Récit de la course : Trail des Hospitaliers 2011, par Gl0bus

L'auteur : Gl0bus

La course : Trail des Hospitaliers

Date : 30/10/2011

Lieu : Nant (Aveyron)

Affichage : 1992 vues

Distance : 75km

Objectif : Terminer

8 commentaires

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Trail des Hospitaliers 75km – 4000D+ : Récit d’une lanterne rouge.

 

J’ai pris la décision de me lancer sur le trail des hospitaliers 5 jours avant le départ. Cela m’est venu sur un coup de tête alors que, depuis mon échec à l’Endurance Trail des Templiers 2010, j’avais une certaine crainte des trails de montagne, moi qui ne connaissait que l’Ecotrail de Paris 80km 1500D+.

 

L’organisation a été assez rapide, il restait des dossards a un prix incroyablement faible pour un trail de cette distance, l’office du tourisme m’a trouvé une chambre d’hôtes très jolie et pas cher à 3km de Nant. Je n’ai eu qu’à me préoccuper des modalités de voyage jusqu’au fameux village cévenol, qui, il faut bien l’admettre… Est au bout du monde.

 

 

 

 

 

Le bourg de Nant est très joli, beaucoup de vieilles pierres qui donnent au lieu une certaine sérénité malgré la musique d’ambiance (plutôt bien choisie d’ailleurs) du trail. Le départ/arrivée a lieu juste à côté de la place centrale où s’étalent des terrasses de cafés. Il y a juste deux petits stands d’équipementiers sportifs à côté d’un vendeur de produits du pays. Le ton est donné : ici nous ne sommes pas au paradis du trail business, c’est simple et de bon goût.

 

Le soir arrive, je dîne à la table d’hôtes qui est bondée de sportifs en tenue de trail. L’un d’entre eux arbore un tee-shirt Templiers gagnée la semaine précédente…Quand je pense qu’il me faut 3 mois pour me remettre de mes trails.

 

Dans mon lit, je tourne en rond, c’est peut-être un peu l’excitation avant le départ, certainement beaucoup de tracs, je ne veux pas le reconnaitre mais un deuxième échec serait difficile à gérer. De son côté, mon corps fait la grève, depuis mon inscription j’ai mal partout. A part le cerveau, le reste a un certain sens des réalités.

 

En attendant l’heure de se lever, je repense à ma stratégie : ne pas foncer dès le début, prendre mon temps sur les montées pour ne pas perdre trop d’énergie, me concentrer sur la première moitié, c'est-à-dire le franchissement du St Giral. Après ça descend jusqu’au bout… enfin presque mais je compte sur l’excitation de la fin pour le Roc Nantais… Bon c’est une stratégie, elle va donc exploser au bout de 5km mais ça me rassure c’est l’essentiel et je fini par m’endormir quelques instant avant la sonnerie du réveil.

 

Réveil à 4h00 du matin, l’organisation a même prévu de caler le trail avec le changement d’horaire. Il est donc 5h pour mon corps peu habitué aux levés matinaux. Petit déjeuner puis transfert sur Nant qui bourdonne de centaines de psychopathes en collant et veste colorée.

Au moment du transfert vers les sas on nous demande d’allumer nos lampes, ils éteignent les projecteurs… c’est bientôt le départ avec une jolie musique qui fait des picotements … enfin bref, c’est émouvant.

 

Il n’y a pas de contrôle et le petit discours de bienvenu nous fait déraper sur les horaires, mais je n’ai pas l’impression que cela stress grand monde. D’ailleurs je le vérifierai tout au long de la journée… ici on est là plus pour le plaisir*, s’il y a de la performance c’est bien, mais bon… le plaisir c’est important.

 

 La course commence avec quelques kilomètres de route éclairée. Cela me donne l’impression que ma frontale  fonctionne correctement. En faite les piles sont usées, le jet lumineux des leds n’atteignent presque pas le sol. Je m’accroche alors aux autres coureurs pour profiter de leurs lampes ce qui m’oblige à courir à un rythme qui n’est pas le mien. Ca commence bien… Je maudis ces piles neuves qui attendent bien sagement au fond de mon sac dans la chambre, tout en m’inquiétant du retour. Un traileur m’affirme que de toute façon je serai à Nant avant la nuit… il est bien optimiste sur mes performances le gaillard.

 

 

 

 

La route laisse place à un sentier qui pénètre dans le sous bois, on y voit goutte mais tout est très bien balisé, aucun soucis à se faire de ce côté-là, même avec la brume. La fil indienne progresse en trottinant, perturbée de temps à autres par une flac d’eau que chacun essai d’éviter en glissant sur les côtés pentus, zut raté !.

 

De mon côté, j’ai les jambes tétanisées mais c’est normal, nous avons déjà fait 5km… c’est beaucoup 5km.

 

Sans trop y penser la première « bosse* » s’est à peu près bien passée. Riche de mon expérience templière, j’ai décidé de prendre mon temps pour ne pas m’épuiser plus qu’il ne faut. Le soleil se lève sur un ciel voilé, c’est bientôt la descente où j’essai de ne pas trop aller vite, lors des templiers je l’ai payé cher en ampoules.
J’arrive enfin à Sauclière, comme prévu, il ne s’agit que d’un point d’eau. Il n’y a même pas de contrôle de temps. Celui-ci à lieu de manière inopinée un peu plus loin. Le chemin cahote, descentes et montées se succèdent et nous abordons enfin la montée du St Giral qui n’en finit pas. Nous atteignons la Croix des Prisonniers, notre deuxième ravito. L’ordinaire s’améliore, l’organisation à dérogé à sa règle, il y a du Coca et du pain d’épice. Un petit coup de pouce non négligeable pour affronter les km de montée, j’en profite pour m’étouffer avec un verre de Coca… je suis très en forme ce matin.

 

L’ascension reprend. Les pentes sont raides, le chemin coupe parfois à travers la pente ce qui est particulièrement épuisant. Je m’accroche et arrive enfin au col que je prends pour le sommet. Le soleil est arrivé, juste à temps pour bénéficier du panorama, je ne suis pas venu pour rien, c’est à couper le souffle, enfin, ce qu’il en reste.

 

 

 

 

 

 

A partir de ce moment là, le chemin redevient relativement plat. J’essai de trottiner un peu mais l’énergie manque, je mange régulièrement mes pâtes de fruits depuis le début mais cela ne semble plus suffire pour relancer la machine. Petit a petit les écarts se sont creusés et en me retournant sur une longue ligne droite je m’aperçois qu’il n’y a plus personne derrière moi. C’est un peu inquiétant, il ne me semble pourtant pas être hors temps.

 

J’arrive enfin au sommet, ca fait dix minutes que je rêve de m’allonger dans l’herbe, je suis vraiment mal et je fini par concéder une pause sur un rocher au soleil.  Je sors le saucisson à l’ail et le morbier que je transporte depuis Nant. Deux tranches de « ALAIL » et un morceau de fromage rétablissent mon équilibre glucose / sel.  Je reprends rapidement forme d’autant plus que surgissent quelques trainards… ouf je ne suis pas tout seul, le moral remonte lui aussi.

 

 Je reprends la route qui descend sur le premier vrai ravito : Dourbie.  Avant d’y arriver le chemin tombe soudain sur un bon raidillon qui prend la pente de front. La vie est dure pour mériter son pain. Heureusement celui-ci est prolifique, le ravito est particulièrement bien loti. Il y a même de la bière à volonté. Je m’inquiète de mon timing, c’est bien ce que je pensais, j’ai 1h 45 sur la porte. Il n’y a  franchement pas de quoi s’émouvoir surtout après avoir passé ce qui me parait être le véritable « mur » de ce trail.  Côté classement je suis 67ème en partant de la fin. Visiblement le niveau moyen du trail est nettement supérieur au mien. Je ne m’en inquiète pas trop et je prends mon temps tout en envisageant avec optimisme les prochaines étapes en sauts de puce : 11, 13 et 8km avant l’arrivée. Facile, je pense déjà à mon beau tee-shirt finisher.

 

Le début du tronçon jusqu’à Trèves est assez plat et roulant bien que je n’ai pas franchement la force de courir, ni l’envie d’ailleurs. J’ai le temps, je le prends alors que je ne le devrais pas. Au moins ça me permet de reprendre des forces en alternant marche et course au rythme qui me convient.

 

 

 

 

Le chemin reprend son ascension et c’est aux côtés de Loca que j’affronte ces nouvelles pentes. Bien meilleur traileur que moi, je ne vaux sa compagnie qu’à la collaboration de son estomac qui a décidé de lui faire découvrir les joies de l’ultra trail à jeun. A sa place je n’aurai même pas franchis Sauclière. La compagnie de Loca me réconforte sur ces montées pénibles et je fini par le quitter pour descendre sur Trèves. Le chemin est assez difficile. Heureusement qu’il ne pleut pas. Sur tous les passages dangereux il y a des bénévoles accueillant prêt à vous encourager, vous conseiller  ou à vous prendre en photo avec votre appareil. D’ailleurs sur ce trial il n’y a pas de photographe officiel pour vous vendre le cliché à 45€. C’est beau le pays de José Bové. 

 

 

 

 

 

Trèves me conforte dans mon assurance, j’ai presque autant de temps d’avance sur la barrière, et un classement à peu près similaire. Le ravito est toujours aussi abondant et au moment de partir on me parle de crêpes à Cantorbe alors…

 

Je suis tout de même inquiet car ce tronçon avant la dernière barrière horaire renoue avec les dénivelés du début de course. Et, vous l’avez compris, les dénivelés ce n’est pas ma tasse de thé. (D’où l’idée d’aller s’inscrire à un trail montagneux, sinon ça manquerait de piquant…).

 

 

 

 

 

 

 

 Le chemin* grimpe rapidement à flanc de coteaux. C’est beau, le paysage est magnifique et le sentier zigzague le long de la pente avec des petites descentes qui succèdent à de fortes montées.  Sur le profil de la course ça donne une ligne droite plus ou moins en dents de scie à métaux. Dans la réalité c’est cassant et surtout ce chemin empêche toute progression rapide même chez les traileurs de tête, alors vous imaginez ceux de queue. Au moins j’ai le temps de prendre des photos. C’est vraiment beau les Cévennes à l’automne.

 

C’est enfin le moment d’attaquer l’avant dernière « bosse ». La montée est moins difficile que je l’anticipais. Le sentier ne part pas droit sur la pente mais fait des zigzagues progressifs beaucoup moins traumatisants. Ca monte rapidement mais le sentier part soudain à flanc de coteaux avant de reprendre une ascension qui n’en fini plus. Le temps passe, j’atteins enfin le sommet. Un bénévole m’informe que Cantorbe est encore à 5km… et que le temps commence à presser. Je  trottine jusqu’au bout du plateau et quelques mètres avant d’attaquer la descente qui me parait bien raide, je vois  des secouristes remonter un traileur en brancard… Il va falloir être prudent, d’autant plus que le soleil commence à passer derrière les sommets environnants. L’échéance de Cantorbe s’approche dangereusement. Je descends les premiers mètres lentement et prudemment mais la peur d’être atteint par la barrière horaire l’emporte et pressant de plus en plus le pas je fini par dévaler la pente au grand galop. C’est enfin la plaine, je sprint jusqu’au pied de Cantorbe pour découvrir que le village est blotti au dessus de falaises à une bonne cinquantaine de mètres au dessus de nous. Il faut monter dans les rochers, j’y mets toute mon énergie, franchissant à quatre pattes les obstacles à escalader pour aller plus vite. Tout au long de ce parcours du combattant, il y a une foule de villageois qui nous encouragent, l’un d’entre eux me sort d’un crevassse d’une solide main tendue.  Je passe en sprintant la barrière, il reste 6 minutes avant la fermeture. Ouf ! Tout ça pour un tee shirt…

 

Epuisé, je m’effondre sur une chaise et attends un moment pour reprendre mon souffle. Une bénévole vient me voir et m’apporte un Coca, puis une soupe et me propose de me rapporter à manger. Quelques instants plus tard, deux jeunes filles arrivent avec une poêle. « Vous voulez une crêpe nature, au sucre ou au nutela ? ». Il faut avoir franchi 67km et 3500D +  pour apprécier ;-)

 

Au bout de 5mn, un responsable passe me voir, très gentil lui aussi, et m’indique que « bon… on n’est pas à 2 minutes prêt » mais qu’il faudrait que j’y aille car le ravito va fermer sinon les retardataires ne comprendront pas. Il m’aide à remplir ma poche d’eau, répare ma lampe (entre temps mon père m’a apporté des piles) et je pars bon dernier avec les débaliseurs.  Il ne reste plus qu’a franchir le Roc Nantais, je me sens plutôt bien et c’est en marchant d’un bon pas que j’arrive à franchir les 8km en rattrapant 5 traileurs.  

 

Voilà, je suis finisher et au-delà d’un tee-shirt que j’espère recevoir lorsqu’il sera revenu de Nantes (erreur d’envoi du fabriquant), c’est un véritable « permis » de faire d’autre trails montagneux que les Hospitaliers me délivrent.  L’echec de Millau est surpassé, je vais maintenant pouvoir explorer tout un univers de trails d’un niveau plus ou moins similaire à celui de Nant et j’en suis ravi.  

 

En conclusion, je ne souhaite pas trop recommander les Hospitaliers car ce trail tient l’un de ces atouts du faible nombre de participants. Donc allez-y en petit groupe, pour les autres il y a les templiers…  

 

Le trail des Hospitaliers est sans conteste un très beau et bon trail. Beau, car le paysage est magnifique. Bon, car il réserve des surprises jusqu’à la fin, tout en étant particulièrement bien organisé : balisage parfait, bénévoles accueillants  et un métrage vraiment précis. Détail que j’ai particulièrement apprécié moi qui ai souffert des imprécisions chroniques des organisateurs de l’EUT. Enfin, être dernier et trouver des ravitos aussi bien rempli que pour le premier coureur est un luxe qui mérite d’être cité.

 

 

 

Glossaire Traillangue pour ceux qui ne connaissent pas.

 

Bosses : Une bosse est un contrefort montagneux de plusieurs centaines de mètres qui peut nécessiter plusieurs heures à traverser. Généralement une bosse se monte en marchant, le mieux étant de le faire avec des bâtons, chose que je n’ai toujours pas assimilée.   La bosse se descend souvent par une pente raide parfois glissante, qui a le mérite de ruiner les genoux et développer des ampoules avec lesquelles il faudra cohabiter jusqu’à la fin du parcours. La bosse est au trail de montagne ce que la méduse est au radeau : c’est tout un art, fait  de souffrance et d’héroïsme.

 

Passage technique : Le passage technique est un sentier généralement plat, ce qui vous donne l’impression en consultant la courbe de niveau que vous aurez la possibilité d’y courir pour gagner le temps perdu sur les bosses. Le passage technique est alors une mauvaise surprise car il s’agit d’un parcours du combattant fait de racines, de grosses pierre, de petites pentes montantes et descendantes, de rocher à escalader. Bref, le passage technique  est l’ennemi du chrono, c’est lui qui vous impose de courir lorsque le chemin est « roulant » même si vous n’avez pas trop envi de « rouler » à ce moment là du parcours. Le passage technique vous attend au détour du parcours et vous plante l’avance que vous entreteniez sur la barrière horaire. C’est le cauchemar des traileurs de queue de peloton.

 

Le plaisir : Concept à tendance masochiste qui consiste à penser que parcourir des distances et franchir des dénivelés que vos collègues de bureau qualifieraient à juste titre d’inhumains, procure une certaine forme de bonheur.
Le plaisir provient en faite de plusieurs sources : les paysages parcouru, l’atmosphère de franche camaraderie, la solidarité du traileur qui obéît rapidement à la règle : « s’il va plus vite, il me double, s’il va moins vite, je le double, s’il va aussi vite, on discute ». Et l’appoint de nos amis adrénaline et endorphine, bref toutes ces substances naturelles secrétées par votre corps lors de l’assaut final. Pour moi c’est le goût de l’aventure qui réside à triompher d’un parcours semé d’embuches et de difficultés en risquant à tout moment d’être hors délai.

 

Randonneur/poireau : Terme péjoratif qui qualifie les traileurs de faible niveau qui hantent les queues de peloton. Le randonneur, parfois appelé « Poireau » est parfois vertement critiqué pour sa propension à flirter avec les barrières horaires. D’aucun se demande ce qu’il fait sur des trails normalement destinés à une élite dont il ne fait évidement pas partie.
Le randonneur ne doit pas être confondu avec le marcheur nordique (ou rapide). Aristocrate de l’art, qui cherche lui aussi le classement et le chrono en associant deux activités antinomiques : la marche et la rapidité. 
 L’objectif du « randonneur » est de devenir Finisher. Le classement lui importe peu, il est là pour le paysage, la bière aux ravitos et un brin de causettes sur fond de crètes de montagne. Il considère avec envie et un peu de dédain le traileur rapide, ne comprenant pas l’intérêt qu’il peut y avoir à chercher à aller toujours plus vite, être toujours mieux classé. Et puis de toute façon, même s’il comprenait, il ne pourrait pas le faire alors… Comme vous l’aviez deviné, je suis un randonneur, et cela me va très bien ;-) 

 

Entrainement : L’entrainement constitue 80% des discussions entre traileurs. Le volume d’entraînement exprime le niveau de sacrifice consentit par l’athlète pour réussir sa course. Il est donc de bon ton de faire un sacrifice à la hauteur de la course envisagée.  L’entrainement doit être scientifique pour être efficace, les séances consistant généralement à courir le nez collé à son cardio et son chrono. Pour plus d’information sur les entrainements, lire assidument les pages du site Kikourou.net qui regorgent d’info très utiles sur le sujet. Sinon il parait que Mc Do organise des trainings mais le résultat est peut-être moins garanti.

 

Pour ma part c’est un peu comme les bâtons, je n’ai pas encore tout a fait assimilé l’intérêt de la pratique mais ça va venir, je suis un peu lent à intégrer certains concepts.

 

Douleur : Une sensation furtive qui ne s’exprime chez moi que lors du trail. Il disparait rapidement après et donne l’impression qu’en fait c’était très simple, que j’aurais même pu faire beaucoup plus… D’où l’idée de m’inscrire à d’autres trails encore plus indécents des que possible.

 

De manière générale, la douleur fait parti du jeu, on fait avec, on doit forcément aimer ça un peu, sinon il y a la télé et le canapé. Ca génère moins de douleurs parait il ? Je n’ai pas de télé, c’est peut être la raison pour laquelle je m’acharne à faire des trails ;-)

 

8 commentaires

Commentaire de Free Wheelin' Nat posté le 04-11-2011 à 08:04:21

Il m'appelle fort ce trail mais ça risque d'attendre :-((
Bon, j'ai vite lu en diagonale (non, ce n'est pas un mot subliminal), mais j'aime beaucoup ce CR (et sa fin)!
J'y reviendrai, et bravo à toi Gl0b! !!!

Commentaire de domi81 posté le 04-11-2011 à 12:50:00

bravo pour ta "perf"...et oui,certains en réalisent en entrant dans le top ten et pour d'autres c'est de finir !
en ayant fini les hospitaliers, il est sûr que tu peux en faire d'autres !
félicitations pour le CR avec un brin d'humour.. ;)

Commentaire de TwoTiVal posté le 04-11-2011 à 15:10:38

Bravo ! Pour ta course et pour ton humour !
Sur beaucoup de points je me suis retrouvé dans ton CR.
Pour que certains aient un bon classement, il en faut bien d'autres qui se dévouent pour les dernières places ! :D

Commentaire de akunamatata posté le 05-11-2011 à 07:00:14

les hospitaliers meritent leur nom !

Commentaire de romher posté le 05-11-2011 à 18:29:19

Bravo, pour la course... et le gl0bussaire

Commentaire de mic31 posté le 08-11-2011 à 22:20:26

Bravo pour ta course et ton récit plein d humour et de suspens, ce fut juste pour les barrières.
Et sans vouloir doucher ton enthousiasme, on n'était pas là sur un trail de montagne. De grosses bosses mais jamais très longues, alors que sur le GRP par exemple...
A part ça on était très bien là bas. Vive les crêpes !

Commentaire de Gl0bus posté le 09-11-2011 à 01:35:31

Arf ! Moi qui voulais justement me lancer sur le GRP 80 ;-) il me reste beaucoup de choses à découvrir mais c'est très bien comme ça ;-)

Commentaire de chanthy posté le 02-11-2012 à 23:36:42

sympa ton récit et bravo pour ta course.
j'ai fait les templiers cette année mais si j'avais su....je faisais celle-là.
au plaisir.

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