Récit de la course : Lozère Trail - 108 km 2016, par banditblue29

L'auteur : banditblue29

La course : Lozère Trail - 108 km

Date : 14/5/2016

Lieu : Chanac (Lozère)

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Distance : 108km

Objectif : Terminer

4 commentaires

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Ultra Lozère 2016 : BH, quand tu nous tiens....

Course de préparation en vue de l’UTCAM, c’est aussi une course « club ».

Vendredi 13 mai.
Départ midi, en minibus….

1er péage : Le télépéage ne fonctionne pas….
Appui sur le bouton d’appel : « Vinci autoroute vous souhaite la bienvenue….. ».
« Vinci autoroute, bonjour ! ».
« Bonjour madame, mon télépéage ne fonctionne pas »…
« Avancer un peu, et voilà, ça fonctionne! Bonne route M. »

2nd péage…. Rebelote…. « Vinci autoroute, bonjour !»….. « Donnez-moi les chiffres du code-barres (une série de 20 chiffres…) ».
3ème péage… « Vinci autoroute, bonjour…. ! Prenez le ticket M. ».
Péage de sortie…. « Vinci autoroute, bonjour… ! Passez le code-barres du télépéage devant le scanner ».
Et comme ça, jusqu’au péage de Nîmes et pareil au retour…

Logement à Chanac. Accueil sympa.
Retrait des dossards, diner au resto du coin. Menu sportif ou menu normal…. ? Bon ben 6 menus sportif alors !
Le vrai resto de campagne, qui fait salle comble 2 fois par an (peut-être pas, mais c’est l’impression que ça donne), le vendredi et le samedi du Lozère Trail.
Préparation du sac, des pieds, des genoux, de la fille et dodo dans le sac de couchage en plume (le fond de l’air est frais).
Une bonne nuit.

Samedi 14 Mai
J1 – Sainte Enimie / Sainte Enimie – 52 km/3200 D+
Après mûres réflexions je décide de prendre les bâtons.
Direction, le départ du bus…. Transfert des sacs…. (J’en ai 4 !).
Le trajet surplombe les gorges…. Que c’est haut ! Que c’est beau !
Dire qu’on descend tout en bas…. A Sainte Enimie.
Débarquement des bestiaux, activation de la puce, briefing (BH du 30ème avancée au 28ème avec 30’ de bonus…. Soit 6h00 au lieu de 5h30). La pluie devrait nous épargner.
Profil du jour :
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Un petit tour dans le village et c’est parti pour le 1er goulet d’étranglement.
Ça monte direct, je sors les bâtons. Je les garderais jusqu’au km 8 et l’amorce de la 1ère vraie descente…. Glissante (il a plu la veille et la semaine précédente).
En attendant je suis en fin de course. Mais ça va, c’est le 1er jour. Les tendons sont frais.
Je m’astreins à être attentive à mon hydratation. Il ne fait pas très chaud heureusement. Un peu inquiète par rapport à la BH, je ne traine pas en route.
Je fais quelques photos parce que c’est très beau. Le sentier est top, technique juste ce qu’il faut. Je me sens à l’aise. Le terrain ressemble au Verdon, en plus vert.
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Les montées sont costauds, les bâtons restent sagement rangés. Je me demande si je vais continuer à les promener jusqu’à l’arrivée… ? Quand la déclivité augmente, les utiliser change mon centre de gravité. Du coup, mes appuis deviennent fuyants. Je glisse sur les cailloux.
Je monte bien, l’entrainement paye.
Une nouveauté cette année, une descente « dré dans l’pentu » dans un pierrier 300 m de D- en 700 m. Je ne tergiverse pas plus de 10’’ et j’y vais. 700 m, c’est long… Les cuisses chauffent, les cailloux dans les chaussures ne me facilitent pas la tâche. Je glisse une fois sur les fesses. Contente d’avoir opté pour le ¾ au lieu du short.
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En bas du pierrier, arrêt pour sortir les cailloux.
Sur la route en dessous, 2ème arrêt pour virer les 2 ou 3 graviers restant. J’ai le dessus de l’index qui n’en peut plus de faire office de chausse-pieds…. Problème des Xodus qui englobent bien le talon et dans lesquelles il est difficile de faire entrer le pied sans défaire les lacets (dans mon cas perso)
Km 28, le ravito et la BH. J’y suis en 5h10…
Je prends un peu de temps pour m’occuper de mes pieds, sortir tous les petits cailloux, les « Noker ». Je repars plus sereine, sans pression. Mais je ne veux pas arriver à « pas d’heure »…. Alors je m’emploie, toujours sans bâton.
La bursite du TFL droit se réveille, je ne sais plus vraiment où ? La patte d’oie gauche est là, mais discrète. Bon comme ça monte pas mal, ça reste gérable sans trop de soucis. Pas attentive dans la descente vers Castelbouc, je regarde les talons du coureur devant moi. Et je ne vois pas qu’au lieu de prendre à droite, il nous emmène à gauche…. Pourtant le sentier remonte, alors qu’il devrait continuer de descendre. Bref, il s’aperçoit de son erreur, on fait demi-tour. On reprendra 2 gars, qui nous avaient doublé et nous croyaient devant….
Vers le 40ème, je ressorts les bâtons pour soulager mon genou. Le terrain est un plus « régulier », une petite grimpette avant d’embrayer sur 8 km de descente.
Pas rodée à l’usage des bâtons, je me demande bien comment je vais les exploiter à la descente….. ?!
Ça va se faire tout seul, le planté du bâton M. Dusse ! Quand c’est bien raide, je plante et je balance. Encore une fois, vive les abdominaux ! Même avec un genou en carafe, je tiens l’allure. Quand la descente est plus douce, c’est moins facile.
Je passe la ligne au bout de 10h35 d’effort. Le ravitaillement est juste super ! Des Pélardons, du jambon, des yaourts au lait de chèvre avec de la crème de marron, du pain d’épices avec du fromage….

Direction le minibus pour le transport jusqu’au bivouac. Début des embrouilles….
Mes potes arrivés avant moi, ont récupéré mes affaires, mais je ne connais pas le n° de notre marabout…. Je vais me faire le tour du camping avant de les trouver (enfin !) qui attendent au massage (les téléphones ne fonctionnaient pas). Évidemment notre marabout est du côté où je ne suis pas allée… Je viens de passer 30’ un peu « stressantes »….. Genre, je m’assois sur un caillou…. Toute seule perdue !!!!

Bref tout rentre dans l’ordre, une douche tiédasse, presque froide et direction la salle à manger.
Repas gargantuesque…. Il fallait bien ça, trop faim ! En sortant, le salon de massage a fermé … boutique. Pour le hammam et le jacuzzi…. Ben j’ai pas de maillot…!
Tant pis, je gagnerais du temps pour préparer mes affaires, me coller un cryopack sur les genoux, en espérant que cela arrange mes affaires.
La tente d’à côté se croit en « colonie de vacances ». A 22h30, c’est encore le souk !
A 5h du mat’, ils font pareil….

Dimanche 15 Mai
Nuit fraîche mais reposante. Le ciel est bleu. Il risque de faire chaud. Là, tout de suite ça caille. Je décide de promener mon short dans mon sac…. J’adore promener mon short…
Je sens que la journée va être pourrie. Si les muscles vont bien je suis plus sceptique sur l’état de mes tendons. Étrangement la patte d’oie est raisonnable. Je ne peux pas en dire autant de la bursite du TFL…. Je fais part de mes doutes…. Mais comme me l’avait dit Isa, sur l’UTCAM : Si tu peux marcher, tu peux tenter… Alors, je vais tenter.

J2 : Sainte Enimie/Chanac – 54 km/2200 m D+
Le départ est à l’autre bout du camping…. Heureusement qu’on n’a pas trop trainé pour s’y rendre (c’est à l’extrême opposée de notre marabout)…. Je n’aurai pu y aller en trottinant. Comme la veille, il me faut jouer des coudes pour pouvoir accéder aux places du fond…. Je n’ai pas envie de me faire piétiner par les cadors !

Les fauves sont lâchés ! Miracle ! Je cours…. 200 m…. Je passe devant la pancarte « hammam/jacuzzi », je me retourne….. Et…. C’est le désert…
Ma traversée vient de commencer…
Je traverse le Tarn en solitaire….. Quand je débouche sur la route au-dessus, je vois qu’il y a un énorme bouchon…. Super, je vais pouvoir faire un arrêt technique derrière une lame de niveleuse… Sans crainte de prendre 5’ gratuitement.
Le stop engendré par un passage avec corde nous fait perdre plus de 20’…. Après un départ décalé de 6’… Mais je n’en suis pas encore là.
Enfin nous repartons. Je discute un peu avec un trio. Quand ça grimpe, je suis devant…. Mais ça ne grimpe pas longtemps…. Assez vite, je marche seule….. !
Une situation habituelle…. Oui mais j’ai oublié que dans l’immédiat nous avions une boucle de 2 km à faire, boucle qui nous ramène dans le village de Sainte-Enimie d’où doivent s’élancer les concurrents du 52…. Nous sommes partis une heure avant, du camping…
M….de ! Avec mon bol, je vais passer 2’ avant leur départ….. A pied !
Ça ne rate pas, j’ai à peine franchi le pont que le 52 décale !
Je me sers à gauche, je range mes bâtons (ce serait bête d’embrocher quelqu’un….). Je suis un peu dépitée de la situation. Franchement, à quoi bon s’obstiner si je ne peux même pas me faire plaisir…. J’en suis là de mes réflexions, quand je me retrouve dernière.
Le menu :
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Bon, pas d’affolement. Bientôt, la route va s’élever et je suis convaincue de rattraper quelques éléments qui (je peux me tromper) n’ont pas l’air d’avoir « l’allure de l’habitude ». L’argument est petit, mais on se rassure comme on peut.
Une petite descente, bien sûr je marche…. Là, la serre-file du jour arrive dans mon dos…. En crlaironnant : Bonjour ! C’est la barrière horaire !
En moi-même, je me dis : Ça y est, ça commence…. ! Je vais avoir le serre-file sur le dos toute la journée… (Elle est très sympa Steph, sauf que j’aurai mille fois préféré ne pas la voir). La situation est assez inconfortable (vue de chez moi).
On entame la conversation. Je monte d’un bon pas. Si bien que je finis par reprendre la dernière personne qui m’avait doublé, Steph me dit à plus tard. Je reprends 5 ou 6 coureurs/marcheurs.
On va descendre maintenant, je vois tout le monde ou presque me repasser.
Steph revient ! Flûte, elles sont où les 2 filles (les 2 du trio du départ) ?
Steph : Ben des amis les attendaient, elles ont préféré rendre leurs dossards…. ! Ppfffff….. !
Nous voilà reparties à discuter. Pendant les rares moments de silence, je me raisonne sur la nécessité de poursuivre ma logique alimentaire, et ce sans tirer des plans sur le « à quel moment, je serai obligée d’arrêter »…. L’abandon ne fait pas partie de ma logique du jour…. En marchant, la bursite n’est pas trop invalidante. Ce serait bête que j’arrête pour une déshydratation ou un autre truc du genre (j’applique la semaine 6 du MOOC).
Km 14 (12+2), je laisse Steph au ravito à discuter avec les bénévoles et les 2 abandons et repars.
10’ après, elle est de nouveau là….. Nous reprenons…. Là, où nous en étions restées. M’enfin pendant ce petit moment de solitude je me suis « résignée » à « gober » un paracétamol (j’ai noté l’horaire de prise…. Pour ne pas être tentée d’en reprendre un autre avant 6h). Je me suis dit, qu’au mieux ça me faciliterait la descente et que peut-être je retrouverai un semblant de forme.
Depuis le départ, j’ai les bâtons. Je les apprécie.
La descente arrive et la technique déjà appliquée la veille me permet de ne pas trop trainer. Encore une fois les cuisses vont bien. Alors, je fais au mieux (presque je trouve ça amusant en faisant abstraction de ma situation). Les paysages sont beaux mais je n’ai pas le loisir de faire des photos.
Au bas de la descente, je rattrape « Mamie » (qui ne doit pas être beaucoup plus vieille que moi…sauf qu'elle a les cheveux blancs) qui admet ne pas être très à l’aise dans ce genre d’exercice. Steph reste derrière.
Le passage à Saint Chély est de toute splendeur. J’attaque la montée vers Cabrunas en solo. J’en profite pour caler un nouvel arrêt. J’enlève mon taping maison du TFL. Pendant mes pérégrinations, je me suis dit que je n’avais rien à perdre à l’enlever. Et puis, c'est Steph, le retour (Mamie a rendu son dossard au village précédent) !
C'est la 1ère fois que je passe autant de temps avec le (la) serre-file et je dois dire que je n'ai pas trouvé la situation confortable …. Mais ça m'a fait aussi avancer plus vite, donc merci à elle .
En arrivant en haut à Cabrunas, j’ai eu la surprise de recoller sur l’arrière de la course. Km23, ravito. A ce moment précis, je change de « posture ». Je fais le plein d’un bidon, j’omets de faire l’appoint du 2ème. Je compte 9 km jusqu’au km 36…. L’effet du soleil, peut-être ? Ma montre indique 5h50 de course….. C’est le moment de vérité, je n’ai plus rien à perdre….
Je repars en trottinant, laissant Steph avec les derniers. Contre toute attente, le genou grince mais ne « couine » plus…Je me dis que c’est le « coup de fouet » coca et que je vais me faire une panne de jus dans la foulée. En même temps, j’apprends à faire des soustractions…. Et 36-23, ça fait 13….. Je m’a gourée….!!!!
Punaise, si je coince en cours de route, je risque de me dessécher sur place. Pas le choix, courir quand c’est possible, trottiner en poussant sur les bâtons…. Bref, s’activer !
1h40 pour faire 13 bornes… Autant dire que c’était quasi perdu d’avance. Tant pis, ma montre me lâche à 6h50…. Pas plus mal, je n’aurais pas pu aller plus vite….
J’économise le liquide, je fais tourner longtemps. J’ai doublé surtout au début (z’ont dû se demander quelle mouche m’avait piquée…).
Steph revient une nouvelle fois, mais là, elle a passé la relève (ouf !). Elle me dit qu’elle se presse pour arriver avant 14h30…. Elle s’éloigne. Une succession de montées/descentes, elle disparait au loin.
Peu de temps (je crois) après une dernière descente, je cours, dernier raidard, je cours. Le ravito dans le village, et là sur la gauche un petit attroupement.
Je me fais « interpeler »…: C’est trop tard, il faut rendre votre dossard !
Einh ? Quoi ?! Mais il est où le ravito ?
A 50 m….
Je décroche mon dossard, dégoutée de la vie…. Je rate de combien ?
10’. Vous pouvez continuer sans dossard si vous voulez….

Moi, dépitée, je les envoie promener (pas bien d’avoir fait ça, une BH, c’est une BH….) et je me dirige vers le ravito.
Mine de rien, j’ai mis 1h50 pour faire 13 bornes…. La panne de jus n’est pas venue. Le genou est en simili sommeil, il me gêne mais j’arrive à l’oublier.

Je passe le coin du mur…. Et là, trainasse ceux qui sont arrivés juste avant la BH…. Je crois bien qu’il y en a un qui dort dans l’herbe…
Steph me demande si je finis sans dossard…. Vu le trajet que je viens de faire….
D’abord je dis non, pas envie d’arriver à 20h. Et puis, elle me dit : Tu sais, tu peux espérer finir à 18h… ! Ceux qui repartent ne vont faire que marcher pour la plupart…..
Je n’ai pas envie de rester sécher à attendre la navette, je suis super remontée…. En 2’14’’, je décide de repartir. Je recharge en eau et j’en oublie la poudre…. Me voilà donc avec un bidon de boisson iso et un d’eau pour faire 18 km….. Pas malin du tout…! Heureusement que le soleil ne tape pas trop….
Je repars avec Steph, qui m’abandonne au bout de 300 m pour courir après un groupe qui a raté une rubalise. Je ne la reverrais qu’après l’arrivée.

A partir de là, je courrais presque chaque fois que cela sera possible. Au fil du temps, je reprends un peu de monde. Je prends le temps de discuter. Le genou est toujours là, fait nouveau j’ai mal sous le pied…. A tel point que ça occulte le genou…. Vraiment les bobos, ça va, ça vient…. Le paracétamol doit être en limite de plage d’effets. Je m’attends au réveil des autres tendons. Finalement, seul le pied et la bursite resteront.
La dernière descente se fait désirer. En même temps une fois qu’on y est, on se dit : La vache ! Droit dans la pente !
Reste 500 m, le téléphone sonne : T’es où ? J’arrive, suis à 500m ! T’arrive vite ? Ben j’arrive !
Je passe la ligne avec mon compagnon des 7 derniers km en 10h40. Évidemment, je ne suis pas classée.
J’ai quand même droit au tee-shirt (merci l’organisation).
 
Pour conclure, une très belle course, dans un cadre magnifique.
Je ne sais pas si j’aurai l’occasion de revenir. Les rencontres ont été sympas. Difficile pour moi de passer la journée avec Steph du fait de sa position de serre-file, mais ça a été plaisant de discuter. Elle m’a amenée à me dépasser. Sans doute qu’avec des « si » je serai passée à temps mais j’ai encore beaucoup appris dans la gestion de course.
Pour la 1ère fois, j’ai été plus rapide que mes prévisions les plus optimistes et même en mode "dégradé", je suis encore dans la fourchette haute. Je me suis laissée le temps d’apprécier la situation et ai avancé par étape. Bref je progresse dans tous les domaines… Sauf la marche rapide où je n’excelle pas du tout. Et puis je dois trouver comment traiter cette bursite du TFL. D’ici l’UTCAM, j’ai un peu de temps. En plus je bénéficie d’un soutien sans faille, alors avec une aussi grande équipe derrière moi, je ne peux que réussir!

4 commentaires

Commentaire de Françoise 84 posté le 20-05-2016 à 15:29:54

Bravo d'avoir été "au bout du bout"...! C'est un des (nombreux) côtés sympas de l'orga que d'avoir autorisé à continuer les coureurs "hors délais", ça permettait de profiter jusqu'à la ligne d'arrivée, au moins. J'espère qu'une prochaine fois, on pourra partager un peu plus longuement! Bisous et soigne toi bien surtout!

Commentaire de banditblue29 posté le 22-05-2016 à 20:22:01

Merci ;-).
Je l'espère aussi.

Commentaire de shef posté le 23-05-2016 à 11:53:46

Bravo pour ton opiniâtreté.
Juste une question: pourquoi ne defais-tu pas tes lacets pour enlever tes chaussures, quand tu veux vider les cailloux ?

Commentaire de banditblue29 posté le 23-05-2016 à 21:03:13

Je défais les lacets, quand je peux m'asseoir.... ;-).
Là, vu la déclivité, j'ai même pas eu l'idée d'essayer.
Avec toutes mes autres running, je n'ai pas besoin de défaire les lacets (coup de pied fin loll).

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