 253 places. Les 5 secondes supplémentaires représentent donc un gain de 25 places *par bouteille* balancée dans la nature.

3 ravitos --> 75 places

Moralité : jetez vos bouteilles.....

les calculs sont-ils fait sur la base de bouteilles pleines, à moitié vides, à moitié pleine ou vides ?

je précise aussi si besoin (car tu ne peux pas deviner cette info) que les petites bouteilles des ravitos intermédiaires contiennent de l'eau de source de montagne (d'une marque que nous ne nommerons pas)

les calculs sont-ils fait sur la base de bouteilles pleines, à moitié vides, à moitié pleine ou vides ?

je précise aussi si besoin (car tu ne peux pas deviner cette info) que les petites bouteilles des ravitos intermédiaires contiennent de l'eau de source de montagne (d'une marque que nous ne nommerons pas)

Il est vrai qu'il faut aussi considérer que, pour minimiser la perte de temps dûe au ralentissement provoqué par les centaines de grammes d'une bouteille pleine, la logique voudrait que le coureur ingurgitasse le précieux liquide le plus rapidement possible, avec pour effet secondaire une accélération du transit liquide et l'horrible nécessité d'une opération salutaire de vidange synonyme d'une perte de temps se chiffrant en dizaines de secondes et donc centaines de places.

Une alternative pourrait alors consister en une vidange sur le modèle des cyclistes du peloton professionnel qui, outre le défaut d'ajouter l'épandage de liquides corrosifs le long des allées de la forêt de Meudon, ou sur les églises versaillaises, aurait probablement le défaut de provoquer quelque ire de la part des coureurs aux alentours, pouvant aller jusqu'à des représailles physiques là aussi préjudiciables à la performance.

On n'a quand même pas des vies faciles.

Donc, jetez vos bouteilles, mais pleines. En plus, en visant bien, vous pouvez éliminer quelques adversaires.

le plus difficile étant de viser les adversaires plus rapides (donc qui s'éloignent) car éliminer les plus lents que toi n'a aucun intérêt !

on peut aussi vidanger dans la bouteille

Il est vrai qu'il faut aussi considérer que, pour minimiser la perte de temps dûe au ralentissement provoqué par les centaines de grammes d'une bouteille pleine, la logique voudrait que le coureur ingurgitasse le précieux liquide le plus rapidement possible, avec pour effet secondaire une accélération du transit liquide et l'horrible nécessité d'une opération salutaire de vidange synonyme d'une perte de temps se chiffrant en dizaines de secondes et donc centaines de places.

j'en sais quelque chose; il y a là la plus grosse partie des 48 secondes qui me séparent de Raya.

Une alternative pourrait alors consister en une vidange sur le modèle des cyclistes du peloton professionnel qui, outre le défaut d'ajouter l'épandage de liquides corrosifs le long des allées de la forêt de Meudon, ou sur les églises versaillaises, aurait probablement le défaut de provoquer quelque ire de la part des coureurs aux alentours, pouvant aller jusqu'à des représailles physiques là aussi préjudiciables à la performance.

j'ai essayé mais ça ne marche pas; l'arrêt est incontournable.

Donc, jetez vos bouteilles, mais pleines. En plus, en visant bien, vous pouvez éliminer quelques adversaires.

j'y ai eu droit. Un type bien intentionné qui a visé la benne mais qui n'a pas dû faire basket première langue.

on peut aussi vidanger dans la bouteille

Sans s'arrêter, cela relève des Arts du Cirque. L'avantage, ensuite, c'est que cela donne plus de puissance destructrice au projectile qui en résulte.

Il y a un concept à travailler, effectivement, qui pourrait bien s'avérer, au final, plus profitable que d'idiotes et ennuyeuses séquences de fractionnés.

J'aime bien tous ces calculs et théories

A quand un système de type Rollerball avec des secondes bonus si tu arrives à dégommer plus de 3 concurrents d'un jet de bouteille ?...

Il est temps de réinventer le Paris-Versailles et sortir de la "grande classique"

Et bien je vois que le niveau de débat s'est élevé sur ce fil ... Vous ne manquez jamais d'à propos les kikous ! et c'est (en partie) pour ça que ce site est bien sympa à lire.

Je vous suggère de cogiter sur une photo qui interpelle comme celle du mec qui jette un truc sur la route avec le slogan "vous feriez ça dans votre salon ?" . La saleté des gens ne me surprend même pas: dans mon cabinet médical si vous saviez l'état des toilettes après la tornade du mercredi et une flopée de gamins (mais aussi d'adultes) qui ne tirent pas la chasse d'eau, qui salissent tout et tout ça avec des mères qui ne disent rien... Je me demande toujours comme ça se passe chez eux !!

on va un peu changer de thème sur un très beau reportage de 2mns au JT d'M6 hier midi :

http://www.6play.fr/le-1245-p_1056/12-4 ... c_11609380

gros plan sur 2 amis, l'une est non-voyante et l'autre son guide sur PV

top ce reportage !