Lacapelle-Biron, une course en abonnement annuel, une course que je ne me lasse jamais de faire même après cette 15ème fois que j'y participe !

Je me suis couché à 4h du mat de la Corrida de Souillac et ce matin à 7h j'ai eu du mal a m'arracher de mon lit, mes yeux me pique, une petite pensé me traverse l'esprit, tu y vas ?

Mais l'envie et la motivation était plus forte, envie d'aller trouver les copains de courses, envie de... et surtout pas du tout envie de manquer a cette édition !

7h, je prend juste une tasse de café, je prépare mon sac, Flûte, mon maillot de course est encore mouillé de la veille ! Je le prends quand même, il finira a sécher sur la route avec cette chaleur qui commence déjà a ce faire sentir de bon matin.

Me voilà sur place, l'heure des bonjours, je me tâte encore sur 10 ou 21km mais je ne peux pas renoncer a ce 21 km d'autant plus que cette année on ne passera pas par le château de Biron pour cause d'une autre manifestation et les organisateurs on dû faire une variante sur le parcours, à la fois alléchant et curieux, envie de connaître cette nouvelle boucle.

Chaud, je prend un couvre chef un peux plus épais que habituellement pour me préserver d'avantage de la chaleur. Je pars comme d'habitude sur une allure cool et je prends assez vite l'allure semi, je m'aperçois assez vite que le rythme n'est pas bon, que je ne tiendrai pas cette cadence, je baisse d'un cran, je suis à 13,8 km/h sur le rythme d'un marathon, km 7/8 je dois baisser encore mon rythme j'ai gaspiller un peu trop mes cartouches la veille apparemment, je passe les 10km sur une moyenne de 13 km/h.

Sur la 2ème boucle je décide de me mettre sur l'allure footing 11/12km/h, je pense qu'il vaut mieux pour ne pas trop piocher et avoir du mal les prochains jours a récupérer et devoir repousser mon entraînement.

Contrairement à Souillac la veille, plus aucunes gênes derrière la cuisse, réparé on dirait...

Je savoure ce plaisir de courir sur cette belle chaleur, on dirait que j'apprécie cette chaleur !

Je regarde derrière moi, il n'y a personne, mince, je ne pourrais pas faire la causette, je prends le temps au ravitaillement de bien m'hydrater, de parler un peu avec les bénévoles avec une pointe d'humour.

C'est avec l'envie de continuer que je passe la ligne d'arrivée, comme une envie de reviens-y que je prends rendez-vous sur une prochaine édition.

Ben oui, encore envie de retrouver les petites côtes et petites descentes de Lacapelle !