L'auteur : philkikou
La course : La Randonnée de la Roanne - 180 km
Date : 5/5/2016
Lieu : Crest (Drôme)
Affichage : 3117 vues
Distance : 180km
Matos : Orbéa Orca
Objectif : Balade
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ma dernière participation à cette belle randonnée bien organisée remonte à 2011,
http://www.kikourou.net/recits/recit-11767-la_randonnee_de_la_roanne-2011-par-philkikou.html
Après un p'tit tour des villages du bout du monde le 26 Mars matin
http://philkikou.kikourou.net/billet.php?idbillet=45
et la randonnée de la Roanne l'après-midi
je reprends la direction de Crest pour participer A LA RANDO DE LA ROANNE, sous un ciel bleu, ce qui n'est pas aussi fréquent durant ce printemps. Le parcours est le même qu'en 2011 mais dans le sens inverse !!! Allez, c'est parti pour un Festival et en prendre plein les yeux et plein les Cannes :
EN REMONTANT LA GERVANNE ET LA SEPIE jusqu'au COL DE LA CROIX
AU PIED DU BEC POINTU ( *33,6kms / 578 m. D+ )
01 Arrivé à bon port sur le parking du gymnase où Gérard fait la circulation. Entre 2 voitures on arrive à discuter 5' sur son blog, ses parcours vélo, et les aventuriers drômois de samedi. Dommage, pas recroisé après la rando
02 Inscription à 8€, un café, un bout de gâteau... et c'est parti pour une magnifique journée ensoleillée, mais encore un peu fraîche ce matin (presque regretté les gants)
03 Annonce du Challenge vallée de la Drôme qui aura lieu dans 2 jours, les cyclistes laisseront la place aux coureurs à pied
04 Direction Beaufort plein Nord. Derrière moi paysage champêtre avec les 3 Becs et le synclinal de Saôu....
05 Est-ce le Grand Veymont à l'horizon ???
06 Montclar et sa chapelle : je ne ferai pas le crochet par là-haut et Vaugelas cette fois-ci
07 Les Taruelles et les crêtes menant au Bec Pointu dominent la Vallée de la Sépie
08 Au passage de l'Escoulin
09 Le Bec Pointu à l'approche du Col de la Croix
10 A la flamme rouge « mobile » du Col de la Croix, j'ai l'occasion de discuter avec un cycliste en vélo couché....
11 … jusqu'au Col de la Croix ( *33,6kms / 578 m. D+ )
*PEDALER A « CREST-DIE *»
12 Le But St Genix droit devant
13 Ranc de la Penne et la ferme Lallet pour rejoindre la vallée de la Sure
14 La plaque de cocher de St Julien en Quint fait partie de la collection de Gérard***
*** Plaques de cocher drômoises ovales
"On désigne par "plaque de cocher" les plaques directionnelles en fonte, placées à environ 3 mètres du sol sur des bâtiments privés ou publics. Leur nom et leur position élevée vient du fait qu’elles devaient être facilement visibles et lisibles par les cochers. Beaucoup ont disparu.Celles qui restent font parfois l’objet de restaurations assez réussies.Dans la Drôme, les plaques ont été installées entre 1861 à 1865."
(Extrait du site d'Alexandre Costantini sur lequel vous trouverez des informations plus complètes)
Je photographie ces plaques afin de les repertorier.
La presque totalité de ces photos ont été prises par mes soins exclusivement lors de mes sorties de vélo.
Certaines m'ont été envoyées. Je les publie (avec une annotation) en attendant d'aller les photographier moi-même ( http://gerard.betton.over-blog.com/page-5987239.html )
15 Font d'Urle caché derrière le Serre de Montue et le Puy de la Gagère
16 2° Col matinal qui poursuit l'échauffement et le réchauffement des cyclistes...
17- et un ravitaillement à hauteur de Marignac chaleureux et copieux
18- Le Ménil, La Dent de Die et les falaises de la Montagne du Glandasse
19- Possible de monter à la Croix de Justin en vélo de route ?
( DIE *55 kms / 835 m. D+ )
REMONTER LA DRÔME AVANT DE PRENDRE LA CLE DES CHAMPS ET DU COL DE PENNE
20 Au bout de quelques kms rattrapé par un train de 4 cyclistes... que je raccroche jusqu'à la bifurcation de Barnave
21 Fleurs de lin sur les talus.
22 La route serpente jusqu'à Barnave..
23 Allez du balai les cyclistes, et allez attaquer le Col de Pennes ! ! !
24 ce n'est pas cette côte-là mais dés la sortie du village changement de développement et ascension en lacets...
25 Aperçu dans un lacet du Petit et Grand Ferrand (?) et du Jocou à gauche.
26 Après quelques minutes d'ascension non pas en montgolfière mais en lacets, me permet de découvrir Barnave et la Montagne du Glandasse et la Vallée de la Drôme
27 *COL DE PENNES 77,5 kms /1486 m. D+
La fin de la montée a moins de % à partir du carrefour de Jansac. Monté en compagnie d' un retraité de la DDE qui a un panneau dans le dos «gardez vos distances » pour les automobilistes.
*VALLEES D'AUCELON ET DE LA ROANNE : UN PETIT COIN DE PARADIS
28 La Servelle culmine a 1613m. D'altitude, avec la Vallée d'Aucelon et son village à ses pieds ( bien chaussés, avec des lacets)
29 En rejoignant le ravin de Beaufay, çà vaut le coup de se retourner pour voir ce bout de route taillé dans la montagne avec les 3 Becs à l'horizon
30 Les Rochers du Château et de st Michel et Pe,,es sur son balcon.
31 Passage à Aucelon* sans m'arrêter dans le village
*AUCELON Cette commune aux fortes pentes, est dotée d’un village-crête, qui a traversé les siècles toujours sur le même emplacement, et s’avance au centre d’un immense cirque de montagne, splendide et désolé, surplombant la vallée. Dans ce vaste territoire perdu et pentu, les anciennes fermes occupent les crêtes comme le Colombier et Champnovi, ou sont accrochées aux flancs des montagnes comme La Conche, Noyaret, où la Blachette. Elles sont dotées de citernes car les sources sont faibles. L’eau abondante dans la rivière est rare sur les pentes. Avant les routes, le débouché principal d’Aucelon, comme de Pennes le Sec, était Luc en Diois dans la vallée de la Drôme par le col de Pennes. Ce fut l’endroit rêvé pour les assemblées du désert, lors de la Réforme Protestante qui vint de Die, comme en témoignent les nombreux vestiges de sépultures et cimetières familiaux. Après un assoupissement, elle fut réveillée en 1830 par le pasteur Jean-Frédéric Vernier, qui fit construire le temple, et créa une bibliothèque religieuse.
Son isolement et les très dures conditions des travaux agricoles furent à l’origine de la dépopulation du village. M. Vittot, instituteur d’Aucelon, écrit le 12 décembre 1893 : « La commune, entourée par de hautes montagnes, ne possède que de mauvaises voies de communication. Elle n’est reliée aux communes voisines que par des sentiers impraticables pendant l’hiver et la saison des pluies […] Les habitants de cette localité semblent, à cause de leurs relations difficiles avec les pays voisins, êtres restés étrangers à la civilisation moderne. Tout y est, à vrai dire, à l’état primitif ». Ayant abrité jusqu’à 466 habitants en 1811, elle n’en comptait plus que 18 en 1990. Aucelon comme d’autres, renaît avec les résidences secondaires et compte aujourd’hui 40 habitants. Mais Aucelon, c’est aussi une magnifique rivière de résurgence où l’eau toujours claire coule sous une voûte de feuillage, au fond d’un thalweg abrupt et d’accès difficile.
Le temple date de 1830, il est bien restauré. Seuls 2 cultes y sont célébrés chaque année, et il fait office le reste du temps de salle communale : il abrite des expositions, il est le lieu de représentations théâtrales, de soirées contes… Seul lieu de vie et de rencontre de la commune, la population du village a dû se battre pour le conserver et l’utiliser pour des manifestations autres que les cultes. La bible en relief qui orne le portail est une décoration peu commune. La mairie est accolée au temple, et c’est elle qui est surmontée d’un clocher.
32 En rejoignant la Vallée de la Roanne la ferme du Colombier sur son promontoire entre Aucelon et Roanne
33 Le Col du Tavard un col peinard...
35 St Nazaire le Désert*** vu du nouveau pont
*** ST NAZAIRE LE DESERT C’est auprès d’un prieuré Bénédictin du 12ème siècle que se construisit le village actuel aux 14 et 15ème siècle. La communauté des habitants se situait auparavant sur un crête de Montanégue, à Saint Philibert, puis ils descendirent progressivement au bord de la Roanne. Si le nom de Saint Nazaire vient du patron de l’église des moines, le Désert rappelle sa situation dans ce territoire très anciennement nommé « le Désert », qui s’étendait jusqu’à la vallée de L’Eygues. Avant l’ouverture de la route les échanges étaient plutôt orientés vers le Sud, par le col du Pin, puis par le col Lescou ; mais la Nouvelle Route de 1895, a réorienté les circulations principales vers le chemin de fer et la route de la Vallée de la Drôme. Après le rattachement de Petit Paris, son territoire s’étale sur 4 662 hectares. Il y eu 1169 habitants en 1806, et seulement 185 en 1999. Mais nombreuses sont les résidences secondaires.
Ces ponts métalliques datent évidemment du temps de la construction des routes, 1885 pour le pont du Brouas, et 1896 pour le pont du Chenevier. Ils sont les représentants des premiers ponts en acier doux rivés.
36- Le centre du village étant en plein travaux, le ravitaillement a trouvé refuge sur les hauteurs du village, dans la cour des Sapeurs-pompiers, pointé par un jeune supporter des Verts !!
(* St Nazaire le Désert *100 kms /1650 m. D+ )
*VOLVENT, COL DES ROUSTANS AVANT DE PLONGER SUR CHALENCON ET LA VALLEE DE L'OULE ( *La Motte Chalencon *125 kms / 2167 m. D+ )
37- Le Col de Guillens ouvre la porte...
38/39- à de nouvelles découvertes à venir comme celle du village du bout du monde du Monestier, et la route des Cols de Planlara et Chamauche
40- Le Col du Portail et les crêtes allant du Col de Pennes à Chalancon
41- Vue aérienne de Volvent et sa région
42- Un joli Col dans une peau de Vache... ou une jolie vache déguisée en Col
43- Volvent et les 3 Becs
* VOLVENT Le village-rue perché, dont on a une vue superbe de la route de Saint Nazaire, possède une pittoresque église rurale Notre Dame de l’Olme. Comme la majeure partie du Diois, il passa entièrement à la Réforme au 16ème siècle, qui arriva d’Aucelon par la Servelle. Le presbytère et l’église furent détruits pendant les conflits. Cette dernière fut reconstruite par la suite. Vous pourrez admirer les belles maisons anciennes aux linteaux datés.
Ce petit village est réputé dès le 19ème siècle pour son miel, dont on dit à l’époque qu’il est de «grande réputation» (1850) et «excellent» (1900). Le miel de Volvent était réputé. D’une part il y avait le miel de lavande, d’autre part, le miel de buis. Miel et lavande ont de tous temps été associés : là où est cultivée la lavande, on trouve du miel. Le miel de lavande étant très recherché. Dans le temps, comme chaque famille avait son alambic, chaque famille avait son rucher : des ruches-tronc (un tronc d’arbre vide avec un croisillon au centre). Le miel était extrait à chaud.
Il y eut 427 habitants en 1811, seulement 23 habitants en 1990 et maintenant 43 habitants en 2007
44- Arrivé au Col des Roustans, après avoir vu un cycliste roulé à bonne allure et son collègue qui le suivait accroché à une voiture !!!
45- Le Plateau du ruisseau d'Aiguebelle et la Montagne d'Angèle....
46/47- Avant de passe au Passage de l'Echelle,....
48- et voilà la fameuse échelle...
49/50/51/52- pour une observation de Via Ferrata, un beau parcours vertical et aérien
53- Une plaque de cocher bien caché à Chalancon***...
54- A côté de l'église que visite un autre cycliste
55/56- La Serre de la Croix et Chalacon avec le Rocher de la Via Ferrata à droite
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***Chalancon, avec ses 3000 ha, compte parmi les grandes communes du département et s’étend sur les versants de la vallée de l’Oule et de la vallée de la Roanne, jusqu’aux portes des communes de La Motte Chalancon et de St Nazaire le désert.
La soixantaine d’habitants est dispersée entre le magnifique village, accroché à son rocher, situé plein sud et dominant le village de la Motte et plusieurs habitations, parfois regroupées en hameaux, posées ici et là, le long des chemins et des routes qui sillonnent la commune.
L’activité agricole est encore présente avec quelques exploitations pratiquant essentiellement l’élevage de moutons et chèvres, la culture des plantes médicinales et aromatiques.
Au hasard d’une des nombreuses randonnées possibles, vous découvrirez la piste d’atterrissage de l’altiport de Faucon doré (privé) ou encore le site de la Via ferrata suspendue aux falaises jouxtant le village.
*REMONTE LE TORRENT D'ARNAYON POUR ALLER SUR LE BALCON ENTRE MONTAGNE D'ANGELE ET SOURCE DE LA ROANNE ( COL LESCOU 141,5 kms / 2598 m. D+ )
57- Après un passage express à La Motte-Chalancon et avoir suivi l'Oule, bifurcation à droite pour remonter le torrent d'Arnayon
58- Un Pas à venir...
59- balisé par les orchidées du mois de Mai.
60- doublé par un groupe de cyclistes avec la Montagne d'Angèle à l'horizon
61- Et un Col de plus dans l'escarcelle : Le Col de Pré-Guittard
62- et au milieu de 2 cols...se trouve un ravitaillement !
63- Le Col de Lescou met fin à cette belle balade en balcons au pied de la Montagne d'Angèle et la Montagne de Couspeau en vue***
***Couspeau * et celle d’Angèle *
* La montagne de Couspeau est sans aucun doute la montagne qui caractérise le mieux le Pays de Bourdeaux. Dominant le Col de la Chaudière, elle fait face au Pré de l'Ane dernier des trois becs avec le Veyou et Roche Rousse au dessus de la forêt de Saou. Appartenant au massif du Diois, la montagne de Couspeau s'étend tout en longueur de telle sorte qu'elle est visible de presque toutes les communes du Pays de Bourdeaux. Le point culminant de la montagne de Couspeau est le Grand Delmas à 1544 mètres d'altitude.
La montagne de Couspeau avec le GR9 notamment offre de belles randonnées aux amateurs de marche en moyenne montagne. Ce sera l'occasion de découvrir une faune et une flore riche. Vous pourrez ainsi découvrir de nombreuses espèces d'Orchidées et de fleurs sauvages mais aussi peut être apercevoir des chamois ou encore de nombreuses espèces d'oiseau. En rejoignant le Grand Delmas à 1544 mètres, vous profiterez d'une fraicheur bienfaisante et d'un panorama absolument exceptionnel dominant toute la vallée du Roubion avec au loin les massifs des Alpes par jour de beau temps.
*Accessible par différents itinéraires, la montagne d’Angèle est classée Espace Naturel Sensible. Abritant chamois et aigles royaux, elle offre l’été des paysages de pâture. Troisième sommet des Baronnies (1606 m), la vue que l’on a du sommet s’étend des Cévennes aux Alpes. Sa forêt fut l’objet d’un procès entre la commune et la famille Moreton-Chabrillan en 1821. Cette dernière revendiquait la propriété exclusive de la forêt empêchant ainsi les habitants du village d’aller y couper leur bois. La situation du village sur le versant nord, froid et humide d’Angèle lui a valu, il y a 200 ans de cela, de voir tomber 4 pans de neige (soit environ 1m). La commune resta totalement isolée durant 3 mois, du 24 décembre au 23 mars.
*EN SUIVANT LE ROUBION COMME UN AVION
64- Le Tunnel de l'Etroit débouchant sur Crupies
roulé en relais avec un autre cycliste qui avait un bon rythme sur cette partie roulante en faux-plat descendant en suivant le Roubion
65- De Rochecolombe aux Aiguilles l'extrémité Ouest du synclinal ***de Saou
***Le synclinal
C’est d’abord par la poussée d’une plaque qui commence il y a 88 millions d’années et qui dure 40 autres millions d’années que se forme le synclinal, sorte de plis. Le temps a fait le reste, creusant et érodant le calcaire il inverse le relief : le synclinal se retrouve perché.Et pour ce qui est du paysage, encore une fois la forêt est généreuse : milieux forestiers, landes et pelouses, pentes rocailleuses, milieux humides de forêt alluviale, falaises et vires.
*UN CROCHET PAR SAOU* ET LA VALLEE DE LA VEBRE : PAS PLUS LONG MAIS TELLEMENT BEAU !!! ( *168 kms / 2632 m. D+ )
Je fais une entorse à la randonnée de la Roanne en faisant un crochet par Saou*** et le Col du Pas de Lauzun
* SAOU Petit village blotti au pied du Roc et du plus haut synclinal perché d’Europe, il est connu pour sa forêt, où faunes et flores spécifiques des Alpes et de la Provence se côtoient. Toute l’année mais surtout à la belle saison, le tourisme tient une place importante dans l’économie locale.
Ce village dynamique, fort de ses 500 habitants, fait activement la promotion de ses ressources agricoles (Picodon), sylvicoles, artisanales, artistiques, culturelles et sportives.
La village de Saou est une curiosité avec ses anciennes hautes maisons et les grandes tours
(l’Aiguille de la Tour) rocheuses à l’arrière plan.
La forêt de Saoû est un espace quasiment fermé en forme de navire de 12 km de long sur 2 km de large : le synclinal perché. Son point culminant se trouve à l’est à 1589m : les Trois Becs (Roche Courbe, le Signal et le Veyou). A l’ouest, Roche Colombe est à 885m.
Les deux entrées se situent sur la largeur du site : le Pas de Lauzens où jaillit le ruisseau de Lauzens et le défilé du Pertuis d’où débouche la Vèbre.
Cette fermeture quasiment complète du site en fait un lieu où nombre d’espèces animales ou végétales ravissent botanistes et entomologistes.
66- Le Château à droite, Les Aiguilles et la Tour à gauche : un cadre somptueux pour Saou !!!
67- Le village de Saou commence à avoir son animation estivale
68- Des grimpeurs sur la Tour.... Cherchez Charlie... trouvé ???
69- Réponse en zoom sur la faille à gauche de la partie oranger
70- Le Petit Pommerolle qui est en fait la partie Sud-Ouest du « fer à cheval » que représente le synclinal
71- Monté à la fraîche au Col du Pas de Lauzun très verdoyant et fleuri
72- Le Col côté synclinal avec le Petit et le Grand Pomerolle
73- Descente et traversée de la Drôme à la hauteur de Aouste
74- Et voilà retour à la case Crest et son donjonà 16h30 à l'heure du clocher
75- Une bière et une assiette de charcuterie bien méritées après cette belle boucle
76- Pour les organisateurs c'est l'heure de commencer à plier bagages. Ils ont dû faire carton plein avec ces beaux parcours saupoudrés d'un temps idéal !!!
Merci aux organisateurs pour cette belle rando. J’espère que ce compte-rendu vous aura donner envie de découvrir cette randonnée et cette région, ou d’y revenir !!!
Infos piochés sur les sites www.vallee-roanne.comwww.saou.netwww. Et lamottechalancon.com
La Randonnée de la Roanne - 180 km par PhilKiKou |
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Date |
5/5/2016 |
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Distance |
181.1 kms |
Lieu |
Crest |
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Dénivelé |
2808 m D+ / - D- |
Sport |
Cyclisme |
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Durée |
08h21'32'' |
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Moyenne |
21.66 km/h |
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Commentaire public |
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*openrunner 6048853 |
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