Kilian Jornet : actualité et projets

La meilleure preuve, depuis toujours, reste une photo prise au sommet.
C'est aussi la meilleure façon de communiquer sur la réussite. Ce n'est pas pour rien que dès le début de la conquête des 8000, les expéditions se donnaient du mal pour monter du matos photo ou cinéma, à une époque où le poids de ces matériels n'étaient pas anodins.

Tu sais bien qu'il y en a eu une. Exclu mondiale.

Kiki au Tibet.jpg (7.42 Kio) Consulté 4904 fois

La meilleure preuve, depuis toujours, reste une photo prise au sommet.
C'est aussi la meilleure façon de communiquer sur la réussite. Ce n'est pas pour rien que dès le début de la conquête des 8000, les expéditions se donnaient du mal pour monter du matos photo ou cinéma, à une époque où le poids de ces matériels n'étaient pas anodins.

C'est pas forcement une meilleur preuve, y'a qu'a voir la controverse avec Armstrong sur la lune....
Et puis vu que Kilian est arrive au sommet a minuit, c'est pas le meilleur moment pour une photo!

Aaaaaah si !!! La photo de Kilian au sommet ci-dessus est très parlante !

Aaaaaah si !!! La photo de Kilian au sommet ci-dessus est très parlante !

oui, c'est juste dommage qu'il n'ait pas mis son beau buff comme ici

Capture d’e?cran 2017-06-06 a? 21.49.08.png (172.67 Kio) Consulté 4805 fois

Aaaaaah si !!! La photo de Kilian au sommet ci-dessus est très parlante !

oui, c'est juste dommage qu'il n'ait pas mis son beau buff comme ici

Ouais. Mais depuis il est juste passé du mode buff au mode gazelle...

Son move sur movescount: http://www.movescount.com/fr/moves/move159990476

C'est vrai que niveau altitude la Spartan est un peu à côté

journal libération:

Le Catalan, spécialiste du trail, a réussi deux fois l'ascension sans oxygène la semaine dernière. Une performance amplifiée par son service de com.

Kílian Jornet a-t-il vraiment réussi un exploit sur l'Everest ?

Kílian Jornet, célèbre athlète professionnel de trail et de ski de montagne, alpiniste adepte des records de vitesse sur les plus grands sommets du monde, est à la une de la presse internationale depuis plusieurs jours. Le Catalan infatigable, 29 ans, revendique via sa solide équipe de communication et sur les réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Twitter), où il est immensément populaire, deux ascensions ultra-rapides de l’Everest, le toit du monde culminant à 8848 mètres dans l’Himalaya. Il aurait réalisé ces deux ascensions en une semaine, les 21 et 27 mai, sans utilisation d’oxygène en bouteille ni de cordes fixes, en suivant la voie normale d’ascension du versant nord de l’Everest, situé au Tibet. Il fixe ainsi, selon l’une de ses attachées de presse citée par l’AFP, «le nouveau temps de référence connu» pour l’ascension de ce sommet mythique. Et ouvre, selon ses propres mots, «de nouvelles perspectives pour l’alpinisme».

L’ampleur du buzz immédiat, en temps réel, organisé autour de cette performance («record mondial», exploit «historique» et «surhumain», «performance absolument remarquable», «Superman», etc.) et son importance économique stratégique pour les sponsors de l’athlète, dont un célèbre équipementier sportif, appellent néanmoins une série de mises au point.

Rappelons tout d’abord l’absence, pour l’heure, de la moindre preuve fournie par Kilian Jornet (photos du sommet, témoignages de tiers, tracés GPS, récit précis de ses deux ascensions…). Ses réalisations doivent donc encore être homologuées par les autorités montagnardes chinoises, ou par l’organisation Himalayan Database de Katmandou, au Népal, autorité incontestée de l’himalayisme. Dans l’attente, Kílian Jornet n’ayant rien d’un menteur, considérons qu’il a réellement réalisé les deux ascensions annoncées. A quelle place s’inscrivent-elles dans la longue chronique de l’Everest ?
L’oxygène

L’ascension de l’Everest sans l’aide de l’oxygène en bouteille reste une réelle performance, sans la moindre contestation possible : c’est une épreuve aux limites humaines, morales et physiologiques, réservée à une élite. 166 himalayistes, néanmoins, l’ont réussi avant Jornet, depuis la première de Reinhold Messner et Peter Habeler en 1978, dont sept Français seulement. Treize d’entre eux sont morts à la descente après l’avoir réussie. Des dizaines d’autres alpinistes ont payé de leur vie leur tentative infructueuse d’aller au sommet sans oxygène.

Réussir cette performance à deux reprises dans la même saison est en revanche beaucoup plus rare. Seuls des sherpas népalais l’avaient fait avant Jornet. Pemba Dorje avait gravi deux fois l’Everest sans oxygène en 7 jours en 2007 ; le célèbre Babu Chiri, en 1999, puis Chuwang Nima et Kami Rita en 2010, avaient eux aussi réussi le doublé en l’espace de trois semaines.

A lire aussi Kilian Jornet, le Bolt des sommets
Le chrono

Le record officiel de vitesse d’ascension de l’Everest sans oxygène en bouteille, traditionnellement mesuré depuis les camps situés juste au pied de la montagne, au début des difficultés techniques, côté chinois comme népalais, reste pour sa part entre les mains de l’Italien du Sud-Tyrol Hans Kammerlander : 16 h 45 du camp de base avancé tibétain à 6 500 mètres d’altitude jusqu’au sommet en 1999 (et moins de 24 heures pour l’aller-retour puisque Kammerlander avait effectué par la même occasion l’une des premières descentes à ski de l’Everest). L’Autrichien Christian Stangl avait égalé ce chrono en 2006, annonçant être parvenu au sommet en 16 h 42 depuis le même camp de base avancé tibétain.

Pour son ascension du 27 mai, Kilian annonce un temps de 17 heures depuis le camp de base avancé tibétain : il s’inscrit donc parmi les ascensions les plus rapides de l’Everest, sans pour autant améliorer le record. Pour son ascension du 21 mai, il avait en revanche choisi de partir de la fin de la route, peu après le monastère de Rongbuk, dernier bâtiment construit dans la vallée tibétaine menant vers la face nord de l’Everest, où est établi le camp de base inférieur à 5 100 mètres d’altitude et à plusieurs kilomètres du pied de la montagne. Personne n’ayant eu l’idée de partir de là pour une ascension rapide et continue, Jornet établit donc le premier chrono sur ce parcours, en 26 heures jusqu’au sommet, atteint au milieu de la nuit du 21 au 22 mai.
L’aspect novateur

Si la performance physique de l’alpiniste-athlète catalan est remarquable, elle s’inscrit pourtant pleinement dans la tradition de celles réalisées sur l’Everest ces dernières décennies. Techniquement, Jornet n’a fait tomber aucune barrière, empruntant une voie normale lourdement balisée et tracée, abondamment fréquentée, équipée de cordes fixes et d’échelles parfois sur ses ressauts techniques. Parler de «style alpin» léger sur un tel itinéraire, comme le font certains commentateurs, n’a pas de sens. La magie du toit du monde reste forte, mais sa surfréquentation est une réalité qui voile pourtant considérablement son aura. Le 21 mai dernier, date de la première ascension de Jornet, pas moins de 150 personnes sont ainsi parvenues au sommet de l’Everest par son seul versant népalais – avec l’aide de l’oxygène et l’appui des sherpas bien entendu.

La belle semaine de Kílian Jornet à l’Everest restera néanmoins dans les annales par le retentissement phénoménal de sa double ascension. Cet écho, rendu possible par sa notoriété dans le secteur en pleine explosion du trail, s’explique par la puissance de feu de sa communication parfaitement maîtrisée, mêlant les méthodes traditionnelles de relations presse et l’immense champ novateur des réseaux sociaux où Jornet s’adresse directement à ses centaines de milliers de fans. Elle constitue, enfin, un pas de plus dans l’installation durable de l’esprit du trail et de l’obsession du chronomètre dans l’himalayisme.
François Carrel Grenoble, de notre correspondant.

C'est chiant quand même ces journaleux qui font de la polémique parce qu'ils sont incapables de faire du buzz par leurs propres actes. Autant on peut comprendre qu'ils donnent une info vérifiée autant ces sous entendus qui ne veulent pas dire leur nom me périssent le poil.

C'est chiant quand même ces journaleux qui font de la polémique parce qu'ils sont incapables de faire du buzz par leurs propres actes. Autant on peut comprendre qu'ils donnent une info vérifiée autant ces sous entendus qui ne veulent pas dire leur nom me périssent le poil.

Je trouve l'article intéressant, il a le mérite de mettre l'exploit en perspective et apporte un peu plus d'infos (sinon depuis on a la trace GPS). Ensuite je peux comprendre que le ton du journaliste qui dénigre l'omniprésente équipe de com' de Jornet (mais faut avouer que c'est assez juste) peut agacer.

Merci pour le partage.
L'article semble objectif, je n'y vois aucun dénigrement ou polémique. Le journaliste fait son travail en replaçant l'événement dans le contexte historique. Ce qu'un service marketing ne fera pas.

En fait c'est la banalisation de l'ascension par le journaliste et qui m'énerve. Quand il y a une avalanche faisant X mort qui font les gros titres ? Ce sont bien ces mêmes journalistes, rappelant à tout moment les difficultés d'une telle ascension surtout à partir de la zone de mort comme ils se plaisent à dire.

Or là comme c'est Kilian Jornet on commence par poser la question "est-il vraiment monté jusqu'au sommet ?"
Puis ensuite on minimise cette performance en indiquant quasiment que la voie est une promenade de santé et que plein d'autres personnes sont montées au sommet par la seule voix népalaise.

Pourquoi parler de la voix népalaise alors que KJ est monté par la voix tibétaine certainement moins courue et équipée ?

Que l'équipe de communication et les superlatifs employés dont pourtant les journalistes ne sont pas avares puisse agacer, je peux le comprendre, ce n'est pas une raison pour remettre en cause la performance du sportif voir tenter de le discréditer.

Or là comme c'est Kilian Jornet on commence par poser la question "est-il vraiment monté jusqu'au sommet ?"

Non on se la pose pour tout le monde, c'est toujours comme ça en Himalaya car il y a eu des mythomanes célebres (Tomo Cesen pour ne parler que de lui...). A Kathmandou il y a une vieille anglaise qui enquête sur toutes les ascensions pour démêler le faux du vrai...

Récemment certaines ascensions du maître Ueli Steck ont été discutées aussi... et pourtant si quelqu'un était reconnu pour son talent hors-norme c'est bien lui...

il se trouve qu'il y a une démarche facile à suivre pour l'Everest: au sommet tu prends une photo. Normalement la photo du Lhotse qu'on ne peut voir que du sommet en venant du nord.

Tu me rétorqueras qu'il faisait nuit: OK mais au sommet il y a le célèbre "tripode" de l'expédition chinoise de 1975, reconnaissable entre mille: une photo au flash du tripode avec tout le bordel dessus (photos, drapeaux à prière) et la preuve est là...

Donc le questionnement me paraît normal: il ne s'agit pas de dénigrement.

Pour la notion d'exploit ou pas, l'article montre bien qu'on ne peut pas vraiment parler d'exploit car pas de record évident ni de perf vraiment jamais faite. Par contre ils souligne aussi que l'Everest 2 fois sans OX c'est une très très grosse perf dont très peu d'alpinistes seraient capables.

Par cette double ascension KJ fait son entrée avec brio dans le groupe des grands himalayistes, ça n'en fait pas non plus un dieu ou quelqu'un d'unique: pour cela il devra clairement faire ce que personne n'a pu faire avant lui.

Son move sur movescount: http://www.movescount.com/fr/moves/move159990476

C'est vrai que niveau altitude la Spartan est un peu à côté

Au moins ça fait un tracé GPS qui va bien au sommet. (mais à part ça c'est la honte pour la Spartan comme toujours)

A Kathmandou il y a une vieille anglaise qui enquête sur toutes les ascensions pour démêler le faux du vrai...

Elizabeth Hawley

il se trouve qu'il y a une démarche facile à suivre pour l'Everest: au sommet tu prends une photo. Normalement la photo du Lhotse qu'on ne peut voir que du sommet en venant du nord.

Vous vous rendez compte de ce que cela représente de prendre une photo au sommet de l'Everest? Avec l'épuisement, le froid, le vent, etc. Rien que sortir l'appareil photo du sac représente un gros effort sans oxygène. Sans parler du maniement de l'appareil avec des gants "himalayens". Je pense que Kilian avait d'autres priorités à ce moment là!

Je connais d'ailleurs personnellement une alpiniste qui a cinq "8'000" au compteur (dont l'Everest) et qui me disait qu'elle n'avait jamais rien réussi à faire aux sommets (et elle grimpe avec de l'Ox). Elle n'a pas de photos de la plupart de ses sommets. Les rares qu'elle a ont été prises par des sherpas rompus à l'exercice.

Je ne vois donc rien de scandaleux ni de douteux à ce qu'il n'existe pas de photos de Kilian au sommet. C'est même plutôt rassurant qu'il ne se soit pas amusé à prendre des selfies là-haut!

Bon comme il s'ennuyait un peu l'ami Kilian, un petit semi avec 1600m de d+ aujourd'hui... 1h30 ! pfff...

Je ne vois donc rien de scandaleux ni de douteux à ce qu'il n'existe pas de photos de Kilian au sommet. C'est même plutôt rassurant qu'il ne se soit pas amusé à prendre des selfies là-haut!

Kilian est le selfie et le selfie est Kilian.

il se trouve qu'il y a une démarche facile à suivre pour l'Everest: au sommet tu prends une photo. Normalement la photo du Lhotse qu'on ne peut voir que du sommet en venant du nord.

Vous vous rendez compte de ce que cela représente de prendre une photo au sommet de l'Everest? Avec l'épuisement, le froid, le vent, etc. Rien que sortir l'appareil photo du sac représente un gros effort sans oxygène. Sans parler du maniement de l'appareil avec des gants "himalayens". Je pense que Kilian avait d'autres priorités à ce moment là!

Je connais d'ailleurs personnellement une alpiniste qui a cinq "8'000" au compteur (dont l'Everest) et qui me disait qu'elle n'avait jamais rien réussi à faire aux sommets (et elle grimpe avec de l'Ox). Elle n'a pas de photos de la plupart de ses sommets. Les rares qu'elle a ont été prises par des sherpas rompus à l'exercice.

Je ne vois donc rien de scandaleux ni de douteux à ce qu'il n'existe pas de photos de Kilian au sommet. C'est même plutôt rassurant qu'il ne se soit pas amusé à prendre des selfies là-haut!

Ton commentaire est très sympathique, mais des gants, çà s’enlève le temps de faire une photo, même au sommet de l'Everest.

magazine-cover-reinhold-messner.jpg (102.84 Kio) Consulté 3730 fois

Ensuite on parle de quelqu'un qui a eu la force et la lucidité nécessaire pour faire deux fois l'Everest en solitaire en une semaine, pas de quelqu'un qui est monté là-haut shooté à l'O2 et tractée par des sherpas. On parle aussi de quelqu'un pour qui la com' est un moyen de subsistance, et je trouve juste hallucinant de ne pas avoir d'images à vendre de ce moment qui est l'aboutissement d'un projet de plusieurs années.

C'est Montaz qui était peut-être chargé de prendre la photo au sommet

Montaz il n est monté qu a 7500

Ton commentaire est très sympathique, mais des gants, çà s’enlève le temps de faire une photo, même au sommet de l'Everest.

Pour faire un peu de second degré (je précise, okazou), la photo de Messner, il pourrait tout autant être assis sur un tas de neige dans son jardin, avec un faux tripod bricolé avec des tuyaux en alu et un bout de corde....

Ton commentaire est très sympathique, mais des gants, çà s’enlève le temps de faire une photo, même au sommet de l'Everest.

Pour faire un peu de second degré (je précise, okazou), la photo de Messner, il pourrait tout autant être assis sur un tas de neige dans son jardin, avec un faux tripod bricolé avec des tuyaux en alu et un bout de corde....

Mort de rire Excellent

Ton commentaire est très sympathique, mais des gants, çà s’enlève le temps de faire une photo, même au sommet de l'Everest.

Pour faire un peu de second degré (je précise, okazou), la photo de Messner, il pourrait tout autant être assis sur un tas de neige dans son jardin, avec un faux tripod bricolé avec des tuyaux en alu et un bout de corde....

Y en a qui ont essayé :
http://www.lesoir.be/archive/recup%3A%2 ... ne-pendant

http://www.dailymail.co.uk/news/article ... versy.html

Ton commentaire est très sympathique, mais des gants, çà s’enlève le temps de faire une photo, même au sommet de l'Everest.

magazine-cover-reinhold-messner.jpg

Ensuite on parle de quelqu'un qui a eu la force et la lucidité nécessaire pour faire deux fois l'Everest en solitaire en une semaine, pas de quelqu'un qui est monté là-haut shooté à l'O2 et tractée par des sherpas. On parle aussi de quelqu'un pour qui la com' est un moyen de subsistance, et je trouve juste hallucinant de ne pas avoir d'images à vendre de ce moment qui est l'aboutissement d'un projet de plusieurs années.

Le propos n'est pas comparer la performance de l'un par rapport à l'autre, l'un et l'autre ont leurs qualités et certainement leurs défauts. Une photo de nuit quel intérêt ? Les sceptiques l'auraient critiqué de même. Il y a une trace GPS qui montre qu'il y est allé, le journaliste en question a-t-il alors refait un papier dans lequel il admet la réalité du fait ? Quand on remet trop rapidement en cause une performance en sous entendant qu'il y a une possible tricherie, ce sont des choses qui peuvent se faire. Par contre si ce qui compte est juste de faire un papier "buzz", on comprend que le correctif ne vienne pas.

Personnellement je ne connais pas KJ, c'est peut être le type sympa qu'il semble être, ou un gros con qui cultive son image à grand renfort de com' en insultant en permanence les gens qui s'en occupent, peu importe ce n'est pas un pote. Je peux admettre que ces débordements de superlatifs le concernant puissent agacer, mais la critique systématique de ses actes (qu'il réussisse ou renonce comme en en 2016) parce qu'il se donne les moyens de vivre sa vie, me hérisse tout autant le poil.

Pour moi qui suis très sensible à l'altitude et vite mal lorsque je fais de efforts passé un certain seuil, il ne me semble pas inconcevable de renoncer à perdre du temps pour faire une photo de nuit qui est sensée servir de preuve si je sais que mon GPS constituera une preuve équivalente.

Après on pourra toujours me rétorquer que le GPS est monté avec un drone, mais bon ...

Y en a qui ont essayé :
http://www.lesoir.be/archive/recup%3A%2 ... ne-pendant

http://www.dailymail.co.uk/news/article ... versy.html

Edifiant... comment en sont-ils arrivés là?

Après on pourra toujours me rétorquer que le GPS est monté avec un drone, mais bon ...

Je pense qu'il est plus facile de fabriquer un faux fichier gps que de faire voler un drone au dessus de 8000m d'altitude.

http://www.lenouvelliste.ch/articles/va ... aya-354016

Une mine d'infos ( en anglais) sur toutes les tentatives sur l'Everest:
http://www.alanarnette.com/blog/everest ... -coverage/

Une mine d'infos ( en anglais) sur toutes les tentatives sur l'Everest:
http://www.alanarnette.com/blog/everest ... -coverage/

Merci, Yvan, ce site est un vrai bonheur....

Une mine d'infos ( en anglais) sur toutes les tentatives sur l'Everest:
http://www.alanarnette.com/blog/everest ... -coverage/

Merci, Yvan, ce site est un vrai bonheur....

Un vrai suivi live des expés !

Sinon ce site est top :
https://alpinismonline.com/etrack.asp?expand=65

l'Everest était la dernière étape du sommet de sa vie à Keke.

Et maintenant que va-t-il faire ?
De tout ce temps que sera sa vie
De tous ces gens qui l'adulent
Maintenant que c'est fini

Toutes ces nuits, pourquoi, pour qui
Et ce matin qui revient pour rien
Ce coe?ur qui bat, pour qui, pourquoi
Qui bat trop fort, trop fort

Et maintenant que va-t-il faire ?
Vers quel néant glissera sa vie
Il as laissé la terre entière derrière
Mais la terre pour lui c'est petit

Vous ses amis, soyez gentils
Vous savez bien que l'on n'y peut rien
Même Paris crève d'ennui
Toutes ses rues qui puent

l'Everest était la dernière étape du sommet de sa vie à Keke.

Et maintenant que va-t-il faire ?
...

Héros de BD ?

kiki et la doudoune bleue.png (188.55 Kio) Consulté 2820 fois

l'Everest était la dernière étape du sommet de sa vie à Keke.

Et maintenant que va-t-il faire ?

N'hésite pas à lui donner des conseils, il sera surement très intéressé !

un adulateur choqué ?

À priori kiki est dans quotidien ce soir sur tmc...

À priori kiki est dans quotidien ce soir sur tmc...

Merci pour l'info , voici le lien:
https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-y ... mmets.html

Il est quand même confondant de naturel et de simplicité dans cet interview et difficile de ne pas ressentir de la sympathie pour lui. Le public semblait conquis.
Une des raisons de son succès sans doute qui ne s'explique pas seulement par ses perfs, outre le fait qu'il sait se vendre, car il faut bien reconnaitre que de tous les champions de trail à ma connaissance en tout cas, c'est quand même lui le moins chiant et le plus amusant

Il est quand même confondant de naturel et de simplicité dans cet interview et difficile de ne pas ressentir de la sympathie pour lui. Le public semblait conquis.
Une des raisons de son succès sans doute qui ne s'explique pas seulement par ses perfs, outre le fait qu'il sait se vendre, car il faut bien reconnaitre que de tous les champions de trail à ma connaissance en tout cas, c'est quand même lui le moins chiant et le plus amusant

T'es qu'un adulateur.
Dinococus va te montrer le chemin de la vérité !

Pouah, je suis (h)at(h)é alors le chemin... au fond de l'impasse en haut.

c'est quand même lui le moins chiant et le plus amusant