Récit de la course : Les Foulées Orange 2004, par jordy17
L'auteur : jordy17
La course : Les Foulées Orange
Date : 25/4/2004
Lieu : St Christophe (Creuse)
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Distance : 11km
Objectif : Balade
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Superbe petite course champêtre
Je me suis inscrit pour encourager Christelle, ma compagne, à participer à sa première course de sa carrière sportive. Appartenant à l'Equipement j'ai donc choisi cette course champêtre se déroulant dans le petit village de Saint Christophe en dessous de Guéret et organisée par les collègues du département.
Deux parcours sont proposés 5,5 kms et 11 kms: il s'agit en fait de faire une ou deux boucles de 5,5 kms selon la course choisie. Un peu moins d'une centaine de coureurs mais sous un superbe soleil printanier nous préparons à partir. Petit échauffement avec Humberto, un collègue, et Christelle.
Venant du département des Deux-Sèvres, nos collègues de l'Equipement locaux, organisateurs de l'épreuve nous accueillent avec beaucoup de chaleur et de sympathie.
Seulement le départ est prévu à 10 heures et Humerto a disparu. Les organisateurs retardent légèrement le départ pour permettre à celui-ci de partir avec les autres malgré une grosse envie de... qui l'avait retardé.
Ca y est c'est parti. Partis à fond pour remonter un peu le peloton dans une légère descente, tout va bien jusque là. Petite bifurcation à droite, descente dans un chemin de terre, tout va bien. Nouvelle bifurcation à droite, chemin et… horreur : côte d’un dénivelé très important courte mais très raide (100 m environ). Arrivé en haut ça calme et jambes dures, rythme cassé.
Bon ça repart montée, descente, etc… jusqu’à la route qui redescend sur le village sur 1,5 kms environ. Tout Schouss.
Passage sur la ligne de départ pour la deuxième boucle et retour sur le raidillon et ce qui devait arriver arriva. Pour la première fois de ma carrière de coureur je marche. Me trouvant devant Humberto, je regarde derrière et l’aperçoit qui arrive et attaque la montée en courant. Force est de constater que bien que marchant je ne perd pas de distance sur les coureurs tellement leur foulée est courte pour cette montée dantesque.
Le reste n’est qu’un grand calvaire avec des jambes fatiguées par le relief et un départ trop rapide pour éviter le retour de Humberto que je continue d’apercevoir derrière moi au détour de chaque virage. Enfin j’atteins la descente finale et je mets le turbo ou du moins ce qu’il en reste. Enfin j’arrive avant lui, dans un temps de 56 minutes ce qui ne semble pas terrible mais me satisfait pour cette occasion sur ce parcours très très difficile.
C’est sûr je reviendrais l’an prochain. D’autant que la remise des prix suivie du pot de l’amitié est notable et remarquable. Très sympa et merci aux organisateurs.
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