Récit de la course : Trail des Chataignes - 55 km 2021, par Shoto

L'auteur : Shoto

La course : Trail des Chataignes - 55 km

Date : 14/11/2021

Lieu : Cormeilles En Parisis (Val-d'Oise)

Affichage : 1186 vues

Distance : 55km

Matos : Salomon Speed Cross aux pieds

Objectif : Terminer

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TRAIL DES CHATAIGNES - 55 Km - le royaume des raidillons et des bosses

TRAIL DES CHATAIGNES 11 novembre 2021.

 

L’art pour des organisateurs de dénicher 2 700 m de dénivelé positif et 2 700 m de dénivelé négatif en banlieue parisienne … Respect !

Et accessoirement nous faire évoluer dans un massif forestier et semi urbain dans un rectangle de 5km de long sur 2km de large … pour nous faire cavaler 55 Km ! Chapeau les artistes !

Autant vous dire, qu’au bout de 8h d’effort, nous avons parcouru quasiment l’intégralité des monotraces, chemins et raidillons du massif forestier derrière Cormeilles en Parisis !

 

Dimanche 11 novembre 2021, départ du TRAIL DES CHATAIGNES à 6h00 depuis le vieux fort de Cormeilles en Parisis dans le département du Val d’Oise (95) en Banlieue Parisienne. Ce vieux fort construit à la fin du 19ème siècle est l’une des plus grandes anciennes fortifications militaires de l’Ile de France. Au cours de son histoire, il aurait servi notamment de caserne, de camp d’entrainement commandos, de camp de prisonniers de guerre allemands, de stockage de torpilles allemandes, d’accueil de familles harkis, et aurait même accueilli des batteries anti-aériennes (un Zeppelin lors de la 1ère guerre mondiale aurait été abattu depuis le fort et un bombardier américain B17 lors de la seconde guerre mondiale)

 

Nous sommes à une douzaine de kilomètres de Paris et le massif surplombe la capitale et l’Ile de France … ce qui nous a offert de bien belles jolies vues à certains passages.

 

J’arrive sur ce trail bien préparé, ayant couru notamment 2 trails compétition de 21 km en octobre et dévoré du bon dénivelé à l’entrainement. Le seul bémol est que les jours précédents, nous étions en famille à Bruges en Belgique pour découvrir cette jolie ville et déguster du bon chocolat belge, des frites et les autres spécialités culinaires locales.  Avec beaucoup de marches, des positions statiques debout dans les files d’attente … autant vous dire que la période d’affutage n’a finalement pas été reposante du tout. Pas cool avant d’aller se coltiner un 55 km typé « presque-montagne » le lendemain du retour ! 

 

Levé 3h30 du matin dimanche … ca pique un peu même si je suis très matinal. Pendant mon heure de route pour me rendre sur site, j’affronte des voies d’autoroute fermées de nuit et un véhicule en sens inverse pleins phares sur l’A86 !!!! … heureusement j’ai pris de la marge et je me suis mis en sécurité. Comme quoi, il faut toujours prendre de la marge avant un trail. J’arrive quand même un peu stressé ou tendu sur site.

A 5 km et 30 mn du départ, je rattrape en voiture un type qui court habillé en tenue de traileur. Il semble rejoindre le départ du trail. Je lui propose de l’emmener. Il accepte. Incroyable ce gars ultra-traileur qui n’avait même pas encore récupéré son dossard et qui court déjà du surplus de km avant de se taper un trail de 55 bornes ! On rencontre vraiment des extraterrestres dans ce sport de fous !

 

Je rencontre de nouveau Aurélien Collet un des meilleurs traileurs Français qui est l’un des organisateurs du TRAIL DES CHATAIGNES. Ce traileur sympathique et talentueux nous accueille avec sa bonne humeur et sa bienveillance habituelles. C’est lui qui donne de nuit le top départ sous une pluie fine.

Il fait 9°C, donc pas vraiment froid mais l’air est très humide.

 

Je suis venu avec ma caméra portative pour filmer le trail … mais celle-ci beugue complètement au départ. … film du départ foiré, elle plante. Avec rage, je la range au fond du sac pour ne plus la sortir … punie !  Avec cette cagade de début de course, je pars dans les derniers. Tant pis, je ne suis pas venu faire un chrono et la route est longue.

Nous évoluons à la frontale dans le chemin de ronde, un grand tour autour du fort pour revenir au point de départ au niveau du tunnel qui nous a accueilli. En doublant de nombreux traileurs sur cette partie, je me rends compte que plusieurs évoquent les côtes et sentiers à venir … certains ont l’air de vouloir libérer par la parole leur petite angoisse des difficultés à venir. Cela me fait un peu marrer. Je suis plutôt du genre à ne pas vouloir trop anticiper et à me laisser découvrir au fil de l’eau les difficultés des parcours trailiques … la découverte a du bon et évite de se prendre la tête … je planifie déjà beaucoup trop dans ma vie professionnelle et personnelle. Je lâche prise sur les trails … sauf sur l’entrainement préparatoire !

 

Enfin, nous rentrons en forêt de nuit à la queue leu leu, à la frontale… un univers sylvestre que j’adore !

Nous sommes 300 environ et ne sommes pas partis par vagues séparées. Départ en masse, donc ça ralentit un peu dans les 1ers monotraces.

Pas grave, je ne suis pas pressé. Les 1ers raidillons sont courus par beaucoup de traileurs. Je préfère marcher. Gardons en sous le pied. La route est longue.

 

La pluie fine continue à tomber (pendant 2 heures environ) mais nous ne la ressentons pas vraiment en forêt. Les arbres nous protègent. Cependant, le terrain est bien gras en cette période automnale. Ça glisse et mes Salomon Speed cross font encore merveille avec leur bonne accroche. Je regrette de ne pas avoir pris les bâtons car je vois quelques traileurs bien équipés qui profitent hardiment et efficacement de leurs tiges et donc de leurs appuis.

 

3ème ou 4ème Km environ … tout le monde devant est arrêté, ça braille, ça peste, ça ronchonne (bref on est bien entre Francais !) … certains rebroussent chemin … visiblement le balisage n’est pas au Top car nous sommes bientôt une bonne centaine de traileurs perdus dans la forêt ! Il y a plusieurs flèches vertes dans tous les sens.

Aie Aie … pas très agréable quand on a 55 km à faire !

Je revis donc ce que j’ai vécu quelques semaines plus tôt au TRAIL DE LA BRIE MORIN (voir mon récit). Plutôt que de pester et de ronchonner après les organisateurs du trail, ce qui ne me semble pas très Fair Play, je préfère faire une pause pipi laissant d’autres traileurs adeptes et habitués des lieux vérifier le chemin et nous réorienter. Certains veulent partir à droite quitte à revenir sur le fort, d’autres à gauche le long d’une palissade.

Advienne que pourra, je prends la file dans un groupe plutôt enclin à rigoler qu’à se plaindre … choisissons la bonne humeur ! Au bout de 300 mètres, nous retrouvons un train de frontales qui visiblement est sur le bon chemin … ouf ! cool ! Bon choix !

 

Après ce petit intermède « Big Bordel », le ciel commence à s’éclaircir et je rentre enfin dans ma bulle de traileur au long cours, suivant puis doublant certains traileurs attardés. Je prends garde de courir grouper pour ne pas me perdre dans la forêt. Soudain, je me retrouve avec 2 traileuses et 1 traileur. La 1ère femme ne semble pas à l’aise à déchiffrer le terrain. Elle semble craindre de se tromper. Je lui propose de passer devant et guide sur plusieurs km le petit groupe … finalement le balisage est plutôt bien fait à cet endroit. Le Hic du départ résidait dans le fait que la dernière partie du trail prend le chemin inverse et que nous avons donc des flèches vertes qui vont dans les 2 sens (Aller & Retour). 

 

1er ravito au 14ème km (j’ai bizarrement 12 km au GPS). Je me sens bien en jambes et en bonne forme.

Petit point d’inquiétude la veille du trail, des brulures d’estomac me font craindre le pire. Mon petit déj de ce matin m’a légèrement barbouillé l’estomac. Je décide donc de me ravitailler léger pour éviter des douleurs voire un vomito pas très classe et agréable quand on court … !

Mes morceaux de banane et mes tucs habituels passent finalement très bien et me donnent un bon coup de fouet … on ne change pas une équipe qui gagne ! 

 

Je continue de galoper allègrement.

Les sentiers sont bien pentus ! certains raidillons sont équipés de cordes que j’utilise avec joie. Je bénis mes mitaines de VTT qui me laissent la pulpe des doigts libres mais qui évitent les brûlures sur les cordes et permettent une bonne accroche.

Je me sens très à l’aise dans les parties techniques. Merci mes entrainements 25 Bosses et mes chaussures bien crantées. Certains traileurs sont à la peine dès les 1ères côtes et je suis inquiet pour eux pour la suite. D’autant que le terrain glissant et gadoueux exige de bons appuis solides pour éviter les chutes et préserver nos tendons et muscles. Quelle perte d’énergie lorsque l’on n’est pas stable !

 

Nous montons, nous descendons, nous montons, nous descendons … le trail des Châtaignes c’est du Yoyo sur plus de 50 km. De vraies montagnes russes ! Les côtes ne sont jamais très longues mais les murs sont nombreux. Il faut aimer les grimpettes sévères !

 

Il a désormais arrêté de pleuvoir et le ciel reste couvert.

 

Vers 9 heures, mon téléphone sonne. Mon pote Patrice avec qui j’avais couru l’INFERNAL TRAIL DES VOSGES (voir mon récit) et qui habite juste à côté, m’appelle. Il va comme prévu me rejoindre pour courir avec moi quelques kilomètres sur le trail.

Je suis au 18ème Km. Nous nous donnons RDV au ravito en eau du 21ème km. Ce dernier (le ravito) me tombe dessus plus vite que prévu, Bizarre mon GPS !

 Arrivé pour moi en 2h43 environ à ce point de passage. Patrice n’étant pas encore là, je continue en prenant le soin de tenter de l’appeler et de lui laisser un message.

 

Des formules 1 du TRAIL DES CHATAIGNES version 30 Km nous rattrapent sur les sentiers. Les gars sont sympas et pulsent comme des lapins mécaniques. Je prends bien soin de me ranger sur le côté et de les encourager. Ils me remercient tous et m’encouragent également. Leur vitesse de croisière supersonique m’épate même si leur distance est plus courte … çà pulse sur l’avant de leur course !

Patrice me rattrapera finalement environ 5 à 6 Km plus loin après le ravito du 21 et après une chevauchée fantastique. Pourtant, je freine et marche dans toutes les montées, me laissant doubler par des wagons de traileurs. 

Je suis heureux de retrouver mon copain. Sympa de courir ensemble. Je pensais ne courir que quelques kilomètres avec lui … mais le lascar est toujours très surprenant … il va courir les 30 bornes qui nous sépare de l’arrivée avec moi ! Patrice devient donc mon « Pacer » … En amoureux des trails, il se prend vite au jeu des montées, descentes. Il relance avec moi en mode « Blabla Run amical ». Je suis heureux de profiter de lui et de sa belle foulée de triathlète. Après le 35 Km, ayant volontairement limité l’ingurgitation des aliments pour éviter des brûlures d’estomac (voir plus haut), je me sens faiblir … coup de mou que constate mon Patrice. Il me booste gentiment et me fait profiter de ses boulettes à mâcher fort agréables et très digestes. Je mange aussi une pâte de fruit qui passe très bien.

 

Ravito au 28ème Km. Je tente le Coca Cola … coup de fouet garanti en sucre et caféine … ça passe bien aussi ! Super Cool ! Les bénévoles sont au Top, serviables et fort sympathiques. Merci à eux et n’oublions pas que nous leur devons notre plaisir intense en Trail compétition.

Mais mes kilomètres jusqu’au ravito du 42 Km sont un peu compliqués. J’ai encore des jambes et du cardio mais j’ai également une bonne grosse envie de dormir ! Mon rythme de course est très modéré ! Je trottine léger ! Je me fais doubler sans arrêt.

Je suis heureux de courir avec Patrice qui est un soutien hors pair. Aux petits soins pour moi. Il a l’air de prendre son pied d’être là même s’il doit m’attendre et ralentir. Il a l’air en pleine forme le gaillard même s’il a 20 km de moins dans les papattes que moi. Je lui dis qu’il aurait dû s’inscrire avec moi sur le trail vu son niveau de forme. Il court à domicile ici. C’est son terrain de jeu. Mais il redoutait que le type de dénivelé cassant lui réveille ses blessures de type TFL. Pourtant rien à l’arrivée ! son entrainement et ses trails compétition de ces 2 dernières années semblent l’avoir formaté à ce type d’effort bien différent de ses triathlons.

 

Patrice me fait découvrir son coin. Nous passons notamment devant un moulin. Nous passons aussi sur des hautes buttes en limite d’Argenteuil (sauf erreur) où nous admirons la tour Eiffel au loin, la Tour Montparnasse sous le soleil qui semble bas sur l’horizon et partiellement caché par un plafond nuageux relativement dense, ainsi que les grandes tours à l’architecture moderne du quartier de LA DEFENSE.

Arrêt selfies. Certes, la vue ne vaut pas celle de mes trails Montagnes notamment le majestueux Trail du petit St Bernard … mais sachons profiter quand même de ces belles vues.

L’organisation nous a réservé une belle grimpette sur un escalier de 350 marches sur la butte des Châtaigniers - également un passage original Aller / Retour au dessus de l’autoroute A15 et hop … descente et passage sous un pont pour revenir.  

 

Nouvel arrêt au stand. Ravito du 42ème Km complet. J’ai 4 km de moins au GPS et 5h44 de course au compteur. Nous avons en fait retrouvé le ravito du 14ème Km car nous sommes sur le chemin de retour sur cette partie du trail.

Je retrouve avec plaisir certains passages que j’ai parcourus de nuit à l’aller.

Je me sens mieux après ce ravito ou j’ai bien mangé et bien bu et où je me suis reposé 5 mn. Je me suis un peu refroidi à cause de la fatigue et de mes vêtements mouillés, mais une bonne alimentation et hydratation me permettent de repartir à un rythme plus tonique, ce qui permet à Patrice de m’attendre peut être un peu moins souvent ... à priori !

Je cours sur le plat et les descentes (certes pas très vite), je marche en montée. Au niveau musculaire et cardio, je me sens bien. Tant mieux.

Je sais que je vais finir ce trail mais les heures sont longues et les derniers km douloureux sur des fins de trails longs. Le cumul des km et du dénivelé se fait clairement sentir.

Un traileur barbu dans le dur que nous doublons me demande combien de km il reste.

Mon GPS m’annonce désormais 7 km.

Patrice qui a déjà couru la version 18 km de ce trail me dit que les derniers km sont pentus et que nous allons courir les 2 derniers km dans le Fort.

Les dernières pentes sont dures ! pourtant j’aime le dénivelé ! je regrette l’absence de mes bâtons ! le cardio souffre dans ces montées.

Nous passons près du fort à 50 mètres de ma voiture garée près du Stade Gaston Frémont marquant l’entrée du fort … celle-ci me nargue en me voyant … mais oui ma cocotte … je ne viendrai te retrouver que dans 1 heure environ ! … je ne suis pas du genre, malgré la grosse fatigue de fin de course, de lâcher l’affaire si près du but !

Nous replongeons dans le massif forestier histoire de se taper tous les derniers raidillons proches du fort … sympa la balade ! … je reviendrai sans doute ici pour préparer la Diagonale des Fous !   Encore des cordes et de la boue … en haut de chaque montée, je m’oblige à relancer et à courir pour rattraper Patrice qui conserve toujours une patate d’enfer et qui me booste amicalement.

En haut d’une montée, un traileur vomit. Je l’encourage.

Enfin l’entrée du Fort en vue !

Nous passons l’arche de pierre du bâtiment militaire sous les encouragements d’une personne en fauteuil roulant qui applaudit hardiment avec un grand sourire. Merci ! Une pensée amicale pour lui. Il aimerait probablement bien être à notre place. 

  Patrice qui n’a pas de dossard souhaite me laisser finir les 2 derniers km sans lui … je rentre donc dans les cours intérieures et dans l’antre du fort. Des bénévoles nous font rallumer notre frontale. Certains coureurs l’avaient rangé au fond du sac ! … gardez comme moi la frontale à portée de main pour cette fin de trail si vous courez ce trail dans l’avenir.

 

Drôle de sensation de courir dans ces longues galeries souterraines sombres où le temps semble s’être arrêté. Nous passons près de vieilles armes et d’anciens matériels militaires … il semble y avoir un musée ici. Les locaux sont vastes, les escaliers nombreux et les galeries profondes. Le balisage est impeccable … des barrières et rubalises nous canalisent efficacement … il serait dommage de perdre un traileur ici en fin de course dans ces labyrinthes ! … surtout qu’il y fait bien frais et humide !

Je pense arriver à un dernier escalier mais nous ressortons dehors, encore des montées et des descentes dans les chemins de ronde, je double un traileur perclus de crampes … malheureusement je n’ai pas de sel à portée de main pour lui donner.

 

Enfin une dernière galerie toute droite avec des lumières au sol d’un joli effet … je vois au loin mon pote Patrice qui me filme avec son portable. Escalier puis sortie au grand jour, sympa !  Nous finissons ensemble … passage sous l’arche d’arrivée. Enfin !  Je suis heureux ! Top ! Content d’arriver et de finir ce trail un peu difficile !

L’orga nous offre un très beau cadeau de FINISHER, une belle veste grise et orange floquée « Finisher Trail des Châtaignes » accompagnée d’une belle petite médaille en bois et d’une bouteille de bière.

Merci à l’orga !

Je finis 147ème sur 218 arrivés, en 8h05.

Pas trop mal aux jambes et pas d’ampoules – une légère inflammation toutefois au ligament externe du genou gauche … j’aurais dû boire un peu plus, une bonne hydratation limite ce type de douleur. A part une légère hypoglycémie durable et une grosse envie de dormir, je n’ai pas eu de bobos sur ce trail. 24 heures après, je n’aurai plus aucune douleur.

Même si ce trail ne fait pas partie de mes préférés (les montées et descentes systématiques deviennent un peu monotones et soporifiques à la longue …), il me permet dans le cadre de mon entrainement de renouer avec les trails longs en compétition, ce que je ne n’avais pas pu faire depuis le début de la crise sanitaire COVID19.

Et de surcroit, pouvoir faire du dénivelé. A titre comparatif, ce trail a sensiblement la même distance et le même dénivelé qu’un trail Montagne dans les Alpes, le NIVOLET REVARD que j’ai eu l’occasion de courir ! … d’ailleurs, j’ai fini dans le même temps à quelques minutes près.

 

Le TRAIL DES CHATAIGNES me permet de préparer dans les prochains mois 3 autres trails à venir en banlieue parisienne : Les 40 Bosses (41 km) + Maxicross de Bouffemont (42 Km) + ECOTRAIL 80 Km.

Ce trail entre dans la catégorie des Ultras compte tenu du dénivelé et de sa distance. Par ailleurs, il est classé ITRA (également classé sur BETRAIL).

Mon GPS de fin de course indique 50 Km. Arrêt inopiné du GPS avant de redémarrer ? S’agit-il de l’erreur de début de course qui nous a fait économiser du parcours ? Je ne le sais pas. J’attends vos remarques à ce sujet si d’autres lecteurs ont également participé.

Merci beaucoup aux organisateurs du TRAIL DES CHATAIGNES sans oublier mon ami Patrice qui a poussé son soutien sans faille à m’inviter chez lui après la course pour prendre une bonne douche et déjeuner avec sa gentille épouse et lui.

Vive le TRAIL.

Shoto

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