Rhaà âa-la-la, on se sent moins seul ici.
Une entorse "lapsus" de juin à juillet, une sciatique d'août à novembre et une périostite en janvier-début février...
Un cercle vicieux pour qui veut "briller" en compèt' : on perd des entraînements, on les rattrape à la sauvage et... du coup on se re-blesse. Je ne dois pas être le seul
Et ça a démarré tout juste quand je commençais à atteindre une joyeuse vitesse de croisière à l'entrainement. Avec beaucoup d'orgueil dans la tête, style "je m'sens trop comme un félin et je suis trop doué pasque ça fait mille ans que j'm'ai pas blessé !"
yves_94 a écrit:douleurs intercostales [...] des fois des pointes douloureuses [...] vers le dessous de l'omoplate
Ca, j'ai eu. Le tournevis planté sous l'omoplate. Autodiagnostique : déséquilibre musculo-sportif entre le haut et le bas. Un peu de muscu' des bras et épaules, pompes entre autres, et c'est parti en quelques... semaines.
philtraverses a écrit:j'ai ma jambe droite plus faible, avec un quadriceps de circonférence inférieure et plus souvent blessée que la gauche.


(hé-hé-hé ! on apprends ici les faiblesses de nos ennemis afin de pouvoir les battre

)
Sylvain IT a écrit:j'ai de gros doutes quant à la pertinence de l'exemple d'un champion pour l’être humain moyen.
Oh mon dieu ! Je suis d'accord avec Sylvain IT ! J'ai lu et acquiescé avant de connaitre l'auteur.
Bikoon a écrit:Courage à ceux qui sont dans l'attente de jours moins douloureux !
Merci, vraiment.
Et bon courage avec tes cotes cassées. Je m'en suis fêlé une avec un guidon de vélo et j'ai franchement dégusté. Pourtant je ne suis pas douillé.
Dommage que tu sois pas un ancien marine's américain. J'ai vu dans des films qu'ils peuvent faire plein de trucs avec des cotes fracassées
Bikoon a écrit:c'est plus facile de courir que de dormir avec ça

Exactement ! Comment que c'est trop vrai ça !