Si d’autres ont vécu ou vivent la même chose, je suis preneur de conseils voire de contacts de spécialistes panaméens avisés.
J’ai des fasciculations permanentes et bien visibles aux deux mollets (24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et nulle part ailleurs). J’ai un peu de mal à situer le point de départ de ce symptôme, mais je dirais que j’en ai pris conscience il y a deux ou trois ans. Quand je dis « prendre conscience », ce fut principalement au moment de me coucher, où je me suis dit un soir que le contact avec les draps provoquait une sensation très désagréable. Cela dit, j’ai un vague souvenir de l’avoir observé il y a très longtemps (20 ans), sans que cela ne perturbe.
Petit coup de flip sur le moment (je vous passe les détails…). Rendez-vous chez un neurologue, EMG nickel, jamais de perte musculaire, circulez, il n’y a rien à voir, « faites un peu moins de sport quand même, monsieur »… Et effectivement, s’il y avait eu une cochonnerie, je pense que depuis le temps, je l’aurais vue passer. Aujourd’hui, la prise de sang de routine est bonne (sodium, potassium, chlore, fer, thyroïde, vitamine D en très léger déficit). Les symptômes sont très très largement accentués par l’effort, même après une heure de footing cool. Alors, après quelques heures dans la pampa, c’est le grand festival. La nuit passée, les fasciculations se calment bien, mais ne cessent pas. J’ai l’impression qu’il y a des hauts et des bas au fil des mois, sans pour autant pouvoir pointer un élément déclencheur, qui pourrait par exemple être le volume de CAP. Pour le reste et dans le désordre : pas de consommation excessive de café, sujet à lumbagos récurrents, épisode de sciatique avéré il y a quelques années, volume d’entrainement de minimum 6 heures par semaine en période creuse, sommeil a priori ok, sujet à une maladie auto immune intestinale qui n'a plus aucun impact au quotidien.
Ce n’est pas handicapant, je fais mes entrainements et mes courses sans souci, mais ca m’agace, surtout au moment de m’endormir. Et comme j’ai un côté malgré tout hypochondriaque, j’aimerais bien faire quelque chose pour que cela cesse ou, tout du moins, se réduise.
PS : j'ai vu qu'il existait un post sur le syndrome des jambes sans repos, mais je ne pense pas qu'il y ait de lien.