bubulle a écrit:
Pas simple, la 3, effectivement. [...)
En fait on l'avait placer dans la parcelle 95, pensant qu'il fallait trouver une bute ou un truc du genre sur la carte (j'ai plus la def en tete). Et on était pas les seul a chercher dans le secteur...
bubulle a écrit:Mais je vois là aussi que ton mode sanglier était "on" et que vous avez foncé tout droit de la 27 au chemin qui menait à la 28. Fallait oser car les buissons épineux qui gardent l'entrée de la forêt sont denses. Bon, moi je savais, en posant et en déposant vu que j'étais déjà passé 3 fois à cet endroit en recos et que j'avais tout essayé (c'est ça qui est rigolo, à tracer et baliser le Raid 28, c'est qu'on le fait plusieurs fois)...
Bah oui, on a vu un trou, on est passé... bon, c'était quand même un peu encombré par endroit...
bubulle a écrit:BouBou27 a écrit:Bien kiffé de la 59 à la 62 en prenant l'azimut avec en point de repère un trou d'eau intermédiaire pour avoir la 60 sur un second point d'eau, avant de partir en mode sanglier sur la lisière, prendre la 61 et tracer droit dans le champs pour arriver sur la 62. Le yardinage, ca aide !!
J'ai été testeur de cette section, inventée par, il me semble, Dam'Odile, et Dom28. Et c'était fait exactement pour vous faire faire ce que tu as fait..... Viser la lisière pouvait être osé, mais comme en fait y'a un sentier de chasseurs qui descend dans le creux, ça aide un peu.
Pour info, y'a des tas de fraises des bois dans l'espèce de terrain vague que vous avez traversé, on a fait un festin avec Odile, pendant la reco.
Par contre, en arrivant sur zone, le dimanche matin, pour déposer, surprise : on voit, de loin, une belle veste orange postée à la lisière et qui surveillait le "champ". Je nous voyais déjà devoir aller chercher la balise de la lisière par l'intérieur, en mode furtif et c'était pas drôle. Mais coup de chance, il était midi et c'était donc l'heure de l'apéro....au moment d'y revenir le Tartarin était parti.
On entre apercevait dans la nuit les lisières de chaque coté du champs. On a juste visé au milieu pour arriver au bout du champs. Presque arrivé, on a traverser 25m de forêt pour retomber sur le sentier, mais on aurait du aller au bout car il y avait une entrée de champs, mais je ne le savais pas?
Mais on a pas vu les fraises. Ni le chasseur, mais il devait être a l'apéririf
BouBou27 a écrit:Dans le Bois des Boulots (balises 68 à 71), on a du reprendre le cap a l'envers pour 2 balises, mais sinon nickel.
Ce qui m'a épaté sur ce bois c'est qu'on a commencé par le trouver, lors des recos, et qu'on voulait absolument trouver une spéciale à y faire. En effet, dans ce secteur, il n'y a RIEN. On venait d'essayer le bois qui est entre la 63 et la 64, qui semblait prometteur en terme de fléché allemand : entièrement privé, vade retro, t'as juste le droit de le traverser par le chemin où vous êtes passés. On avait essayé le bois des Bourguinettes (la mare de la 67) et, à part cette mare, que dalle, encore un bois de chasseurs.
bubulle a écrit:Et là, paf....le Bois des Bouleaux. Mais en fait, y'a pas grand chose de passionnant à faire avec le terrain. Pas assez de sentier pour un fléché allemand par exemple. Ce qui n'arrête pas l'Equipe Turoom et, en moins de deux, le Dom28 a concocté cette spéciale. Pour la petite histoire, je l'ai faite 3 fois : deux en recos et une à la dépose. Lors des recos, c'était de petits bouts de rubalise qu'il fallait trouver. Eh bien, là où je me suis planté, c'est à la dépose! On a mis 10 minutes à trouver la dernière balise alors que je savais très bien qu'il ne fallait PAS suivre le fossé qui n'était pas exactement au cap 198 (ce que beaucoup d'équipes ont sûrement fait). Non, je me suis planté parce qu'en programmant le cap 198 sur la boussole, j'ai mis....le cap 208. Un bon exemple de l'état dans lequel on est après une nuit de dépose de balises...
Elle était vicieuse celle dans le fossé (sur le 2nd segment). Je n'ai pas pas du passer loin au premier passage. Au second, j'était a 5m, mais j'aurais bien pu passer a coté. Pour la suivante avec le cap a partir de cette balise, j'ai bien tenu le cap et sui tombé pile dessus. J'avais envoyé Arnaud a gauche pour suivre le fossé au cas ou.
bubulle a écrit:BouBou27 a écrit:Pour la CO de précision dans la forêt de la Roche Turpin, pas sûr pour la première d'avoir pris la bonne, mais les autres, plutôt confiant. Il commençait a faire bien jour a ce moment là pour nous.
De nuit, cette CO de précision était difficile, surtout les 2 premières.
La première, il fallait un azimut parfait.
La deuxième, il fallait résister à faire un azimut depuis la première : elle était plus facile en revenant sur le chemin et en prenant un élément remarquable comme appui.
La troisième demandait juste une très bonne lecture de la carte en suivant le sentier qui menait au rentrant. On avait évidemment mis la fausse balise dans le premier rentrant rencontré puisque la vraie était dans le deuxième....
La quatrième, je n'étais pas fana de la faire comme ça car il y avait des "sentiers" non cartés sur la carte de CO qui pouvaient être pris comme point d'appui par erreur
La cinquième et la sixième étaient à mon avis les plus faciles (surtout la 5).
Bon, pas sur que l'on ai les bonnes, ou alors 50% par pur accord statistique...
Notre stratégie était de trouver les 2 balises, et à partir de la définition choisir celle qui correspondait le plus... Comme en plus elles était faciles a voir, on en a eu un peu rien a faire de l'azimut et de la distance...). On verra sur le décompte final.
bubulle a écrit:Cette liaison était une faiblesse du parcours, bien sûr. Malheureusement, le grand bois autour de la fontaine de Saint-Vandrille est privé (il appartient au chateau de St-Jean de Beauregard)
Il y a eu quelques longues liaisons (50-54, même si bien trouvé le sentier sur la 52, 62-66 et surtout 86-91), mais on sait que cela fait parti du jeu
bubulle a écrit:Bravo à vous car il devait vraiment faire très froid en fin de nuit. Nous en avons d'ailleurs aussi bavé, avec Marc, entre 3h et 7h, dans la dépose des balises 25 à 42 (Forêt de Saint-Arnoult). Je n'en menais pas large, sur mon tronc, pour aller décrocher la 35 et cela, bien que la voiture ait été....à 100 mètres, car le chemin qui mène au Carrefour de Nemours, est le seul accessible en voiture de toute la forêt...
Je suis parti un poil trop couvert. J'avais finalement décider de mettre un sous couche mérinos en 4ème couche avec au dessus, 2 t-shirt ML léger DKT et ma veste assez épaisse WinterTrail RL (qui ne sert qu'au Raid28, l'ayant prise pour ma premier STL, mais c'était un four pour courir... c'était plus mouillé dedans que dehors, et pourtant, il pleuvait des trombes). J'ai fini par enlever une couche de t-shirt et prendre mes gants moyens (avant j'avais tellement chaud que je n'en avait pas besoin). Par contre en fin de nuit, le froid est vraiment tombé (et je suppose la fatigue aussi), et j'ai mis mes gros gants de vélo que je n'ai pas quitté jusqu'à la fin.
bubulle a écrit:J'avais aussi un peu peur de rattraper des coureurs puisque, à la 13, nous avons rattrapé les 7 équipes de quasi promeneurs qui faisaient le raid tous ensemble (si j'ai bien compris, des salariés d'une même entreprise startup du Plateau de Saclay). ça fait assez bizarre de trouver d'un coup 20 frontales quand tu ramasses des balises au fin fond de la forêt de l'Ouye. Nos deux bénévoles d'élite du PC2 ont du les gérer à la schlague pour arriver à les faire pointer correctement, eux. Le pire c'est qu'ils ont terminé dans les temps!
On a discuté un peu avec qq membre d l'équipe pendant que nous attendions au foodtruck. C'est une entreprise et il y a même quelques anglais qui sont venus spécialement pour l'occasion ! Sympa avant, mais une horreur sur le terrain... Un gros troupeau qui te bouche un carrefour sans faire attention aux autre. Heureusement que cette année, on ne les a pas vu longtemps (parce que déjà l'année dernière ils était là, mais moins nombreux, et ils m'avaient déjà énervé).