Récit de la course : Ekiden du Val de Marne 2009, par nanardandyvette

L'auteur : nanardandyvette

La course : Ekiden du Val de Marne

Date : 1/3/2009

Lieu : Choisy Le Roi (Val-de-Marne)

Affichage : 1524 vues

Distance : 42.195km

Objectif : Pas d'objectif

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Le récit

 La fugue enchantée  

Une équipe de joyeux musiciens composée en dernière minute s’est lancée dans une œuvre  marathon nommée Ekiden , cette symphonie si particulière qui pour certains sera inachevée…

Notre maestro s’est évertué à nous composer une partition digne des plus grands moments de l’opéra (qui a dit comique ?)

 

Notre premier violon  s’élance à 9h précise au milieu de 95 autres musiciens prêts à nous donner un récital à nous couper le souffle (pour certains  ce fut le cas au sens propre) 

Le ton est donné, l’intro est  enlevée et notre soliste s’en tire en un tour de piste très réussi le tempo est donné.

 

Le chef d’orchestre  reprend alors la baquette et se déchaîne alors  dans un double tour dont il a le secret, le rythme est constant les bras s’agitent et les jambes s’allongent la note sera bonne car la musique est bien jouée.

 

Vient alors le tour de notre second violon qui fait mieux que se défendre, les deux archers glissent  en cadence sur le bitume sous les encouragements des chœurs venus lui redonner un peu de cadence au milieu du solo.  

 

C’est maintenant autour du  percussionniste  antillais qui en pleine interprétation se met à nous jouer un air de biguine, danse autour du bidon, nous gratifie d’un pas de deux à mi-parcours et termine dans un allégro de toute beauté. 

 

La grosse caisse se met en branle et rythme la cadence  avec frénésie. Le roulement est rapide cours et régulier. Pas de fausse note la cadence est respectée. A défaut de battre la semelle le batteur frappe le macadam  d’un temps cadencé.

 

C’est maintenant le Tuba qui donne le ton. Notre dernier membre du sextuor donne de tout son souffle le premier passage est bien interprété  et malgré une fausse note lors du deuxième  morceau l’interprétation se termine dans un rythme endiablé.

 

L’orchestre réuni au grand complet posera pour l’éternité sur son piédestal  dressé pour l’occasion dans une salle de concert annexe.

 

Les arrangements étaient de gérard

Avec

Premier violon     :  Alain

Maestro                :  Gerard

Deuxième violon :  Laurent        

Percussion            : Eugène

Grosse caisse        : Bernard

Tuba                      : Philippe

1 commentaire

Commentaire de JLW posté le 12-03-2009 à 22:50:00

Vive l'opéra, un sport d'endurance qui demande une VMA d'enfer.

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