Récit de la course : Marathon de Monaco 2005, par alain
L'auteur : alain
La course : Marathon de Monaco
Date : 13/11/2005
Lieu : Monaco (Principauté de Monaco)
Affichage : 918 vues
Distance : 42.195km
Objectif : Pas d'objectif
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Le récit
Je suis content d’avoir enfin pu l’occasion de voir une partie de l’équipe Noène sur leur stand, samedi au marathon expo.La fatigue cumulé de ces derniers jours ainsi que le manque de sommeil m’a laissé pensé que le marathon de Monaco serait un calvaire et pourtant … Au départ je fais connaissance avec grandes joies quelques clm’s de courir le monde, çà change du web ! Çà me fais bizarre d’être parmi si peu de coureurs aux dossards préférentiels pour les moins de 3h00 à comparer au marathon de Paris où l’on se marchait dessus. La par contre j’ai l’impression de mieux respirer. Je décide de partir sur mes allures habituelles en 4’15 au km qui sait des fois la fatigue est trompeuse. Nous voilà partit, le meneur d’allure est juste derrière moi, apparemment je suis dans le bon tempo, mais je doute déjà avec tout ces faux plats, un vrai casse patte d’entrée et les spectateurs qui n’arrêtent pas de nous motivé. Le paysage est magnifique et je ne vois pas défilé les km. Au passage du semi marathon en 1h29’43, je sent déjà mes jambes qui commencent a peser alors qu’il ne faudrait pas, je décide de me laisser couler tranquillement et de laisser le meneur d’allure partir. Je me sens bien, les sensation sont bonnes mis à pars ces bouts de parpaings que j’ai à la place des jambes, çà m’apprendra de ne pas assez dormir ! Je n’ai pas l’impression de ne pas souffrir, çà doit être ce beau paysage qui me fait oublier le mal. La fameuse côte que redoute pas mal de coureurs passe facilement, je croise un nouveau pilote noène et l’on papote un peu, on sympathise mais le vilain garnement n’a pas voulu continuer la route ensemble, sympas de faire connaissance avec d’autre coureur, A tiens un clm’s en haut de la côte, çà doit être Riri qui la envoyer j’en suis sûr ! Il a préféré faire son 10km plutôt que de nous voir galèrer en haut de la côte.Bon maintenant il reste presque que de la descente, le plus facile. Et bien non, mes jambes raides m’empêche de dérouler, d’habitude c’est mon point fort, et bien là… flûte on verra la prochaine fois ! grrrrDéjà, les derniers km, j’ai envie de traîner la patte, histoire de faire durer le plaisir,On rentre dans le Stade, flûte je suis obligé d’accélérer histoire de faire bien pour honorer ce beau stade.
110ème sur 1215 arrivants en 3h12’03
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