Table d’Orientation de St Pierre d’Allevard

 

 

 

Déjà la dernière manche « estivale » en ce vendredi 3 septembre, et première participation 2021 de la corne qui se fait bien chambrer !

 

 

Comme dirait Jean-Claude Brialy « tous les amis sont là », il y a pléthore de monde !!! Est-ce l’effet de la dernière ? Est-ce parce que cette manche est moins loin ?

 

 

Rapidement premier temps fort de la soirée : le briefing attendu de Gilbert, où l’on apprend qu’à certains carrefours… il faudra regarder si les arbres sont « écorcés » !!! Si c’est pas éco-responsable je n’y connais rien !!!

 

 

Nous voici tous dans le parc, et « FEU », les fauves sont lancés !!!

 

 

Et qui déboule façon sprint sur ma droite, le Nico ! Il veut saucissonner ce soir ?! En tout cas je suis gâté, je ne suis pas le seul poireau aujourd’hui.

 

 

Nous voici en fin de bitume, derrière moi une nana, Gilbert, et un ado. Première montée COSTAUDE, un mur, rien de moins. Sauf que l’an passé c’était « tout neuf », là la végétation a repris ses droits, c’est méconnaissable ! Je peux passer Nico même si j’entends des phrases menaçantes, devant je vois Fred remonter, il doit y avoir 5 ou 6 nanas devant !

 

 

D’ailleurs celle en noire devant moi se pose, « hé faut jamais s’arrêter », d’ailleurs elle repart et me re dépose. En haut de cette tuerie c’est le carrefour à ne pas rater, « à droite dans la végétation », s’ensuit un sentier puis un replat où il faut relancer !

 

 

La nana m’emmène, ça tombe bien les autres nanas sont parties LOIN DEVANT mais deux gars en jaune fluo sont prenables, je crois à ma chance en croyant que l’un des deux est Toni mais pas du tout ! Du coup j’ai fait l’effort pour les doubler tous les deux + la nana mais maintenant me voici chassé, oups, était-ce intelligent ?

 

 

Mais je sais que le plus dur est fait. Et croyez-le ou nous, mais le classement est (déjà) fait !

 

 

Devant je n’arriverai jamais à recoller la « coureuse perpétuelle » (comment fait-elle !), tandis que j’essaye de ne pas me retourner car je sens la menace de la fille en noir. Me voici à optimiser chacune de mes foulées pour n’avoir aucun regret si jamais je venais à perdre…

 

 

On passe la propriété avec le « pont à chèvres », ensuite le sentier en grand S, puis on remonte des grosses dalles avant d’atteindre une crête interminable, avec, comme au début de la montée, une végétation vraiment touffue.

 

 

Je guette quand même une défaillance devant qui ne viendra jamais, et j’en termine en 42’45 content de mon effort.

 

 

La suite c’est la redescente avec des discussions improbables, avant le dernier apéro de l’année entre les commentaires sur la course, les anecdotes, le vaccin, le trail, Michel Riondet, le vin à la rhubarbe, et moults sujets qui font du bien avant que la pluie ne nous tombe dessus !