L'auteur : DavidSMFC
La course : L'Armentieroise - 25 km
Date : 12/5/2019
Lieu : Armentières En Brie (Seine-et-Marne)
Affichage : 1513 vues
Distance : 25.4km
Objectif : Pas d'objectif
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C'est la troisième année consécutive que je me rends à Armentières-en-Brie à l'occasion de la course à pied organisée par Eric Leblacher dans sa petite commune. Un week-end bien chargé en épreuves, du vendredi au dimanche avec un cross scolaire, un kilomètre vertical, des courses enfants (cycliste et à pied), un canicross, une marche et 3 distances de course : 7, 16 ou 25 kilomètres.
Ayant participé au 16km en 2017 et au 7km en 2018, je m'aligne cette année sur le 25km, deux semaines après le Grand Trail du Sonneur (68km) et 11 jours après le Semi-Marathon des Foulées de l'amitié. Je n'ai aucun objectif de performance aujourd'hui, j'ai juste l'envie de m'amuser ! Et je le sens bien car il va faire beau ce dimanche après une semaine très mitigée et de nombreuses et conséquentes averses vendredi soir et samedi.
Je pars de chez moi un peu avant 8h30 pour une arrivée sur place vers 9h00. Il y a déjà du monde car les épreuves de 7 kilomètres (course, marche et canicross) partent à 9h30. Je récupère mon dossard, le 2003 et j'assiste au départ du 7km. Je jongle ensuite entre préparation de mes affaires et spectateur au passage de la course où quelques connaissances figurent aux avant-postes.
Nicolas remporte la course (en 24'23) devant deux athlètes meldois (25'23) et son camarade de la FunRun77, Erwann (25'43). Cyril termine 17ème (en 29'23) non loin de la 1ère féminine.
C'est à 10h30 que sont donnés simultanément les départs du 16 et du 25 kilomètres. Nous nous élançons pour une première petite boucle destinée à étirer le peloton avant de repasser par la ligne de départ. Je pars très détendu, assez loin dans le peloton même si je sens que les sensations semblent plutôt bonnes. Pour autant, les premiers hectomètres ne sont pas super donc je gère en doublant pas mal de concurrents mais sans accélérer franchement.
Je dépasse les courageux membres de Handi Fun Sport alignés sur le 16km avec la Joëlette, partis quelques secondes avant le peloton. Ils sont de bonne humeur, ça fait plaisir à voir. Ils jouent à éviter les flaques mais savent bien qu'ils ne le pourront pas toujours et un peu plus loin, l'on passe sur un chemin où nous avons tous le droit à un peu de boue sur les jambes. Inévitable.
Fin de la première boucle. Nous repassons par le début du parcours, sur le bitume dans Armentières et nous allons jusqu'à la ligne d'arrivée mais nous tournons juste avant, sur un étroit chemin qui passe entre des jardins. J'apprécie. C'est parti pour la deuxième boucle qui nous ramènera ici-même puisque le parcours est commun avec le 7km avant une plus grande boucle.
Dans une descente sur la route, un concurrent devant moi fait tomber un gant sans s'en rendre compte. Je dépasse le gant avant de faire demi-tour pour le ramasser. Je me fiche de mon chrono, je peux bien rendre service car j'apprécierais qu'on en fasse de même pour moi. Me voilà lancé à la poursuite du coureur ayant perdu le gant. Je l'interpelle et lui rend, l'occasion d'échanger quelques mots.
Un peu plus loin, nous passons devant un bénévole qui met l'ambiance avec de la musique bretonne. C'est une des choses très agréables de cette course, les animations musicales. Un DJ met l'ambiance avec des musiques très rythmées à 300 mètres de la ligne d'arrivée où nous passons à 4 reprises pendant la course et certains bénévoles ont aussi un peu de musique à nous proposer. Je profite car avec le beau temps que l'on a, c'est le top !
Il fait très beau ce matin avec un soleil qui tape bien. Du coup, j'ai chaud car j'ai mis deux tee-shirts, un à manches longues et un à manches courtes. Mais lorsque le soleil se cache, avec le petit vent que l'on a, il ne fait pas si chaud donc je suis satisfait de mon choix de tenue. Autrement, je suis en short avec ma casquette sur la tête et mes nouvelles chaussures de Trail aux pieds. Ce sont toujours des Kalenji Kiprun Trail mais les XT7 maintenant.
Tout se passe bien, je me sens de mieux en mieux et je déroule bien. Je croise Roger qui vient prendre des photos sur la course, comme d'habitude. J'en profite pour faire une petite acrobatie comme j'aime le faire quand je suis en détente sur une course. On est alors dans un faux-plat montant mais j'ai de l'énergie, pas de soucis. Ce n'est que le début de la course.
Quelques centaines de mètres plus tard, nouvelle interaction sympa lorsque je double un Master de l'UA Villenoy qui accompagne une féminine sur le 16km. Lorsque je les dépasse, il dit en me disant "ah, tu doubles une fille toi !" et moi de feindre que non, j'étais déjà devant et de le taquiner sur un "manque de lucidité prématuré". Il me rétorque "Déjà ? Eh oui, c'est l'âge ça !". Sur ce, nous nous souhaitons mutuellement une bonne course et j'accélère en haut de la bosse où des spectateurs encouragent tous les concurrents.
La suite est très classique, j'avance bien mais sans plus, je suis en gestion car j'ai quand même pas mal de distance à parcourir aujourd'hui sur un parcours roulant où je n'aurai pas beaucoup d'occasions de marcher. Une seule à priori, à vrai dire. Je me retrouve régulièrement aux côtés d'un jeune coureur engagé sur le 16km et qui a un rythme qui me convient bien. En fait, il m'a dépassé et je me suis mis à son allure.
Nous finissons cette deuxième boucle et retrouvons la fameuse portion déjà parcourue dans l'autre sens en tout début de course puis dans ce même sens en fin de première boucle. Repasser dans le village, c'est l'occasion de profiter d'un petit ravitaillement où je bois une gorgée d'eau mais aussi de passer là où il y a du monde et de l'ambiance avec les accompagnateurs et les coureurs du 7km qui sont encore là.
Nous reprenons ensuite le petit chemin entre les jardins, filons vers les champs, repassons devant le bénévole à la musique bretonne mais cette fois, au lieu de prendre sur la gauche, nous partons sur la droite, en direction des fameuses marches du kilomètre vertical couru vendredi soir, auquel j'avais participé en 2017.
Après quelques kilomètres en bords de Marne, nous retrouvons un chemin où il faut véritablement slalomer entre les flaques d'eau. Du coup, de temps en temps, plutôt que de faire des détours, on met les pieds dans l'eau. Cela nettoie même les chaussures ! Et il fait suffisamment chaud pour que ce ne soit pas trop désagréable. Je suis derrière quelques concurrents qui avancent bien et on ne traîne pas, quand même.
Allez, c'est parti pour la difficulté principale de la course, en deux temps. Une première montée bien raide introduite par un chemin qui se raidit progressivement avec quelques marches au bout puis une descente bien pentue après un virage serré glissant. Le terrain est gras mais c'est raisonnable compte tenu des averses qu'il y a eu en fin de semaine. Nous nous en sortons bien. Pensées quand même pour ceux qui portent ici la Joëlette.
Après cette première partie, nous retrouvons une petite relance sur plat avant d'attaquer la deuxième phase de la difficulté. Je me sens bien même si la pente est dure. Du coup, je suis presque un peu gêné par les concurrents qui me devancent donc j'en dépasse dès que j'en ai l'occasion, ce qui n'est pas simple dans ces singles. Je franchis la côte très correctement en avalant les marches deux par deux en marchant, la plupart du temps puis en courant dès qu'il y a une relance. Je dépasse encore plusieurs coureurs avant la sortie du bois avec désormais en ligne de mire Marylin, en lice sur le 16km !
Je fais l'effort pour la rejoindre juste avant le ravitaillement où je ne prends là aussi qu'un verre d'eau à la volée que je consomme à peine car c'est trop frais pour moi donc je m'arrose plutôt la casquette avec. J'accélère à nouveau pour recoller à Marylin que j'encourage lorsque je la rattrape. Elle est alors 3ème féminine avec la 2ème en ligne de mire donc j'essaie de la tirer un peu pour qu'elle revienne alors que la bifurcation approche à grands pas.
Finalement, bien en jambes, je file tandis que Marylin terminera bel et bien 3ème féminine du 16km, la 2ème étant plus efficace sur le plat. Nicolas remporte lui la course chez les hommes en signant un remarquable doublé 7 - 16km ! Chapeau !
A la bifurcation, j'estime qu'il me reste environ 14 kilomètres à parcourir et désormais, nous allons nous sentir bien plus esseulés. Je ne vais croiser que 5 concurrents sur toute la boucle spécifique du 25km mais cela ne va pas m'empêcher de connaître une course animée et très agréable.
Lorsque nous filons tout droit et laissons les concurrents du 16km aller vers l'arrivée sur la droite, je suis sur le point de reprendre un concurrent de l'US Roissy Athlétisme. Cependant, je me fais dépasser dans le même temps par un coureur au maillot orange. Ces deux concurrents échangent quelques mots et les voilà qui repartent de plus belle, ensemble. Du coup, j'abandonne l'idée de dépasser le gars de l'USRA pour l'instant, je risquerais de griller une cartouche.
Nous abordons une bonne descente puis un virage serré sur la gauche qui me permet de visualiser s'il y a du monde derrière moi. A quelques mètres, j'aperçois un concurrent et derrière, plus personne. Bon, je n'ai ainsi qu'une seule menace en chasse derrière moi. Il s'agit d'un concurrent avec un sac de Trail sur le dos qui va me déposer dans la montée qui suit. Celle-ci est assez longue et je ne traîne pourtant pas, j'avance franchement pas mal mais il me met une vraie mine.
Tant pis, je ne cherche pas à m'accrocher, même pas à accélérer un peu. La course est encore longue. Je garde un long moment en ligne de mire ce fameux coureur avec son sac avec qui je rivalise beaucoup plus lorsque nous sommes en descente et sur le plat. Je vois aussi souvent devant le duo USRA - Orange et je peux même parfois apercevoir encore devant quelques concurrents dont, surtout, un coureur en rouge qui n'est pas tout à fait hors de portée mais bien loin quand même.
Tous ces repères vont avoir de l'importance pour la suite pour me permettre de garder le rythme même si je ne cale pas mon allure sur d'autres. Je continue de profiter de mes très bonnes sensations pour me faire une balade à rythme assez soutenu. Nous nous éloignons progressivement du haut des marches près duquel nous reviendrons tout à l'heure pour repasser par le ravitaillement et avoir la même fin de course que ceux qui sont sur le 16km.
Nous alternons des faux-plats, le long des champs ou dans les bois. Le cadre est super agréable et globalement, le parcours est très roulant mais rarement plat. J'adore les passages sur des monotraces et je ne subis pas les lignes droites, je prends vraiment beaucoup de plaisir. Beaucoup plus que sur le parcours du Grand Trail du Sonneur, même si je suis très fier de ma course à la Brie des Morin et ravi de ce que nous avons parcouru.
Le premier des 4 concurrents à ma portée que je vais rattraper, c'est étrangement celui qui m'a déposé dans la montée suivant la bifurcation, le concurrent au sac de Trail. Et c'est même dans une portion légèrement montante que je le dépose à mon tour, alors que je revenais progressivement sur lui depuis un moment. Il se met carrément à marcher pour s'alimenter alors que le profil est favorable à de la course. Cela me donne un coup de boost et me permet de me rendre compte que je suis franchement bien. Je gère très bien ma course. J'imagine qu'il s'est un peu grillé en poursuivant le duo qui nous devance tandis que de mon côté, je ne me suis jamais affolé et ai gardé mon rythme.
Ce fameux duo, je continue de le voir bien souvent et c'est un peu plus loin, dans une montée, que je reviens plus nettement sur eux, alors qu'ils reprennent eux-mêmes un concurrent en difficulté. Il s'agit de l'homme au tee-shirt rouge qui commence à peiner. Je le rattrape au bout d'un chemin monotrace et je ne le reverrai plus.
Alors que je suis en pleine forme avec une bonne foulée et sur une bonne dynamique de dépassement de concurrents, je me fais déposer par un extra-terrestre venu de nul part. Je ne comprends pas comment ce grand gaillard vêtu de noir a pu se trouver derrière moi jusque-là alors que je l'avais même repéré en première ligne avant le départ de la course. Je n'apprendrai qu'après la course que lui et quelques autres coureurs se sont planté peu avant les marches ! Il a fait pas loin de 2 kilomètres de rab alors qu'il était proche de la tête de course donc forcément, il a perdu un peu de temps et de places. La fusée s'éloigne donc bien vite.
En revanche, ça y est, le duo n'est plus ! Et comme je le pressentais, cela coûte cher au fameux coureur de l'USRA qui n'avance plus pareil une fois isolé. Il paie certainement les efforts consentis jusque-là. Je le reprends dans une belle petite montée où il se met à marcher en m'encourageant au moment où je le double. Il semble dans le dur.
C'est juste après que nous nous retrouvons au niveau du haut des marches, un peu plus en hauteur, le long du champ qui surplombe la route. L'écart qui me sépare du concurrent en orange a nettement fondu mais il avance encore bien et je sais que nous ne sommes pas encore dans le final de la course. Ce serait prématuré de faire l'effort maintenant pour recoller et je n'ai pas envie de craquer sur la fin de course alors que je gère bien mes efforts depuis le départ.
Au ravitaillement, je prends le temps de saisir un verre de coca que j'avale en marchant car ce serait une catastrophe en courant. Je ne perds pas beaucoup de temps et je relance rapidement. Me voilà à un peu moins de 100 mètres du gars en orange et cet écart va se stabiliser pendant un bon moment. Je passe la bifurcation des boucles où nous allons cette fois à droite pour retourner vers Armentières-en-Brie. Il reste un peu moins de 5 kilomètres logiquement. Et c'est roulant.
Dans cette partie favorable, j'avance vraiment bien malgré les 20 kilomètres dans les pattes. Mes sensations sont top aujourd'hui. Dans une descente, je retrouve Roger, toujours avec son appareil photo donc cette fois, il n'est pas question de sauter mais je lève un bras comme pour célébrer cette belle course réalisée. Je suis tout sourire, comme à chaque fois que je croise un bénévole et le remercie. Quel plaisir, vraiment !
J'ai grappillé quelques mètres sur le coureur orange. Nouveau photographe, je me relâche à nouveau et hop, je grappille encore quelques mètres ! Je me fais la remarque qu'avec une dizaine de photographes, je n'aurais aucune difficulté à le reprendre tant cela me booste à chaque fois. Finalement, c'est lorsque nous retrouvons une zone de plat et que je reconnais un peu le parcours que je décide de lâcher un peu les chevaux pour doubler celui que je poursuis depuis quand même plus de 10 kilomètres.
Encore un photographe, dans un virage que je négocie mieux que mon "adversaire" que je double alors. Je sais qu'il avance encore bien alors je ne veux pas qu'il puisse me suivre. Je ne sais pas pourquoi, pourtant, je n'ai aucun objectif de classement mais je crois que depuis qu'il m'a doublé, j'ai en tête l'idée que je vais finir par le battre mais sans forcer, grâce à ma gestion de course.
Un faux-plat montant, je tiens bon et je distance progressivement mon poursuivant qui ne reviendra plus. Ces 4 coureurs doublés de la sorte, c'est tout de même une belle satisfaction pour moi car en général, sur ce type de distance, c'est rare que je suis aussi en forme à ce point de la course. J'ai plutôt tendance à perdre quelques places sur les fins de course.
Je dépasse ensuite une concurrente du 16km, gentiment vexée de se faire reprendre par des coureurs ayant parcouru 9 kilomètres de plus qu'elle. Allez, plus que quelques centaines de mètres, je ne lâche rien. Je reconnais les endroits et les bénévoles, c'est positif. Tout se passe bien, je continue l'effort jusqu'au bout. Lorsque j'aborde le dernier virage, je croise Marylin qui me prend en photo et m'encourage, à 300 mètres de la ligne d'arrivée. J'en profite pour remercier les membres de la Team FunRun77 qui ont été mes équipiers à l'Ekiden du PAAC et de qui j'ai reçu pleins d'encouragements pendant la course, c'est super agréable !
Allez, le DJ et celui qui l'accompagne depuis le début de la matinée m'encouragent et voilà le DJ qui demande une nouvelle fois au micro aux gens qui retournent à leur voiture d'encourager au passage les concurrents qui en terminent.. Et j'ai le droit à pleins d'encouragements qui boostent tellement sur une fin de course. J'en termine à grandes enjambées en remerciant ceux qui m'applaudissent ou me félicitent, je franchis l'arche de départ, l'ultime tournant après avoir croisé Eric Leblacher, comme toujours sur son vélo et qui m'applaudit lui aussi. Que dire de son implication ? A l'image de son fils, lui aussi toute la matinée sur son vélo à faire des aller-retours à droite et à gauche et à encourager tout le monde. Merci !
Je passe la ligne d'arrivée avec la banane. Je reçois la belle médaille finisher de l'épreuve puis je file directement récupérer mes affaires à la consigne avant de profiter du ravitaillement d'arrivée où chacun a le droit à une crêpe faite maison par les bénévoles de l'épreuve ! Un peu de coca, un morceau de banane, ça fait du bien. Je discute avec quelques coureurs croisés pendant la course, sous ce beau temps si plaisant lui aussi.
Ensuite, je profite également du FoodTruck présent sur place pour profiter jusqu'au bout de l'événement en mangeant une bonne pizza avant de rentrer chez moi. Lorsque je repars, ce sont les 4 dernières concurrentes du 25km qui en terminent, 4 filles du BSGA qui ont fait la course ensemble. Elles sont toutes allées au bout les buxangeorgiennes !
Au final, j'ai bouclé les 25,4 kilomètres et 420 mètres de dénivelé positif en 2 heures 9 minutes et 6 secondes. Un résultat assez inespéré tant je venais uniquement dans l'optique de m'amuser avec une belle balade dans ce chouette coin. Objectif accompli puisque j'ai pris beaucoup de plaisir.
Mon classement est encore plus inespéré puisque je termine 13ème sur 119 arrivants ! Je suis 7ème sénior et 11 minutes devant la première féminine, une comparaison qui est souvent assez révélatrice de ma course. Une vraie réussite donc. En plus, les conditions ont été optimales, je n'ai ressenti aucune douleur et l'organisation était absolument nickel. Qu'espérer de mieux ?
A présent, je tourne mon regard vers la semaine prochaine où je vais prendre part à la cinquième édition de la No Finish Line de Paris. Fidèle au rendez-vous depuis la 1ère en 2015, j'ai pour objectif de battre mon record de kilomètres cette année, si possible. Il faut donc que je fasse mieux que les 129 kilomètres de 2017. Je vais essayer d'y parvenir en allant sur le Champ de Mars mercredi soir, jeudi soir et samedi soir (jusqu'à dimanche midi ou après-midi) si tout se passe bien. L'idéal serait d'atteindre les 150 kilomètres grâce à ces 3 sorties parisiennes. Affaire à suivre...
2 commentaires
Commentaire de defi13 posté le 13-05-2019 à 12:43:46
bravo david, superbe résultat. j'étais sur le 16k avec aussi une belle allure et puis patatras! j'ai suivi un groupe de 8 coureurs et on s'est plantés en faisant une côte puis une boucle pour rien... 1,6k de plus et 6mins de perdues à cause d'un balisage "light". Mais bonne course et bonne ambiance.
Commentaire de DavidSMFC posté le 13-05-2019 à 12:47:05
Merci beaucoup !
Ah, tu étais dans le fameux groupe qui s'est perdu ! Je ne vois vraiment pas où vous avez pu vous tromper.
C'est vrai que le balisage n'est pas en masse, je m'en suis parfois fait la réflexion. Mais il ne m'a posé aucun soucis.
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