On parle souvent de FC au repos et pendant l'effort, mais qu'en est-il de la FC post effort ?
Je me suis posé la question ce week-end, après mon arrivée au Pleynet sur l'échappée belle, après près de 16 heures d'effort.
Durant la course, j'ai un peu séché dans la montée du col de la mine de fer. J'ai du m'arrêter à de nombreuses reprises et j'en ai profité pour mesurer à la louche ma FC. Alors que je respirais très calmement, ma FC avoisinait les 80 / 85. Au repos, je dois être autour de 60. Je me suis dit que cela était lié à l'effort.
A l'arrivée, j'ai du me poser bien longtemps pour attendre le bus. Au chaud, détendu, bien calé dans un canapé, 1h30 après l'arrivée, j'ai remarqué que ma FC était toujours élevée, autour de 80. Dans le bus retour pour Aiguebelle, j'étais toujours en pleine forme, alors que pas mal roupillaient : j'aurais été incapable de fermer l'oeil ! Et encore plus tard, ma FC avait bien du mal à descendre.
Bon, au réveil, tout était rentré dans l'ordre.
Normal ? Effet des endorphines ?
NDLR : IRM cardiaque à l'effort il y a 4 ans, RAS.