L'auteur : BenBen42
La course : SaintéLyon
Date : 27/11/2021
Lieu : St étienne (Loire)
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Distance : 78km
Objectif : Terminer
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Tout d'abord avant de me lancer dans une course de cette distance il faut savoir que je n'avais jamais courue plus de 46 km et bien évidemment le stress et l’appréhension était de mise les jours précédant la course, c'était mon objectif de l'année, surtout que la préparation ne s'est pas forcément dérouler dans les meilleures conditions, En effet début juin lors du sortie longue, une grosse douleur est apparue sur le genou, impossible de forcer sur ma jambe lors des montées une grosse piqûre lors des descentes, quelques jours de repos un passage chez le médecin, une éco et un irm plus tard le résultat tombe : tendinite de la patte d'oie et une inflammation du tendon rotulien, compliquer de préparer une grande course dans ces conditions mais il y a du temps on va essayer, De nombreuse heures en salle de kiné pas mal de renforcement musculaire tous en continuant la course sur des surfaces assez plate ou avec faible déniveler au début puis en progressif de septembre jusqu'à début novembre et ce laisser porter jusqu'à cette mythique,
jour de course :
les conditions climatiques sont plutôt bonne à quelques heures de la course le ciel est bleu mais la météo devrait changer dans la nuit, normal c'est une saintélyon après tout,
22h30 arriver à Saint Étienne direction la salle du palais des sports pour retrouver la foule des coureurs et s'abriter en attendant l'heure du départ, la chaleur est élevée le stress monte impossible de se détendre, heureusement je retrouve un groupe d'amis avec qui je vais faire cette course, ça discute ont rigolent la tension redescend, puis l'heure arrive, tout le monde se dirige vers la sortie et la surprise il neige à gros flocon ! Le choc thermique est vite dissipé avec l'attente en rang serrer dans ce goulot de barrières qui nous conduit sur la ligne de départ, près de 30 min d'attente en extérieur départ dans la troisième vague, c'est long mais bon le publique les copains autour font patienter avec le sourie, et c'est ainsi qu'a minuit top départ de ma course,
Saint Étienne km0
Le départ une fois l'arche franchie, ont commencent par 5km de bitume sur une allure calme, ne pas se faire entraîner sur un rythme plus élever par les relais et ceux qui non pas pu partir dans les sas précédent, la neige à tenue par endroit sur le bitume et malgré le flot des coureurs c'est agréable de courir sur ce petit tas de neige qui atténue les chocs ces premier km mon vite réchauffer et je trouve que l'on est même bien pour courir malgré un petit vent et de la neige on entend les coureur parler et blaguer le moral est bon, on continue jusqu'au km10 avec des alternance de chemins, sentier et route pour rentrer dans un bois à l’abri, la boue nous y attend mais c'est quand même raisonnable, il sent suite une longue grimpette de 8 km jusqu'au premier ravitaillement qui nous attend, obliger d'alterner entre marche et course suite au monde lors des passages étroit et les montées assez raides, un léger coup d’œil en arrière pour voir le flot des lumière et wahooo que c'est beau c'est quand même à voir on m'avait dit de regarder en arrière et c'est vrai que c'est impressionnant mais pas le temps de faire des photos c'est une course quand même il faut continuer, à l'approche des deux dernier km avant le ravitaillement on passe un col et là c'est une claque on est exposer en plein vent les températures ont l'air d'avoir chuté d'un coup il y a plein de neige sur les chemins et la route damée par les premier coureur c'est transformé en patinoire, il y a quand même de nombreux courageux sur le bord de la route les lumières du village sont en vue et pousse jusqu'au ravitaillement,
Saint-christo-en-jarez km18
Un rapide arrêt le temps d'avaler un thé chaud une barre de céréale remplir mes flasques qui n'ont pas geler malgré le froid et de repartir en compagnie de mon groupe d'amis toujours unie, un peut de goudron mouiller pour sortir du village puis un long chemin en faux plat montant et un bonne monté courte mais raide ou l'on croise les pompiers et les signaleurs qui nous avertissent que la descente qui suis est verglacer et dangereuse,ça met un petit coup dans la tête et effectivement c'est pas jolie les appuies sont pas bon et assez fuyant de nombreux coureur devant moi glisse sans chuter, il est clair que cette partie va pas être évidente je calme mon rythme quitte à marcher, puis une énorme monter de 2 km en foret nous ramener sur un plateau ou de nouveau le vent et les chutes de neige nous attendes mais là les chemins sont totalement geler impossibles de courir dessus obliger de passer sur les a cotés voir même dans les pré, les visages des coureurs sont fermer, quelque kamikaze si risque pour gagné du temps, j'assiste a plusieurs chute, à un carrefour les pompier sont au soins pour une dame qui est tomber, on entend des crient de douleur mais on nous dit de continuer qu'ont s'occupe d'elle ( les pompier nous doubleront avec un buggy la dame sur la civière pour l'évacuer) à ce moment là je me met un peut dans ma bulle le cerveux ce met en mode déconnecter pendant plusieur km pour ce retrouver a Sainte-catherine,
Sainte-Catherine km 32
J'arrive au ravitaillement assez concentrer la partie prècedente n'était pas forcement de tous repos mais je suis dans une bonne forme ( avec toutes les personnes qui m'avait parler de leur saintélyon une chose revenait vraiment : il faut arriver à sainte catherine avec de bonne jambe sinon tu risques d'avoir une fin de course compliquer) , J'avalle un petit paquet de chips, chose inhabituelle mais j'ai envie de salé, suivit d'un bon thé chaud et d'un verre ce coca et c'est repartit, pas un arret trop long le coin est venteux et on est pas trop à l'abrit, à partir de maintenant certaint endroit me reviennent en mémoire ( pour avoir fait le 44km en 2019),
on attaque par la monté de brule-fer celle là elle pique mais bon au moins la neige tombe moins tous ce passe bien sent suit un gros morceau que j'apprehende la monté et la descente du fait des conditions du signal de st andré, une monté technique, longue et difficile avec un vent glaciale le moral en prend un petit coup mais un carré de chocolat redonne le sourire l''arriver au point de vue ce fait par surprise puisque l'ont est entrer dans un morceau de brouillard lors de l'acension dommage, on traine pas on enchaine la descente de 3km, un panneau afficher sur un arbre indique " descente technique" ok bon on va voir ce que ça donne mais après quelques mètres c'est un enfer la glace est de retour les coureurs ce mettent en fil indienne pour certaint passage et de nombreuses chute sont a déplorer par trois fois je me suis mis à glisser les chevilles fuyait, et par deux fois j'ai attraper les concurents de devant pour pas qu'il tombe mais la troisième grosse chute, on est passer sur une sorte de canalisation d'eau en pierre totalement geler et beaucoup ce sont mit a chuter, je me suis arreter pour relever le monsieur devant moi ça frontale avait voler le poignet en vrac le k-way déchirer, plus de peur que de mal, mais derière deux coureurs arrivent en glisse sur les fesses tous les deux manquent de nous renverser, l'approche du point de ravitallement suivant ce fait avec pas mal de coureur au ralentit,
cette partie ma marquer, de voir la solidariter des coureurs qui attrapent leur concurent pour eviter leurs chutes quitte à eux même ce mettre en danger ou des mots sympas pour les personnes qui ont chuter ou était au ralentit, marchait difficilement ( probablement car a mon niveau le but n'est pas de gagner mais de ce faire plaisir et de finir la course),
Le camps st genou km45
un ravitaillement uniquement liquide annoncer ou l'ont ce retrouve au millieu d'une ferme mais surprise il y a un peu de la bouffe j'avale un gel, une barre au céreal un bon thé chaud et c'est repartie mais là supprise le genou récalcitrant les mois précedent à l'air d'avoir refroidit et coince un peut quelques petites douleur surgisse, le doute s'installe mais après deux trois km tous est ok la suite de la course est un long enchainement de chemin et de route sur un profil plutôt descendant tous va pour le mieux mais les portiont de bitumes ne me donne pas de bonne sensation, et une petite pluie vient de s'installer l'enfer de la gadoue de 2019 revient en tête et je n'ai nul envie de revivre ça, mais j'augmente un petit peu le rhytme de course la ou c'est possible le jour ce lève j'avais peur de prendre un coup de pompe mais il n'en est rien,
Soucieu en jarrest km56
dans la salle il fait assez chaud je n'ai pas trop envie de mit attarder mais il reste 22km mes chaussettes sont tremper suite à une grosse flaque que je n'ai pu éviter, je me pose vite fait sur un banc et la c'est la crampe au abdos je s'avait même pas qu'on pouvait ce faire ça ! J'enleve péniblement mes chaussure et chaussette, attrape la nouvelle paire dans mon sac mais impossible de les enfiller j'ai trop mal, Une voix à coté de moi me dit d'inspirer et d'expirer profondémment et de me calmer, je tourne la tête et voie un coureur avec un dossard jaune ( 156km de l'allé retour) la je suis sans voix il à le pied en sang mais le sourire au lèvre, il était en train de ce mettre un strap,un rapide échange et sans m'en rendre compte je m'était remis en tenue, je le salue et repart un rapide coup sur la montre ( la je vois 56km c'est déja 10 de plus que je n'avais jamais réaliser et physiquement je me trouve bien), les pieds au sec mais la partie qui m'attend à bien changer la pluspart des chemin emprunter les autres années on laisser place au bitumes et avec le recul je réalise qu'une assistance avec de nouvelle chaussures m'aurait beaucoup aider, mes salomon sense ride 4 sont très bien mais a force de bitumes j'attrape mal au jambes je profite des quelque partie de chemin pour récuperer, la fatigue va s'installer au fur et à mesure
Chaponost km65
Lorsque l'ont arrive à ce dernier ravitaillement sur 800m à peut près on croise ceux qui en sorte on réalise une boucle qui mentalement m'a mit un coup, ces visages marqué ne motive pas pour le final, un thé chaud rapide un gel et hop on repart la encore cette dèrniere portion à été modifier et du bitume à manger mais je serre les dents c'est bientôt fini je n'abandonnerai pas les conditions météo sont bonne une lueur de soleil parmis les nuages le passage de copain sur l'épreuve pour des encouragements, on puise dans les ressources jusqu'au celebre aqueduc de bonnand ou la une monté tortueuse me demolis les cuisses les crampes ne sont pas loin mais on continue l'arriver est proche la redescente par le parc de loisir dans la terre est tout aussi glissante que douloureuse le corps commence à lachez, les derniers km sont difficiles et sans fin ,la longue descente d'escalier est meurtrièrte pour les jambes surtout lorsqu'un coureur du 156km me depasse en devalant les escaliers 2/2 dans une fraicheur déconcertante à me briser le peut de moral restant, un rapide regard sur la montre pour voir l'heure et atteindre mon objectif temps, le panneau 1km en vue ( qui pour la première fois après mes éditions 2016 sur le 22km et 2019 sur le 44km) ce trouve vraiment au bonne endrois, je donne tous ce qui me reste pour arriver même si je chopes des crampes et me traines jusqu'a l'arche, l'entré dans le gymnase remplit de monde (car je suis arriver juste avant midi,l'heure du podium pour les vainqueurs) me fait exploser de bonheur une petite larmes verser en passant la ligne, et c'est un grand ouf de soulagement, on récupère la médaile,le t-shirt, la photo officiel et le repas,
résultat 11h56 minutes pas un temps de course incroyable mais pour moi c'est une victoire de finir après une année compliquer de réaliser ma première longue distance sur une mythique,
je réalise que mes équipier de course m'ont été d'un soutien incroyable et qu'il faut un sacré mental pour ce lancer seul dans une t-elle distance avec ces conditions. A l'heure d'écrire ce résumer et avec le recule je me rend compte a quelle point mon manque d'expérience m'a fait défaut, je retiens cependant de très bon enseignements pour mes futures courses.
un énorme bravo au bénevole comme toujours, sur le parcours j'ai été impressioner de les voires au milieu de nul part en plein nuit et dans un froid, des ravitaillements ou certe je ne suis pas passez avec les dernier sas mais qui était relativement garnie,
bonne lecture,
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