BouBou27 a écrit:C'est quoi ce titre putaclic !!
L'étude montre que ceux qui sont obèses marchent plus lentement que la population "normale".
Que l'obésité est un facteur de risque vis à vis du COVID
Mais de là a dire que si qqn de normal qui marche lentement a plus de chance d'attraper le covid, il y a un gouffre dans le raisonement
Mais je suis un peu biaisé, je suis inscrit à l'EB et pas à l'UTMB
Mazouth a écrit:BouBou27 a écrit:Mais je suis un peu biaisé, je suis inscrit à l'EB et pas à l'UTMB
L'an dernier l'EB a été autorisée et pas l'UTMB, donc faire du trail à 2 km/h est sécure, CQFD
Lécureuil a écrit::lol:
Oui et comme d'autres études ont prouvé que l'alcool fort détruisait les virus
Alors le bon mix pour l'immunité c'est ALCOOL + TABAC
.... quand le poison est dans l'antidote
Franch a écrit:Bon la plupart vont mourir de crise cardiaque, mais au moins la mortabilité COVID va baisser, CQFD
Benman a écrit:
Benman a écrit:
Spir a écrit:Benman a écrit:
un truc intéressant quand même, en ces temps où on nous assomme de chiffres. Dans le Puy de Dôme, le fameux "taux d'incidence", càd le nombre de cas positifs ramenés à une population de 100 000 personnes, a très fortement augmenté ces derniers temps, en passant en gros de 150 à 240.
Dans le même temps, la quantité de tests effectués a également très largement augmenté.
Conclusion : si on veut tous repasser en dessous des 50, il suffit de ne plus faire de tests.
Il serait plus intéressant de regarder le taux de positivité, mais là encore, cette donnée ne peut avoir de sens (et être comparée) que si les tests étaient fait "au hasard". Or, selon les périodes, les tests ont été ciblés (seuls étaient testées des personnes présentant des symptômes ou des risques), ou massifs. Donc la courbe d'évolution de cette valeur ne veut pas dire grand chose non plus...
Reste que ces derniers temps, la mise en place de campagnes de tests plus massives conduit quand même à observer une augmentation du taux de positivité, signe que l'épidémie progresse.