![](http://bp2.blogger.com/_Et7M2ru3I98/SEO2WIOBMJI/AAAAAAAAA8I/640noeBsIms/s400/pilaTrail.jpg)
Petite sieste sur le « Waf! ». Les filles arrivent enfin, j'ai les cuisses qui tirent un peu du coup je me plonge jusqu'au ventre dans la citerne de récupération des eaux de pluie qui doit être à 9 ou 10 degrés, ça fait un bien fou. Le repas du soir est un peu arrosé ce qui n'est pas très sérieux mais tant pis, Jérôme m'étonnera toujours il vous montre d'ailleurs sur la photo sa complémentation alimentaire habituelle.
Le matin le temps est à la pluie nous retrouvons le Coach, Cathy et Samuel. Le bruit court qu'il neige au sommet du trail, ce n'est pas impossible mais quand même peu probable. Nous partons je ne m'interresse pas aux autres et fait ma trace avec ce nouveau sport depuis que je fais du long : le « Barrier Running » au lieu du « Trail Running » . C'est tout con, l'objectif majeur étant de franchir la barrière horaire au col du Grateau à 11h35 soit après 2h20 de course au k16 soit 6,8km/h je passe à 1h15 au km10 soit 8km/h avant d'attaquer la belle montée à la Chapelle, à 1h50 au croisement du km13 (choix du 20 ou du 40) à 7,1 km/h et enfin à 2h05 de course à la barrière horaire à 7,7km/h qui est upérieur à ma moyenne de la course (6,65) une meilleure vitesse en montée (toute la partie sommitale à 6,7km/h) qu'en descente (à 5,25 km/h) donc. Je tiens à plus 7km/h pendant les 33 premiers km et finis les 7 autres à 5,25 km/h. Ceci est du au terrain très glissant et aux passages techniques très scabreux aux Trois Dents passées dans le brouillard le plus total. Il m'a manqué un ou deux gels, l'Ipod est tombé en panne, on peut donc encore améliorer. J'ai trouvé un super gel c'est le speed gel bio acheté au vieux campeur. Efficacité redoutable. Cathy gagne le 40km. Le Coch fait 17ème, moi 137ème sur 152 en 6h01m28 j'avais prévu 6h je commence à me connaître. Jérôme passe en 2h30 le petit parcours et samuel en un peu plus de deux heures. Je fais 80% de plus que le premier c'est comme d'hab mais sur une course plus relevée. Le bilan est donc très positif.
En terme de matos, je suis toujorus aussi dithyrambique sur les batons Leki, bien que j'ai eu peur de les casser dans les Chirats (gros pierriers), les NB873 en descente dans la boue glissent un poil. Le sac EIDER Extrem Runner est absolument topissime, confort idéal entre 0 et 1,5l d'eau au dessus comme je suis un peu nain la poche arrive un peu bas. Bon je dis ça histoire de dire un truc à améliorer (c'est le modèle 2007) parceque c'est la première fois qu'un sac me rends plus service que ce qu'il m'encombre. Autant je serais prêt à tester d'autre matériel pour tout le reste autant pour le sac si tu t'approches trop prêt je te mords.
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