Il y a quelques semaines, lors d'un repas de famille, je discutais avec mon beauf de course à pieds. Il me parlais de ses progrès, et pour l'encourager, je lui expliquais qu'il pouvait sûrement courir plus et plus vite que ce qu'il fait car à courir seul, on était pas vraiment conscient de la somme de progrès que l'on fait. On a tendance à pas vouloir se faire mal et du coup, sans confrontation à d'autres coureurs lors des compèt, on se rend pas compte que l'on peut faire mieux. Et pour ma part, mes limites, je les ai trouvé lors du Gruissan Phoebus Trail du 14 février dernier...(Lire la suite sur la page Facebook).

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