LIK de Mars 2024 - Vos réactions

Forum destiné à échanger autour de l'association "Les Amis de Kikouroù" : adhérents ou kikoureurs, posez vos questions ici, on se fera un plaisir de vous répondre !

Messagepar Mathias » sa fiche K
» 16 Mars 2024, 09:04

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Sommaire
  • [Assoce] Édito, par caro.s91
  • [Chiffres] Des chiffres : 15, par POCox
  • [Récit] Le récit à lire ce mois-ci : Trail de Nebian de Coureur du 34, sélectionné par Mazouth
  • [Interview] L'ultra-endurance à vélo selon Bikoon, par shef

[Assoce] Édito

Février c’est un mois où les jours augmentent, où le froid s’en va petit à petit, où les coureurs peaufinent leur programme estival et préparent leurs vacances d’été, les plus chanceux ayant pu partir avec conjoint et enfants pendant des congés scolaires cette année proches de Noël et de Pâques...

Mais en 2024, février c’est aussi un février étonnamment doux, la neige fond, les stations en basse altitude ferment leurs pistes et se reconvertissent aux activités estivales. Ailleurs, vent, pluie et tempêtes et inondations. Une fin février où la neige revient en abondance, mais pas sûr qu’elle tienne partout... Alors faudra-t-il admettre que le climat est en train de changer...

En février 2024, les fermiers français, après les Pays-Bas, l’Allemagne, l’Espagne, ... manifestent leur ras le bol : prix de vente trop bas pour les producteurs, des contraintes normatives nombreuses, des injonctions écologiques contradictoires, et alors même que l’inflation ralentit, les prix pour le consommateur sont loin de baisser. Alors où passe l’argent ?

Enfin, février 2024, c’est le triste « anniversaire » de ce que la Russie a appelé une opération spéciale. Les États-Unis ont soutenu à bout de bras, l’Europe fait ce qu’elle peut, sachant que nous ne savons pas produire des armements, la France ayant une armée échantillonnaire capable d’un maintien de l’ordre mais pas de lutte de haute intensité. Pourtant, la Russie ne connaît que le rapport de force et leur président rêve de refaire la grande Russie en réintégrant leurs marches.

Février 2024, notre ministre de l’Économie avoue que le budget bâti fin 2023 est irréaliste et qu’il faudra faire des économies alors qu’il a été promis des augmentations pour les hôpitaux, l’éducation, la défense, les agriculteurs, le tout sans augmentation des impôts !

Février 2024 : environ 150 jours jusqu’au début des JO de Paris. Serons nous à l’heure ? Les travaux dans les transports seront-ils achevés ? Est ce que les conducteurs, les policiers auront leurs primes ?

Alors 2024, changement ou pas ? Alors que plus de la moité de la population mondiale va être appelée à voter en 2024, dans des circonstances plus ou moins démocratiques !!!

Mais je vais finir par une note optimiste : Kikouroù est là depuis 20 ans, fête cet anniversaire et continuera encore en 2024 ! Avec ses jeux de pronostic, ses échanges sur le forum, sa boutique (et l'Opinel collector), sa LIK, ses OFFs et bien entendu le weekend Kikouroù qui nous fera oublier la morosité ambiante !

caro.s91


[Chiffres] Des chiffres : 15
15, comme... les 15 membres du CA, dont voici le trombinoscope.

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POCox


[Récit] Le récit à lire ce mois-ci : Trail de Nebian, par Coureur du 34

Le format est un joli TALC de 100k dont voici la description prise sur le site de la course : 8 fois la boucle du Miquelets sans la boucle de la course aux jambons, soit 12.5km et 550d+ à chaque boucle.

Déjà ça m'a donné envie d'aller faire cette course un jour !

Le récit parle bien du côté atypique et de la bonne ambiance décalée qui règne sur ce trail. On sent bien la difficulté qui augmente au fil de la course, avec notre Coureur du 34 qui sombre avant de passer en mode survie sur les 2 derniers tours. Avec cette phrase : "je cours à l'allure d'un jamaïcain anémique en chaise roulante sur du gravier" :lol:

Le récit est à lire ici !

Récit sélectionné par Mazouth


[Interview] L'ultra-endurance à vélo selon Bikoon

Shef : Peux-tu te présenter rapidement en deux lignes ?
Bikoon : Bikoon, 52 ans, marié depuis 23 ans et papa (poule) de 2 minettes de 13 et 19 ans.
Passé de triathlète (de 1992 à 2000) puis je tombe dans le trail avec bonheur pendant une grosse quinzaine d'années jusqu'à découvrir le vélo longue distance et un retour partiel au triathlon avec notamment l'IronMan de Nice en juin 2022.

Comment en vient-on a pratiquer le vélo ultra-longue distance ?
Bikoon : J'ai toujours été attiré par la longue distance, certes un peu forcé à mes débuts dans le sport d'endurance : dans le club de triathlon où j'ai commencé, j'entendais à longueur d'entraînements : tu n'es pas un triathlète tant que tu n'as pas fait Embrun :roll: Résultat, 3 ans plus tard je terminais mon premier EmbrunMan.
Puis même chose avec le trail, l'ultra m'a vite attiré, et le fait de passer des jours et des nuits sur les chemins a toujours revêtu un côté un peu magique.
Mais pour le vélo, c'est surtout un concours de circonstances : en août 2019 je me fracture le bassin en tombant bêtement en courant, ce qui me vaut de devoir respecter un décubitus dorsal strict de 60 jours, et 5 mois sans marcher...
Et c'est durant ma ré-athlétisation en vue de reprendre le triathlon qu'un ami me parle d'un "BikingMan" qui fait le tour de Corse en autonomie complète. Banco !

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Vois-tu des différences entre des organisations type Bikingman, par rapport aux cyclotouristes type BRM ?
Bikoon : Ce qui fait je pense la singularité et l'intérêt des BikingMan réside en 2 points clefs : l'autonomie totale et la beauté (et difficulté) des parcours. J'ai découvert les BRM (Brevets de Randonneurs Mondiaux) à l'occasion de la préparation de Paris-Brest-Paris qui se déroule tous les 4 ans. Et les BRM auxquels j'ai participé, tout comme PBP, comportaient des ravitaillements fournis par l'organisation (enfin sauf les 200 et 300 km, trop courts :wink: ).
C'est donc pour moi la grande différence avec les BikingMan sur lesquels il faut en permanence gérer son alimentation, tant solide que liquide, ce qui peut parfois être très compliqué dans des zones peu habitées. J'ai en souvenir une portion sur le BM Euskadi dans les Pyrénées, une très longue portion avant le col du Port de Balès où nous avons certes traversé de très beaux petits villages mais sans aucun commerce, on peut alors très rapidement se trouver en hypoglycémie si l’on n’a pas suffisamment anticipé cette question de la gestion alimentaire.

Comment se prépare-t-on pour rouler aussi longtemps ?
Bikoon : En roulant longtemps :mrgreen:
Plus sérieusement, et à l'instar de l'ultra trail, le fait de cumuler les kilomètres favorise grandement la vie. Bon, c'est vrai également que tout ne se règle pas à coup d'heures de selle, comme les douleurs de selle justement, celles aux cervicales, à la plante des pieds ou celle des mains.
Pour prendre mon exemple, cette année j'avais cumulé plus de 10 000 km depuis janvier lorsque j'ai pris le départ de Paris-Brest-Paris le 20 août et c'était un vrai avantage pour que la distance passe bien.
Le vélo longue distance c’est vraiment génial, mais c’est encore plus chronophage que la course à pied longue distance… lorsque je préparais un ultratrail, mes sorties longues (hors week-end chocs) duraient généralement 3 à 4h, à vélo une sortie longue c’est vite 10/12h ! Il faut donc s’organiser et avoir un(e) conjoint TRES compréhensif…
La préparation mentale (tout comme en ultra trail aussi d'ailleurs) a une grande importance ; et une importance d’autant plus grande sur les épreuves type BikingMan car du fait du faible nombre de participants, tu te retrouves vite seul sur la route à gérer l’ensemble des paramètres de ta progression, et en cas de moins bien ou de souci mécanique il faut t’être préparé mentalement à encaisser et gérer les imprévus.

As-tu une routine/des habitudes sur chaque épreuve ?
Bikoon : Non pas vraiment, mais j’essaye de me débarrasser d’une mauvaise habitude qui m’a déjà joué de sales tours (comme en course à pied d’ailleurs !) c’est de me laisser griser par le départ et/ou prendre des roues qui ne vont pas au rythme que je devrais respecter…
Ce fut notamment le cas du BikingMan France en juin 2021 : fin juin au départ du Cannet il fait chaud et humide, et la première journée va être suffocante ! J’ai fait l’erreur rédhibitoire de partir trop fort en suivant des gars et de ne pas m’adapter aux conditions météo. Je me suis accroché à tort au plan de route que je m’étais fixé (365 km / 6200+ la première journée) malgré les plus de 30 degrés et le vent défavorable. Résultat : hyperthermie maligne d’effort qui m’a contraint à abandonner le 3ème jour au matin, totalement vidé de mes forces :(

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Comment gères-tu le manque de sommeil, la nuit, avec la monotonie de la route ?
Bikoon : J’aime rouler de nuit, les sensations bien sûr ne sont pas les mêmes qu’en courant où tous tes sens sont en éveil, sur un vélo c’est beaucoup plus bruyant notamment du fait du vent dans les oreilles :wink: Malgré ça, si on roule sur de petites routes, l’ambiance est très spéciale mais il est nécessaire d’être encore plus vigilant que de jour car on peut vite se retrouver dans le fossé ! Ce qui me rassure c’est de pouvoir compter sur mon matériel éclairant : une bonne lampe avant pour bien lire la trajectoire et un gros spot arrière pour être bien visible, en plus du gilet réfléchissant et de parties réfléchissantes collées sur le vélo.
Pour lutter contre le sommeil, j’ai pu expérimenter un cocktail très efficace sur le Paris-Brest-Paris en août dernier, car partant à 17h, je ne voulais pas être rattrapé par le sommeil, voire j’envisageais même de ne pas dormir pendant 48/50h (mon objectif chronométrique) : café + coca ou café + Red bull (que j’expérimentais pour l’occasion) TRES EFFICACE !! A tel point que plus de 30h après avoir commencé à pédaler, je n’avais toujours pas sommeil :) Je retiens donc ce cocktail pour les prochaines fois ! (si j’arrive à trouver de quoi m’en procurer sur le parcours…)

Comment se passe la cohabitation avec les véhicules motorisés (en particulier la nuit) ?
Bikoon : D’une manière générale la cohabitation se passe bien, bien sûr il y a toujours des excités du volant qui sont trop pressés et considèrent que la route est leur propriété… mais la grande majorité des automobilistes respectent fort heureusement les cyclistes que nous sommes. Je pense que la visibilité joue un rôle clé (de jour comme de nuit d’ailleurs) : il faut être vu du plus loin possible pour que les autres usagers de la route anticipent leur dépassement. Sans vouloir généraliser (mais quand même un peu :wink: ), et sauf exceptions, les voitures sont plutôt respectueuses des distances, tout comme les motos et les poids lourds, MAIS c’est avec les camionnettes de livraison que j’ai le plus de frayeurs car non respectueuses des distances de sécurité…

Le matériel tient une place plus importante qu'en course à pied il me semble. Comment choisis-tu ton matériel, pour quel budget, quels critères de choix...?
Bikoon : Ahhhh le matériel…. vaste (et coûteux) sujet. Lorsque je faisais du trail, j’avais l’impression d’avoir du matériel plein les placards (ce qui était vrai), mais ça a pris une tout autre dimension avec le vélo… ce ne sont plus les placards, mais le sous-sol qui est envahi :wink: Et je pense que c’est encore plus vrai avec le vélo longue distance qui par essence est soumis à rude épreuve et dont les composants sont à renouveler plus souvent lorsque l’on roule beaucoup.

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Pour ma première expérience de très long à vélo (BikingMan Corsica 2020), je n’avais qu’un vélo à ma disposition, celui avec lequel je cours mes triathlons, un Giant Propel, certes polyvalent mais pas adapté au long, ce ne fut donc pas très confortable, notamment à cause des jantes de 63mm dans le vent fort…
Cette première expérience m’ayant immédiatement donné le virus, je me suis dirigé vers une bicyclette plus orientée endurance, de par sa géométrie et son orientation gravel avec l’Origine GraXX. C’est un vélo qui se situe dans le milieu de gamme en termes de prix pour ce genre de pratique (+/- 4000€)
Question pneus, car c’est le composant qui s’use le plus, je suis en tubeless sur des sections de 28mm, et je passe à 30 voire à 32 lors de BikingMan si j’anticipe des routes de mauvaise qualité. L’absence de chambre à air demande un peu plus de manipulation lors d’un changement de pneu, mais à l’usage et en cas de crevaison, je n’ai jamais eu de problème particulier : soit le liquide préventif fait son job et bouche le trou, soit si la section du trou est trop importante, alors en principe une mèche fait l’affaire et parfois même sans avoir à remettre de pression :wink:
Reste que la question pneus est un vrai budget en soi : j’utilise très majoritairement des Continental GP 5000 TL pour TubeLess (et pas TLR pour TubeLess Ready) car je les trouve plus facile à gérer, mais le tarif devient un problème : ils sont quasi à 100€ le pneu… !!! Autant dire que je les use jusqu’à la corde, avec parfois de multiples mèches fichées à l’intérieur…
Question navigation j’utilise un GPS de la marque Hammerhead, le Karoo 2 qui est je trouve particulièrement efficace dans le domaine de la navigation. Leurs mises à jour régulières apportent des correctifs, voire des améliorations substantielles. Par exemple jusqu’à l’été dernier, si l’on chargeait un parcours de plus de 500 km, on perdait beaucoup sur la précision (voire l’existence) de certaines fonctionnalités : les montées à venir (distance, longueur, dénivelé max et moyen), ainsi que la précision sur la cartographie.
Il semble que ce soit réglé maintenant (je n’ai pas encore testé) et que l’on puisse charger un parcours de 1000 km ou plus sans perdre ces précieuses informations ! Bon en revanche ces nombreuses données ont un coût énergétique important et il est nécessaire de recharger le GPS au bout de 8/10h, mais on peut le faire en roulant avec une batterie externe, donc point besoin de s’arrêter, c’est quand même un avantage !

Une anecdote que tu voudrais partager ?
Bikoon : Pas vraiment une anecdote, plutôt un retour d’expérience sur mon BikingMan Euskadi dans les pays basques et Pyrénées Français et Espagnols. Je découvrais cette magnifique région, et j’ai été surpris de voir à quel point le pastoralisme rimait avec animaux en liberté ! Réellement superbe, mais nécessitant une attention de chaque instant, surtout en descente… C’était crucial d’avoir une bonne lampe avant, que j’avais doublé d’une frontale, très utile dans les virages pour voir s’il n’y a pas d’obstacle sur la trajectoire. Car il y en a eu dans les Pyrénées !!! Notamment dans la descente du Soulor passé minuit où j’ai croisé de nombreux chevaux en bord de route, il ne fallait pas arriver trop vite, et garder les freins à portée de doigts ! Un poil dangereux lorsqu’on ne sait pas comment va réagir l’animal, traverser la route devant soi, ou s’éloigner tranquillement, mais des instants uniques !

Des conseils pour motiver ceux qui hésiteraient à se lancer ?
Bikoon : De ne pas le faire ! (hésiter :mrgreen: )
Ne pas hésiter à se lancer sur du long, mais comme beaucoup de choses, c’est très relatif, donc du long pour Paulette caractérisera sans doute une sortie courte pour Maurice :wink:
Je dirais que (là aussi à l’instar de l’ultra à pied), il faut y aller pro-gre-ssi-ve-ment ! ne pas se lancer sur une Race Across France de 2500km 6 mois après avoir acheté une bicyclette ! Si on aime le vélo (c’est un bon début) on peut augmenter la distance progressivement lors de belles journées printanières. Pour en revenir aux BRM, ça peut être une très belle manière d’aborder le long sans partir complètement à l’aventure car organisés par des clubs cyclos locaux et parfois (pas toujours) avec un ravitaillement en cours de route. Se lancer sur un 200 km peut être un beau premier objectif.
On peut également très facilement tracer son propre itinéraire à l’aide d’applis telles que Strava, Openrunner ou encore Komoot ; en boucle à partir de la maison, en ligne jusqu’à une gare et rentrer en train, ou encore aller faire une bise à belle-maman :wink:
J’adresse néanmoins une mise en garde au lecteur : cette pratique, comme toutes les disciplines d’endurance, est très fortement addictive… cela peut donc avoir un impact non nul sur le temps passé en dehors de la maison ! Car comme je l’ai évoqué précédemment, lorsque je ne faisais que de la course à pied et que je disais que je partais pour une sortie longue, 3h plus tard j’étais de retour. Sur le vélo c’est une autre histoire, mes sorties longues peuvent faire 8, 10, 12h… il faut y penser si le poulet rôti du dimanche midi ne se rate sous aucun prétexte (ça se fait cela dit, mais il faut prévoir un départ vers 4h du matin ou avant :wink: ).

Est-ce qu'il y a une question à laquelle tu t'attendais et que je n'ai pas posée ?
Bikoon : Pas vraiment une question, mais plus une remarque que j’ai déjà entendue en me baladant avec mon t-shirt IronMan. La réflexion (venant de personnes peu sportives) faisait état du fait que pour bon nombre de personnes, l’IronMan constitue le graal en matière de sport d’endurance et de difficulté associée :wink:
Alors certes il faut savoir nager, mais pas forcément être un bon nageur, et même pour une distance IronMan dans un coin velu type EmbrunMan, NorseMan, AltriMan ou SwissMan ce n’est que maximum 15/18h d’effort. On est loin de ce que peut représenter en terme de durée associée à la fatigue inhérente une épreuve d’ultra endurance à vélo ou à pied :D

Bikoon et shef

Messagepar philkikou » sa fiche K
» 19 Mars 2024, 22:43

En echo avec l’édito de Caro, avec cette période morose, ça fait du bien un pause sur Kikourose !

Merci au CA pour leur investissement et au LIKeurs pour cette lettre coups de projecteur !

Messagepar CAPCAP » sa fiche K
» 20 Mars 2024, 13:18

Je n'ai pas encore lu le récit de Coureur du 34, mais je n'y manquerai pas, vu que j'ai passé mes années collège-lycée à Montpellier :wink:

BikoonMan, merci de nous faire partager cette activité peu commune! (pas comme le trail, on voit très souvent des gars déguisés en traileurs dans Paris)
N'as-tu pas pensé à recharger ton GPS dans les descentes ? :roll:
Tu as redécouvert les phares tournants de la DS ! :D
Je vais suivre ton conseil : Ne pas le faire ! (hésiter) ... à ne pas m'y mettre ! :mrgreen:
Bravo pour ta ré-athlétisation ! :wink:

Messagepar Bikoon » sa fiche K
» 01 Août 2024, 09:15

Je réalise @CAPCAP que je ne t'avais pas répondu :oops: sorry !

Recharger le GPS dans les descentes est effectivement possible si l'on installe une roue dynamo à l'avant. ça peut être une solution, à réfléchir pour l'avenir...

Et merci pour ma ré-athlétisation [cela fait 5 ans aujourd'hui 1er août que mon cotyle s'est éparpillé façon puzzle :roll: :mrgreen: ]

Messagepar CAPCAP » sa fiche K
» 01 Août 2024, 12:05

Bikoon a écrit:Je réalise @CAPCAP que je ne t'avais pas répondu :oops: sorry !...

"Y'a pas d'pardon, car y'a pas d'faute..." Beh non, il n'y a pas de faute, car il n'y avait pas de véritable question, plus une suggestion. :wink:

Du coup, certains kikous qui l'auraient raté, vont pouvoir profiter de la torpeur aoûtienne pour lire la LIK de mars (et les autres) :wink:

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