L'auteur : DavidSMFC
La course : Le Maxi Cross de Bouffemont - 25 km
Date : 10/2/2019
Lieu : Bouffemont (Val-d'Oise)
Affichage : 3611 vues
Distance : 25.9km
Objectif : Pas d'objectif
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Ce n'est pas encore cette année que le MaxiCross de Bouffémont aura manqué de boue ! De la gadoue à foison mais de bonnes sensations et du plaisir pour moi pour ma 1ère participation à l'épreuve
Mon récit - bientôt illustré - est en ligne sur mon blog : MaxiCross de Bouffémont - 25.9 kilomètres
Pour mon quatrième dossard de l'année 2019, cela me tenait à cœur de participer pour la première fois au MaxiCross de Bouffémont. L'an dernier, initialement inscrit sur la longue distance (42 km), j'avais finalement renoncé à participer à l'épreuve à cause d'un volume de Badminton et d'une programmation de tournois ne me permettant pas d'aborder la course dans de bonnes conditions. Grâce à Aurélien Collet, organisateur du MaxiCross, j'avais pu revendre mon dossard.
Cette année, la problématique est différente. Cette fois, je suis inscrit à un tournoi de Badminton le même week-end. Je participe en effet au tournoi de Villeparisis en Double Hommes. Au départ, je m'étais inscrit avec un partenaire uniquement disponible le dimanche : Julien, notre entraîneur à Chelles. Finalement, il n'a pas pu avoir sa journée donc il s'est désisté et je me suis retrouvé en X. Or, du coup, la condition du dimanche uniquement a sauté en même temps, sans que je le sache. Entre temps, je m'étais inscrit aux 10 kilomètres du MaxiCross de Bouffémont se déroulant le samedi en début d'après-midi.
Cependant, lorsque je reçois les convocations pour le tournoi de Villeparisis, je m'aperçois qu'en fait, nous jouons le samedi matin ! Je dois donc prendre ma matinée car je devais travailler et je ne peux pas prendre le risque de rester inscrit au 10km du MaxiCross puisque nous pouvons éventuellement encore jouer l'après-midi. Je contacte Aurélien Collet qui accepte très gentiment de me basculer sur le 25km du lendemain, un grand grand merci à lui !
Du coup, le samedi, nous jouons bien en Double Hommes à Villeparisis. Malheureusement, nous passons complètement à côté de notre match avec mon partenaire inconnu (Julien, R5 de Pontoise) et nous inclinons 21-09 / 21-09 contre une paire R6-D7 largement à notre portée. La deuxième rencontre nous convient mieux. Nous sommes davantage dans le match et le style de jeu adverse nous convient mieux. Malheureusement, cela ne suffit pas pour l'emporter contre une paire R5-R5 et nous nous inclinons de justesse 24-22 / 21-19.
J'ai pris du plaisir sur ce deuxième match et surtout, j'étais bien en jambes. Nous faisons l'après-midi un petit Tennis tranquille avec Julie et j'essaie de me coucher de bonne heure le samedi soir afin d'être en forme le dimanche car vues les conditions météorologiques annoncées, cela s'annonce être un beau chantier que ce MaxiCross de Bouffémont réputé pour être bien chargé en boue.
Je pars peu avant 7h00 de chez moi, ce dimanche matin, pour un départ de la course à 8h45 à Bouffémont. J'arrive sur place vers 7h45. Je tourne un peu pour stationner avant de trouver un semblant de place sur le parking de la bibliothèque à un peu moins d'un kilomètre du gymnase. C'est sous une petite pluie fine que je pars récupérer mon dossard, chargé de mes affaires.
Une fois arrivé au gymnase, je récupère donc mon dossard après avoir regardé mon numéro sur la liste des inscrits du 25km, sur les feuilles de la deuxième vague. En effet, le départ de la course est séparé en 2 : une première vague avec ceux qui estiment qu'ils feront la course en moins de 3h15 et une deuxième avec les autres. Aurélien m'a automatiquement mis dans la deuxième vague, certainement car la première était déjà bien remplie. Mon dossard est le 1402.
Lorsque je regarde dans mon sac, je me rends compte qu'il me manque un gant. Je retourne donc à la voiture pour vérifier si ce n'est pas là que je l'ai oublié. Effectivement, il est tombé de siège passager. Je le récupère et je retourne au gymnase. On dira que c'était mon échauffement, ce petit aller-retour.
Bien au chaud, j'en profite pour me poser pour finir de me préparer tandis que l'heure tourne. Le départ approche déjà, surtout celui de la première vague, prévu à 8h30. Trempé par mes trajets sous la pluie, je m'applique pour ne rien oublier. Je mets mes deux flasks remplies de 500mL d'eau ainsi que 4 pâtes de fruit et 2 gels dans mon sac à eau. Je chausse également mes Kalenji Kiprun Trail XT6 avec lesquelles j'ai déjà fait les 55 kilomètres du Semi Raid 28, les 27 kilomètres de l'Issy Urban Trail et quelques randonnées cette année. Pour le bas, sachant que nous aurons de la boue, je privilégie un short à un pantalon donc je mets mon short double-fonction. Enfin, en haut, je m'équipe de mes gants, de ma casquette Kikouroù, d'un tee-shirt à manches courtes, le sweat Kikouroù et ma fine veste de pluie imperméable par-dessus avec sa capuche bien utile.
Alors que je me prépare, un concurrent reconnaît mon sweat Kikouroù et vient discuter avec moi, un échange sympathique avec ce lecteur du forum. Il est lui dans la première vague. Une fois fin prêt, avec mon dossard accroché sur mon sweat, je file à la consigne avec mon sac pour éviter la cohue de dernier instant. Juste avant que je ne sorte, une grosse averse tombe avec même un peu de grêle ! Cela promet ! Je parviens à me faufiler parmi tous les concurrents qui vont prendre le départ de la course mais restent à l'abri dans l'entrée du gymnase en attendant le dernier moment.
La consigne, elle se trouve derrière le gymnase, au niveau d'une autre salle. La file d'attente pour y accéder est dehors donc sous la pluie. Des coureurs de la première vague y déposent encore leurs affaires, ils ne sont pas en avance. Je parviens à y déposer mon sac également avant de retourner bien au chaud dans le gymnase pour attendre le départ de la deuxième vague qui a lieu dans un quart d'heure. Dans le même temps, le speaker de l'épreuve et Aurélien Collet donnent le départ de la première vague en faisant applaudir les 130 bénévoles mobilisés aujourd'hui, dehors, sous la pluie ! Chapeau à eux !
Peu avant 8h45, nous sommes invités à sortir pour rejoindre la ligne de départ, alors que la pluie se fait de moins en moins intense. Je me positionne aux environs de la 4/5ème ligne d'un imposant peloton de coureurs, afin d'éviter de partir trop vite car j'imagine bien que dans cette vague, il n'y a pas que des concurrents qui finiront en plus de 3h15. Je n'ai aucun objectif à part essayer de me faire plaisir, ne pas me faire mal et terminer la course.
Une nouvelle fois, l'on nous fait applaudir les bénévoles puis le speaker effectue un rapide décompte dès que tout le monde est prêt, y compris la voiture ouvreuse. C'est parti ! Le tout début de la course se fait sur le bitume, sur la route. Nous prenons tout de suite sur la droite pour une première ligne droite roulante avant d'aborder une première montée de quelques centaines de mètres de long, dans Bouffémont, et ainsi rejoindre la forêt.
Le ton est donné, cela monte déjà bien. Je me sens plutôt bien sur ce début de course, à part une cheville gauche pas encore bien chauffée. J'ai essayé de bien m'échauffer les chevilles avant le départ pourtant mais il va me falloir attendre quelques minutes avant que cela ne s'arrange. Le temps d'arriver en haut de cette première difficulté, au niveau du cimetière. C'est ici que s'est déroulé un challenge sympa, pour le 41km et la 1ère vague du 25km : le 1er en haut remportait un panier garni, à condition bien sûr d'être finisher de l'épreuve.
Et voilà, nous entrons dans la forêt pour ne quasiment plus la quitter jusqu'à l'arrivée. Et c'est une succession de montées et de descentes qui débute. Je serai tout à fait incapable de vous décrire le parcours car globalement, c'est à peu près toujours la même chose : on grimpe puis on descend. Pleins de petites bosses bien sympas que l'on court au début, évidemment. Mais je sais très bien que cela sera de très courte durée. Mais j'avance bien, efficace sur les relances.
Très rapidement et à ma grande surprise, nous dépassons déjà des concurrents partis près de 15 minutes plus tôt, au sein de la 1ère vague. Et ce ne sont pas quelques exceptions que nous rattrapons mais bien de nombreux concurrents qui ne termineront certainement pas en moins de 3h15. C'est dommage ! J'imagine bien qu'à ce moment de la course, je n'ai pas une allure de plus de 3h15 mais quand même, je ne cours pas sur un rythme de 2h30...
L'avantage, c'est que cela me booste car je suis toujours content de doubler du monde. Cela me donne l'impression d'aller vite et d'avoir de bonnes jambes alors que je gère assez tranquillement mon effort. Déjà, nous parcourons des chemins particulièrement humides. Une portion est même plus que boueuse ! Mes pieds s'enfoncent en permanence dans la gadoue tandis que l'on ne sait jamais s'il ne vaut mieux pas foncer dans les flaques plutôt que de les éviter.
Le terrain est très gras mais pour le moment, je ne le trouve pas glissant. La boue ne s'accroche pas à mes chaussures donc cela ne les alourdit pas. Nous déplaçons juste en permanence de la terre. Certains passages sont sympas et l'on peut même à un moment apercevoir la Tour Eiffel avec une vue dégagée sur Paris et ses alentours à un moment de la course que je suis tout à fait incapable de déterminer.
En tout cas, c'est vers le 6ème kilomètre que nous nous retrouvons en face de deux chemins. Sur la gauche, la montée qui nous attend. Sur la droite, une section plate d'où viennent les concurrents du 41km ! Les 19 kilomètres restants jusqu'à l'arrivée sont communs. Les coureurs alignées sur la longue distance ont alors déjà 22 kilomètres dans les pattes, rien que ça.
Cela fait désormais déjà quelques bosses que je n'essaye plus de les courir complètement. Je trottine généralement sur les premiers mètres avant de marcher, en gestion. Je relance systématiquement dès que c'est plat en haut ou encore davantage si cela descend.
Un peu plus tard, à l'occasion d'une traversée de route, un bénévole nous indique que le ravitaillement est dans 2 kilomètres. Il nous dit aussi que nous en sommes à 9,2km et que ceux du 41 en sont à 25,8km. Précis ! Dans la foulée, nous enchaînons avec une portion urbaine de 3 kilomètres. Une belle montée dans la commune de Saint-Prix puis une belle descente régulière depuis laquelle l'on aperçoit la butte vers laquelle nous allons nous diriger d'ici peu.
A Montlignon, nous profitons du ravitaillement du kilomètre 11,9. A 14 kilomètres de l'arrivée, il fait du bien. Un ravito très fourni avec tout ce qu'il faut. Je prends un verre de coca, un peu de saucisson et de fromage et quelques bonbons. Je repars en mangeant le salé.
Depuis un bon moment, il ne pleut plus du tout. Du coup, les conditions météo sont plutôt agréables. Abrités dans la forêt, nous ne sentons pas du tout le vent fort annoncé pour aujourd'hui, et heureusement. Bien équipé, je n'ai pas froid du tout, d'autant que je cours à bon allure sauf en montée où l'on a généralement bien chaud. Il fait environ 8 degrés ce matin donc cela change des températures fraîches de ces dernières semaines.
Après le ravitaillement, nous attaquons directement avec une bonne montée, toujours en ville, avant de rejoindre la Forêt domaniale de Montmorency que nous avons déjà parcourue pendant 7 kilomètres et au cœur de laquelle nous allons encore courir pendant environ 12,5 kilomètres, sur les 13 qu'il reste à faire.
Nous enchaînons alors plusieurs montées et descentes dans la butte aperçue auparavant dans la descente vers Montlignon avant de retourner vers la partie de la forêt dans laquelle nous étions en début de course, sans pour autant revenir vers les mêmes chemins. Après une longue descente puis une longue montée, nous attaquons la portion la plus roulante du parcours.
Pendant 3 kilomètres, nous nous retrouvons sur des allées bien plus larges que la majorité des chemins parcourus jusque-là, souvent en monotraces. En plus, le sol est bien moins mou et plein de gadoue car nous sommes sur une partie plus caillouteuse. L'on enchaîne deux longues lignes droites où nous n'avons que des faux-plats et quelques légers "coups de cul" à franchir.
Je ne sais plus trop à quel moment cela se passe mais à un moment, je me fais reprendre par un coureur qui me reconnaît et appelle mon prénom alors qu'il me rattrape. Il s'agit de Geoffray, un kikoureur qui habite près de chez Philippe, également engagé sur le 41km aujourd'hui. Nous étions allés au Trail d'Auffargis ensemble, tous les trois, l'an dernier. Une épreuve qui a quelques caractéristiques communes avec le MaxiCross d'ailleurs.
Il est bien en jambes alors qu'il est dans le dernier quart de sa course, à un classement honorable du 41km vue son allure. Nous discutions rapidement puis je le laisse filer car il avance très régulièrement alors que je suis de mon côté dans une phase de gestion de mon effort. Il me dit que Philippe y va tranquille mais ne doit pas être bien loin derrière... Moi qui pensais qu'il était déjà devant moi ! J'imagine le voir avant la fin de la course, du coup.
Nous arrivons ensuite au fameux "M", un passage assez technique de la course ! Dans une sévère montée qui représente la première barre de la lettre, je discute brièvement avec un coureur que je vais beaucoup croiser sur les derniers kilomètres. Nous allons souvent échanger quelques mots d'ailleurs. Il m'indique que nous sommes au kilomètre 19. Je pars donc du principe qu'il nous reste 6 kilomètres à parcourir mais en fait, il en reste 7 car la course mesure 25,9 kilomètres et non 25.
Une fois en haut de la côte, virage à droite, petite relance puis nous nous engageons dans une descente bien technique que j'apprécie particulièrement. Je suis ici beaucoup plus efficace que nombre de concurrents, peu à l'aise. Je double donc dès que je peux, sans prendre de risque et sans gêner les autres. Devant moi, un coureur se prend une belle gamelle. Une des nombreuses chutes que j'ai pu voir aujourd'hui, pas loin d'une dizaine sur l'ensemble du parcours. Et encore, cela chute souvent plus devant (coureurs rapides qui prennent des risques) et derrière (concurrents moins à l'aise).
En bas, après un passage assez glissant, nous remontons une belle pente avant de boucler le M par une barre plus plate. Après un peu de relance, nous enchaînons encore trois montées et descentes dont la dernière nous amène vers le bas de la forêt. Il reste 3,5 kilomètres à parcourir mais je ne sais plus trop où on en est. Physiquement, je suis bien mais les montées deviennent de plus en plus pénibles. En plus, la pluie se remet à tomber, et plutôt abondamment. Vivement l'arrivée, quand même.
Cependant, je suis tout de même encore bien en forme. La longue montée qui suit, je la gère tranquillement. Je pense à m'hydrater assez régulièrement, j'ai mangé une pâte de fruit il y a peu de temps et j'ai même fait une courte pause pipi pour faire les derniers kilomètres avec plus de sérénité. Je sais que je vais finir mais je reste concentré et je ne sais pas du tout depuis combien de temps nous sommes partis.
Dans le haut de la montée, je regarde un peu bizarrement un concurrent qui court alors que tout le monde marche. Je suis étonné de le voir courir comme ça et il le remarque donc me dit avec le sourire : "non mais c'est juste parce que c'est la dernière hein". Ces mots me font plaisir, ce serait donc la dernière montée. Je me méfie quand même mais cela sent bon la fin de la course.
Cependant, il reste bel et bien encore une difficulté à passer, un peu plus loin, en deux temps. Une première belle bosse avant une courte descente, une petite remontée et enfin, la longue descente bien roulante qui nous ramène vers Bouffémont. Dans cette ultime descente, je fonce. Je suis très à l'aise et j'ai encore de l'énergie, j'en profite. Je me surprends même à courir aussi vite après autant de dénivelé et de kilomètres avalés.
Nous sortons de la forêt à 500 mètres de l'arrivée, prévenus de la distance restante par un bénévole à la demande d'un coureur. Dernière portion sur un chemin bien roulant, plus que 200 mètres à parcourir puis une dernière ligne droite sur le bitume pour rejoindre l'arrivée. Je dépasse quelques coureurs, à grandes enjambées. J'ai hâte d'aller au sec, dans le gymnase. Je franchis la ligne, récupère la bière offerte à l'arrivée (cela fera des heureux dans mon entourage) et file à l'intérieur.
Là, je vais successivement croiser Philippe (RunPhil sur Kikouroù, en 2h31 sur le 25km), le lecteur de Kikouroù avec qui j'ai discuté avant le départ, Geoffray et Philippe G (finishers du 41km) puis David (ilgigrad sur Kikouroù, 2h52 sur le 25km). J'en profite pour bien me ravitailler avec du sucré (bonbons, barre pâtissière, sandwich nutella, orange, coca) puis du salé (saucisson, fromage, hot dog) avant de boire un thé. Le ravito final est incroyablement fourni.
Je vais ensuite à la consigne pour récupérer mon sac. Je croise alors Gilles (catcityrunner sur Kikouroù), lui aussi finisher du 41km. Je n'ai en revanche pas l'occasion de voir Christian (alias Bubulle) car je préfère rentrer assez vite pour éviter de prendre froid vue l'humidité ambiante.
Je termine l'épreuve en environ 3h00 (chrono et classement à venir). 25,9 kilomètres et 980 mètres de dénivelé positif, un parcours exigeant avec une quantité astronomique de boue récoltée sur les jambes au fil de la course tant les chemins sont gras et humides.
J'en profite pour remercier grandement toute l'équipe d'organisation et les bénévoles pour cette épreuve très bien organisée. Une vraie réussite qui donne envie de revenir malgré des conditions météorologiques pas évidentes. Et un merci particulier à Aurélien Collet qui m'a permis de prendre part au 25km.
Merci également aux connaissances croisées pour ces sympathiques moments d'échanges mais aussi à tous les concurrents qui m'ont laissé passer lorsque je le demandais ou avec qui j'ai pu faire un petit bout de chemin aujourd'hui. Il y avait un superbe état d'esprit général sur la course malgré des embouteillages et des gamelles. Bonne récupération à tous !
8 commentaires
Commentaire de L'Dingo posté le 10-02-2019 à 22:19:30
Tu en es venu à "boue" :-) et c'est le plus important.
bravo
Commentaire de DavidSMFC posté le 10-02-2019 à 22:21:13
Merci L'Dingo !
C'est effectivement un beau résumé. Je finis en 3h00'14, 273e/1105.
Un bon bain de boue :-)
Commentaire de ilgigrad posté le 10-02-2019 à 22:22:16
Bravo ! Enchaîner tournoi de badminton et ce trail sur le même weekend, il faut avoir une sacrée condition; surtout que, finalement, tu sembles avoir été « facile « pendant toute la course.
Commentaire de DavidSMFC posté le 10-02-2019 à 22:47:10
Merci David !
Franchement, très content de ma forme sur cette course oui. De bonnes sensations et au final, un classement correct avec un chrono de 3h00'14. Je pense que j'y reviendrai ;-)
Commentaire de bubulle posté le 11-02-2019 à 07:08:23
ça monte, ça descend, ça monte, ça descend. Pas simple de faire un récit, hein ?
Je vois que, visiblement tout le monde s'estun peu fait avoir par la dernière côte, qui semble être une nouveauté car j'ai eu le même coup d'un gars qui me dit quand je le dépasse que c'est bon, c'est la dernière.....en plein dans l'avant-dernière....:-)
Je t'ai effectivement guetté mais sans trop d'espoir car tu es quand même arrivé plus de 1h15 avant que je n'arrive moi-même.....
Commentaire de DavidSMFC posté le 11-02-2019 à 07:52:30
En plus, inexpérimenté des conditions Bouffemontoises, j'ai été léger en prises d'affaires de rechange donc je pouvais difficilement me mettre au sec !
Bravo à toi pour cet enchaînement de début de saison avec ce beau morceau quand même...
Commentaire de bessnex posté le 12-02-2019 à 02:00:47
3h en ballade, bravo !
Au plaisir de te recroiser, sur une prochaine course ou peut être aux 25 bosses ? :D
(C'est avec moi que tu as parlé pendant que tu te préparais)
Commentaire de DavidSMFC posté le 12-02-2019 à 07:47:38
Merci et bravo à toi ! C'était sympa de pouvoir échanger avant la course !
Au plaisir de se recroiser, oui :-)
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